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Question pour un Ancien - Le quizz sans fin


jensen

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Invité §tun768Yb

Exact, quand les Suisses de Berne (notamment de la vallée d'Emmen) et de Fribourg émigraient en France au XIXe.

 

Les familles comptaient facilement 6 à 10 enfants qui vivaient tous sur les fermes de 4 ou 5 hectares. Les enfants partaient alors faire du fromage à pâte dure en France, technique que les Français ne maîtrisaient pas. Chaque année le Bernois était remplacé par son frère, un cousin, etc.

 

Cette tradition d'exporter les fromagers est ancienne puisque le "petit suisse" (qui est un fromage!) vient du fait que c'étaient de jeunes suisses de petite taille qui allaient servir ce fromage aux clients quand Charles Gervais était fournisseur de la cour.

 

Les meringues sont ainsi une "invention" bernoise de la commune de Meiringen, exportée par les natifs en quête d'emploi.

 

Comme le mot Emmentaler est plus difficile à prononcer que Gruyère, c'est le second qui a été popularisé en France pour désigner le premier. Il a fallu la perspective de l'Espace Economique Européen (sorte d'UE sans certaines contraintes, traité créé exprès pour intégrer les pays membres de l'AELE dans l'UE, finalement refusé par référendum suisse en 1992) pour que les Suisses comprennent l'importance des Appellations d'Origine Contrôlée et s'y mettent. Le vin de la commune de Champagne (Bonvillard, canton de Vaud) n'a plus le droit de porter ce nom, alors que les Hongrois se sont réapproprié celui de Tokay. La dôle blanche doit désormais être 100% issue de vignes sises en Valais, etc.

 

Au XIXe siècle, la raréfaction des corps de garde suisses a obligé les Suisses à partir dans d'autres directions professionnelles. C'est pourquoi, outre cet aspect du fromage à pâte dure, généralisé avec le Comté et autres Apremont, ce sont des Fribourgeois qui géraient les fruitières (et vendaient le fromage à pâte dure des alpages) en Savoie.

 

Si vous faites attention aux patronymes savoyards, les Frutiger (de Frütingen, canton de Berne), Stampfli (même canton), Kohly/Cohly/etc. (canton de Fribourg), Duby, Trombert, etc. sont assez courants. Un de mes voisins âgé a une grand-mère de "la basse" ville de Fribourg, un autre d'Argovie... Le fait de parler français était un choix lourd: le retour en Suisse n'était plus possible après plusieurs années d'assimilation et les descendants ne connaissent en général pas un mot de dialecte !

 

 

NB: l'émigration suisse était massive depuis le XVIIe ou XVIIIe siècle... Et s'est accélérée au XIXe. Chevrolet est neuchâtelois, la tour Eiffel est due au suisse Koechlin, etc. Elle a ralenti avec la première guerre mondiale, la Suisse devenant un pays d'immigration après 1945. Aujourd'hui 53% des mariages sont bi-nationaux et la majorité des suisses romands de moins de 6 ans n'est pas suisse d'origine (naturalisés certes mais pas de grands-parents suisses).

 

Pour ceux que cela titille, Office fédéral de la statistique, communiqué de décembre 2013.

 

Fin du HS.

 

:o

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Exact, quand les Suisses de Berne (notamment de la vallée d'Emmen) et de Fribourg émigraient en France au XIXe.

 

Les familles comptaient facilement 6 à 10 enfants qui vivaient tous sur les fermes de 4 ou 5 hectares. Les enfants partaient alors faire du fromage à pâte dure en France, technique que les Français ne maîtrisaient pas. Chaque année le Bernois était remplacé par son frère, un cousin, etc.

 

Cette tradition d'exporter les fromagers est ancienne puisque le "petit suisse" (qui est un fromage!) vient du fait que c'étaient de jeunes suisses de petite taille qui allaient servir ce fromage aux clients quand Charles Gervais était fournisseur de la cour.

