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Avant guerre (…-1945)

Il était une fois...Bugatti.


Invité §non661Yn
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Invité §pla824yc

Toutes ces paroles sont évidemment tirées du recueil des pensée du célèbre philosophe nippon (ni mauvais) Archibald von Susuki qui vécu heureux trois siècles entiers, privé de tout moyen de communiquer suite à un accident de pousse pousse. Simple détail: il avait lui-même imprudemment (et à la va comme j'te pousse), motorisé l'engin au moyen d'une extrudeuse à nouille Bugatti alimentée au gaz produit par le digesteur artisanal branché sur les toilettes de son restaurant hongkongais.

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  • jEANMARIE

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Bonjour à tous (et aussi à J.E.),

 

Tout ceci pour conclure en quelques mots, que ce réel et envié privilège, de posséder l'objet rêvé n'est évidemment pas usurpé si l'on saisit bien qu'il concentre en tout ses organes l'esprit de leur créateur, et que la garde de tout trésor, confère à son amoureux détenteur, des devoirs que même un samouraï pourrait un jour inspirer.

Et aussi que la vaine admiration des copies, plonge l'esprit et le monde dans un vide sidérant, peuplé d'idoles creuses, moulées sur les preuves authentiques de nos criantes insuffisances créatives.

Hum...Pardon, fin du quart d'heure philosophique.

 

A plus, Plast.

 

PS. Et je laisse à jEANMARIE, afin qu'ils ne lui fassent point défaut, ses quatre ressorts à l'âme, pour que plus aisément, il puisse rebondir et ainsi, conjurer sa triste destinée.

Suzuki dans son désir de faire ressembler son engin a la Type 53 4 roues motrices n'a pas jugé bon de lui administrer de différentiel central ce qui fait que comme son ancêtre il est tres difficile de tourner dans les virages la voiture tirant tout droit, la type 53 avait ce troisième différentiel mais n'avait pas de joints homocinétiques a l'avant

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Invité §tun768Yb

@tunesi

Je ne connaissais pas l'existence d'un "stock" américain pour ces roues

 

 

Pour la faire simple...

 

Les roues du T59 sont spécifiques. Robert Jarraud avait retrouvé le brevet anglais mais non le français (Aravis a-t-il fait mieux?)

 

Elles sont caractérisées par une jante en deux parties crénelées reliées par des rayons, qui est donc rigide en ligne droite et relativement souple en virage. Jusqu'aux années 1980, seules les quatre T59 vendues par l'usine dans les années 1930 en étaient dotées "officiellement". Bugatti avait néanmoins construit douze T59 avec seulement quatre moteurs qui étaient changés de châssis selon la course à laquelle la marque participait.

 

Ces huit châssis existent aujourd'hui avec des moteurs neufs... Sauf, sans erreur de ma part, deux d'entre eux qui ont reçu les moteurs de l'avion.

 

Outre ces douze châssis authentiques (il faut le souligner au lieu de parler de copies à propos de tout et n'importe quoi), ont été réalisées quelques T59 +/- fidèles.

 

La quasi totalité est gréée avec des roues conformes à celles d'origine. Il y a donc eu refabrication. Celle-ci n'étant pas le fait d'Européens, c'est aux USA qu'il faut penser et qu'on les a vues en premier...

 

Nous entrons par conséquent a fond dans le domaine des répliques qui est en train de faire réagir les plus grands collectionneurs de la planète car leur voitures (Bugatti, Voisin...) ne sont pas toutes -et de loin!- authentiques alors qu'ils étaient persuadés du contraire... Les expertises contradictoires vont bon train depuis au moins deux ans avec de grandes déconvenues...

 

:o

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Nous entrons par conséquent a fond dans le domaine des répliques qui est en train de faire réagir les plus grands collectionneurs de la planète car leur voitures (Bugatti, Voisin...) ne sont pas toutes -et de loin!- authentiques alors qu'ils étaient persuadés du contraire... Les expertises contradictoires vont bon train depuis au moins deux ans avec de grandes déconvenues...

