Le topic des VHs électrique / hybride / Hydrogène et autres énergies

[Invité §geg572mh]

08/06/2013 | Mise à jour : 14:32 VIA JOURNAL DE L'AUTO

Mia electric: un nouveau candidat à la reprise présenté lundi (Royal)

 

Un nouveau candidat s'est présenté pour reprendre le fabricant de voitures Mia Electric (ex-Heuliez), a-t-on appris samedi auprès de la présidente PS de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, qui a précisé que la région resterait engagée dans l'entreprise.

"S'il n'y avait pas eu ce nouveau repreneur, le commissaire aux comptes aurait demandé la liquidation", s'est félicitée Mme Royal, qui avait annoncé sur son compte du réseau social Twitter que les emplois seraient préservés.

 

"L'idée est de rassurer les salariés", a-t-elle ajouté, précisant qu'il ne lui appartenait pas à ce stade de révéler l'identité du repreneur, qui sera évoquée lors d'un comité d'entreprise lundi.

 

"Compte-tenu de la bonne impression faite par le repreneur, la région a décidé de rester au capital", a-t-elle ajouté.

 

La Mia Electric avait été lancée en 2011 par les groupes allemands de services ConEnergy et Kohl, en partenariat avec la région Poitou-Charentes (actionnaire à hauteur de 12%), sauvant ainsi l'activité véhicule électrique du constructeur français Heuliez, installé dans les Deux-Sèvres, à Cerizay (250 employés).

 

Mais les quatre modèles de cette petite voiture n'ont pas atteint les objectifs de vente fixés, avec 400 exemplaires vendus en 2011 et 800 en 2012, alors que le marché des voitures électriques peine à décoller, faute notamment d'infrastructures de charge.

 

En 2012, Mia Electric s'est classée en cinquième position en France, avec 337 véhicules vendus sur un marché de 5.663 unités, derrière la Citroën C-Zéro, la Peugeot iOn, la Blue Car (Bolloré pour Autolib) et la Nissan Leaf, selon des données de l'entreprise.

Pour 2013, le fabricant peut en revanche notamment compter sur les commandes de la centrale d'achat public UGAP, qui a annoncé l'achat sur trois ans de 500 Mia quatre places.

 

mck/lab/phc/cj

KOHL'S

PSA Peugeot Citroën

Peugeot

BOLLORE

NISSAN MOTOR

© 2013 AFP

[Percer]

Voici le graphe de ventes des véhicules particuliers électriques, jusqu'en Mai 2013.

 

Alors en trois ans on ne voit pas bien le décollage du marché, mais on peut se faire une idée de son atterrissage ...

Est-ce qu'on en a pas marre sans arrêt de porter aux nues des faillites ambulantes ?

 

Alors qu'on a déjà essayé la même chose il y a trente ans, qu'on y a consacré déjà de fort investissements, et qu'il n'y a pas eu de gap technologique significatif depuis lors ?

 

Et on est prêts à recommencer avec l'hydrogène, dont le moindre livre d'il y a 8 ans traitant du sujet au programme du BTS, déclarait que les véhicules seraient un des derniers domaines couvert par l'hydrogène. Ou sont les autres domaines où on voit poindre l'utilisation de l'hydrogène énergie ?

 

Ce ne sont que des pièges aux subventions, là les fournisseurs électriques pour les VE, mais avant les betteraviers pour les agrocarburants, les constructeurs pour le Diesel ...

 

Tout ce qu'on a réussi ces dernières années et tout ce fric, c'est de généraliser l'empoisonnement de l'air des villes avec le Diesel.

 

Alors quand l'Europe s'illustre avec des modèles hybrides Peugeot et Volvo utilisant le Diesel que l'OMS vient de déclarer cancérogène certain, on se demande si l'Europe en général et la France en particulier n'ont pas perdu la tête.

 

Elle est belle l'Europe !

Et la France est à la pointe ...

Si j'en crois le grah:

Cumul 2011: 1663

Cumul 2012: 3647

Cumul 2013 (5 mois): 2069 ce qui en rythme anuel fait environ: 5000 et sans ce mois de mai pourri pour le marché auto en général ca serait proche de 6000.

