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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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Salut Hugues,

 

elle en a fait couler de l'encre cette Corvette , et je suis comme Philippe pas très fan de la déco que je trouve moi aussi trop chargé …..

 

j'en ai pourtant eu une de chez Spark que je n'ai pas gardé :non:

 

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Pas facile à dénicher la version Spark, tu vas le regretter un jour Nono ...

 

(Ah tiens, mon avatar a à nouveau disparu. Vous le voyez de votre côté (les 2 Aston Sebring 2019) ?)

 

 

fake07.gif.871bd862198fd798de7094062603e709.gif David,

 

il y en a eu quelques une en vente à la caravane Spark aux vérifs place de la république , j'en ai acheté deux , une pour un copain et une pour moi , mais j'avais beau la regarder dans ma vitrine à "Art Car" elle ne me faisait pas plus d'effets que ça !!!!! raison pour laquelle je l'ai revendu et je ne pense pas le regretter astrid14000.gif.08960dba576e2ca1871eb4eb1488d725.gif

 

(on voit bien les 2 Aston ;) )

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Superbe cette Corvette "Art Car" JPS :love: :love: :love: perso j'ai la meme et j'ai pris énormément de plaisir à la monter :)

 

Moi je n'ai toujours pas pris le temps de monter la mienne mais ça viendra un jour.

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Pourquoi tu en achètes autant ?

 

J'en ai beaucoup acheté a une époque ou ils étaient très peu chers maintenant j'ai beaucoup ralentis j'achète au coup de cœur comme pour la Corvette Art Car.

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Le Mans 66 (Ford vs Ferrari en VO), est sans surprise recentré sur l'Amérique, puisque l'affrontement entre les deux constructeurs est vu du côté de Ford. Il raconte en fait une belle histoire d’amitié et de rivalité qui met en scène deux personnages forts. Carroll Shelby, un Matt Damon qui crée un subtil mélange d’assurance et de vulnérabilité, et Ken Miles, un Christian Bale qui semble s’être plongé à corps perdu dans son personnage,

C'est une histoire qui utilise la course automobile comme l’un des éléments de son scénario et non pas comme le centre de son intrigue. Ici, la course sert à raconter, et si les courses de bagnoles sont bien filmées, intenses et immersives, on reste vraiment très loin d’un documentaire. En vrac

- Enzo Ferrari n’était pas présent aux 24 Heures du Mans en 1966

- Carroll Shelby est directement mandaté par Ford pour construire la GT40 dans le film. En réalité, cette tâche a d’abord été confiée à Eric Broadley épaulé par John Wyer au Royaume-Uni. Ce n’est qu’après 1964 que le programme est confié à Shelby.

- les deux pilotes qui se regardent au moment de se dépasser à pleine vitesse, ou Ken Miles mettre ses lunettes de soleil ou enfiler ses gants pendant qu’il conduit la voiture d’une main.

 

Sinon, film très sympa avec de bons acteurs, une intrigue globalement bien ficelée et on ne voit pas le temps passer en regardant le film

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les deux pilotes qui se regardent au moment de se dépasser à pleine vitesse, ou Ken Miles mettre ses lunettes de soleil ou enfiler ses gants pendant qu’il conduit la voiture d’une main.

Ce qu'en dit l'homme au casque vert :

« Il y a des passages romancés avec quelques scènes extravagantes, mais, même pour les connaisseurs de l’épreuve, ça passe très bien. Ça montre aussi une certaine époque du sport auto »

"l’ancien patron d’écurie a souri en voyant la scène où deux pilotes se saluent en pleine ligne droite des Hunaudières. « C’est vrai que se regarder à 350 km/h et se faire des signes, ça ne m’est pas arrivé souvent en course… Une fois au Mans avec ­Jabouille. Mais tout ça va plaire au grand public », renchérit l’emblématique barbu."

