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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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Messages recommandés

des présentations toujours bien détaillées en plus des photos. Je n'ai ni la Porsche 917 ni la R18. Je crois que cette dernière est annoncée en réédition ainsi que la gagnante de 2014 que j'avais laissé passer...

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:hello: Hugues,

Ca fait un moment que tu ne nous avais présenté une minia.

Pour ton retour, tu frappes fort avec ces 2 modèles qui trônent également chez moi.

Je n'ai jamais réussi à trouver la 917 en Spark. La mienne est donc une PM dont je me contente parfaitement.

Il est vrai que le Bob était entier. Quand il considérait que ses coéquipiers n'étaient pas à la hauteur, il ne se gênait pas pour le dire.

C'était un compétiteur et ça ne l’intéressait pas du tout de se battre en fond de classement.

La 917 n'a pas eu les performances que tout le monde attendait. Il a fait le mauvais choix avec Kremer...

Pour ce qui est de la R18, je m'étais juré de n'avoir que les Audi winneuses, tellement on avait trop vu la marque aux anneaux.

Mais j'ai craqué pour cette voiture au look de camion si particulier, pour son équipage et aussi parce que c'était la dernière d'une (trop) longue série....

Deux présentations très complètes.

Je ne peux que plussoyer quant à tes nouvelles acquisitions...

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Deux très belles voitures qui sont également dans mes vitrines :)

 

La 917 pour son look et pour Bob Wollek et c'est la seule 917 que j'ai vu tourner en condition de course (hors course historique actuelle) ...

 

La R18 comme vous, j'ai bien aimé son look de Panzer et ça marque la fin d'une époque ...

 

Et merci pour ta superbe présentation :)

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Deux présentations très complètes.

 

Merci de cette gentille analyse Philippe :jap:

 

Deux très belles voitures qui sont également dans mes vitrines

 

On a tous craqué pour cette R18 complètement folle, on dirait. Merci de ton passage Jérôme :jap:

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En 1984, aucune Rondeau officielle n'est engagée, et l'on compte seulement 4 voitures contre 7 en 1983. Cependant, une M 482 est ressorti du garage grâce à Jean Rondeau qui a convaincu, lors de visites aux USA, Jim Muellen, vainqueur de Sebring 83, et Walt Bohren, un vétéran fort de 2 titres en IMSA.

 

 

1984_311.jpg

 

Encore sous le coup de l'épidémie moteur de l'an passé, Jean Rondeau, après avoir entrevu la possibilité d'installer un V8 Chevrolet, a finalement conseillé l'utilisation d'un Ford 3,3 litres aux deux pilotes US, tout en leur offrant un partenaire de luxe, le français Alain Ferté, chômeur jusqu'au week-end précédant la course.

 

1984_312.jpg

 

Très jolie avec ses deux tons de bleu, cette M 4872 châssis 001 a aussi été modifiée au niveau du plan inférieurs et des extracteurs d'air afin de réduire l'effet de sol. La boîte de vitesses a été dégagée et les dérives de l'aileron arrière sont plus importantes que par le passé. Après Dunlop en 82 et Michelin en 83, Rondeau et ses nouveaux clients font confiance à Good Year. Le sponsor et propriétaire de l'engagement se nomme Mc Cormack et Dodge, une société de progiciels financiers et de gestion installée en France depuis 18 mois.

 

1984_310.jpg

 

Dans la famille Ferté, avantage à Alain qui, sans atteindre le temps réalisé en 83 par Thierry Boutsen, bat son cadet Michel sur la Porsche 962 #61 de 14 secondes. En 3'41"98, notre Rondeau part de la 12° ligne.

La M 482 n'a pas perdu au change en troquant son Cosworth 3,9 litres pour un plus modeste 3,3 litres. Pendant les 3 premières heures de cours, le seul exemplaire de la dernière née des ateliers Rondeau évolue autour de la 20° place mais reste malgré tout dominée par la M 382 de Yver-de Dryver-Rousselot.

A 23 H 25, après avoir travaillé plus de 20 minutes sur la voiture, les mécaniciens du team Mc Cormack et Dodge font le point. C'est la première des Rondeau et des voitures à moteur Cosworth qui est actuellement en jeu.