On est donc très loin d'un atterrissage, mais plutôt sur une progression en dents de scie mais constante.

[Invité §geg572mh]

FRANCE en MAI 2013 / hybride / électrique

 

http://www.blogcdn.com/es.autoblog.com/media/2012/02/00peugeot-508-rxh25.jpg

 

[*n]Toyota Yaris HSD 977

[*n]Renault ZOE 483

[*n]Toyota Auris HSD 447

[*n]3008 Peugeot 420 HYbrid4

[*n]Toyota Prius 319

[*n]508/RXH Peugeot 312

[*n]Citroën DS5 HYbrid4 263

[*n]Nissan Leaf 124

[*n]Lexus CT200h 118

[*n]Lexus RX450h 68

[*n]Honda Jazz IMA 59

[*n]VW Jetta Hybrid 59

[*n]Bolloré Bluecar 49

[*n]Honda CR-Z 15

[*n]Auto MIA 13

[*n]Smart ForTwo ED 10

[*n]Audi Q5 Hybrid 9

[*n]Kia Optima Hybrid 9

[*n]Honda Insight 8

[*n]Infiniti M35h 7

 

Le 3008 fonctionne bien dans ce marché, comme la 508 !

ZOE et Leaf électrique atteignent seulement des chiffres raisonnables.

 

http://www.blogcdn.com/es.autoblog.com/media/2013/06/highintl40749.jpg

[Invité §geg572mh]

 

 

[h1]Pour l'Allemagne, on rappelle que la Zoé a un moteur allemand /[/h1][h3]10/06/2013 — / La Renault franco-allemande.[/h3]http://www.moteurnature.com/zvisu/2013/87/Renault-Zoe-Deutschland.jpg

Il y a peut-être des clients Mercedes qui l'ignorent, mais sur une A 180 CDI, le moteur est fabriqué par Renault.

A l'occasion du lancement de la Renault Zoé en Allemagne (samedi dernier), le grand équipementier allemand Continental est venu rappeler que la globalisation de l'économie marche dans tous les sens, et que c'est lui qui fabrique le moteur de la Zoé. De même les moteurs des Kangoo et Fluence Z.E.

 

Le moteur de la Zoé est incontestablement le meilleur des 3.

On soulignera qu'il est a excitation séparée (on dit aussi indépendante), et que les bobines de son stator comme de son rotor sont en cuivre. Sans terres rares donc.

Pour ce qui est de la commercialisation ensuite, le client allemand aura moins de choix que le client français, puisque de l'autre côté du Rhin, toutes les Zoé seront vendues avec une Wallbox RWE.

Ce n'est évidemment pas gratuit, la Zoé est plus chère en Allemagne du fait de l'ajout de cet équipement, mais le supplément inclut l'installation, effectuée elle aussi par RWE.

 

En attendant les futurs modèles électriques des marques allemandes, il ne fait aucun doute que la Renault Zoé sera dés le mois prochain la voiture électrique la plus vendue en Allemagne, comme elle l'est déjà en Italie (80 Zoé sur un total de 118 immatriculations).

Et pour nos lecteurs qui lisent l'italien, ajoutons que la Zoé a remporté un joli succès d'estime, sur le circuit de Modène, dans le cadre d'une journée EcoRace.

[Invité §ebi210kH]

Notons qu'il est plus "honnête" de vendre la voiture avec la Wallbox et l'installation comprises dans le prix d'achat puisque

la technologie de charge adoptée rend cet équipement obligatoire.

 

Au moins cela met tous les clients sur le même tarif et évite les risques de tomber sur un électricien qui va la jouer "marge_de_ouf" en

baratinant qui plus est le client sur les énooormes économies faites en roulant électrique.

 

Par ailleurs cela évite aussi des déconvenues de gens achetant cette voiture sans pouvoir installer de box (appartement, locataire en copropriété, etc.),

ou comment se retrouver sinon piégé du moins dépendant des bornes publiques... qui sont rares, surtout pour Zoé qui a besoin d'un type de connecteur peu

répandu.

[Invité §Yog224lq]

EDF s’engage à émettre… plus de CO2

 

Electricité: la CRE confirme que le prix devra grimper

[Invité §geg572mh]

Comme pour le gasoil , on verras ça plus tard en ................