 

Ooh, ça alors !

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Pour ce qui est des voitures authentiques, suffit de lire ou relire les ouvrages de Norbert Steinhauser ou l'on apprend,si l'on ne le savait deja, qu'à l’époque d'Ettore, l'usine changeait et échangeait à qui mieux mieux les plaques constructeur servant à numéroter les voitures ! Donc même à l’époque c’était le bordel organisé ! Quand aux pieces d'usure qui ont été refaite c'est tout a fait normal si l'on veut que ces voitures roulent encore !

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Invité §tun768Yb

Pour ce qui est des voitures authentiques, suffit de lire ou relire les ouvrages de Norbert Steinhauser ou l'on apprend,si l'on ne le savait deja, qu'à l’époque d'Ettore, l'usine changeait et échangeait à qui mieux mieux les plaques constructeur servant à numéroter les voitures ! Donc même à l’époque c’était le bordel organisé ! Quand aux pieces d'usure qui ont été refaite c'est tout a fait normal si l'on veut que ces voitures roulent encore !

 

 

Tu as acheté le Steinhauser?

 

"A qui mieux mieux", non... Il y avait la pratique (qui doit encore être utilisée de nos jours pour les prototypes essayés sur route civile) d'utiliser quelques cartes grises "usine" pour rouler les châssis neufs et, un peu par abus d'usage, des voitures non vendues. C'est pour cette raison qu'on voit la même immatriculation sur plusieurs voitures d'usine. Elles ont reçu leur numéro de châssis définitif lors de l'envoi en concession ou vente à un client.

 

C'est probablement pour cette raison que la double berline Royale n'a pas le même numéro dans la série que les 5 autres... Petit retour en arrière. A mon avis, je déduis des faits l'historique suivant. Ettore construit DEUX Royales tout de suite, sans s'embarrasser de la CG: elles devaient avoir les deux la CG 41100 mais pas nécessairement la plaque de châssis (La "Packard" puis "Weymann" probablement car le Patron s'est baladé partout avec et l'a laissée notamment chez Weymann. Je vois mal même Ettore Bugatti prendre le risque de passer des douanes sans plaque de châssis). Or donc, le Patron s'endort au volant, se déporte sur la gauche, entre dans la voiture qui vient en face, dont le conducteur est militaire et décède. C'est l'armée, on ne plaisante pas avec la procédure et ces gens-là, d'autant que lePatron est encore Italien, donc étranger. Je subodore que la plaque de châssis de la double berline est alors apposée dans la précipitation pour que la fraude des deux voitures utilisées en même temps avec la même CG, ne soit pas décelée "au cas où", hypothétique mais possible, qu'un fonctionnaire s'en soit aperçu. Il est en outre possible que le Patron ait voulu utiliser la double berline couramment pendant que 41100 était d'abord en dépôt chez Weymann puis remise en état, ce qui a dû durer au moins un an.

 

Pour en revenir aux plaques de châssis "facilement" interverties, la France a toujours été plus laxiste que d'autres pays... Les châssis échelle et l'absence de CT permettaient des libertés inimaginables de nos jours: changer de carrosserie sans nouvelle homologation, produire plusieurs carrosseries avec une seule homologation du modèle, etc.

 

Quand je parle de copies, je parle de voitures construites hors usine avec peu ou pas de pièces d'origine... Maintenant qu'on commence à avoir des historiques assez détaillés des voitures, certaines réapparitions sans sortie avérée de grange (p.ex. pas de photo de l'épave trouvée dans une grange, pas de facture ni de trace administrative ou de photos de famille avant les années 1970/1980, etc.) commencent à attirer les soupçons. Exemple: on sait que des séries de châssis du type 38/44, comme de 35-51, ont été refaites en France dans les années 1970. Juste les longerons et traverses avec un indice d'acier similaire à l'avant-guerre. Les voitures "reconstituées" (certaines ne sont pas toujours finies de nos jours) ont été et sont discrètement admises comme vraies. Mais il appert de nos jours que certains différents châssis sont mieux finis ou moins épais que ceux d'époque...

