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Les Françaises

[Topic Officiel] Matra-Simca Rancho


jensen
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C'est sûr que quand on voit maintenant que nos dirigeants demande aux enfants de maintenir une distance sociale, les empêchent d'aller à l'école (abrutir pour mieux diriger???), que les gamins sont flanqués toutes la journée devant leurs jeux vidéo ou leur téléphone portable et que quand ils sortent, ils doivent en plus mettre un masque ...

Triste monde :cry: :cry: :cry: .

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A la fin des années 1980, le marché français voit apparaitre des petits constructeurs qui tentent leur chance du côté des voitures ludiques. SIFTT, petit artisan ardéchois qui lance sa Katar en 1986 sur base de 2CV, se rêve de devenir constructeurs et avoir une gamme à proposer au public, c’est ainsi qu’est présentée la Katar 2000 en 1988…

Dans la seconde partie des années 1980, le marché automobile français voit ses voitures de plage disparaître en l’espace de deux ans, Renault mettant un terme à la carrière commerciale de la Rodéo en 1986, suivi quelques mois plus tard par Citroën qui stoppe la Méhari (lire aussi : Citroën Méhari). Quand l’offre des grands constructeurs s’éteint, des petits artisans vont tenter leur chance et lancer leurs voitures ludiques, c’est le cas de Teilhol notamment qui lance deux voitures, la Tangara en 1987 (lire aussi : Teilhol Tangara) et la Théva l’année suivante. Plus tard, la société Mega tenta de prendre la place laissé vide par Teilhol à la suite de sa faillite.

Si Teilhol est certainement le plus connu des artisans, il faut aussi regarder du côté de l’Ardèche où la société SIFTT (pour Société Industrielle Française du Tout-Terrain), crée en 1986, sur l’initiative de Jean-Luc Pontaillé et Bernard Lafanechère, lesquelles reprennent la licence de la transmission 4X4 développée par Marc Voisin. Ensemble, ils mettent au point un premier véhicule dérivé de la 2CV, qui donna naissance à la Katar, la commercialisation commence en 1987.

En 1988, la société SIFTT décide d’élargir sa gamme, outre la réalisation d’un Katar Diesel sur base d’Aro à mécanique Renault, SIFTT décide aussi de recarrosser un Citroën C15 : c’est la Katar 2000 dont le prototype est présenté en 1988 lors du salon de l’automobile de Paris. Avec cette voiture, SIFTT explore les possibilités offertes dans le monde de l’utilitaires, ce prototype permet d’embarquer 750kg de charge utile, mais surtout des charges volumineuses grâce à son toit dont la partie arrière est coulissante. Mais cette base aurait certainement pu servir à créer une voiture similaire à la Matra Rancho (lire aussi : Matra Rancho) et créer une concurrente à la Teilhol Théva (lire aussi : Teilhol Théva). Côté moteur, la Katar 2000 reprend le moteur Diesel de la C15, le quatre cylindres de 1769cm3 pour 60Ch.

La ligne du prototype Katar 2000 est réalisée par le Group Impact Design qui signe une carrosserie très différente du Citroën C15, bien que les lignes générales du véhicule restent identiques mais avec un look futuriste pour la Katar. Notons que l’avant est redessiné de façon à reprendre les optiques de la Citroën AX, la voiture remportant le prix du design français lors du salon de l’automobile 1988. Mais voilà, la voiture n’aurait pas eu le temps de rentrer en production, car en 1988, Citroën transfère la production des 2CV au Portugal, impose désormais des obligations de volume à SIFTT et augmente les frais de livraison. Pareil pour les C15 dont la production est réalisé en Espagne et qui aurait dû prêter sa base à la Katar 2000, face à ces conditions, SIFTT pense impossible à rentabiliser son projet…

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petit rappel historique

 

Matra Rancho ?? : Inventeur du SUV sans le savoir

 

Dévoilé en mars 1977, le Matra Rancho est considéré aujourd’hui, avec le Range Rover, comme l’un des premiers SUV de loisirs. Il innova surtout par son look de baroudeur symbolisant déjà l’envie de prendre les chemins de traverse de sa propre vie

 

Face à la chute des ventes du coupé sportif Bagheera, Philippe Guédon, l’ingénieur en chef de chez Matra eut l’idée de produire ce véhicule de loisir à partir de la Simca 1100, marque avec laquelle Matra était partenaire depuis 1970. Disposant d’un tout petit budget car Lagardère, le patron de Matra n’y croyait guère, Guédon fit un miracle. Hélas, il ne disposa pas de suffisamment d’argent pour développer une version à 4 roues motrices qui aurait été mieux en adéquation avec son look de baroudeur avaleur de chemins creux.