 

A moins qu'un vienne tout remettre en question

 

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/reuters-00526229-l-etat-rejette-l-idee-d-une-forte-hausse-des-tarifs-d-edf-572518.php

 

http://www.loractu.fr/france/4290-l-electricite-pourrait-augmenter-de-9-6-cet-ete-hollande-dit-non.html

 

Et aussi :

 

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/06/05/les-tarifs-d-edf-pourraient-flamber_3424448_3234.html

 

[Invité §Yog224lq]

As-tu oublié comment cela s'est passé à chaque fois sous Sarko? Le conseil constitutionnel a rebelotté les gels de tarifs conventionnés. Ce n'est pas une question de bord/volonté politique. Hausse il y aura.

[Percer]

Maintenant l'impact d'une telle hausse sur le cout au KM d'une voiture électrique n'est pas très important.

[Invité §geg572mh]

Ces annonces d'augmentation OSF , on roule , on assume quelque soit le carburant / l'énergie

 

 

 

[h1]La Nissan Leaf 2.0 remporte le Grand Prix Auto Environnement MAAF 2013[/h1]

 

 

Posté le 23/05/2013 à 20:51 par Michaël TORREGROSSA - Lu 954 fois -

 

 

http://www.avem.fr/img/news/2013/nissan_leaf_maaf.jpg

La berline électrique Nissan Leaf 2.0 vient de remporter le Grand Prix Auto Environnement Maaf 2013

 

Organisé pour la 9ème année consécutive, le Prix Auto Environnement MAAF permet d'encourager et de promouvoir les innovations qui contribuent à une mobilité durable et dont l'impact sur l'environnement est réduit.

 

Les critères retenus pour l’évaluation de chaque véhicule sont les rejets de CO2, d’oxydes d’azote, d’hydrocarbures et de particules. Pour la première fois dans la catégorie « Electrique », le critère de la consommation énergétique aux 100 km a été pris en compte dans la grille de notation établie par MAAF.

 

Tous les possesseurs de la Nissan pourront ainsi profiter d'avantages sur leur assurance auto auprès de la MAAF.

 

En effet, toute personne qui assurera son véhicule chez MAAF Assurances pourra bénéficier du Pur Bonus Auto, soit une réduction de 100 € sur la première année de cotisation.

 

Le Volvo V60 PHEV et le Renault Kangoo ZE également récompensés

 

Les véhicules rechargeables ont été largement plébiscités pour cette édition 2013.

 

La Volvo V60 Plug-in Hybrid a ainsi été récompensée dans la catégorie « hybride et hybride rechargeable » tandis que la Renault Kangoo ZE a été retenu dans la catégorie « Véhicule utilitaire léger ».

 

A noter également, la récompense de PSA Peugeot Citroën qui reçu le « Prix des Technologies d’avenir » pour son système Hybrid Air association motorisation thermique et air comprimé.

 

« Le Prix Auto Environnement témoigne de l’intérêt que MAAF porte depuis longtemps aux questions environnementales. Parce qu’elles touchent à la santé publique et à la sauvegarde de notre planète, toutes les initiatives prises par les professionnels doivent être encouragées. Le Prix a pour objet de mieux porter ces initiatives à la connaissance du public » précise Yannick Picard, Président du Jury et Directeur du Département Développement Durable MAAF.

 

 

credit-a-taux-preferentiel-pour-les-vehicules-electriques

 

http://www.autoactu.com/la-maaf-propose-un-credit-a-taux-preferentiel-pour-les-vehicules-electriques.shtml

[Percer]

[h1]Autolib s’exporte aux Etats-Unis[/h1]

 

 

La ville d’Indianapolis fait appel au groupe Bolloré pour déployer son service d’autopartage.http://www.cartech.fr/i/edit/2012/07/39774368/autolib.jpg

Le groupe Bolloré avait déjà prévu de dupliquer son service d’autopartage parisien dans d’autres villes, et pas seulement françaises. Après Lyon (BlueLy) et bientôt Bordeaux, c’est au tour de la ville américaine d’Indianapolis de faire appel au groupe français.

