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Discussions libres (Général)

Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1)


jensen
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Invité §gon514uw

moi pire : je relis les ancien articles pour bien vérifier que j' ai tout retenu !!

encore bravo et merci !

Tu n'es pas le seul ;) régulièrement je relis les articles que j'aime bien.

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Invité §oul767Da

Pareil pour moi. J'adore. Et j'apprends beaucoup de choses. :p

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Invité §tou353Td

 

 

:jap:

 

J'aimerais bien connaître les pseudos des nombreux "sous-marins" qui hantent ces lieux... :cyp:

Bonjour je suis un de ces sous marins qui dévorent chacune de vos lecture

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Invité §ant328Wd

Toujours aussi agreable à lire, merci Jensen :jap:

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Merci pour cette article. :jap:

J'ai encore quelques souvenirs de ma Capri, j'avais le modèle RS.2600 , payé 9000 Francs à l’époque.

Un peu de soucis avec l'injection sur les départs à froid qui ne fonctionnait plus . On avait mis un câble et je tirais dessus depuis la cabine, pour faire le stater :ange: .

Sinon le compteur était juste, et ça montait à 200 très facilement (pour un modèle 1972 si ma mémoire est bonne), mais le freinage et la suspension était vraiment pas terrible, comme le confort.

Cette auto était plus faite pour le circuit (avec un bon pilote).

Sinon, j'ai toujours regretté de ne pas avoir eu la version 2.8L de la série 3...

Mais je suis resté par la suite sur le V6 2.6L, avec une Granada Ghia, série I, automatique, et la le confort était excellent..

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Plymouth Prowler, petite dragée acidulée

S7-gamme--plymouth-prowler.jpg

 

 

Revenons si vous le voulez bien dans les années 90, décennie pleine de révolution, décennie qui m’a vu naître aussi mais là n’est clairement pas le sujet, le Mur de Berlin est bientôt passé au pilon, on nous parle même sérieusement d’Europe unis avec l’Espace Schengen (1995). « Mais pourquoi diable nous parle t’il de ça ? » me direz vous, et vous avez raison, j’y viens de suite.

 

L’Europe en soit, ce sont des États bien distincts avec chacun leurs lois et leurs us et coutumes, nous sommes d’accord sur ce point. Ça vous dis pas quelques chose ?

 

Je suis sûr que si et vous voyez parfaitement où je veux en venir. Prenons le meilleur moyen de transport pour traverser l’Atlantique pour poser nos pieds sur le Nouveau Continent, et quoi de mieux que de le faire en Concorde (soyons un peu chauvin tout de même)

 

Il vous faut un bon motif pour avoir acheter un billet au tarif salé (le voyage en Concorde était loin d’être donné) et vous retrouvez en 1993 au Salon de Détroit dans la banlieue du même nom. Vous êtes venu car une invitation de Plymouth (qui vivait déjà ses dernières années, il faut bien le dire) à garni votre boite aux lettres. Invitation qui vous disait grosso modo « revivez les années 50 et les hot rods endiablés », un revival de la Barracuda ? Je vous rappelle juste qu’à ce moment là, la marque fabriquait des Néon (la voiture pas les luminaires) et que le succès était très mitigé.

 

Le Salon de Détroit a, jusqu'à la crise des subprimes, en 2008, toujours été celui des concept-cars audacieux, souvent trop. Vitrine de l'automobile américaine, il se devait en effet de montrer l'imagination débordante des marques comme Chrysler, Dodge, Chevrolet, Cadillac, Ford, ou ces marques, aujourd'hui disparues, qu'étaient Oldsmobile, Plymouth ou encore Pontiac.

La crise, à partir de 2008, a été l'une des causes de la disparition de nombreuses marques de l'automobile américaine, mais le problème était déjà présent bien avant. Les Big Three et la stratégie de fusionner les réseaux de concession, dès les années 1980, n'avaient pas aidé. Plymouth, propriété du groupe Chrysler, en est un exemple parfait.

Déjà en délicatesse depuis les années 1970, où Chrysler avait manqué de peu la faillite, Plymouth tente de survivre depuis 20 ans. Aussi, alors que le grand groupe commence à aller mieux, il est temps de penser à l'avenir du petit constructeur d'Auburn Hills, et de lui redonner de l'allant. L'idée est de reprendre la formule qui avait fonctionné pour la Dodge Viper : faire référence au glorieux passé des États-Unis dans l'automobile, et sortir une auto bestiale.

