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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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Suis revenu de vacances ce week-end. Voici quelques indices pour vous aider à trouver d'où je reviens

 

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Le dernier indice (Rougail saucisse) me fait penser à :

 

 

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Bien vu Nono :)

 

D'autres photos ce soir ou demain, si ça vous intéresse

 

 

Yes, j'aime bien, on voyage.

 

Trop d'avion pour moi, je me cantonne aux iles proches (je garde une p...ain de peur des voyages navionesques, trop de connaissance de ces bêtes là, top de lecture...).

 

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beau voyage et belles photos, ma fille a fait un stage de 3 mois à la Réunion avec son copain, ils ont pas mal fait de randonnées.

Pour ma part je n'ai vu que l’aéroport lors d'escales pour Mayotte ou j'ai séjourné un peu plus de 2 ans.

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beau voyage et belles photos, ma fille a fait un stage de 3 mois à la Réunion avec son copain, ils ont pas mal fait de randonnées.

Pour ma part je n'ai vu que l’aéroport lors d'escales pour Mayotte ou j'ai séjourné un peu plus de 2 ans.

 

 

 

Mayotte …..voyage prévu début 2020 avec une amie, sa fille habite la bas .

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Mayotte …..voyage prévu début 2020 avec une amie, sa fille habite la bas .

 

 

ahh super, j'y étais de 1994 à 1996, j'ai beaucoup aimé mon séjour, un beau lagon, j'ai vu des pontes et naissances de tortues, nagé avec des dauphins et approché une baleine et son baleineau. C'est plus une île africaine que la Réunion.

cela a beaucoup changer depuis beaucoup de voitures, une démographie galopante pour une petite superficie 374 km² mais en connaissant quelqu'un sur place tu auras toutes les infos fraîches possibles.

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Un super voyage, de super paysages et de non moins superbes photos que tu nous montres là. :love:

Ca donne envie.

Une bonne manière de changer d'air....

 

Vous avez dû bien en profiter.

Merci pour le partage. :jap:

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Et on termine ce très rapide panoramique par le piton Maïdo qui surplombe le cirque de Mafate

 

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Superbe voyage :love: :love:

 

J'ai eu la chance d'y aller aussi................. la descente pour aller au volcan est vraiment impressionnante..... Caroline fermait les yeux dans les virages slimfat.gif.e1a1af5ca1cf071dc578269cc6d5ddca.gif

sinon les petites routes sont vraiment sympa 347323387_zelosangiste.gif.88dccde8b67637715bf30c05b52f418c.gif

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Très belles photos !

Ça me donne envie d'y retourner, mon premier voyage là bas, où nous devions randonner pendant 10 jours, avait été largement perturbé par un cyclone, qui nous avait fait 'fuir' vers l'île Maurice :) .

Sinon au niveau des routes, j'ai trouvé encore plus escarpé lors de notre récent séjour à Madère, j'ai fait des kilomètres et des kilomètres en... 1ère vitesse, avec une Citroën C3 de location, certes asthmatique urton212516.gif.10bbbd6f930584a11d0d3994c060a8a5.gif !

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Point de 24 H pour moi cette année parce que le plateau ne me passionnait pas plus que ça malgré une victoire attendue de Toyota

Et de plus, le fiston nous avait offert 2 places pour la finale du Top 14

 

 

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Une journée torride, un stade plein, 2 belles équipes, un beau match et surtout une ambiance magique !

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De manque ?

En lisant les commentaires sur différents forums, je me dis que j'ai bien fait de faire l'impasse.

Il y a bien le vendredi à partager avec les potes et l'apéro-rillettes du parking blanc le samedi midi :ange: ...

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HUGUES Sympa tes photos mais au moment de la prise de vue arrange toi pour avoir le N° de la voiture ou alors indique quelle voitures c’est.D'accord c-est une Porsche mais quelle N°

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HUGUES Sympa tes photos mais au moment de la prise de vue arrange toi pour avoir le N° de la voiture ou alors indique quelle voitures c’est.D'accord c-est une Porsche mais quelle N°

 

Facile à reconnaître celle-là pourtant : la project one avait une déco "Art Car".