Le maire de cette ville de 830.000 habitants s’est lancé dans un plan d’électrification des voitures de son agglomération. En décembre dernier, il se disait même favorable à une électrification totale d’ici à 2025. Ces intentions ont donc rapidement laissé place à des actes, la ville annonce aujourd’hui la signature d’un contrat de 35 millions de dollars avec le groupe Bolloré pour mettre en place un service d’autopartage.

On ne connaît pas encore la portée de la prestation du groupe français et notamment le type de véhicule employé. Toutefois, ce service d’autopartage reposera à terme sur 500 voitures électriques, 200 points stations de ravitaillement et 1.200 points de charge. Il entrera en service en 2014.

http://www.cnetfrance.fr/cartech/autolib-s-exporte-aux-etats-unis-39791230.htm

 

Par contre les véhicules ne seront pas les Bluecar de Bolloré mais des Leaf et de Focus!

De là a voir ces voitures équipées de batteries batScap?

 

http://cmsimg.indystar.com/apps/pbcsi.dll/bilde?Site=BG&Date=20130610&Category=NEWS05&ArtNo=306100049&Ref=AR&MaxW=600&Border=0

http://www.indystar.com/article/20130610/NEWS05/306100049/French-run-car-sharing-service-will-raise-Indy-s-profile-business-leaders-say?nclick_check=1

[Invité §geg572mh]

08/06/2013 | Mise à jour : 14:32 VIA JOURNAL DE L'AUTO

Mia electric: un nouveau candidat à la reprise présenté lundi (Royal)

 

Un nouveau candidat s'est présenté pour reprendre le fabricant de voitures Mia Electric (ex-Heuliez), a-t-on appris samedi auprès de la présidente PS de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, qui a précisé que la région resterait engagée dans l'entreprise.

"S'il n'y avait pas eu ce nouveau repreneur, le commissaire aux comptes aurait demandé la liquidation", s'est félicitée Mme Royal, qui avait annoncé sur son compte du réseau social Twitter que les emplois seraient préservés.

 

"L'idée est de rassurer les salariés", a-t-elle ajouté, précisant qu'il ne lui appartenait pas à ce stade de révéler l'identité du repreneur, qui sera évoquée lors d'un comité d'entreprise lundi.

 

"Compte-tenu de la bonne impression faite par le repreneur, la région a décidé de rester au capital", a-t-elle ajouté.

 

La Mia Electric avait été lancée en 2011 par les groupes allemands de services ConEnergy et Kohl, en partenariat avec la région Poitou-Charentes (actionnaire à hauteur de 12%), sauvant ainsi l'activité véhicule électrique du constructeur français Heuliez, installé dans les Deux-Sèvres, à Cerizay (250 employés).

 

Mais les quatre modèles de cette petite voiture n'ont pas atteint les objectifs de vente fixés, avec 400 exemplaires vendus en 2011 et 800 en 2012, alors que le marché des voitures électriques peine à décoller, faute notamment d'infrastructures de charge.

 

En 2012, Mia Electric s'est classée en cinquième position en France, avec 337 véhicules vendus sur un marché de 5.663 unités, derrière la Citroën C-Zéro, la Peugeot iOn, la Blue Car (Bolloré pour Autolib) et la Nissan Leaf, selon des données de l'entreprise.

Pour 2013, le fabricant peut en revanche notamment compter sur les commandes de la centrale d'achat public UGAP, qui a annoncé l'achat sur trois ans de 500 Mia quatre places.

 

mck/lab/phc/cj

KOHL'S

PSA Peugeot Citroën

Peugeot

BOLLORE

NISSAN MOTOR

© 2013 AFP

 

 

 

[h1]Mia Electric : la démocratie bafouée ?[/h1][h3]11/06/2013 — Les intérêts particuliers devant l'intérêt général.[/h3]http://www.moteurnature.com/zvisu/2013/87/Mia-Electrique.jpgMia Electric, le constructeur de la petite voiture électrique du même nom, qui est né de la scission d'Heuliez est encore une fois en grande difficulté. Il faut dire clairement pourquoi.