 

Le paragraphe qui précède ne concerne pas les copies/répliques de PS Arg, autres Anglais ou Américains, où RIEN n'est d'époque, où TOUT est neuf. J'ai encore le souvenir de mon entretien avec Jones qui voulait vendre un type 54... en parlant de l'ingénieur de Bugatti, etc. A l'époque, un moteur de T50/54 était introuvable. Le châssis est le même que les Type 55... qui ont été produits en copies en un bon nombre d'exemplaires: les moteurs sont de toute évidence des neufs. Maintenant, il y a plusieurs types 54 avec moteur.. Il y a donc eu fabrication de moteurs de 4,9 litres double ACT NEUFS. Passablement des Types 54 et 55 hors musées sont des constructions et non des restaurations.

 

:o

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Tu as acheté le Steinhauser?

 

En effet j'ai mon coffret dédicacé par l'auteur mais pour les numéros de châssis qui s"échangeaient , C'est surtout sur les livres sur les types 57 S que c'est bien démontré

[/quotemsg]

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Invité §pla824yc

Merci Tunesi

 

Il est si agréable d'entendre exposé de façon claire et dépassionnée l'histoire passionnante de la marque objet de nos préoccupations.

Même la petite histoire, avec vous, est pleine d'un savoir pacifié et bienveillant...

... Au contraire de certains historiens traitant publiquement, et moyennant finance, en obscur trafiquant réparateur, pour ne pas dire falsificateur, l'honnête besogne d'un ouvrier qui ne faisait qu'employer (provisoirement) pour rouler sur des châssis à ces yeux si précieux, des subterfuges similaire à ceux de son illustre maître.

Je veux ici, vous vous en doutez bien, parler d'Henri NOVO dont le nom apparaît ça et là, bien souvent dans de jolis romans qui servent à vendre plus aisément, et à prix d'or, certains rossignols qui n'ont de plus en plus souvent, d'Alsacien que le nom italien porté sur l'oval émaillé à peine refroidi ornant une calandre d'origine incertaine.

Avec ma respectueuse considération .

Vive la marque.

Plast.

 

P.S. Loin de moi l'idée d'accréditer la thèse selon laquelle H.N. aurait été un ange, mais seulement qu'il n'était pas homme à arranger pour son profit les pedigrees des autos qui lui passaient entre les mains, en mélangeant à son idée, comme le prétendent fréquemment certains, châssis et documents, accréditant de cette vilaine façon des historiques

boiteux, mais potentiellement plus fructueux.

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............. Or donc, le Patron s'endort au volant, se déporte sur la gauche, entre dans la voiture qui vient en face, dont le conducteur est militaire et décède. C'est l'armée, on ne plaisante pas avec la procédure et ces gens-là, d'autant que lePatron est encore Italien, donc étranger. Je subodore que la plaque de châssis de la double berline est alors apposée dans la précipitation pour que la fraude des deux voitures utilisées en même temps avec la même CG, ne soit pas décelée "au cas où", hypothétique mais possible, qu'un fonctionnaire s'en soit aperçu. Il est en outre possible que le Patron ait voulu utiliser la double berline couramment pendant que 41100 était d'abord en dépôt chez Weymann puis remise en état, ce qui a dû durer au moins un an......

:jap: je n'avais jamais lu auparavant que le médecin commandant Pierron était décédé des suites de cet accident...

L'épave aurait été transportée chez Weymann, ce qui voudrais dire que le patron avait l'intention de la faire réparer à l'identique ?

