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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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Pas vraiment fan des LMP2 mais celle-ci nous change des ORECA et sa déco est sympa.

Une récit instructif en ce qui me concerne car j'avoue ne m'être pas du tout intéressé à la course de cette auto qui eut pourtant un joli résultat pour une première.

Un modèle qui fait surement très bien chez toi, mais malgré tout, je ne craquerai pas pour elle... :bah:

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il y a une heure, gennaro1 a dit :

En 2017,  Cetilar Villorba Corse fait partie des trois équipes qui aligneront une Dallara P217 dans la Sarthe. Depuis 2015, Scuderia Villorba Corse est plus que jamais impliquée dans le projet Road To Le Mans, et après deux saison en LMP3, l’écurie italienne gravit un étage dans la hiérarchie  avec un nouveau programme en LMP2, toujours en ELMS. L’ACO a logiquement récompensé cet investissement par l’acceptation du dossier déposé par l’équipe pour participer à la classique mancelle en juin prochain.

 

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L'équipe change de nom pour devenir Cetilar Villorba Corse (Cetilar est une crème contre les hématomes destinée aux sportifs) et se veut être une équipe 100% italienne, du tout nouveau châssis Dallara au staff, en passant bien sûr par les pilotes Andrea Belicchi, Giorgio Sernagiotto et Roberto Lacorte.

Si la Dallara d u SMP réussit un chrono de 3'27"382 (10° temps des P2), notre P217 se positionne sur la 13° ligne, 18° temps des P2 et dernier des Dallara, avec un chrono de 3'30"014 signé Belicchi.

 

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Si le début de course est relativement tranquille, les choses vont rapidement se compliquer. Notre Dallara P217 part en tête-à-queue du côté de la passerelle Dunlop à 19 H 40, après un accrochage avec l'Oreca du Manor TRS. Si l'auto n'a pas souffert, elle va perdre 2 places au classement pour se retrouver 13° de sa catégorie.

 

 

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La découverte des 24 Heures n'est jamais simple et notre Dallara va devoir composer avec la difficulté de la course. Malgré têtes-à-queue et un pneu éclaté à 2 H 33 qui va faire perdre plus de 9 minutes à Sernagiotto alors au volant, notre P217 continue sa route et à la mi-course, reste accrochée à la 13° place des P2. Belle satisfaction !

Des trois Dallara présentes, note belle italienne va être la meilleure représentante de la marque. Neuvième après 20 heures de course, puis huitième après l'abandon de la Ligier de Barthez, notre trio Lacorte, Sernagiotto et Belicchi va finalement terminer septième de sa catégorie et neuvième au général. C'est une très belle réussite, même si l'Oreca victorieuse en P2 a parcouru 13 tours de mieux.

 

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Modèle Spark

:hello:  Hugues ! 9ème au général . Belle performance pour cette jolie voiture :bien:

Et bien présentée :love:

 

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Il y a 2 heures, panos a dit :

celle-ci nous change des ORECA et sa déco est sympa.

 

Ce sont les 2 raisons de l'achat. J'aime bien la Jumbo aussi.

 

Il y a 2 heures, panos a dit :

mais malgré tout, je ne craquerai pas pour elle..

 

J'avoue que le prix (30 €) m'a décidé :fuck:

 

merci d'être passé Philippe :jap:

 

Il y a 2 heures, Alain du 38 a dit :

cette jolie voiture bien présentée

 

Merci de ton passage Alain  :jap:

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Ce n'est pas la plus belle desLMP2 mais c'est vrai que cela change des sempiternelles Oreca.

Personnellement je me suis orienté sur une Dallara P217 du SMP Racing de 2018 et je ne pense pas que j'en achèterais d'autre.

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Très belle miniature et pour ce prix la fallait pas se priver ...😉

 

Perso je n'ai acheté qu'une Dallara c'est la Jumbo de 2017 et comme Armand, je ne pense pas en acheter d'autre ... 