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En 1981, c'est un fameux come-back que nous offre la Porsche 917 K-81. K comme Kremer, et non plus K pour Kurz. Parrainée par Malardeau et BP, pilotée par Xavier Lapeyre, le solide Guy Chasseuil et le très rapide Bob Wollek, cette ressurection est née par la volonté d'Erwin Kremer, tombé en arrêt devant l'ancienne voiture de Pedro Rodriguez au Motor Museum des Midlands.

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Au temps de leur splendeur, les 917 s'étaient toujours montrées les plus rapides de leur génération. Qu'en serait-il d'une 917 new look, version 1981 ? Relativement sobre, surtout si on le compare aux 6 cylindres gloutons des 935 maison, le flat 12 version 4,9 litres peut donc offrir un bon compromis puissance/consommation. Restait quand même à obtenir le feu vert et l'appui de la maison mère, ce qui fut obtenu sans grande difficulté. Cette aide fut quand même limitée à la préparation et location de 2 moteurs et d'une seule boîte (type Canam), ainsi qu'à la fourniture d'une copie des plans d'origine. A partir de ces données, les frères Kremer se mettent au travail, s'attachant à renforcer la structure en fonction de l'adhérence remarquable des pneumatiques modernes.

Présentée au Nürburgring dans la dernière semaine du mois de mai, cette 917 du renouveau, autant par manque de temps que par soucis d'économie, arrive au Mans quasiment vierge de tout roulage. Nous n'avons pas l'habitude de fatiguer nos voitures avant une course, fanfaronnent les frères Kremer. Soit, mais l'aveu ressemble plus à une excuse qu'à une explication.

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Aux essais, régulièrement distancée sur les Hunaudières par les Ferrari BB, notre 917 pose soucis. Allumage ? Mauvaise alimentation en air ? Toutes les ouvertures pratiquées autour du compartiment moteur n'apportent guère d'amélioration et au lieu des 3'30" programmées par l'ordinateur, la belle jaune se contente d'un modeste 3'46"54. Et tous les travaux effectués le vendredi se révèleront aussi superflus qu'inefficaces. Bob Wollek déclare Il fallait trouver le meilleur calage aérodynamique pour obtenir la plus grande vitesse possible dans la longue ligne droite des Hunaudières. Notre fin de séance a été contrariée en outre par des ennuis de moteur. Tous les cylindres ne donnaient plus la pleine mesure de leur puissance. Heureusement, Bob fait le spectacle et impressionne le public par ses freinages tardifs au niveau de Mulsanne ou il aborde le virage à la façon d’un rallyman.

 

 

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L'équipe Kremer va quand même connaitre un moment de gloire durant la 3° heure de course grâce à la K3 de Field-Whittington qui pointe en tête. En 9° position, notre 917 est bien à la peine et 9 tours séparent alors les deux équipages qui l'un comme l'autre, vont connaître leur lot d'infortunes. Si la 935 va abandonner vers 19 H, la 917, dont l'autonomie devait constituer le principal atout, s'offre une panne sèche, obligeant Chasseuil à ramener la voiture à la poussette. Lapeyre n’est pas prêt et Bob Wollek anéanti par la mort de son ami Lafosse refuse de le remplacer au volant. Le ton monte. Chasseuil repart alors pour 2 boucles le temps que Lapeyre se prépare. De retour au stand, Chasseuil victime de la chaleur dans l’habitable et épuisé par la poussette perdra connaissance. Lapeyre reprend le volant en 20° position.