 

1984_313.jpg

 

Le petit matin vient sonner son heure de gloire. La seule M 482 occupe une surprenante 7° place à 14 tours de la Lancia de Wollek-Nannini toujours en tête. A 9 H 04, une première alerte avec le démarreur ne suffit pas à altérer la bonne marche de notre Rondeau. Mais depuis 11 H 30, c'est le moteur qui pose problème. Aucun tour couvert pendant la 22° heure, et un rythme d'une seule en 60 minutes pour chaque heure suivante, on ne se fait plus d'illusion au stand de la #37. Elle sera finalement classée 13°, soit 2 rangs derrière la M 379 de Grand-Libert-Witmeur.

 

1984_314.jpg

 

Modèle Bizarre

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Oui une jolie déco pour cette voiture.

 

La M482, avec une aéro tarabiscotée n'a jamais eu les résultats de ses "prédécesseuses".

Joli modèle mais perso, je n'ai chez moi que des Rondeau "usine", dont une qui vient de chez toi.

Présentation nickel, comme d'hab.

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J'ai également cette Rondeau qui fait un peu vilain petit canard, mais bon c'est une Rondeau. Le panzer, j'ai pas encore, à voir et la 917, j'avais trouvé un kit monté sur la baie, il y a quelques années, pas cher et plutôt très bien monté.............Sympa en tous cas de relire ces historiques...

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J'ai également cette Rondeau qui fait un peu vilain petit canard

La M482, avec une aéro tarabiscotée

 

Mais je vous en prie. Figurez vous que la M 482 n'est pas moche, elle n'a pas un physique facile. C'est différent :)

 

Une des plus belle déco à mes yeux sur cette Rondeau.

 

Bien d'accord avec toi, Ben. J'aime beaucoup cette harmonie de bleu

Sympa en tous cas de relire ces historiques.

 

Merci Antho

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En 1996, c'est le retourd'un concurrent qui tente de développer une GT 100% japonaise. Une voiture basée autour d'une cellule de Toyota MR2 et du moteur V8 de la Lexus du même constructeur. Un travail mené à bien par monsieur Shin Kato, le premier à avoir osé engager une voiture japonaise au Mans. C'était en 1973 et la Sigma avait abandonné à la mi-course. On retrouve d'ailleurs le S de Sigma dans SARD (Sigma Automotive Research and Development).

 

 

1996_410.jpg

 

 

La SARD n'étant pas admise dans le championnat GT nippon, son programme annuel se limite au Mans et aux 1000 kms de Suzuka. Une fois encore, Alain Ferté est l'homme de base de ce team aux moyens limités. Il a débuté au Mans en 1983 sur Rondeau avec son frère Michel et Jean Rondeau. Il navigue chez Brun en 86, Nissan en 87, Jaguar en 89 (record du tour) et 90, Sauber en 90 et 91, Peugeot en 92, Courage en 94 (pôle-position) avant d'atterrir chez SARD l'an dernier. Beaucoup d'expérience pour peu de résultat. Malgré cette variété dans les participations, il n'a jamais conduit avec Pascal Fabre ou Mauro Martini.

 

 

1996_411.jpg

 

La nouvelle SARD MC-8R a été allégée d'environ 200 kilos. Des différences également au niveau des épures de suspensions AV/AR, du système de refroidissement avec l'apparition d'un échangeur eau/huile pour la lubrification du moteur. De son côté l'échangeur air/air est plus compact. Si la cylindrée est inchangée, de nouvelles brides et une diminution de la pression de suralimentation ont entraîné une perte de puissance. La bâche à huile est placée entre le moteur et la boîte, cette dernière étant une March à 5 rapports à la place d'une Hewland.

 

1996_413.jpg

 

 

Les débuts sont pénibles, voire franchement difficiles pour notre SARD qui, en 4 heures et demie d'essais n'a bouclé que 7 petits tours. Explication à ce contretemps, un V8 Toyota défaillant dont la casse a même entraîné un début d'incendie. Remise en état le jeudi, les nécessités du rodage ne permettent pas à Alain Ferté d'améliorer son temps de la veille, mais au moins Mauro Martini et Pascal Fabre prennent le temps de se qualifier. En 4'09"353, la SARD part de la 18° ligne.