 

Présentation toujours au top 👍

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Il y a 3 heures, alm93 a dit :

c'est vrai que cela change des sempiternelles Oreca.

 

Tout à fait, les Ligier et les Oreca c'est un peu répétitif...Merci de ton passage Armand :jap:

 

il y a une heure, Arnage67 a dit :

Perso je n'ai acheté qu'une Dallara c'est la Jumbo de 2017 et comme Armand, je ne pense pas en acheter d'autre ... 

 

Oui, moi aussi, sauf si je trouve une Jumbo au même prix, je me laisserai peut-être tenter...

 

il y a une heure, Arnage67 a dit :

Présentation toujours au top

 

Merci Jérôme :jap:

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En 1997, Henri Pescarolo entame sa 31° participation, soit pas loin de la moitié des épreuves vu que l'on fête la 65° édition....Appelé depuis 2 ans aux responsabilités dans l'organisation de la Filière Elf, il a en charge de développer un projet endurance pour des mécanos et des pilotes issus de cet établissement, basé au Mans en bordure du Bugatti. 

 

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Pour cela, il engage une seconde fois la Courage C36 qu'il avait mené à la 7° place l'an dernier, ce qui lui vaut de comptabiliser une 5° participation pour Courage, contre 7 à Matra et Porsche, 6 à Rondeau, 2 à Sauber et une à Ligier, Ferrari, Lancia et Jaguar. Son premier compagnon est Emmanuel Clerico, le fils du patron du Lido et surtout volant ACO 1989 et vice-champion de France F3 1995. Le 3° homme est Jean-Philippe Belloc, demi-finaliste du volant Elf 1990 et champion de France F3 en 1994. Contrairement à Clérico qui compte une participation en 1995, Belloc débute au Mans, en endurance et aussi au volant d'une voiture de sport.

Retardée par des soucis de direction et de boîte de vitesses le mercredi, notre Courage ne va guère briller aux essais, se contentant d'un 3'48"651 signé Clérico qui place ainsi la C36 en 5° ligne, 5° temps des LMP. Heureusement car le lendemain, il va envoyer la voiture dans le mur séparant la piste des stands. 

 

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En course, le premier écart de conduite arrive dès 16 H 43. Clérico, qui venait de ravitailler, s'en va explorer le bac à graviers du Tertre Rouge. S'il revient à son stand sans perdre trop de temps, la sanction est sévère. Notre Courage pointe à la 35° place en fin d'heure.

Mais les choses ne vont pas s'arranger et Pescarolo lui-même ira lui aussi souvent à la faute. Les changements de ressorts-amortisseurs ne rendront pas la C36 plus stable, et elle devient au fil des tours de plus en plus inconduisible. Conséquence du choc encaissé jeudi soir ? C'est ce que pense le quadruple vainqueur qui va demander à 18 H 52 un examen complet et approfondi du châssis. L'opération remise à neuf va durer 56 minutes sans pour autant résoudre le problème.

 

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Car si les rivets du train avant ont bien été consolidés, le mal semble maintenant arriver de l'arrière. Retrouvant le bac à graviers du Tertre Rouge à 0 H 05, Henri va ajouter une dizaine de minutes à son passif, pour d'abord retrouver le sens de la course et ensuite faire procéder à une énième vérification. Il pointe désormais en 26° position avec 2 tours d'avance sur la C36 de AndrettI.Et 2 heures plus tard, ce sera le tour de Belloc de partir à la faute à la chicane Dunlop. une vraie formation continue pour les jeunes mécaniciens de la Filière ! 

Mais malgré tous ces aléas, le dimanche matin va fêter une superbe et inattendue 8° place pour notre C36, qui vient de passer la Ferrari peu après 10 heures. Hélas le changement des quatre disques en deux opérations distinctes va coûter la médaille de bronze de sa catégorie à la Courage. Elle finira finalement à la 7° place du général, 4° des LMP.

 

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Modèle Spark

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Encore une présentation, waw ! 