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L'auto du constructeur Bugatti entre en collision

 

avec celle d'un médecin de Toul Toul, 27 mars (dép. Petit Parisien.) Sur la route de Toul à Nancy, M. Ettore Bugatti, constructeur d'automobiles à Molsheim, qui revenait de Paris, en compagnie de sa fille, dans une voiture qu'il pilotait, est entré en collision avec un autre automobiliste, le médecin commandant Plerron, de l'hôpital Gama, à Toul. Mlle Bugatti, a eu le bras gauche fracturé. M. Bugatti et son chauffeur sont contusionnés.

 

Le commandant Pierron a été grièvement blessé à la tête, ainsi que sa femme. Les deux enfants du docteur Pierron sont sortis indemnes de l'accident.

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Invité §pla824yc

Bonjour à tous,

 

@jEANMARIE

 

Magnifique coupure de presse! Et quel bel échantillon du savoir écrire des journaleux de l'époque!

Excusez l'expression, mais on dévorerait avec bon appétit tout les compte-rendus de chiens écrasés d'aujourd'hui si un tel style était encore employé!

L'agression du prince Galitzine associé du petit fils de Tolstoï, et à ses heures, chauffeur de taxi à Paris, quelques lignes plus haut, en détient probablement le pompon! Mais l'ensemble de la page vaut son pesant de palmes académiques!

Merci beaucoup.

Plast.

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Bonjour à tous,

 

@jEANMARIE

 

Magnifique coupure de presse! Et quel bel échantillon du savoir écrire des journaleux de l'époque!

Excusez l'expression, mais on dévorerait avec bon appétit tout les compte-rendus de chiens écrasés d'aujourd'hui si un tel style était encore employé!

L'agression du prince Galitzine associé du petit fils de Tolstoï, et à ses heures, chauffeur de taxi à Paris, quelques lignes plus haut, en détient probablement le pompon! Mais l'ensemble de la page vaut son pesant de palmes académiques!

Merci beaucoup.

Plast.

http://www.kiosque-lorrain.fr/newspaper-reader/index/read?item=18305&query=bugatti

 

ben si tu aimes la lecture des années 30 en voila sans aucune censure ! i

ls parlent de médecin major pas de commandant !

Je continu mon enquete pour que toute la vérité soit faite !

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Invité §Bug127hr

http://www.les24heures.fr/hors [...] erie-noire

 

Connaissiez vous cet accident d'Ettore Bugatti ou une jeune fille de 17 ans a trouvé la mort ?

 

 

Jean ne fût pas exempt de problèmes non plus !...

Il a été écrit que sa manœuvre désespérée pour éviter le cycliste à Duppigheim faisait suite à un lourd passé d’accidents responsables qui risquaient de l’amener à de graves sanctions.

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Invité §Bug127hr

http://www.kiosque-lorrain.fr/newspaper-reader/index/read?item=18305&query=bugatti

 

ben si tu aimes la lecture des années 30 en voila sans aucune censure ! i

ls parlent de médecin major pas de commandant !

Je continu mon enquete pour que toute la vérité soit faite !

 

 

Magnifique retour sur l’Est Républicain du 28/03/31, il y a presque 90 ans jour pour jour !!!

Bravo !!!...

L’accident a eu lieu à Velaine exactement.

Pour la petite histoire et comme déjà précisé, une photo le relatant a été prise par un amateur, jeune carrossier nancéien, qui se trouvait là par hasard et qui l’a transmise à une revue automobile bien des années plus tard.

Cette photographie a fait depuis le tour du monde : on y voit la calandre de la Royale masquée, peut-être volontairement sur les ordres du Patron.

J’avais récupéré l’original chez Mr Walter, successeur du dit-carrossier, et l’avais fait paraître dans ce forum.

Effectivement, le médecin « major ou commandant » Pierron et son épouse ne sont pas, que je sache, décédés des suites de l’accident.

La fille Bugatti, l’Ebé, a été admise à l’Hôpital Central de Nancy mais sans Ettore et son chauffeur qui avaient regagné Molsheim immédiatement.

Probablement dépourvue de papiers d’identité, elle aurait eu quelques difficultés à se faire reconnaître du personnel soignant. La montre de luxe à son poignet fût un indicateur.