 

 

 

Apparemment, le film est bien apprécié par les vrais pilotes.

http://sport24.lefigaro.fr/aut [...] #xtor=AL-5

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En 2018, le constructeur de Zuffenhausen fête ses 70 ans, et les 24 Heures sont l’occasion de les commémorer de façon très publique. Porsche n’avait que l’embarras du choix, tant son passé est riche dans la Sarthe. Deux des 911 engagées en GTE Pro (il y aura quatre RSR en GTE Pro, plus six en Am) troquent leur habituelle livrée rouge, noire et blanche pour des couleurs vues au Mans et devenues légendaires depuis : celles de la 917/20 Cochon Rose de 1971, les inscriptions font référence aux différentes pièces de porc que vous pouvez acheter chez votre charcutier ou boucher, et celles du célèbre cigarettier (Rothman's) supportant les 956 et 962 officielles qui ont dominé les années quatre-vingt dans la Sarthe.

 

2018_912.jpg

 

2018_910.jpg

 

 

Et c'est le samedi matin,soit la veille de la journée Test, que Porsche fait le buzz en dévoilant les livrées des 911 RSR qui participeront à la course. Si le ramage se rapporte au plumage, cela pourrait faire mal. Sur la 91, on retrouve Richard Lietz, Fred Makowiecki et Gianmaria Bruni tandis que Michael Christensen, Kévin Estre et Laurens Vanthoor sont au volant de la #92.

 

2018_914.jpg

 

2018_915.jpg

 

 

La première séance d'essais du mercredi voit Porsche et Ford se livrer une bagarre de chiffonniers. A bord de la #92, Vanthoor termine second de la session libre à 0"738 de la #93 qui relègue la meilleure américaine à plus d'une seconde. Et la première séance qualificative n'a débuté que depuis 9 minutes lorsque la Porsche #91 sort dans la montée du Dunlop. Il faut dire que Gianmaria Bruni était en mode full-attack puisqu'il sortait d'un tour fabuleux chronométré en 3'47"504, temps qui ne sera pas battu malgré les tentatives des belles de Détroit. Nos Porsche trustent donc la première ligne, Christensen ayant signé un joli 3'49"097 juste devant les 3'49"181 d'Olivier Pla.

 

2018_913.jpg

 

 

Sans surprise, la hiérarchie du premier virage est celle de la grille de départ. Les deux 911 RSR engagées par Porsche GT Team et exploitées par le team Manthey impriment la cadence. Mais derrière, les Ford et Ferrari restent au contact si bien qu'à la fin de la première heure de course, les 17 concurrents inscrites sont regroupés en moins d'une minute.

 

2018_918.jpg

 

En passant le volant de la #92 à Laurent Vanthoors à 18 H 33, Kévin Estre alors second du GTE Pro, est loin de se douter que lui et ses compagnons viennent de frapper un grand coup. En stoppant un tour avant ses principaux rivaux, juste avant que la voiture de sécurité prenne la piste pour permettre aux commissaires de ramasser les débris laissés par l'Oreca #38, notre cochon rose s'est en effet forgé une avance de plus de 90 secondes. La meute des poursuivants, après être passée à la pompe, est contrainte d'attendre au bout de la voie des stands que le feu passe au vert pour reprendre la piste. Dans cette catégorie ultra-concurrentielle, ces 90 secondes vont être capitales.

 

2018_911.jpg

 

Du reste, aucune autre diode que la première ne va s'allumer sur notre #92 qui poursuit son bonhomme de chemin. Au terme de la 15° heure, elle possède 2'23" d'avance sur la voiture soeur qui est en plein duel avec la Ford #68. Cet écart confortable va pousser l'état-major de Porsche à demander à ses pilotes d'éviter d'escalader les vibreurs car cette victoire qui se profile est trop importante pour la marque qui fête ses 70 ans.

Cette 911 RSR, aussi diabolique que belle a connu zéro soucis, zéro pénalité et n'a passé que 29'57" dans ses stands, record toutes catégories confondues. C'est un véritable triomphe, complété par la seconde place de notre #91, toute aussi irréprochable que sa soeur.