 

Elle est chouette cette auto, déjà parce qu'il y a notre très cher Pesca au volant, parce que c'est une auto 100% française et parce qu'en plus, je trouve que les barquettes prototypes de l'époque avait un look bien sympa ! 

 

Encore une fois une très bonne présentation ! 

 

Au fait, je t'ai envoyé un MP, as tu vu ? :D

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il y a 1 minute, pprv94 a dit :

Elle est chouette cette auto, déjà parce qu'il y a notre très cher Pesca au volant, parce que c'est une auto 100% française et parce qu'en plus, je trouve que les barquettes prototypes de l'époque avait un look bien sympa ! 

 

Tu as parfaitement bien résumé ! :fuck:

 

il y a 2 minutes, pprv94 a dit :

Encore une fois une très bonne présentation !

 

Merci Paul

 

il y a 2 minutes, pprv94 a dit :

Au fait, je t'ai envoyé un MP, as tu vu ?

 

Heu...non, j'y vais :classic_wacko:

 

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Ahhh... Je passe très vite sur la LMP2 affublée de son aileron de quinquin réglementaire, et voilà que je tombe sur cette magnifique Courage aux couleurs emblématiques, qui plus est 'drivée' par l'illustre Riton. Ça doit être ça qu'on appelle l'ascenseur émotionnel (de marque ATS, bien sûr  !).

Modifié par triceratops
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Une auto du grand barbu, ca ne se refuse pas.

La miniature est superbe, la course très bien relatée, les photos au top.
Que demander de plus ?

Un très bon choix, Hugues.
Un modèle essentiel dans toutes collections, enfin dans la mienne en tous cas...

Modifié par panos
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Il y a 2 heures, Arnage67 a dit :

un modèle que bon nombre de "forumeurs" doivent avoir dans leurs vitrines ...

 

il y a 51 minutes, panos a dit :

Un modèle essentiel dans toutes collections

 

 

Eh oui les gars, on a été nombreux à se ruer sur celle-ci, comme sur la #15 de 98. Les voitures de Pescarolo, ce sont des monuments historiques....Enfin pas toutes parce que la Matra de 72 va être vendue demain....Désolant.

 

il y a une heure, triceratops a dit :

je tombe sur cette magnifique Courage aux couleurs emblématiques, qui plus est 'drivée' par l'illustre Riton. 

 

Magnifique oui, ces C36 Sparkiennes sont effectivement superbement réalisées. Un vrai bonheur pour les collectionneurs

 

Merci de vos commentaires les zamis

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En 2016, le retour de Ford au Mans est bien effectif. Les quatre GT sont là, objets de curiosité pour le public et les médias.  D’abord, il y a la nouvelle GT : une machine de guerre façonnée par l’aérodynamisme et à l’allure intimidante. Retrouvant le faciès nostalgique de son ancêtre, la Ford GT a une partie arrière plus radicale, surlignée d'un grand aileron et soulignée  par un énorme extracteur d'air suspendu. Notez également les échappements arrières reconduits vers les jupes latérales. Le châssis est en fibre de carbone et le moteur est une évolution du 3,5 litres V6 retravaillé par Roush Yates. 

 

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C'est un moment historique pour Ford a déclaré Bill Ford, président exécutif. Nous avons rêvé d'un retour au Mans, 50 ans après la victoire de 1966. Mais Ford ne vient pas dans la Sarthe que pour souffler des bougies. C’est en effet une véritable opération commando qui se prépare depuis plusieurs années et pour exploiter ses quatre GT, Ford s’appuie sur le team expérimenté Chip Ganassi, un grand spécialiste des courses d’endurance. Mais seules, les #68 et 69 sont exploitées par l'écurie américaine, les deux autres étant confiées à Multimatic Engineering. Dans ses valises, Chip Ganassi emmène des pilotes de renom, tels Sébastien Bourdais ou Scott Dixon. Ce dernier partage le volant de notre #69 avec Ryan Briscoe et Richard Westbrook.