 

Avec son allure de baroudeur avaleur de piste, la Rancho rencontra un gros succès à la fin des années 70

 

Son toit surélevé, son arrière allongé offraient un bon volume intérieur. On pouvait dormir à bord !

 

Matra, connais pas !

 

Aujourd’hui le nom de Matra est bien oublié malgré un titre de champion du monde en Formule 1 et trois victoires mancelles. Avant d’aller essayer ce Rancho prêté par mes amis de Pyla Classic Cars, je me suis arrêté dans une concession discuter avec un jeune vendeur pourtant passionné de voitures. Il n’avait jamais entendu parler de Matra dont l’épopée ne dura, en fait, qu’une petite quinzaine d’année. Le temps est assassin !

 

Né sous le nom de Matra Simca, le Rancho fut renommé Talbot en 1979 lors du rachat par PSA. Nom dont les grosses lettres noires sur le capot manquent au Rancho 1981 dont nous prenons le volant. Ce baroudeur fut proposé en de nombreuses versions et série spéciales nommées X, Brousse, Midnigt, Grand-Raid équipé d’un treuil électrique et différentiel à glissement limité et pneus spécifiques pour améliorer ses aptitudes en tout chemin. Il exista aussi en AS utilitaire à deux places seulement limitées par un long plan de charge de 2200 dm3. le Rancho suscite encore de l’intérêt auprès de jeunes passionnés séduits par son physique musclé.

 

Sa planche de bord était empruntée à la Simca 1100 avec une instrumentation succincte; La Rancho était équipé des sièges plus enveloppants de la Simca 1100 TI

 

Dérivé de la Simca 1100

 

Tous les Matraciens savent que la Rancho était extrapolé de la base roulante de Simca 1100 utilitaire VF2 qui arrivait de Poissy pour recevoir à Romorantin, une armature en acier à l’arrière habillée d’une cellule en résine de polyester. Quant au reste, c’était un cocktail entre diverses pièces Simca, avec les sièges de la 1100 TI et le 1440 cm3 de 80 ch de la Simca 1308. Sa suspension renforcée à barres de torsion légèrement surélevée à 21 cm, accueillait de grosses roues de 14 pouces chaussées de larges 185 et des freins de 1100 TI. Puis, il recevait un habillage de baroudeur sous la forme d’un épais bouclier avant, gros phares longue portée protégés par une grille, phares orientables d’ailes optionnels, massifs élargisseurs de roues et voies, protections latérales, visière de pare-brise., galerie de toit, etc. Coté CX, le rancho devait être pire qu’un contre torpilleur. Mais il dégageait une sacré allure !

 

Cette version utilitaire sans siège arrière offrait un large volume de chargement accessible par un hayon ouvrant en deux parties.

 

Sous le capot, on retrouvait le bloc 1440 cm3 de 80 ch emprunté à la Chrysler 1308

 

40 ans après

Victime d’un porte à faux arrière top important imposé par Guédon qui souhaitait qu’on puisse dormir à l’intérieur, surtout en charge, le Rancho délestait facilement des roues. D’où ce mauvais jeu de mot pour expliquer qu’il était plus à son aise en ville. Pas tout terrain mais un excellent tout chemin grâce à sa garde au sol élevée et sa suspension très efficace qui avalait les creux et les bosses.

 

l’engin étonne encore par le confort de ses sièges, la vivacité de la mécanique, le moelleux de sa suspension à barres de torsion et l’intelligence de sa conception avec de nombreuses astuces. Il attire de nombreux regard étonné surtout de la jeunesse motorisée. C’est bon signe.

 

Le Rancho était équipé de roues de 14 pouces chaussés de pneus larges exigeant des élargisseurs d’aile en composite

 

La face avant devenait plus agressive avec son gros boucliers, ses grilles et phares additionnels

 

Transformer son conducteur en baroudeur

 

Peux coûteux à produire, le Rancho a rapporté beaucoup d’argent à Matra qui le reperdit avec la Murena qui fut un échec commercial avant d’en regagner davantage avec l’Espace en quittant le giron de PSA au profit de celui de Renault. Il a été fabriqué à 56 547 exemplaires jusqu’à fin 1983, chiffre qui en fait la Matra la plus produite sous son propre nom. D’ailleurs, à l’époque, la presse spécialisée fut unanime pour saluer ses qualités et il trouva son public. Ajoutez que le nom Matra était alors magique, synonyme de victoire au Mans. Rappelons que Claude Brasseur roulait avec un Rancho dans les deux films » la Boum » avec la jeune Sophie Marceau.