Partie du 36° rang, si notre SARD grignote quelques places en ce début de course, elle le doit autant à sa régularité qu'aux malheurs d'autrui. La belle série va se poursuivre jusqu'à la nuit où la belle japonaise aux couleurs italiennes connaîtra son lot de désillusions.

 

Entre les tout droits, changement de boîte, de capot arrière, des ailerons et des soucis de surchauffe moteur, notre SARD traverse cependant la nuit mancelle pour se retrouver à 8 H du matin à l'avant-dernière place du général. Place qu'elle conservera fièrement jusqu'au drapeau à damiers. Mais l'essentiel était de terminer !

 

1996_412.jpg

 

Modèle Spark.

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La Rondeau j'adore :love: très belles couleurs pour des lignes originales et elle m'avait "tapée" dans l’œil sur la piste ... elle est bien sur dans mes vitrines.

 

Pour la Sard et sa ligne "pataude" je lui est préféré sa petite sœur de 1995 ... parce-qu’elle est sortie avant chez mon revendeur ;)

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Modèle original que cette SARD, mais pourquoi est-elle peinte aux couleurs du drapeau italien ? :??:

 

 

C'est les couleurs du laboratoire pharmaceutique Menicon qui sponsorise la voiture.

 

L'autre Sard de 1995 est plus aux couleurs japonaises.

 

Sinon Hugues, bel enchainement de deux voitures conduites par Alain Ferté ;)

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Encore un modèle sympa que tu nous présentes là mais qui ne me branche pas plus que ça, surtout avec ces couleurs.

Mais bon, encore une histoire bien relatée, avec son lot de problèmes et de fait de course. Et comme c'est une nippone, normal qu'elle finisse chez toi.

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Le 5 juillet, le chef du personnel me demande dans son bureau. J'y retrouve le directeur de l'usine. Les 2 me tombent dessus, me reprochant des faits qui font le quotidien de la vie d'une entreprise et surtout me font part d'un évènement inadmissible. Wah. Je questionne pour savoir de quoi ils parlent, vu que je tombe un peu de l'armoire. Pas de réponse sinon un laconique Vous devez bien le savoir. Ben non, si je pose la question....

Bon, je ne m'inquiète pas trop jusqu'au moment où le DRH me tend un courrier avec une convocation à un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu'au licenciement. Ah bah merde alors, je l'avais pas vu venir celle-là...

Le 12 Juillet, je vais à l'entretien, accompagné d'un camarade. L'élément inadmissible est en fait un pétard mouillé, une conversation un peu houleuse avec le responsable ADV, mais ils me reprochent sur ce non-évènement, le fait que nous n'avons pas su, elle et moi, trouver un terrain d'entente. Mais alors, pourquoi diable n'est-elle pas convoquée, elle aussi ? Ben comme c'est elle qui en a parlé la première à sa hiérarchie, ça me retombe sur le dos. Un peu à court d'argument les garennes.

Et puis arrivent plein d'évènements, la mauvaise gestion de l'équipe, des stocks...tout y passe. Le véritable reproche tourne autour du même thème, mon état d'esprit jugé restrictif et négatif, indigne de mon statut de cadre.

Nous nous revoyons le 5 août et là boum, la chasse aux sorcières continue. Passivité à gérer les situations, manque de communication, et toujours, mise en avant de mon comportement assimilé à un manque d'ardeur qui de fait, alimente encore plus cet esprit négatif. Du coup, ils ne me jugent pas capables de remplir à bien mes fonctions. Et de me reprocher plein de choses plus ou moins vraies. C'est bien simple, j'aurais pu faire n'importe quoi, ça n'aurait pas été assez. Et à la question, croyez-vous que ce serait mieux sans moi, la réponse a été non, on a pas dit ça.