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Jean ne fût pas exempt de problèmes non plus !...

Il a été écrit que sa manœuvre désespérée pour éviter le cycliste à Duppigheim faisait suite à un lourd passé d’accidents responsables qui risquaient de l’amener à de graves sanctions.[/quotemsg

 

 

Je suis en train de relire des ouvrages sur les types 57 S et un acheteur venu chercher sa voiture neuve ,qui comme d'habitude n'était pas tout à fait prete' eu droit a un essai avec Jean Bugatti dans sa voiture personnel, le parcours fut effectué a très vive allure dans la campagne alsacienne ! En descendant de voiture le client ébahis demanda à Jean au bout de combien de temps changeait il ses pneus. Jean répondit : tous les vendredis ! Ce dernier avait l'habitude d'effectuer le trajet Molsheim Paris en un temps record a une vitesse moyenne de près de 130 kmh c'est vrai aussi que c'était un habitué du Fouquets

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Invité §tun768Yb

:jap: je n'avais jamais lu auparavant que le médecin commandant Pierron était décédé des suites de cet accident...

L'épave aurait été transportée chez Weymann, ce qui voudrais dire que le patron avait l'intention de la faire réparer à l'identique ?

 

 

Le médecin décédé... Je n'en donne pas ma main à couper. Il faudrait retrouver l'article de presse que j'ai vu (et pas retenu).

 

En revanche, je me suis mal exprimé: la Royale a été recarrossée partiellement après la caisse "Packard" par Weymann. Ceci a dû durer quelques semaines au minimum. Ensuite, elle a eu cet accident grave qui a nécessité de changer le châssis et faire une nouvelle caisse... Ce qui a pris du temps

 

Dans ce cas, le Patron avait la future double berline sur le châssis de laquelle il a testé la berline et le coupé fiacre... Avant de terminer avec la double berline dont la forme des ailes (plus aérienne que les carrosseries des années 1920 sans avoir les envolées de celles des années 1930, cf. la 55...) indique qu'elle est de 1928 ou 1929.

 

:o

 

 

Superbes articles, Jeanmarie !

 

:jap: :jap: :jap:

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Invité §tun768Yb

Merci Tunesi d'ailleurs il parle de toi dans un des livres

 

 

Oui mais il a mélangé pas mal de choses... En 1919, mon grand-père n'avait pas un radis, n'avait pas rencontré Cécile Renard et n'a JAMAIS été actionnaire des sociétés qu'il mentionne.

 

La vérité est en partie là, dès 1893:

"Albert changea le statut de la chocolaterie en société anonyme et ouvrit son capital à de nouveaux actionnaires en 1893. Il restait encore majoritaire mais de nouvelles aventures semblaient le tenter. Il laissa la présidence de la chocolaterie à l'autre principal actionnaire, M. Renard"

En revanche, l'auteur s'est trompé à ce sujet aussi... ;) Léon Renard et Georges Bénard étaient beaux-frères.

"les nouveaux associés désormais à la tête de la Chocolaterie Poulain étaient au nombre de trois. Paul Renard était issu d'une famille d'industriels en textile de la région orléanaise et comme son cousin, Georges Bénard, ingénieur agronome qui rentrait d'un séjour en Russie où il venait de faire un stage dans l'industrie sucrière, il avait 25 ans et de l'énergie à revendre. Georges Doliveux qui complétait le trio était, quant à lui, ancien commissaire de la marine."

Passionnante, l'histoire du chocolat en poudre !!!

http://www.sapere-clement.com/article-la-fabuleuse-histoire-du-chocolat-poulain-48042129.html

 

:o

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Invité §tun768Yb

L'inspiration est évidente... Dommage que Lambert n'en ait fabriqué qu'une...