C'est ainsi que Chrysler donne, à l'aube des années 1990, carte blanche à ses ingénieurs pour créer cette fameuse Plymouth. Ce fonctionnement a très bien marché avec la Viper, autant continuer dans cet élan. Très vite, le directeur du design de Chrysler, Thomas C. Gale, se montre enthousiaste à l'idée de rendre hommage aux hot-rods des années 1930.

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Thomas C. Gale

 

L'idée n'est pas mauvaise, mais sous-entend un coupé à roues découvertes. Une voiture plaisir, donc, mais pas une voiture dont on a besoin. À vrai dire, la spécialité de Chrysler depuis quelques années…

D'abord imaginé en coupé, le projet évolue rapidement. Le concept évoque déjà les lignes d'un certain PT Cruiser. Exit les portières à ouvertures inversées, la direction de Chrysler voit plutôt un roadster, toujours dans l'idée cependant de rappeler le passé. Les grandes lignes du projet Prowler, "rôdeur", en anglais, sont validées. Et c'est ainsi qu'en janvier 1993, au salon de Detroit, Chrysler présente un roadster à la ligne… torturée. Le public, curieux, se montre intéressé par la voiture, mais ce n'est pas non plus l'engouement de la Viper. Difficile de passer après le vil serpent.

Il faut dire aussi que la Plymouth Prowler ressemble à un ORNI (objet roulant non-identifié) dans le milieu automobile des années 1990. Comme un crochet que l'on prend dans un combat de boxe ! Revenons à l'époque : en 1993, Internet n'existe pas, les portables ne sont qu'une vague idée du futur. En France, Dire Straits, Witney Houston, Jordy ou What Is Love de Haddaway trustent le Top 50, tandis que Les Visiteurs et Jurassic Park sont les succès du grand écran.

 

La Plymouth débarque dans cette période du pré-internet, et initie l'idée du néo-rétro, bien avant les Mini et autres VW Beetle. Alors que l'on rentre dans l'ère du bio-design et ses lignes très arrondies, le Prowler vient comme un cheveu sur la soupe.

1993-plymouth-prowler-concept-et-version-de-serie.jpg

Le concept car

L'avant, déjà, se veut particulièrement audacieux, avec cette énorme calandre qui vient couper l'élan d'un long capot. Habilement, les feux, très fins, sont intégrés dans la ligne de la voiture. On ne peut que regretter ces pare-chocs, en plastique, très hauts et épais. Obligatoires pour respecter les normes américaines, ils viennent donner un effet pataud à l'avant, mais démontrent une autre ambition de Plymouth, celui de présenter une voiture proche de la série. À quelques détails près, on peut déjà la conduire sur route. D'autant que l'auto présente une avancée technologique majeure : elle est l'une des premières voitures à utiliser massivement l'aluminium pour alléger sa carrosserie.

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Le modèle exposée en 1993

Un petit pare-brise fait office de saute-vent, pour protéger les deux occupants, et la voiture se termine avec un arrière abrupt et très large. Sur les flancs, pour compenser la faible largeur de la voiture, des élargisseurs apparaissent, et donnent un côté assez dynamique au profil. Finalement, c'est l'arrière qui créé un déséquilibre total dans la ligne générale de l'auto, en comparaison de l'avant, qui se veut très fin, à l'image des speedster des années 1930. L'idée de séparer les roues de la carrosserie, comme sur une Caterham n'est pas idiote, et donne un caractère d'unicité à cette voiture. Toutefois, ce qui fonctionnait sur des voitures dans les années 1930 n'est pas forcément la bonne formule en 1993.

À l'intérieur aussi, on retrouve cette idée de néo-rétro. Comme dans les voitures des années 1930, les compteurs sont centrés avec un entourage couleur carrosserie. C'est la seule originalité de l'habitacle, qui n'est qu'un rappel des productions américaines des années 1990, avec des plastiques noirs omniprésents et des planches de bord… classiques.

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Enfin, sous le long capot avant, c'est un V6 qui trône. Le sacrilège. Surtout pour une voiture qui se veut un hommage aux hot-rods bien connus pour leurs énormes V8 ! Le V6 a beau être plus performant que les V8 Chrysler de l'époque, cela ne vient pas réparer l'hérésie. Pourtant, le groupe Chrysler croit en son projet, et comme pour la Viper, l'industrialise.

Quatre ans après sa présentation, en 1997, le Prowler sort des usines du groupe, avec une version très proche du concept-car. Il va peiner à convaincre, avec 11'702 exemplaires vendus jusqu'en 2002. Il faut le dire, la ligne ne plait pas, et les performances ne sont pas aussi impressionnantes qu'attendues, même l'intérieur semble démontrer le manque d'ambition. La deuxième version, arrivée en 1999 est censée l'améliorer. Cependant, le mal est fait, même le concept Howler, présenté au Sema Show de 1999 ne vient pas relancer l'intérêt.