 

Les meringues sont ainsi une "invention" bernoise de la commune de Meiringen, exportée par les natifs en quête d'emploi.

 

Comme le mot Emmentaler est plus difficile à prononcer que Gruyère, c'est le second qui a été popularisé en France pour désigner le premier. Il a fallu la perspective de l'Espace Economique Européen (sorte d'UE sans certaines contraintes, traité créé exprès pour intégrer les pays membres de l'AELE dans l'UE, finalement refusé par référendum suisse en 1992) pour que les Suisses comprennent l'importance des Appellations d'Origine Contrôlée et s'y mettent. Le vin de la commune de Champagne (Bonvillard, canton de Vaud) n'a plus le droit de porter ce nom, alors que les Hongrois se sont réapproprié celui de Tokay. La dôle blanche doit désormais être 100% issue de vignes sises en Valais, etc.

 

Au XIXe siècle, la raréfaction des corps de garde suisses a obligé les Suisses à partir dans d'autres directions professionnelles. C'est pourquoi, outre cet aspect du fromage à pâte dure, généralisé avec le Comté et autres Apremont, ce sont des Fribourgeois qui géraient les fruitières (et vendaient le fromage à pâte dure des alpages) en Savoie.

 

Si vous faites attention aux patronymes savoyards, les Frutiger (de Frütingen, canton de Berne), Stampfli (même canton), Kohly/Cohly/etc. (canton de Fribourg), Duby, Trombert, etc. sont assez courants. Un de mes voisins âgé a une grand-mère de "la basse" ville de Fribourg, un autre d'Argovie... Le fait de parler français était un choix lourd: le retour en Suisse n'était plus possible après plusieurs années d'assimilation et les descendants ne connaissent en général pas un mot de dialecte !

 

 

NB: l'émigration suisse était massive depuis le XVIIe ou XVIIIe siècle... Et s'est accélérée au XIXe. Chevrolet est neuchâtelois, la tour Eiffel est due au suisse Koechlin, etc. Elle a ralenti avec la première guerre mondiale, la Suisse devenant un pays d'immigration après 1945. Aujourd'hui 53% des mariages sont bi-nationaux et la majorité des suisses romands de moins de 6 ans n'est pas suisse d'origine (naturalisés certes mais pas de grands-parents suisses).

 

Pour ceux que cela titille, Office fédéral de la statistique, communiqué de décembre 2013.

 

Fin du HS.

 

:o

 

Non, pas fin du HS (en tous cas provisoirement de ma part, car il me semble que tout sujet est intéressant).

Un grand merci pour ces précisions historiques, on en apprend tous les jours (petit suisse et meringue, par exemple dont je ne connaissais pas l'origine).

Il y a quelques (nombreuses) années j'avais découvert et apprécié le blanc d'Yvorne (et non d'ivrogne comme certains se faisaient plaisir à dire) non seulement pour son goût, mais aussi pour les lieux surprenants où poussent les vignes.

PS : une excellente fondue (savoyarde ... !) est constituée d'une proportion variable dont chaque famille a le secret unique et évidemment "original" de Comté, Beaufort, Emmental, Gruyère et autre Apremont suivant les traditions ancestrales. Mais elles sont toutes excellentes !

Bon, on va essayer de retourner à un quizz automobile qui puisse revenir dans le cadre initial prévu.

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Q 1017 (?) :

 

L'accessibilité des passagers ou du conducteur aux sièges de l'automobile a souvent été difficilement compatible avec les concepts aérodynamiques, mécaniques ou esthétiques.

Certains ont envisagé des solutions utopiques, voire oniriques, mais il y a eu des réalisations originales (pour le moins !). Sans parler de la Mercedes 300SL dont l'accès est pour le moins laborieux, d'autres "astuces" combinant plus ou moins les deux impératifs (en supposant beaucoup de bonne volonté de la part des usagers …) ont été testées.