Bref, je pars quand même en vacances vu qu'ils doivent me donner une sanction au plus tard le 12 septembre. Et quand je rentre de vacances, samedi 24, je vois bien un avis de passage pour une LRAR. J'irais la chercher lundi ou mardi me dis-je. Je vais donc bosser ce matin et vers 8 H, je vois le directeur qui me dit Que faites vous ici ? N'avez-vous pas reçu la recommandée. Et là paf, je comprend. Il me précise en effet que je suis licencié, que je dois faire mon préavis payé chez moi, licencié pour cause réelle et sérieuse dit le courrier, axé sur les faits reprochés.

Bon. Va falloir retrouver du taf à 58 ans. Pas gagné...

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désolé pour toi , quant on veut se débarrasser de son chien on dit qu'il a la rage

 

j'ai connu le même type de galère et bien que j'ai décroché depuis de nombreuses années je suis étonné par le licenciement sec

 

perso je passerais par les prud'homme même si ce n'est jamais gagné , il y a surement , même maintenant , des procédures à respecter

j'ai eu la chance il y a une quinzaine d'années à 57 et demie de bénéficier d'une pré-retraite , mais ils ne doivent plus s'embêter avec de telles procédures

 

bon courage à toi et tiens nous informés ;) ;) ;) ;)

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quand on veut se débarrasser de son chien on dit qu'il a la rage

 

Salut Roland et merci pour ton soutien. Oui, cette phrase résume tout à fait le ressenti que j'ai eu. Pour la pré-retraite, ça n'existe plus, mais les prudhommes oui, je vais y aller, c'est certain.

Il marche bien le compresseur ?

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Le 5 juillet, le chef du personnel me demande dans son bureau. J'y retrouve le directeur de l'usine. Les 2 me tombent dessus, me reprochant des faits qui font le quotidien de la vie d'une entreprise et surtout me font part d'un évènement inadmissible. Wah. Je questionne pour savoir de quoi ils parlent, vu que je tombe un peu de l'armoire. Pas de réponse sinon un laconique Vous devez bien le savoir. Ben non, si je pose la question....

Bon, je ne m'inquiète pas trop jusqu'au moment où le DRH me tend un courrier avec une convocation à un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu'au licenciement. Ah bah merde alors, je l'avais pas vu venir celle-là...

Le 12 Juillet, je vais à l'entretien, accompagné d'un camarade. L'élément inadmissible est en fait un pétard mouillé, une conversation un peu houleuse avec le responsable ADV, mais ils me reprochent sur ce non-évènement, le fait que nous n'avons pas su, elle et moi, trouver un terrain d'entente. Mais alors, pourquoi diable n'est-elle pas convoquée, elle aussi ? Ben comme c'est elle qui en a parlé la première à sa hiérarchie, ça me retombe sur le dos. Un peu à court d'argument les garennes.

Et puis arrivent plein d'évènements, la mauvaise gestion de l'équipe, des stocks...tout y passe. Le véritable reproche tourne autour du même thème, mon état d'esprit jugé restrictif et négatif, indigne de mon statut de cadre.

Nous nous revoyons le 5 août et là boum, la chasse aux sorcières continue. Passivité à gérer les situations, manque de communication, et toujours, mise en avant de mon comportement assimilé à un manque d'ardeur qui de fait, alimente encore plus cet esprit négatif. Du coup, ils ne me jugent pas capables de remplir à bien mes fonctions. Et de me reprocher plein de choses plus ou moins vraies. C'est bien simple, j'aurais pu faire n'importe quoi, ça n'aurait pas été assez. Et à la question, croyez-vous que ce serait mieux sans moi, la réponse a été non, on a pas dit ça.

Bref, je pars quand même en vacances vu qu'ils doivent me donner une sanction au plus tard le 12 septembre. Et quand je rentre de vacances, samedi 24, je vois bien un avis de passage pour une LRAR. J'irais la chercher lundi ou mardi me dis-je. Je vais donc bosser ce matin et vers 8 H, je vois le directeur qui me dit Que faites vous ici ? N'avez-vous pas reçu la recommandée. Et là paf, je comprend. Il me précise en effet que je suis licencié, que je dois faire mon préavis payé chez moi, licencié pour cause réelle et sérieuse dit le courrier, axé sur les faits reprochés.

Bon. Va falloir retrouver du taf à 58 ans. Pas gagné...

 

 

Désolé pour toi.

Bon courage pour la suite.