 

1368784379_big-77432182f9.thumb_jpgv1.caaefed73936fb72477de05f20b69e75

 

;)

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Invité §tun768Yb

 

 

Énormes les alies avants, Giromagny se trouvant dans le territoire de Belfort a plus de 400 mètres d'altitude ceci explique cela , elles servaient de chasse-neige !

 

 

 

:jap::p:jap::lol:

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L'inspiration est évidente... Dommage que Lambert n'en ait fabriqué qu'une...

 

https://aws-cf.caradisiac.com/p [...] f9.jpg?v=1

 

;)

 

Oui, dommage en effet que la 6cv 1100 cc de 1948 soit restée unique.

 

Esthétique hors du commun.Mais je suis fier de l'avoir connue (assez décrépie dans son état d'origine) et d'avoir participé à sa restauration jusqu'au dernier instant (ailes avant transformées, et couleur rouge vif au lieu du jaune paille fané d'origine), avec Guy Lambert, l'un des deux fils, l'autre on l'oubliera.

Carrosserie en duralumin difficile à former et à souder, phares mal situés, capot énorme difficile à manipuler … mais esthétique personnelle et remarquable.

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Invité §aut501Gd

soph68.gif.262095cf89a786e9c52e3aa899101ca9.gif

 

Kurt Kiefer, co-fondateur du Bugatti Club Deutschland

 

19040411543020484316187471.jpg

 

Lieu et date inconnus

 

 

Immatriculation d'avant-guerre de la Rheinprovinz

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Invité §tun768Yb

SAM_0328.jpg

 

 

Tu commentes Jeanmarie? Serait ce un châssis de Bugatti?

 

:??: :??: :??:

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Invité §tun768Yb

Quelques jolies Bugatti vendues à Rétromobile par Artcurial:

 

Une classique, longtemps restée en dépôt chez Henri Novo, partie aux USA et revenue en France!

 

3888_10647365_0.jpg?itok=1T2aXpHu

 

Une Type 49 assez intéressante avec ses portes sans montant central

 

http://www.artcurial.com/sites/default/files/lots-images/2019-02-02-10/3888_10648046_0.jpg

 

Et une T40 Pleine de charme, à terminer

 

3888_10648045_0.jpg?itok=TXCITEkd

 

:)

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Invité §tun768Yb

En outre...

 

Une Type 23 Brescia carrossée par Michel Bigatti (ça ne s'invente pas)

 

3888_10644110_0.jpg?itok=1r914PEP

 

Un beau cabriolet 57

 

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Une des reconstructions de 57s Atlantic Koux (avec passablement de pièces d'origine), carrosserie réalisée en Suisse dans le canton de Vaud

 

3888_10650087_0.jpg?itok=pqPhalGK

 

J'y rajoute une Peugeot Darl'mat qui a été échangée dans les années 1980 contre une Bugatti type 57 (donc le collectionneur Seydoux a cédé la Bugatti contre la Peugeot), ce qui est assez rare pour être souligné.

 

3888_10651054_1.jpg?itok=bFv72PGU

 

:o

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Invité §tun768Yb

Enfin, je reviens sur la question des restaurations et constructions récentes... On appréciera le texte retraçant l'historique de cette Mercedes...

 

3888_10649579_0.jpg?itok=mfi-Dm-3

 

La voiture que nous présentons demeure un mystère. Une expertise chez Mercedes-Benz Classic identifie la plaque constructeur comme celle d'un type 45HP, cependant les numéros de châssis et de moteur correspondent ceux d'un type 35HP. De plus, des tests effectués par Mercedes ont dévoilé que le métal utilisé pour cette voiture ne correspond pas à celui utilisé par Mercedes à l'époque, et donc qu'il ne s'agit pas d'une Mercedes.

Néanmoins, il s'agit d'une superbe recréation de Mercedes-Simplex qui n'est pas sans rappeler celle qui avait remporté le Grand Prix de Dieppe en 1908. Il semblerait que la voiture ait été assemblée en Argentine en utilisant plusieurs parties de voitures d'époque pour ressembler à une vraie Simplex.

;):??::o

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