 

007_9910.jpg

concept Howler

Une erreur de casting qui va accélérer la chute de Plymouth. La marque américaine va disparaître en 2001. Pour une auto qui devait relancer cette dernière, l'échec est total !

Pourtant, la Plymouth va lancer une nouvelle mode. Celle du néo-rétro. Très vite, VW avec sa Beetle puis son Microbus, puis BMW, avec la Mini, vont flairer le bon coup. Chrysler va également jouer sur cette partition sur ses futurs modèles, comme le PT Cruiser ou la 300C. Toutefois, le plus efficace dans ce domaine sera Ford, avec ses GT40 Concept et autres Mustang. Le bilan n'est donc pas si noir pour la Plymouth, qui est même en train de devenir un collector !

 

Prix entre 30 et 40 000€ (plus rare sous marque Plymouth que Chrysler)

 

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:jap:

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Si il se présente aux élections, @jensen sera élu à l'unanimité. :love:

en garçon intelligent,je ne pense pas qu'il se fourvoie chez ces gens là...

mais ne le connaissant pas en tant qu'homme,peut être est il attiré pas ce genre de sirènes?

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Putain, je viens de regarder le prix des Prowler sur LBC... Les tarifs sont dingues :eek:

 

Moi qui me disais : "Oh on doit en trouver des propres entre 5 et 10k€... J'étais treeeees loin du compte :beuh:

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Super article sur le Prowler :bien:

 

:jap:

Putain, je viens de regarder le prix des Prowler sur LBC... Les tarifs sont dingues :eek:

 

Moi qui me disais : "Oh on doit en trouver des propres entre 5 et 10k€... J'étais treeeees loin du compte :beuh:

 

Je me disais la même chose mais les prix ne le surprennent pas en même temps.

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Merci pour l'article sur le Prowler.

 

J'en voyait une l'été dans les année 2000. Elle appartenait à des vacanciers qui louaient une maison en Août à coté de chez mon pote.

Elle était garée au bord de la route, elle était plus efficace qu'un dos d'âne pour faire réduire la vitesse des automobilistes qui passaient par là. :lol:

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Ce que j'ai trouvé fou pour ma part c'est qu'un modele somme toute peu connu soit à "l'origine" du concept néo retro qui est bien développé maintenant...

 

 

Fiat 500 et 124 spider

Volkswagen Coccinelle et New Beetle

Mini

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@Camus

 

Neuve, la Prowler était affichée aux États-Unis plus chère qu’une Corvette neuve !

C'est toujours le cas en occasion, peut-être du fait de sa grande rareté.

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Étonnée la vache (pas belle sans ses cornes…)

.

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Ce que j'ai trouvé fou pour ma part c'est qu'un modele somme toute peu connu soit à "l'origine" du concept néo retro qui est bien développé maintenant...

 

 

Fiat 500 et 124 spider

Volkswagen Coccinelle et New Beetle

Mini

 

 

On avait eu aussi, quelques temps auparavant, la Nissan Figaro. Un succès car, initialement prévue à 8000 exemplaires, il s'en est finalement écoulé 20000. :oui:

 

Bien sûr, elle n'était le revival d'aucun modèle de la marque, mais le style était là, un rappel des années 50.

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On avait eu aussi, quelques temps auparavant, la Nissan Figaro. Un succès car, initialement prévue à 8000 exemplaires, il s'en est finalement écoulé 20000. :oui:

 

Bien sûr, elle n'était le revival d'aucun modèle de la marque, mais le style était là, un rappel des années 50.

 

 

 

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Plus je les vois, moins je les supporte sur cette chaîne YouTube. :W

 

 

Marrant mais moi c'est pareil... Ils me gavent à force à s'extasier sur tout et sur rien...

 

C'est comme Vilebrequin, je les trouvais marrants au début mais à la longue ça saoule, c'est des bons branleurs les mecs... :bah:

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Marrant mais moi c'est pareil... Ils me gavent à force à s'extasier sur tout et sur rien...

 

C'est comme Vilebrequin, je les trouvais marrants au début mais à la longue ça saoule, c'est des bons branleurs les mecs... :bah:

 

 

 

Vilebrequin!