 

Le Rancho fut certainement l’inspirateur de l’envolée du 4X4 en France et l’envie de sortir du goudron avec le Paris-Dakar naissant. Se balader en Rancho donnait une image d’aventurier et de baroudeur à son conducteur généralement habillé d’une saharienne avec un chess blanc enroulé autour du cou. Époque où on pouvait encore se garer devant la terrasse d’un café et où l’auto était un signe extérieur de ce qu’on voulait être.

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Le Matra Rancho fête ses 43ans

En avance sur son temps, le Matra Simca Rancho préfigurait Les SUV urbains de nos jours. Les Peugeot 2008 et Renault Captur doivent beaucoup à cette fourgonnette déguisée en baroudeur. Quarante ans après son lancement, le recul permet de rendre au Rancho la place qu'il mérite dans l'histoire de l'automobile.

 

le Matra Simca Rancho est fabriqué à Romorantin.

 

Aujourd'hui, les SUV et crossovers urbains sont à tous les coins de rue. La plupart d'entre eux ne posent jamais une roue en dehors du bitume, pour la simple et bonne raison qu'ils ne disposent que de deux roues motrices. Renault Captur, Peugeot 2008, Audi Q2… Tous séduisent par leur gabarit compact, leur habitabilité suffisante pour une petite famille et, surtout, leur look de baroudeur. Si le Nissan Juke a réveillé la catégorie, tous ces modèles ont eu un précurseur, en la personne du Matra-Simca Rancho.

Selon son concepteur Philippe Guédon, le Rancho, c'est "la recette du pain perdu appliquée à l'automobile". En effet, ce modèle reprend un maximum d'éléments issus de la grande série, en l'occurrence de chez Simca, partenaire attiré de Matra depuis le lancement de la sportive Bagheera et les engagements conjoints aux 24 heures du Mans. La caisse est donc reprise de la Simca VF2, version utilitaire de la berline 1100. Quant au moteur, il est vient de la 1308 GT. Et de nombreux éléments techniques et d'accastillage sont empruntés à la 1100 TI.

 

Le Matra Rancho, "la recette du pain perdu appliquée à l'automobile"

Aujourd'hui, et de manière moins artisanale, ce mode opératoire rappelle celui choisi par Peugeot pour le 2008. En effet, ce petit SUV conserve la plateforme, les moteurs, la planche de bord et même les portières de la 208. D'aucuns pourront même trouver que le décroché de la ligne de toit constitue un hommage appuyé au Rancho !

 

Cette base reprise de la grande série a conduit Matra à se cantonner à la fabrication de pièces supplémentaires et à leur assemblage sur les caisses nues en provenance de Poissy. Cet ajout très rationalisé est une demande expresse de Jean-Luc Lagardère, qui croyait mollement au projet. "D'accord, mais faites vite et économique" a-t-il dit à Philippe Guédon. Résultat : seuls quinze millions de francs seront déboursés pour étudier le véhicule, un record !

 

Avec le Rancho, l'usine Matra de Romorantin continue à jouer de sa spécialité, en recourant à la fibre de verre. Cette technique parfaitement adaptée à la petite série vient de l'histoire de la marque. Matra Automobiles est en effet issue du rachat du petit constructeur René Bonnet, dont la Jet disposait d'une carrosserie en polyester. Le composite a suivi son chemin sur sa remplaçante la Matra 530, avant d'être renforcé de fibre de verre sur la Bagheera. En toute logique, la cellule arrière du Rancho fait appel au même principe de fabrication. Certes la plus spectaculaire, cette pièce ne constitue pas la seule addition de Matra à la Simca VF2 qui sert de base au Rancho. Matra a également étudié un hayon vitré, des ailes élargies, des protections latérales, des phares longue portée… En plus d'avoir renforcé châssis, longerons et suspension pour faire face aux chemins cahoteux.