Demande a Pascal il connait bien la situation.

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Wouah ... dur comme retour de vacances ... :pfff:

 

 

C'est comme chez nous : à un certain âge les salaires et les avantages des "anciens" (pourtant pas gros ...) déranges et ils préferent embaucher un jeune par cher payé et malléable à la place ... :non:

 

Courage dans ces moments difficiles et il ne faut rien lâcher et se battre !

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Invité §phi062VV

Vraiment désolé pour toi Hugues.

C'est dingue ce qu'ils peuvent trouver comme motifs pourris quand ils veulent se débarrasser de quelqu'un à tout prix... lamentable ! :pfff: :pfff:

 

Bon courage, on est tous avec toi. ;)

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Il marche bien le compresseur ?

 

 

pour être totalement honnête il est au pied de mon établi , je l'ai équipé d'un raccord pour aller avec le gonflage des pneus

 

mais il n'a pas encore servi , mais il servira :lol: :lol: :lol: :lol:

un beau compresseur comme ça :love: :love: :love:

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Bon, je ne m'inquiète pas trop jusqu'au moment où le DRH me tend un courrier avec une convocation à un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu'au licenciement. Ah bah merde alors, je l'avais pas vu venir celle-là...

Le 12 Juillet, je vais à l'entretien, accompagné d'un camarade. L'élément inadmissible est en fait un pétard mouillé, une conversation un peu houleuse avec le responsable ADV, mais ils me reprochent sur ce non-évènement, le fait que nous n'avons pas su, elle et moi, trouver un terrain d'entente. Mais alors, pourquoi diable n'est-elle pas convoquée, elle aussi ? Ben comme c'est elle qui en a parlé la première à sa hiérarchie, ça me retombe sur le dos. Un peu à court d'argument les garennes.

Et puis arrivent plein d'évènements, la mauvaise gestion de l'équipe, des stocks...tout y passe. Le véritable reproche tourne autour du même thème, mon état d'esprit jugé restrictif et négatif, indigne de mon statut de cadre.

Nous nous revoyons le 5 août et là boum, la chasse aux sorcières continue. Passivité à gérer les situations, manque de communication, et toujours, mise en avant de mon comportement assimilé à un manque d'ardeur qui de fait, alimente encore plus cet esprit négatif. Du coup, ils ne me jugent pas capables de remplir à bien mes fonctions. Et de me reprocher plein de choses plus ou moins vraies. C'est bien simple, j'aurais pu faire n'importe quoi, ça n'aurait pas été assez. Et à la question, croyez-vous que ce serait mieux sans moi, la réponse a été non, on a pas dit ça.

Bref, je pars quand même en vacances vu qu'ils doivent me donner une sanction au plus tard le 12 septembre. Et quand je rentre de vacances, samedi 24, je vois bien un avis de passage pour une LRAR. J'irais la chercher lundi ou mardi me dis-je. Je vais donc bosser ce matin et vers 8 H, je vois le directeur qui me dit Que faites vous ici ? N'avez-vous pas reçu la recommandée. Et là paf, je comprend. Il me précise en effet que je suis licencié, que je dois faire mon préavis payé chez moi, licencié pour cause réelle et sérieuse dit le courrier, axé sur les faits reprochés.

Bon. Va falloir retrouver du taf à 58 ans. Pas gagné...

Vraiment désolé pour toi . Je trouve qu'on vit une drôle d'époque :pfff:

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1614538995_325td.gif.6e91fa909d9813b1100e28fc29770553.gif Hugues,

 

Ahhhhhhhhh bas merde alors !!!! Courage à toi j'ai failli connaitre cette situation quand je travaillais chez "bibendum" mais jai eu la chance de partir au moment ou j'étais dans le colimateur ….mais c'était en 1988 ….une autre époque !! on traversait la route et trouvait du boulot et surtout j'avais 30 ans :ange:

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Je préfère quand tu nous présente une miniature

 

Pour le moment, j'ai plutôt envie de les revendre mes miniatures :non:

on traversait la route et trouvait du boulot et surtout j'avais 30 ans

 

Belle époque en effet, mais ce temps est hélas révolu

 

à un certain âge les salaires et les avantages des "anciens" (pourtant pas gros ...) dérangent et ils préfèrent embaucher un jeune par cher payé et malléable à la place

 

D'autant plus vrai qu'on a été racheté il y a un peu plus de 2 ans et vu que les résultats ne sont pas à la hauteur attendue et que je faisais partie de l'ancienne équipe...Il faut bien que quelqu'un paye...