 

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Le talent de Ryan Briscoe ne suffira pas lors de la journée test, ce dernier ne pouvant pas faire mieux que 3'56"039, un peu en dessous des 3'55"122 de la Corvette de Garcia. Le premier round entre les constructeurs américains est favorable aux tenants du titre. Ce sera bien différent lors des essais. Après avoir laissé Olivier Pla donner une idée du potentiel des Ford à 22 H 13 (3'52"038), les deux Ford du Chip Ganassi Team USA vont conclure en beauté avec un 3'51"497 signé Briscoe puis un retentissant 3'51"185 réalisé par Dirk Müller. L'hégémonie Ford est totale avec deux voitures aux deux premières places.

Mais le début de course sur le mouillé va redistribuer les cartes et si la lutte fait rage en tête de la course, c'est entre Ferrari et Porsche. Mais les écarts sont faibles et chaque dépassement, chaque ravitaillement est prétexte à une remise en cause du classement. Et en fin de quatrième heure, c'est bien notre Ford qui pointe en tête.

 

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Puis la Ferrari #51 et les Porsche vont dégringoler et les Ford #66, 68 et 69 vont rouler groupées avec la Ferrari #82 de longues heures durant. La lutte entre les Ford et la Ferrari du Risi Competition sera de toute beauté et notre #69 s'accroche à sa seconde place jusqu'à 4 H 36, heure à laquelle elle rétrograde d'une place suite au changement des disques de frein. L'opération ne demande que 3'43" mais lorsque Scott Dixon repart à 4 H 40, la Ford de Bourdais est passé devant, et se retrouve à un tour de la Ferrari de tête. 

Solidement installée depuis la 14° heure à la troisième place du GTE Pro, notre Ford ne s'est jamais remise de ce changement de plaquettes et disques. Régulièrement, elle va revenir dans le même tour des leaders, la Ford GT #68, établissant au passage un nouveau record du tour en 3'51"514 aux mains de Scott Dixon. Et sous le drapeau à damiers, il ne lui manquera que 1'24"794 pour assurer un doublé à Ford.

 

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Miniature TSM

 

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(modifié)
Il y a 4 heures, alm93 a dit :

Tu a cassé la tirelire ?

 

Chère, mais pas plus qu'une Spark.

 

Il y a 1 heure, Arnage67 a dit :

moi aussi j'ai craqué et cassé ma tirelire pour cette magnifique Ford GT

 

Ouais, pas très bon marché il est vrai, mais tellement belle :love:

 

Il y a 1 heure, Arnage67 a dit :

j'ai choisi la winneuse n°68 de Bourdais

 

Très bon choix Jérôme, mais la mienne, je l'ai acheté sur LBC il me semble 60 € port compris. Du coup, j'ai pris ce qu'il y avait...:crazy:

Modifié par gennaro1
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Il y a 6 heures, gennaro1 a dit :

En 2016, le retour de Ford au Mans est bien effectif. Les quatre GT sont là, objets de curiosité pour le public et les médias.  D’abord, il y a la nouvelle GT : une machine de guerre façonnée par l’aérodynamisme et à l’allure intimidante. Retrouvant le faciès nostalgique de son ancêtre, la Ford GT a une partie arrière plus radicale, surlignée d'un grand aileron et soulignée  par un énorme extracteur d'air suspendu. Notez également les échappements arrières reconduits vers les jupes latérales. Le châssis est en fibre de carbone et le moteur est une évolution du 3,5 litres V6 retravaillé par Roush Yates. 

 

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C'est un moment historique pour Ford a déclaré Bill Ford, président exécutif. Nous avons rêvé d'un retour au Mans, 50 ans après la victoire de 1966. Mais Ford ne vient pas dans la Sarthe que pour souffler des bougies. C’est en effet une véritable opération commando qui se prépare depuis plusieurs années et pour exploiter ses quatre GT, Ford s’appuie sur le team expérimenté Chip Ganassi, un grand spécialiste des courses d’endurance. Mais seules, les #68 et 69 sont exploitées par l'écurie américaine, les deux autres étant confiées à Multimatic Engineering. Dans ses valises, Chip Ganassi emmène des pilotes de renom, tels Sébastien Bourdais ou Scott Dixon. Ce dernier partage le volant de notre #69 avec Ryan Briscoe et Richard Westbrook.