Bon, voilà la question :

Qui a "inventé" la portière à double charnière (une partie latérale ouvrant vers le haut, l'autre, liée, étant la moitié du toit qui se relevait simultanément), ancêtre de la gullwing, pour pénétrer dans sa voiture fuselée ?

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Invité §aut501Gd

Q 1017 (?) :

 

L'accessibilité des passagers ou du conducteur aux sièges de l'automobile a souvent été difficilement compatible avec les concepts aérodynamiques, mécaniques ou esthétiques.

Certains ont envisagé des solutions utopiques, voire oniriques, mais il y a eu des réalisations originales (pour le moins !). Sans parler de la Mercedes 300SL dont l'accès est pour le moins laborieux, d'autres "astuces" combinant plus ou moins les deux impératifs (en supposant beaucoup de bonne volonté de la part des usagers …) ont été testées.

Bon, voilà la question :

Qui a "inventé" la portière à double charnière (une partie latérale ouvrant vers le haut, l'autre, liée, étant la moitié du toit qui se relevait simultanément), ancêtre de la gullwing, pour pénétrer dans sa voiture fuselée ?

 

 

Popov :o

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Invité §tun768Yb

Q 1017 (?) :

 

L'accessibilité des passagers ou du conducteur aux sièges de l'automobile a souvent été difficilement compatible avec les concepts aérodynamiques, mécaniques ou esthétiques.

Certains ont envisagé des solutions utopiques, voire oniriques, mais il y a eu des réalisations originales (pour le moins !). Sans parler de la Mercedes 300SL dont l'accès est pour le moins laborieux, d'autres "astuces" combinant plus ou moins les deux impératifs (en supposant beaucoup de bonne volonté de la part des usagers …) ont été testées.

Bon, voilà la question :

Qui a "inventé" la portière à double charnière (une partie latérale ouvrant vers le haut, l'autre, liée, étant la moitié du toit qui se relevait simultanément), ancêtre de la gullwing, pour pénétrer dans sa voiture fuselée ?

 

 

 

Gustave Eiffel. Il en a eu l'idée en même temps que le porte-jarretelles.

 

Avant le prototype de la Bugatti Type 64 en 1939, je ne vois pas...

 

:non:

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Pour faire plus simple et plus imagé, j'aurais pu dire que c'est le principe classique d'ouverture des capots moteur de la même époque.

L'invention n'est en fait que l'idée d'appliquer cette solution aux portières de la voiture.

PS : ça se passait bien avant la T64.

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Pour faire plus simple et plus imagé, j'aurais pu dire que c'est le principe classique d'ouverture des capots moteur de la même époque.

L'invention n'est en fait que l'idée d'appliquer cette solution aux portières de la voiture.

PS : ça se passait bien avant la T64.

 

 

Voyant que personne n'est inspiré, passons à la réponse en image :

 

 

Farman-A6A-V.jpg

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Invité §tun768Yb

OK. Là, je vois beaucoup mieux!!! Déjà que la production de la marque a été confidentielle...

 

 

:jap:

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Invité §aut501Gd

Ici ça dort un peu, non, ou bien je rêve.

Question numéro ... 1018 :

Quel constructeur a donc appelé son modèle "Aérolithe" avant que Jean Bugatti ne le rende célèbre ?

 

 

Coadou-Fleury (1928-1934) établi à Trébeurden dans les Côtes du Nord :o

 

 

Edit:

 

http://putin.help/wiki/Coadou-Fleury

 

automobilix.gif.bd733e3ac47612973af59ee3c625061b.gif

 

 

Edit bis

 

http://www.allcarindex.com/mai [...] ou-Fleury/

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Invité §aut501Gd

Une partie gratuite qui va coûter cher en recherches :ange:

 

http://imagizer.imageshack.us/v2/xq90/633/MSawUI.jpg

 