 

 

Merci à vous tous les amis, ça me réchauffe un peu beaucoup de lire votre soutien :)

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:non:

P...ain, le monde de l'entreprise, vache ça fout les boules ton histoire.

 

Ils profitent de n'importe quoi pour te licencier et éviter les indemnités... p...ain, ne lache rien, c'est à eux de prouver les trucs, un comportement, une vision du travail, une prise de bec avec un autre cadre n'a jamais été une faute grave bor...el!

 

Oui parle-s-en à Pascal, il te sera de bon conseil.

 

Tu as le soutien des copains.

 

Comme on te connait, on n'imaginait pas ça, vraiment.

 

JP

 

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Hugues te laisse pas faire voit avec les prud'hommes,le respect des gens c'est fini,il est loin le temps ou Boussac construisait des logements pour son personnel et instituait des crèches pour les familles qui en avait besoin

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Ils profitent de n'importe quoi pour te licencier et éviter les indemnités

 

Alors oui, ils avaient envie de me virer mais non, je ne pars pas sans rien. Je fais actuellement mon préavis de 3 mois payé et non travaillé. La date de départ du préavis c'est l'envoi du recommandé, soit le 9/08. Mais j'étais en congés les semaines suivantes et du coup, ils ne me paieront pas ces 10 jours alors que j'étais en préavis. Mesquin.

D'autre part, il est stipulé dans le courrier que je vais recevoir une indemnité de licenciement vu que je subis un licenciement pour cause réelle et sérieuse, pas pour faute.

te laisse pas faire voit avec les prud'hommes

 

Absolument Jean, c'est bien prévu

Tu as le soutien des copains.

 

Merci à toi Jean-Paul et merci à toi Jean :jap:

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Ha dur dur ,tu sais que moi aussi j'ai connu il y a peu la même situation et en plus une séparation divorce

et malgré tout ,on rebondi ,la vie continu et j'en ai 60 aujourd'hui comme notre ami Pascal

vraiment désolé et surtout sur la façon de licencié aujourd'hui, tu es bon pendant des années et d'un seul coup ,un matin tu vaut plus rien , comme une date de consommation , hop a jeter :non: j'ai aussi connu le matin pour le soir ,dehors

bon courage Hugues

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Putain de merde, tu dois bien savoir ce que je pense de ça mon cher Hugues, et après ils nous reprochent d'avoir des comportements violents. Mais merde c'est eux la violence. Nous ne sommes que des chiffres, pour ne pas dire des merdes. Je rêve de ce jour ou l'on ressortira les guillotines histoire de leur faire peur. Je ne sais pas quoi dire de plus que les copains, mais c'est clair, te laisses pas faire.....Et surtout fais toi aider et accompagner par des personnes compétentes, il y en a, pas toutes mais ça existe....

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Ben merde alors. Je suis plus trop le forum ces temps ci, mais je reviens pour tomber sur un post de toi qui ne me plaît pas du tout. Alors voilà, tu bosses toute ta carrière en essayant de de faire ton taf du mieux que tu le peux et du jour au lendemain tu es le dernier des nuls pour des raisons pas bien définies et on te montre le chemin de la porte sans état d'âme... On vit vraiment une époque de merde où le respect humain (le respect tout court d'ailleurs) nexiste plus. Moi j'ai encore un an à faire et je suis pressé d'en terminer... On est tous avec toi, Hugues, même si on ne peux pas faire grand chose. Courage.

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Salut Hugues, courage, j'ai la cinquantaine pas plus tard que la semaine prochaine et j'appréhende de rentrer dans cette zone de turbulences professionnelles où les RH te désignent comme cible... Les boites ne veulent pas de 'vieux' (pour eux on est vieux de plus en plus tôt), et on nous parle de reporter l'âge de la retraite... Belle hypocrisie.

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