 

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A 19 H 54, le ton monte une nouvelle fois à l’intérieur du stand et pour Bob Wollek qui doit prendre le volant, la coupe est pleine. A vingt heures, j’en ai eu assez. J’ai décidé d’arrêter la course. J’étais prêt à prendre le maximum de risques calculés… mais je n’avais pas envie de mourir au volant pour rien. Depuis le départ, j’avais un pressentiment funeste. Durant les premières heures, j’ai essayé d’écarter cette image. La mort de mon ami Jean-Louis Lafosse avec lequel j’avais débuté en 1968, l’a fait rejaillir dans mon esprit. Mais ce n’est pas seulement cette inquiétude qui fut à l’origine de mon renoncement. La voiture marchait mal. Théoriquement, elle aurait du avoir deux points forts : sa vitesse de pointe et sa faible consommation d’essence. En fait, elle roulait à 50 km/h moins vite que les 936 et brûlait deux fois plus de carburant et puis notre équipage n’était pas homogène. Chasseuil et Lapeyre ne sont pas des professionnels à ce niveau. Ils ne roulaient pas assez vite et ne comprenaient pas assez la course. Je ne voulais pas prendre de risques pour eux. Au moment où je suis parti, nous étions 23ème ou 24ème. Cette place ne m’intéresse pas. C’est la première fois que j’ai eu cette réaction de renoncement. Elle m’a fait mal au cœur pour l’équipe qui m’entoure. Mais à 37 ans, je n’ai plus envie de mourir en course.déclarera t'il plus tard.

 

Peu après 21 H, revenu en 14° position, Xavier Lapeyre va fausser la partie arrière du châssis dans les virages Ford, après avoir été gêné par une 935. Conséquence directe du choc, suite à une fuite d'huile, le moteur ne tiendra plus qu'une heure. Triste épilogue pour une belle histoire.

Miniature Spark

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En 1981, c'est un fameux come-back que nous offre la Porsche 917 K-81. K comme Kremer, et non plus K pour Kurz. Parrainée par Malardeau et BP, pilotée par Xavier Lapeyre, le solide Guy Chasseuil et le très rapide Bob Wollek, cette ressurection est née par la volonté d'Erwin Kremer, tombé en arrêt devant l'ancienne voiture de Pedro Rodriguez au Motor Museum des Midlands.

https://i33.servimg.com/u/f33/ [...] g_8712.jpg

Au temps de leur splendeur, les 917 s'étaient toujours montrées les plus rapides de leur génération. Qu'en serait-il d'une 917 new look, version 1981 ? Relativement sobre, surtout si on le compare aux 6 cylindres gloutons des 935 maison, le flat 12 version 4,9 litres peut donc offrir un bon compromis puissance/consommation. Restait quand même à obtenir le feu vert et l'appui de la maison mère, ce qui fut obtenu sans grande difficulté. Cette aide fut quand même limitée à la préparation et location de 2 moteurs et d'une seule boîte (type Canam), ainsi qu'à la fourniture d'une copie des plans d'origine. A partir de ces données, les frères Kremer se mettent au travail, s'attachant à renforcer la structure en fonction de l'adhérence remarquable des pneumatiques modernes.

Présentée au Nürburgring dans la dernière semaine du mois de mai, cette 917 du renouveau, autant par manque de temps que par soucis d'économie, arrive au Mans quasiment vierge de tout roulage. Nous n'avons pas l'habitude de fatiguer nos voitures avant une course, fanfaronnent les frères Kremer. Soit, mais l'aveu ressemble plus à une excuse qu'à une explication.

https://i33.servimg.com/u/f33/ [...] g_8711.jpg

Aux essais, régulièrement distancée sur les Hunaudières par les Ferrari BB, notre 917 pose soucis. Allumage ? Mauvaise alimentation en air ? Toutes les ouvertures pratiquées autour du compartiment moteur n'apportent guère d'amélioration et au lieu des 3'30" programmées par l'ordinateur, la belle jaune se contente d'un modeste 3'46"54. Et tous les travaux effectués le vendredi se révèleront aussi superflus qu'inefficaces. Bob Wollek déclare Il fallait trouver le meilleur calage aérodynamique pour obtenir la plus grande vitesse possible dans la longue ligne droite des Hunaudières. Notre fin de séance a été contrariée en outre par des ennuis de moteur. Tous les cylindres ne donnaient plus la pleine mesure de leur puissance. Heureusement, Bob fait le spectacle et impressionne le public par ses freinages tardifs au niveau de Mulsanne ou il aborde le virage à la façon d’un rallyman.