Milieu des années 30 est parue cette réclame (où? je n'en sais rien) annonçant la sortie d'une Fasto qui aurait été une licence de la DKW "F 5". Il y a 2 choses très troublantes: la 1ère c'est que cette marque, possédant des usines à St Eloy des Mines, avait déjà disparu en 1929. La seconde, c'est que les bureaux commerciaux de cette société se situaient à St Ouen et non à Puteaux. Il y a quelques années j'ai fait des recherches qui n'ont rien donné. Donc à vôt' bon coeur M'sieurs-dames ... cool_haru.gif.0fac9d02c8a0c2e3df5c170a5ffa8602.gif

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Invité §aut501Gd

Ah! j'ai déjà trouvé ça

 

Installé au 42, rue Eichenberger à Puteaux, le carrossier Marius Renard commence à diffuser sa transformation de la Traction à partir de 1947. Elle est disponible sur les Traction 11 et 15 Six, berline et même cabriolet. Le supplément de prix dépasse les 50% par rapport au modèle usine, ce qui explique notamment le nombre très restreint de réalisations (le chiffre est inconnu)...

Ca ne résout (ou d?) rien, mais on est dans le domaine automobile

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Invité §tun768Yb

ça ne signifie rien d'autre que l'existence de locaux suffisamment vastes pour de telles activités: l'adaptation au marché français de voiture pré-assemblées en Allemagne (quelle idée au milieu des années 1930, en pleine déprime du marché automobile!!!???) et la transformation de TA après la guerre (là encore, quelle idée: en 1947??? La clientèle n'était pas encore au RV).

 

 

:mouais:

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Ah! j'ai déjà trouvé ça

 

Installé au 42, rue Eichenberger à Puteaux, le carrossier Marius Renard commence à diffuser sa transformation de la Traction à partir de 1947. Elle est disponible sur les Traction 11 et 15 Six, berline et même cabriolet. Le supplément de prix dépasse les 50% par rapport au modèle usine, ce qui explique notamment le nombre très restreint de réalisations (le chiffre est inconnu)...

Ca ne résout (ou d?) rien, mais on est dans le domaine automobile

 

FASTO (France 1926-1929)

Ateliers mécaniques de Saint-Eloy, Saint Eloy-les-mines, Puy de Dôme; Saint-Ouen, Seine.

La FASTO était une familiale classique pourvue d'un moteur 4 ou 6 cylindres à soupapes latérales, de 1,6 ou 1,7 litre en 4 cylindres, et de 2,4 litres en 6 cylindres.

Dixit Georgano.

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Invité §aut501Gd

FASTO (France 1926-1929)

Ateliers mécaniques de Saint-Eloy, Saint Eloy-les-mines, Puy de Dôme; Saint-Ouen, Seine.

La FASTO était une familiale classique pourvue d'un moteur 4 ou 6 cylindres à soupapes latérales, de 1,6 ou 1,7 litre en 4 cylindres, et de 2,4 litres en 6 cylindres.

Dixit Georgano.

 

 

Bin voui, mais ça fait pas avancer mon chimilimiliblik :pfff:

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Bin voui, mais ça fait pas avancer mon chimilimiliblik :pfff:

 

Me semblait avoir de vagues souvenirs d'avoir vu Fasto traité dans un des "tiroirs de l'inconnu" ou autre article du même genre (le creuset) dans les années 70, mais pas moyen de remettre la main dessus (ni l'œil non plus).

Faut encore fouiller : fouillons.

Faut encore chercher : cherchons.

Faut encore dénicher : dénichons …

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Bon, presque pas de réponses sur les quizz précédents...

 

Qu'est-ce qu'on fait ?

On les répète, on attend encore un peu, ou on en rajoute un de plus ?

 

Par exemple (serait-ce le Q-2018) :

 

Quelle est la première voiture européenne a avoir été équipée de clignotants ?

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Invité §tun768Yb

Bon, presque pas de réponses sur les quizz précédents...

 

Qu'est-ce qu'on fait ?

On les répète, on attend encore un peu, ou on en rajoute un de plus ?

 

Par exemple (serait-ce le Q-2018) :

Quelle est la première voiture européenne a avoir été équipée de clignotants ?