Mia Electric est en difficulté permanente parce qu'ils fabriquent un produit que personne ne veut acheter.

Renault avait naguère arrêté la fabrication de l'Avantime, et Citroën a récemment arrêté la C6. Peu importe que le produit soit bon ou mauvais, s'il n'y a pas de clients !

Des 337 Mia Electric vendues l'année dernière sur le marché français, combien ont été vendues parce que les clients étaient convaincus que la Mia est une bonne auto, et combien les ont acheté pour faire plaisir à la présidente de la région, donc par intérêt ?

 

Il ne doit pas y avoir de débat sur l'emploi, ni sur la voiture électrique. Le seul débat qui vaille est sur le maintien en activité d'une usine qui fabrique un produit que les automobilistes français ne veulent pas acheter.

Libre à chacun d'acheter une Mia pour me contredire !

[Invité §Yog224lq]

Encore un billet d'humeur, qui conclut en plus sur un sophisme (renversement de charge de la preuve).

 

Lamentable. Certains "journalistes" feraient mieux de se taire plutôt que d'inventer de la pseudo-info qui tient surtout du blog d'adolescent.

[Invité §geg572mh]

[h1]Mia Electric « survit et reste » allemand[/h1]publié par Frédéric Euvrard dans Actualité, Economie, Vie des marques le juin 11, 2013

 

Hier avait lieu à Cerizay un comité d’entreprise qui avait pour objet de donner son accord au transfert de propriété de l’actionnaire principal actuel Edwin Kohl vers un nouveau repreneur…

lui aussi allemand si l’on en croit les propos de Ségolène Royal qui était présente sur place puisque la région Poitou-Charentes est actionnaire de l’entreprise à hauteur de 10%.

Selon les éléments divulgués, l’allemand Edwin Kohl va transfèrer ses actions c’est à dire environ 90 % d’un capital estimé à 60 millions d’euros vers un nouveau propriétaire germanique.

Reste que l’on ne sait toujours rien au sujet de ce fameux repreneur et la patronne actuelle K.Roennau précise quand même que rien n’est formellement signé à l’heure actuelle.

Il y aura d’ailleurs une assemblée générale dans les prochains jours ou prochaines semaines pour acter ce « possible » transfert de capital. Ce n’est qu’à l’issue de ce comité d’entreprise et après la signature du contrat de cession des parts que l’on connaîtra le nom du repreneur.

La présidente de la région Poitou-Charentes d’ajouter que les perspectives sont positives car le nouveau repreneur s’engage à garder la totalité des salariés et toujours selon Ségolène Royal, il aurait même déjà prospecté de nouveaux marchés.

On restera prudent au sujet de ces propos car ce sont ceux d’une personnalité politique qui défend ses investissements et son mode de fonctionnement régional, nous sommes donc assez loin de la « clairvoyance » ou de l’objectivité d’un chef d’entreprise ou d’un administrateur.

On apprend aussi que ce mystérieux repreneur souhaite faire des gains de production en baissant les coûts d’achat des matières premières… comme c’est surprenant !!

Au final rien de neuf, beaucoup de bruit pour pas grand chose et des doutes qui subsistent encore quand on sait que Mia Electric n’a livré le mois dernier que 13 voitures neuves (combien à particulier ??) !

Attendons donc encore un peu avant de crier victoire pour le « sauvetage » de l’entreprise cerizéenne.

Un lien à lire en complément chez nos confrères de Moteurnature avec le billet d’humeur de Laurent J. Masson sur le sujet. C’est par là : http://www.moteurnature.com/ac [...] s_id=27005

Via AP, LaNouvelleRépublique

[Invité §geg572mh]

[h2]Essai nouvelle Nissan Leaf : 1.2 plus que 2.0[/h2]

http://www.autodeclics.com/nissan/essai/49254-essai_nissan_leaf_12.html

[Invité §ebi210kH]

La démocratie bafouée... rien que ça.

 

Que dire alors quand Areva (entreprise à très large majorité publique) perd 3 milliards d'€ (pour l'instant) sur le chantier d'un EPR en Finlande,

soit plus que le prix du contrat initial (faut le faire). De quoi financer deux examens du bac, sans doute plus

utile à l'avenir des petits Français que l'électricité des Finlandais.