 

Le moins barbu des 2 s'étonnait de s'être fait virer de chez Bosch en ayant fait une video sur son lieu de travail! :ddr:

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Pourquoi? (Voir si on a le même point de vue :ddr: )

 

 

Leur ton, parfois assez moqueur sur la passion des gens pour une voiture.

 

Le fait que ce sont les propriétaires qui viennent chez eux pour montrer leur voiture, et pas eux qui vont chez les gens.

 

Ce qui fait un peu "Dîner de cons", avec Jean-Michel qui monte à la capitale pour montrer sa Renault 18 et des parisiens qui au fond d'eux n'ont qu'une envie, se moquer de lui...

 

(C'est un exemple, j'en sais absolument rien si un Jean-Michel a grimpé de son Gers natal pour présenter sa R18. :ddr: )

 

 

 

Marrant mais moi c'est pareil... Ils me gavent à force à s'extasier sur tout et sur rien...

 

 

 

Ils s'extasient, mais avec un arrière ton moqueur je trouve envers la passion des gens.

 

Exemple, le titre de leur reportage sur un fan de Supercinq : "J’ai 9 Renault Super 5 et j’aime ça !", on dirait un mauvais titre d'une vidéo de J&M. Idem dans leur allure à se promener avec la GoPro à la main, d'ailleurs, on dirait qu'il va nous présenter Raymonde La Cochonne... :ddr:

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Ils s'extasient, mais avec un arrière ton moqueur je trouve envers la passion des gens.

 

 

Carrément :oui: Puis même, le ton bobo parisien, les expressions à la con genre "bagnolard" sorti à toutes les sauces...

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Je viens de regarder la première minute de leur reportage sur la Supercinq de Jean Eudes : Déjà, le gars qui a pourtant bien plus que 40 piges, et qui fait mine de découvrir les jantes de la Supercinq du gars monté de Bordeaux pour lui montrer sa voiture...

 

En plus, il ose lui demander s'il n'a pas eu de problème pour venir de Bordeaux avec sa voiture, c'est sûr, c'est une Renault, il a dû avoir un coup de chauffe sur la route.

 

Soit le mec ne s'intéressait absolument pas à l'automobile quand il était plus jeune, soit la Supercinq ne faisait pas partie de son monde automobile lorsqu'il était plus jeune. :roll:

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Leur ton, parfois assez moqueur sur la passion des gens pour une voiture.

 

Le fait que ce sont les propriétaires qui viennent chez eux pour montrer leur voiture, et pas eux qui vont chez les gens.

 

Ce qui fait un peu "Dîner de cons", avec Jean-Michel qui monte à la capitale pour montrer sa Renault 18 et des parisiens qui au fond d'eux n'ont qu'une envie, se moquer de lui...

 

(C'est un exemple, j'en sais absolument rien si un Jean-Michel a grimpé de son Gers natal pour présenter sa R18. :ddr: )

 

 

 

 

 

Ils s'extasient, mais avec un arrière ton moqueur je trouve envers la passion des gens.

 

Exemple, le titre de leur reportage sur un fan de Supercinq : "J’ai 9 Renault Super 5 et j’aime ça !", on dirait un mauvais titre d'une vidéo de J&M. Idem dans leur allure à se promener avec la GoPro à la main, d'ailleurs, on dirait qu'il va nous présenter Raymonde La Cochonne... :ddr:

 

 

 

Je trouve aussi le parisianisme de cette émission de mauvais goût aussi :D

 

Ils se déplaçaient il y a quelques années, j'ai un souvenir de l'essai de l'Espace V ou ils étaient vers Nantes me semble t'il.

 

Mais depuis qu'ils sont en bande, l'émission a perdu en authenticité, le jeune barbu qui co-presente est l'archétype de la tête à claque, la même qui débarque sur les plages au mois de Juillet. :D

Surtout qu'il n'y connait rien ce guignol :ddr:

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Je viens de regarder la première minute de leur reportage sur la Supercinq de Jean Eudes : Déjà, le gars qui a pourtant bien plus que 40 piges, et qui fait mine de découvrir les jantes de la Supercinq du gars monté de Bordeaux pour lui montrer sa voiture...

 

En plus, il ose lui demander s'il n'a pas eu de problème pour venir de Bordeaux avec sa voiture, c'est sûr, c'est une Renault, il a dû avoir un coup de chauffe sur la route.

 

Soit le mec ne s'intéressait absolument pas à l'automobile quand il était plus jeune, soit la Supercinq ne faisait pas partie de son monde automobile lorsqu'il était plus jeune. :roll:

 

 

 

Il y a un faïen qui y avait présenté sa voiture me semble t'il, uun R18 bordeaux

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