 

 

https://i33.servimg.com/u/f33/ [...] g_8714.jpg

L'équipe Kremer va quand même connaitre un moment de gloire durant la 3° heure de course grâce à la K3 de Field-Whittington qui pointe en tête. En 9° position, notre 917 est bien à la peine et 9 tours séparent alors les deux équipages qui l'un comme l'autre, vont connaître leur lot d'infortunes. Si la 935 va abandonner vers 19 H, la 917, dont l'autonomie devait constituer le principal atout, s'offre une panne sèche, obligeant Chasseuil à ramener la voiture à la poussette. Lapeyre n’est pas prêt et Bob Wollek anéanti par la mort de son ami Lafosse refuse de le remplacer au volant. Le ton monte. Chasseuil repart alors pour 2 boucles le temps que Lapeyre se prépare. De retour au stand, Chasseuil victime de la chaleur dans l’habitable et épuisé par la poussette perdra connaissance. Lapeyre reprend le volant en 20° position.

 

https://i33.servimg.com/u/f33/ [...] g_8713.jpg

 

A 19 H 54, le ton monte une nouvelle fois à l’intérieur du stand et pour Bob Wollek qui doit prendre le volant, la coupe est pleine. A vingt heures, j’en ai eu assez. J’ai décidé d’arrêter la course. J’étais prêt à prendre le maximum de risques calculés… mais je n’avais pas envie de mourir au volant pour rien. Depuis le départ, j’avais un pressentiment funeste. Durant les premières heures, j’ai essayé d’écarter cette image. La mort de mon ami Jean-Louis Lafosse avec lequel j’avais débuté en 1968, l’a fait rejaillir dans mon esprit. Mais ce n’est pas seulement cette inquiétude qui fut à l’origine de mon renoncement. La voiture marchait mal. Théoriquement, elle aurait du avoir deux points forts : sa vitesse de pointe et sa faible consommation d’essence. En fait, elle roulait à 50 km/h moins vite que les 936 et brûlait deux fois plus de carburant et puis notre équipage n’était pas homogène. Chasseuil et Lapeyre ne sont pas des professionnels à ce niveau. Ils ne roulaient pas assez vite et ne comprenaient pas assez la course. Je ne voulais pas prendre de risques pour eux. Au moment où je suis parti, nous étions 23ème ou 24ème. Cette place ne m’intéresse pas. C’est la première fois que j’ai eu cette réaction de renoncement. Elle m’a fait mal au cœur pour l’équipe qui m’entoure. Mais à 37 ans, je n’ai plus envie de mourir en course.déclarera t'il plus tard.

 

Peu après 21 H, revenu en 14° position, Xavier Lapeyre va fausser la partie arrière du châssis dans les virages Ford, après avoir été gêné par une 935. Conséquence directe du choc, suite à une fuite d'huile, le moteur ne tiendra plus qu'une heure. Triste épilogue pour une belle histoire.

Miniature Spark

 

Bravo, photos impeccables et commentaires très instructifs ! On comprend mieux pourquoi ce projet alléchant a tourné au fiasco...

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En 2016, désireux de récupérer un trophée abandonné à Porsche l'an passé, Audi a missionné son directeur technique Jörg Zander pour superviser l'élaboration d'une voiture à même de lui offrir une 14° victoire aux 24 heures du Mans. La R18, c'est son nom,ne partage plus rien avec sa devancière, hormis le V6 turbo diesel de 4,0 litres de cylindrée.