 

Le Matra Rancho, annonciateur des crossovers d'aujourd'hui

Au-delà de la réalisation, somme toute classique, il convient surtout de s'attarder sur l'idée. Comment Matra a-t-il accouché de ce véhicule, qui a annoncé avec plus de trente ans d'avance les véhicules qui sillonnent aujourd'hui nos rues ? Comme souvent chez Matra, le projet est né d'un besoin impérieux de faire tourner l'usine. Bien vite, les dirigeants se sont aperçus que les sportives (d'abord la Bagheera puis la Murena) ne suffiraient pas à occuper les chaînes de Romorantin. Avec son flair habituel, Philippe Guédon s'est alors imaginé qu'il existait une petite place sur le marché pour un modèle à mi-chemin entre la Citroën Méhari et le Range Rover. Cette voiture de plage et ce 4x4 de luxe rencontraient alors un succès plutôt enviable…

 

Au fil des ans, le Rancho s'est montré à la hauteur des espérances de ses concepteurs. 56.457 exemplaires ont été fabriqués en six ans de carrière. Certains clients ont même appelé directement l'usine de Romorantin après l'annonce de son retrait en 1983, pour en commander un dernier exemplaire. Le look de baroudeur, combiné à une mécanique de grande série et un équipement plutôt généreux ont donc su faire mouche, malgré un tarif de vente assez élevé. Voilà des arguments qui séduisent toujours sur les crossovers aujourd'hui.

 

Face à ce succès, Matra a envisagé de développer la formule. Ainsi, des croquis du styliste Antoine Volanis ont laissé imaginer une Horizon affublée du même traitement. Voire, à l'échelle supérieure et avec cinq portes, une 1307. Finalement, tout cela est devenu caduc suite à l'absorption de Chrysler Europe, et donc Simca, par PSA. Et à Romorantin, le Rancho a cédé place à un autre phénomène, le Renault Espace. Le monospace a alors poussé le crossover vers la sortie, exactement l'inverse de la tendance actuelle…

 

Conscient des limites techniques de son Rancho, Matra a tenté de lui conférer des capacités en hors-pistes un peu meilleures que celles de la berline. La garde au sol rehaussé à 21 cm sur tous les modèles était déjà un premier pas. Les versions Grand Raid ajoutaient un différentiel à glissement limité, destiné à améliorer la motricité.

 

Mais le plus étonnant fut l'étude d'une version hybride à quatre roues motrices. Dériver une version 4x4 traditionnelle du Rancho aurait nécessité des modifications de plateforme trop coûteuses pour les volumes envisagés. Alors, le bureau d'étude développa un prototype doté d'un moteur électrique sur le train arrière (en fait un alternateur renforcé). Le manque d'efficacité de cette solution, due à un trop faible puissance électrique entraîna le gel du projet. Il n'empêche que cette architecture a fait des émules, par exemple chez Lexus (RX et NX à quatre roues motrices) ou PSA (3008 HYbrid4…). Le Rancho est donc précurseur à plus d'un titre !

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Séries et versions​

La Rancho a existé en version utilitaire (AS), familiale vitrée et, beaucoup plus rare, familiale bâchée (nommée "Découvrable"), avec dans tous les cas, seulement deux portes latérales, en raison de l'utilisation de la caisse de l'utilitaire Simca 1100 VF2.

On dénombre :

Rancho "Base" 1977 - 1984

Rancho "X" 1980 - 1984

Rancho "AS" 1980 - 1984

Rancho "Grand Raid" 1980 - 1981

Rancho "Loisir" = Rancho "Jeanneau Wind" 1980

Rancho "Midnight" 1981

Rancho "Découvrable" 1981

Rancho "AS Découvrable" 1981

Rancho "Davos" (série spéciale de l'importateur allemand)

 

L'existence de deux types de versions, l'une utilitaire, l'autre familiale, sur la même base technique et de carrosserie, l'apparente encore davantage à un ludospace.

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Je vous rejoins en tant que Ranchoïste pratiquant. J'ai acheté le mien, un beige Ispahan en 2010 et je suis en train de boucher les trous dans la carrosserie pour qu'il puisse encore passer le CT nouvelle formule. Il a comme équipement peu commun une tablette arrière rigide et il avait la clim ! Cependant, l'ancien propriétaire l'a a enlevée pour ne pas être embêté avec !!!! Formule la plus sûre . Je l'adore et je dois faire pas mal de soudure.

 

Il me font rigoler les SUV ( sans utilité véritable ) modernes : dans le Rancho, j'ai fais entrer un canapé trois places, essayez dans un moderne. Et question originalité, pardon, ils se ressemblent tous. Le seul qui me fait un peu penser au Rancho est le Yéti 1°série mais pour le transport, il faut se contenter d'un seul fauteuil. Je crois bien être le dernier à en posséder un en Haute Corse ! Mais si on me contredit, tant mieux : plus on a de Rancho, mieux c'est .

Les plus curieux pourront aller voir les travaux sur le forum Matra Sports ou 2 Pattes , voire Potes Simca.

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