 

2018_917.jpg

 

Modèles Spark

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Du reste, aucune autre diode que la première ne va s'allumer sur notre #91 qui poursuit son bonhomme de chemin. Au terme de la 15° heure, elle possède 2'23" d'avance sur la voiture soeur qui est en plein duel avec la Ford #68. Cet écart confortable va pousser l'état-major de Porsche à demander à ses pilotes d'éviter d'escalader les vibreurs car cette victoire qui se profile est trop importante pour la marque qui fête ses 70 ans.

Cette 911 RSR, aussi diabolique que belle a connu zéro soucis, zéro pénalité et n'a passé que 29'57" dans ses stands, record toutes catégories confondues. C'est un véritable triomphe, complété par la seconde place de notre #91, toute aussi irréprochable que sa soeur.

 

 

 

Tu veux dire 92 plutôt, non ?

 

Sinon, de bien jolis modèles avec 2 déco vintage du plus bel effet.

Mais bon, 2 d'un coup, ça fait beaucoup. Moins fan de la "Rothmans", je n'ai de ce fait pris que la "Cochon Rose"

La très belle course de ces 2 911 ont permis à Porsche de fêter cet anniversaire avec panache.

 

Excellents achats, Hugues

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Tu veux dire 92 plutôt, non ?

 

Bien vu Philippe :) Rectifié

 

Moins fan de la "Rothmans", je n'ai de ce fait pris que la "Cochon Rose"

 

Oui, moi zossi, mais je l'aime bien quand même

Un bel ensemble

 

C'est vrai que le duo claque bien :love:

 

Merci de votre passage les amis :jap:

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Superbe :love: et moi aussi j'ai pris les deux :)

 

La "cochon rose" est vraiment très belle mais j'adore également la "Rothmans" et avec Mako au volant elle ne pouvait être que dans mes vitrines ... ;)

 

 

C'est aussi pour cette raison que je l'ai prise.

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Invité §amo123JS

Bonsoir Hugues :jap:

 

Tout lu ,tout vu ,comme d'hab présentation "du 1é de la classe" :p de la belle minia a toutes les catégorie :love: ...je me régale ;) et j'y retourne... :D

 

 

A+ED ;)

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avec Mako au volant elle ne pouvait être que dans mes vitrines

 

 

C'est en effet un très bon argument Jérôme :)

 

de la belle minia a toutes les catégories

 

Merci Ed :jap:

 

Me disent aussi quelque chose ces 2 là

 

Tu dois bien les avoir chez toi Antho, non ?

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avec Mako au volant elle ne pouvait être que dans mes vitrines

 

 

C'est en effet un très bon argument Jérôme :)

 

de la belle minia a toutes les catégories

 

Merci Ed :jap:

 

Me disent aussi quelque chose ces 2 là

Tu dois bien les avoir chez toi Antho, non ?

 

 

 

C'est fort possible Hugues.... :D

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https://www.bandes-annonces.fr [...] 1559569735

 

Le Mans 66 (Ford vs Ferrari en VO), est sans surprise recentré sur l'Amérique, puisque l'affrontement entre les deux constructeurs est vu du côté de Ford. Il raconte en fait une belle histoire d’amitié et de rivalité qui met en scène deux personnages forts. Carroll Shelby, un Matt Damon qui crée un subtil mélange d’assurance et de vulnérabilité, et Ken Miles, un Christian Bale qui semble s’être plongé à corps perdu dans son personnage,

C'est une histoire qui utilise la course automobile comme l’un des éléments de son scénario et non pas comme le centre de son intrigue. Ici, la course sert à raconter, et si les courses de bagnoles sont bien filmées, intenses et immersives, on reste vraiment très loin d’un documentaire. En vrac

- Enzo Ferrari n’était pas présent aux 24 Heures du Mans en 1966

- Carroll Shelby est directement mandaté par Ford pour construire la GT40 dans le film. En réalité, cette tâche a d’abord été confiée à Eric Broadley épaulé par John Wyer au Royaume-Uni. Ce n’est qu’après 1964 que le programme est confié à Shelby.