 

Il se vend moins de Mia que prévu, mais personne n'a dit que c'était du tout cuit, surtout en ce moment où l'ensemble des constructeurs souffrent

et ne se privent pas de venir demander du blé pour leurs banques de financement et autres.

 

En même temps c'est Moteur Nature...

[Invité §geg572mh]

11/06/2013 | Mise à jour : 12:21 via JOURNAL de l'auto[h1]Mia Electric: une franco-coréenne ayant une entreprise en Allemagne intéressée à la reprise[/h1]

 

L'entrepreneur qui s'est fait connaître la semaine dernière pour reprendre la voiture Mia Electric à Cerizay (Deux-Sèvres) est une franco-coréenne ayant une entreprise en Allemagne, a indiqué mardi à l'AFP une source proche du dossier, confirmant une information du Monde.

"Il s'agit d'une franco-coréenne qui dirige une société en Allemagne", a indiqué cette source.

Cette entrepreneuse avait annoncé sa décision après un examen approfondi, sur place, des comptes et des procédures de fabrication, a-t-on ajouté. Elle s'est dite prête à garder les 210 employés de l'usine.

Elle a obtenu le soutien du conseil de surveillance le 5 juin et celui du comité d'entreprise lundi, a-t-on précisé.

Interrogée, la direction de Mia Electric n'a pas démenti ces informations, mais en précisant que la signature n'était pas encore effective.

Ségolène Royal, présidente PS du Conseil régional de Poitou-Charentes actionnaire à 11,88% de Mia Electric (l'industriel allemand Edwin Kohl qui l'avait reprise en 2010 possède le reste via deux sociétés), s'est dite auprès de l'AFP "très satisfaite" de l'arrivée de cette candidate dont elle n'a pas souhaité révéler le nom avant la signature.

"Malgré les rebondissements et les péripéties, il faut tenir bon et accompagner cette reprise pour qu'elle réussisse", a-t-elle ajouté. "Je continuerai à me battre jusqu'au bout" sur ce dossier, a-t-elle assuré.

Elle a noté que Mia Electric fait "un très beau produit, qui souffre actuellement de son prix et dont la production doit absolument monter en puissance" et a déploré l'absence de "politique nationale de déploiement de la voiture électrique" en France.

En 2012, Mia Electric s'est classée en cinquième position en France, avec 337 véhicules vendus sur un marché de 5.663 unités.

Pour 2013, le fabricant peut compter sur les commandes de la centrale d'achat public UGAP, qui a annoncé l'achat sur trois ans de 500 Mia quatre places.

Par ailleurs, à Cerizay, trois candidats ont déposé chez l'administrateur judiciaire, à la date limite de lundi soir, un dossier de reprise de l'entreprise d'emboutissage en redressement judiciaire Heuliez SAS -- dont l'activité et celle de Mia Electric cohabitaient jusqu'en 2010 au sein d'Heuliez --, a indiqué Jean-Emmanuel Valade, délégué CFE-CGC.

Deux candidats ont souhaité garder l'anonymat. Le troisième, Christian de Léotard, un ingénieur automobile et ingénieur carrossier, s'était déjà déclaré.

L'administrateur judiciaire doit "mettre en forme" ces trois dossiers avant d'en communiquer le contenu détaillé, a ajouté M. Valade.

© 2013 AFP

[Percer]

Encore un billet d'humeur, qui conclut en plus sur un sophisme (renversement de charge de la preuve).

 

Lamentable. Certains "journalistes" feraient mieux de se taire plutôt que d'inventer de la pseudo-info qui tient surtout du blog d'adolescent.

 

 

La démocratie bafouée... rien que ça.

 

Que dire alors quand Areva (entreprise à très large majorité publique) perd 3 milliards d'€ (pour l'instant) sur le chantier d'un EPR en Finlande,

soit plus que le prix du contrat initial (faut le faire). De quoi financer deux examens du bac, sans doute plus

utile à l'avenir des petits Français que l'électricité des Finlandais.