 

 

Il y a plusieurs réponses...

 

:non:

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Invité §tun768Yb

Ah... Comme cela...

 

 

Sauf erreur, Borgward Hansa.

 

Clignotants proposés en série Buick 1938 (mais c'est un faux débat car certains carrossiers en posaient déjà. A vérifier sur des photos d'avant-guerre).

 

Clignotants intégrés dans les rétroviseurs en série, proposition de Peugeot sur la 604 refusée par les Mines, ce qui a permis à Mercedes de "griller" le Lion sur ce point précis quelques mois plus tard.

 

J'ai juste, docteur?

 

;)

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Ah... Comme cela...

Sauf erreur, Borgward Hansa.

Clignotants proposés en série Buick 1938 (mais c'est un faux débat car certains carrossiers en posaient déjà. A vérifier sur des photos d'avant-guerre).

Clignotants intégrés dans les rétroviseurs en série, proposition de Peugeot sur la 604 refusée par les Mines, ce qui a permis à Mercedes de "griller" le Lion sur ce point précis quelques mois plus tard.

J'ai juste, docteur?

 

Pas d'erreur, tout juste !

 

Voici donc votre ordonnance :

A l’origine, les gens se contentaient d’agiter le bras : un bras plié vers le sol signifiait que vous tourniez à gauche, un bras plié vers le ciel signifiait que vous tourniez à droite (et l’inverse si le volant était à droite). Lorsqu'il pleuvait le souci était plus complexe.

Puis il y a eu des « flèches de direction » : lorsque vous vouliez tourner, une flèche sort dans la direction demandée. Un principe inspiré du sémaphore. Problème : il fallait rentrer la flèche manuellement une fois la manœuvre opérée. Avec le temps, le dispositif est électrifié : la flèche s’agite dans la direction voulue et revient toute seule en position.

Néanmoins, les faisceaux électriques de l’époque étaient peu fiables et le système se bloquait souvent, sans parler de la prise au vent de cette excroissance.

En 1938, Buick propose un clignotant électrique (uniquement à l’arrière).

Pendant la deuxième guerre mondiale, plusieurs véhicules de l’US Army en sont équipés.

Carl Friedrich Wilhelm Borgward les examine et il est séduit par cette innovation. Il veut que ses voitures en soient équipées.

L’Hansa 1500 de 1949 est ainsi la première voiture européenne équipée de clignotants de série.

D’autres s'en sont inspiré ensuite et, dans les années 50, les clignotants chassent les flèches de direction.

D’abord simplement posés sur les ailes, car simplement des compléments légaux, les clignotants sont ensuite intégrés au design (DS 19, en 1955 p.ex.).

Il faut aussi se pencher sur les réglementations officielles qui commencent à promulguer des obligations et des interdictions (parfois rétroactives, mais pas systématiquement pour toutes).

Ce qui a permis à plusieurs accessoiristes de présenter des nouveautés "nécessaires" en plus de leur catalogue d'enjoliveurs classiques (Seima, Scintex, etc).

Quelques sources : leblogauto, ou wiki et autres.

https://en.wikipedia.org/wiki/Borgward_Hansa_1500

 

Sur ma Dynamic (de 1936) les deux signaux de changement de direction étaient regroupés sur la plaque d'aile arrière droite (ainsi que le feu rouge, le stop et le "F"), symétrique de celle de gauche qui ne comportait que l'immatriculation et un feu, mais ils ne clignotaient pas (transformation facile à faire, mais légalement insuffisante) mais à l'avant il n'y avait rien d'autre que les feux de position sur le haut des ailes, à transformer également (donc pas de clignotants d'origine). D'ailleurs je me demande si ça n'aurait pas dû être l'inverse (droite/gauche à l'arrière).

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Invité §tun768Yb

ça y est!!!

 

Une de mes Bugatti en avait en 1932... En sortant de chez le carrossier: photo prise à Berlin on ne sait où...