- les deux pilotes qui se regardent au moment de se dépasser à pleine vitesse, ou Ken Miles mettre ses lunettes de soleil ou enfiler ses gants pendant qu’il conduit la voiture d’une main.

 

Sinon, film très sympa avec de bons acteurs, une intrigue globalement bien ficelée et on ne voit pas le temps passer en regardant le film

 

 

Salut à tous

 

Le film est rès sympa avec de bons acteurs, une intrigue globalement bien ficelée et on ne voit pas le temps passer en regardant le film

YESSE ;)

Bonjour

 

je viens de suivre les présentations du film " LE MANS 66" par J L MONCET et par DEPIELO

 

 

[h1]Entretien avec Jean-Louis Moncet sur le film Le Mans 66[/h1]

 

 

[h1]REVIEW LE MANS 66[/h1]

 

J'ai eu la chance de voir le film Le Mans 66 (ou Ford V Ferrari) début octobre en avant première, je vous dis ce que je pense de ce film avant sa sortie en salle le 13 novembre prochain.

 

 

Je n'ai encore eu l'occasion de voir le film Le Mans 66 mais j'ai pu visionner des extraits .

Les images proposées montrent un film intéressant pour un passionné.

La musique des STONES ( Gimmie Shelter ) me plait bien même si elle est de 1969 et non pas de 1966

 

Deux choses me dérangent ..

D'abord le choix des acteurs le fait que Christian Bale est un peu grand pour incarner Ken Miles ( grand par le talent mais pas vraiment par la taille ) et Matt Damon vraiment trop petit pour incarner le grand Carol Shelby dont la haute silhouette était impressionnante.

En fait c'est le fait qu'il paraissent avoir la même taille qui m'a perturbé un peu, mais c'est un détail je le reconnais .... et cela ne me dérange pas trop car les acteurs sont excellents et font (presque ) oublier ce détail..

 

En revanche, je suis étonné que tous ceux qui ont vu le film ( et parmi eux des spécialistes ) parlent de la qualité des voitures présentées ( ce qui est le cas surtout pour les FORD) sans évoquer le fait que les FERRARI sont en fait des 330 P 4 de 1967 et non des 330 P3 de 1966... mais déguisées avec les marquages "course " de 1966..

Certes ces deux voitures se ressemblent beaucoup ...plus que beaucoup même d'ailleurs certains des châssis des P 3 de 1966 ont été réutilisés pour créer les P 4 et 412 P de 1967.

Je pense que si la FERRARI P4 est mythique en revanche la FERRARI P3 l'est beaucoup moins ( et personne n'a reproduit de P 3 à l'échelle 1 et c'est sans doute cette raison qui cause cette absence car il est sans doute impossible de trouver des FERRARI P3 en configuration 1966 alors qu'il existe des vraies et des "fausses " P 4 pas beaucoup certes mais il en existe celle reconstruite par D Piper par exemple

 

Les différences marquantes(outre les différences mécaniques non visibles ) entre 330 P3 de 1966 et les 330 P 4 de 1967 se situent au niveau du capot AR de la vitre, des phares des roues etc

Les photos valent mieux qu'un long discours

 

Je suis étonné que personne ne l'ait remarqué !?!?

les FERRARI P3 DE 1966

http://collectorstudio.com/wp-​content/uploads/2019/06/410787​98.jpg

 

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les FERRARI P 4 DE 1967

 

s-l1600.jpg

 

 

 

 

LA VIDEO BANDE ANNONCE ...

 

 

Une VIDEO du mans 1966

 

 

 

 

Les photos on été empruntées afin d'illustrer mon propos

Voila voilou

Marcello

 

PS https://www.telerama.fr/cinema​/le-mans-66-pourquoi-les-films​-de-bagnoles-emballent-raremen​t-les-vrais-fans-de-vitesse,n6​515886.php

Message édité par marcello_lippi le 19/11/2019 à 15:48:40

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