 

Dotée d'une aérodynamique pour le moins radicale faisant la part belle aux flux aérodynamiques internes, elle adopte une toute nouvelle unité de stockage d'énergie. Adieu l'antique volant à inertie, place à la batterie lithium-ion. De quoi inscrire la R18 dans la classe d'ERS permettant de restituer 6 MJ d'énergie électrique par tour, soit 50% de plus que l'an passé ! Si le règlement autorise l'adoption de 2 moteurs électriques, la LMP 1 frappée des 4 anneaux n'en compte qu'un seul, essentiellement pour une question de poids. Celui-ci, qui récupère l'énergie cinétique lors des phases de freinage, est relié à l'essieu avant.

 

 

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Tout comme Porsche, décision commune prises par les 2 marques du groupe VW, 2 voitures sont alignées, contre 3 lors des 9 dernières éditions. Notre #7 est confiée à un efficace et solide équipage composé de Marcel Fässler, André Lotterer et Benoit Tréluyer.

Si Audi signe le meilleur temps de la journée Test, rien n'a pourtant été simple pour les voitures d'Ingolstadt, qui a vu notre #7 longuement immobilisée par une panne du système d'interconnexion des suspensions avant et arrière. Au final, les 3 constructeurs ne sont séparés que par 1"822.

 

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Si en ce mois de juin 2016, Reinhold Joest fête sa 45° participation aux 24 Heures, dont 9 en tant que pilote, c'est toute l'équipe Audi qui semble dubitative devant les soucis rencontrés lors des essais. Aux multiples petits pépins mécaniques, se dessine une fragilité inquiétante, ponctuée par une grosse sortie de la #8. Et comme en 2014, voilà les R18 rejetées en 3° ligne, derrière Porsche et Toyota. Notre #7, la plus rapide en 3'22"780, a concédé plus de 3 seconde au pole-man. C'est beaucoup.

Après un départ interminable sur piste humide, notre #7 est la première LM P1 à monter des slicks. Elle se retrouve rapidement au commandement de la course dès le 13° tour. Hélas, à 16 H 19, Lotterer revient à son stand en se plaignant d'une perte de puissance. Un changement de turbo s'impose. Il va durer 20 minutes et rejeter notre R18 à l'avant-dernière place du général. Même s'il reste 22 heures de course, on voit mal comment elle pourra à la régulière reprendre les 5 tours concédés.

 

 

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Après avoir perdu 5 autres minutes suite à une défaillance de l'éclairage des plaques latérales, notre Audi se retrouve à 7 tours des leaders à 23 heures. Puis, signalée à l'arrêt au Tertre Rouge à 2 H 51, elle repart 2 minutes plus tard et va mettre plus de 12 minutes pour rejoindre son stand. Curieusement, elle y reste moins de 2 minutes et très vite, André reprend un rythme soutenu. Mais cette alerte ajoute un nouveau déficit à notre #7 qui pointe à la 6° place mais à 11 tours de la Toyota de tête.Comme rien ne tourne rond pour Audi, notre R18 va rester dans son stand de7 H 31 à 7 H 35 pour y revenir à 9 H 15. Au changement des capots, s'ajoute un important travail sur le train avant. Une autre séance de sur-place peu avant midi va creuser un peu plus l'écart. Elle terminera finalement à la 4° place, après le déclassement de la Toyota #5.

 

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Je trouve cette R18 absolument fascinante. Elle n'est pas très belle, mais arrive cependant à devenir envoûtante. J'adore la monstrusité de ses lignes. Et à ce jour, elle est la dernière Audi à avoir couru.

Modèle Spark.

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Sympa cette 917 Hugues, d'autant qu'elle n'est plus très fcule à trouver en version LM il me semble ;) .

Effectivement on aurait souhaité que le projet soit mieux ficelé, dommage.

Ça permet aussi de vérifier que Wollek ne devait pas être facile à vivre tous les jours, il avait ses exigences ...

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plus très facile à trouver en version LM

 

 

Ah ça ! Voilà bien longtemps que je la cherchais. J'ai mis la main dessus à Coulaines pour 65 € après un prix de départ à 80.

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