 

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Le talent de Ryan Briscoe ne suffira pas lors de la journée test, ce dernier ne pouvant pas faire mieux que 3'56"039, un peu en dessous des 3'55"122 de la Corvette de Garcia. Le premier round entre les constructeurs américains est favorable aux tenants du titre. Ce sera bien différent lors des essais. Après avoir laissé Olivier Pla donner une idée du potentiel des Ford à 22 H 13 (3'52"038), les deux Ford du Chip Ganassi Team USA vont conclure en beauté avec un 3'51"497 signé Briscoe puis un retentissant 3'51"185 réalisé par Dirk Müller. L'hégémonie Ford est totale avec deux voitures aux deux premières places.

Mais le début de course sur le mouillé va redistribuer les cartes et si la lutte fait rage en tête de la course, c'est entre Ferrari et Porsche. Mais les écarts sont faibles et chaque dépassement, chaque ravitaillement est prétexte à une remise en cause du classement. Et en fin de quatrième heure, c'est bien notre Ford qui pointe en tête.

 

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Puis la Ferrari #51 et les Porsche vont dégringoler et les Ford #66, 68 et 69 vont rouler groupées avec la Ferrari #82 de longues heures durant. La lutte entre les Ford et la Ferrari du Risi Competition sera de toute beauté et notre #69 s'accroche à sa seconde place jusqu'à 4 H 36, heure à laquelle elle rétrograde d'une place suite au changement des disques de frein. L'opération ne demande que 3'43" mais lorsque Scott Dixon repart à 4 H 40, la Ford de Bourdais est passé devant, et se retrouve à un tour de la Ferrari de tête. 

Solidement installée depuis la 14° heure à la troisième place du GTE Pro, notre Ford ne s'est jamais remise de ce changement de plaquettes et disques. Régulièrement, elle va revenir dans le même tour des leaders, la Ford GT #68, établissant au passage un nouveau record du tour en 3'51"514 aux mains de Scott Dixon. Et sous le drapeau à damiers, il ne lui manquera que 1'24"794 pour assurer un doublé à Ford.

 

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Miniature TSM

 

Ahahah ! 

Une bonne grosse GT comme je les aime ! Elles ont vraiment au dessus les Américaines, comme les Japonaises des années 90. 

Bref j'ai pas besoin de tt'etaler à quel point J' ADORE ! 

Une auto sublime ! Au top! Waw !! 

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Il y a 5 heures, Arnage67 a dit :

Encore une très belle présentation 👍

 

Et moi aussi j'ai craqué et cassé ma tirelire pour cette magnifique Ford GT mais j'ai choisi la winneuse n°68 de Bourdais

Une très belle auto pour une magnifique miniature.

La Ford GT est essentielle dans une collection.
Perso, j'ai aussi déniché la 68 que je cherchais depuis un moment, le tout pour 55 € FDP inclus.
Une TSM au prix d'une Spark, y'a pas à hésiter...  

Superbe achat Hugues.

Modifié par panos
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Il y a 15 heures, pprv94 a dit :

Une auto sublime !

 

J'adore moi aussi ! 

 

Il y a 13 heures, panos a dit :

Perso, j'ai aussi déniché la 68 que je cherchais depuis un moment, le tout pour 55 € FDP inclus.

 

Bonne pioche, bravo ! 

 

Il y a 10 heures, Alain du 38 a dit :

Même avis !

 

Merci Alain

 

Et merci à vous tous pour vos commentaires :jap:

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Superbe miniature, on voit tout de suite que ce n'est pas la version 4x4 châssis court d'IXO 😁. NB : même si IXO n'est pas TSM, comment ont ils pu se tromper à ce point ?Quant à la présentation, elle est comme toujours au niveau de la miniature !

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