 

Vous les voyez à côté du pare-brise? Ces "flèches" descendront après-guerre lorsque la voiture a été repeinte et furent ôtées dans les années 1960 quand la voiture a été repeinte une 3e fois pour mettre des clignotants disgracieux sur les ailes.

 

 

44-1.jpg

 

 

;)

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ça y est!!!

 

Une de mes Bugatti en avait en 1932... En sortant de chez le carrossier: photo prise à Berlin on ne sait où...

 

Vous les voyez à côté du pare-brie? Ces "flèches" descendront après-guerre lorsque la voiture a été repeinte et furent ôtées dans les années 1960 quand la voiture a été repeinte une 3e fois pour mettre des clignotants disgracieux sur les ailes.

 

 

44-1.jpg

 

 

;)

 

Mais quand ? Déjà accessoirisée si tôt ?

Oui, bon, avant d'être obligatoires dès 1950 ces indicateurs étaient "souhaitables" sinon souhaités...

Ces flèches étaient-elles mécaniques, manuelles ou électriques ?

PS : les (obligatoires) clignotants peuvent être installés discrètement, à chacun ses astuces, ou trop ostensiblement, gâchant l'esthétique originelle.

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Invité §aut501Gd

Vous êtes tous en hibernation ?

 

 

Non, non :D

 

En quelle année et sur quelle marque de voiture ces indicateurs lumineux de direction ont-ils été montés? Une flèche sur chaque aile pour les changements de direction et une lumière centrale verticale devant la calandre indiquant que l'auto va tout droit, le tout commandé au tableau de bord par commutateur à 3 positions.

 

http://imagizer.imageshack.us/v2/xq90/905/zaK2dA.jpg

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Non, non :D

 

En quelle année et sur quelle marque de voiture ces indicateurs lumineux de direction ont-ils été montés? Une flèche sur chaque aile pour les changements de direction et une lumière centrale verticale devant la calandre indiquant que l'auto va tout droit, le tout commandé au tableau de bord par commutateur à 3 positions.

 

http://imagizer.imageshack.us/ [...] zaK2dA.jpg

 

Le romain Alfredo Barachini en 1908 (commande à câbles)?

Le britannique Percy Douglas Hamilton, le premier à l'avoir breveté en 1909 (demandé en 1907) ?

L'hollywoodienne Florence Lawrence en 1914 ?

Naillik Motors de Boston avec commande par moteur électrique en 1918 ?

Gustave Deneef et Maurice Boisson grâce à un solénoïde en 1923 ?

Max Ruhl et Ernst Neuman en 1927 qui ont combiné la commande par solénoïde et les voyants au tableau ? Signalisation installée sur les Ford A montées en Allemagne.

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Invité §aut501Gd

Le romain Alfredo Barachini en 1908 (commande à câbles)?

Le britannique Percy Douglas Hamilton, le premier à l'avoir breveté en 1909 (demandé en 1907) ?

L'hollywoodienne Florence Lawrence en 1914 ?

Naillik Motors de Boston avec commande par moteur électrique en 1918 ?

Gustave Deneef et Maurice Boisson grâce à un solénoïde en 1923 ?

Max Ruhl et Ernst Neuman en 1927 qui ont combiné la commande par solénoïde et les voyants au tableau ? Signalisation installée sur les Ford A montées en Allemagne.

 

 

bigruns77.gif.44b08d5466b5d2cce20ff554bd84989a.gif

 

mais rien de tout celà :non:

 

automobilix.gif.542f33fc155c923571f928df8f776858.gif

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Deux indices: l'auto ayant un volant à gauche et circulant à droite.... Autre indice, la photo de détail de l'auto en question

 

 

 

http://imagizer.imageshack.us/ [...] LKtQMc.jpg

 

Aucune autre idée, pourtant la calandre et les phares sont fort similaires à ceux d'une Ford A (mais pas les roues).

Sinon, un autre indice pour les incultes ?

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