 

Il se vend moins de Mia que prévu, mais personne n'a dit que c'était du tout cuit, surtout en ce moment où l'ensemble des constructeurs souffrent

et ne se privent pas de venir demander du blé pour leurs banques de financement et autres.

 

En même temps c'est Moteur Nature...

+1 D'autant plus qu'on peut dire que l'intérêt général est justement d'encourager et d'aider ce genre de petite entreprise innovante, et de sortir le pays de cette saloperie qu'est le tout pétrole en matière de transport routier, et ce n'est pas le marché qui nous y aidera.

ET quand je pense que le site qui signe ce torchon s'appelle moteur nature

[Invité §geg572mh]

FRANCE en MAI et cumul 5 mois / le marché de l'occasion en VHs électrique et VP ( source AAA et CCFA) :

 

-Citroen Czéro 8 / cumul 56

-Mitsu I-Miev 1/cumul 2

-Nissan LEAF 23 / cumul 92

-Peugeot Ion 10 / cumul 83

-Renault zoe 28 / cumul 44

 

 

[Invité §Sol751DF]

Pire qu'Auto Plus ce Moteur Nature...

[Invité §geg572mh]

[h1]Sans la Bluecar, l'Autolib s'exporte à Indianapolis[/h1][h3]12/06/2013 — L'autopartage au pays de la propriété privée.[/h3]http://www.moteurnature.com/zvisu/2013/87/Bollore-Bluecar-Autolib-Paris.jpgC'est avec une certaine surprise que nous apprenons que le groupe Bolloré a signé un contrat pour mettre en place un service similaire à l'Autolib parisien avec la ville américaine d'Indianapolis. Soit la ville que tout le monde connait pour ses courses ultra rapides. Et l'annonce est d'autant plus surprenante que s'il y a déjà des expériences d'autopartage aux Etats-Unis, c'est à New York, ou en Californie. A Indianapolis, traditionnellement une ville très conservatrice, les gens ont tous une voiture personnelle, et avoir une arme fait aussi partie des choses normales.

L'autopartage peut-il réussir là ? Bolloré y croit.

A priori, le groupe français n'y irait qu'avec ses logiciels et son organisation. La Bluecar en effet, n'est pas homologuée pour les Etats-Unis, et sans ABS ni ESP, il serait impossible de l'y faire immatriculer.

 

Le groupe Bolloré acheterait donc des voitures électriques produites localement, des Nissan Leaf ou des Ford Focus, ainsi que les chargeurs qui vont avec, et à lui ensuite de développer son service avec le même succès qu'à Paris.

Départ début 2014, avec l'objectif de gérer un parc de 500 voitures. On lui souhaite bonne chance, car ce n'est pas si souvent qu'une entreprise française a l'occasion de lancer un projet ambitieux aux Etats Unis.

[Invité §geg572mh]

Du "liberticide" du jour

Un député veut des taxis hybrides

 

 

http://www.largus.fr/actualite-automobile/un-depute-veut-des-taxis-hybrides-2859371.html

 

[h1]L’amendement qui fait peur aux taxis/[/h1][h2]Tous les nouveaux taxis devront avoir un moteur hybride. C’est ce que veut faire voter un député socialiste. Levée de boucliers assurée.[/h2]Matthieu Pelloli | Publié le 12 juin 2013, 07h00

 

http://www.leparisien.fr/images/2013/06/12/2888799_3c4c2250-d2df-11e2-85d3-001517810e22_545x341.jpgDes véhicules hybrides, comme le souhaite le député de la Gironde Philippe Plisson, est « une mesure qui n’a aucun sens » pour les taxis de banlieue, selon un artisan.(LP/Philippe Lavieille.)

L’idée risque de faire grincer les dents de nombreux chauffeurs de taxi.

Dans le cadre du projet de loi sur la consommation, Philippe Plisson, député socialiste de Gironde, a déposé un amendement qui sera examiné en commission d’ici à la fin de la semaine à l’Assemblée.

Le projet est simple : « Toute nouvelle immatriculation de taxi délivrée par la préfecture doit être accordée sur des véhicules hybrides recensés. »

[Invité §Yog224lq]

http://www.caradisiac.com/Seat [...] -87364.htm

Seat Leon Verde : l'hybride rechargeable selon Seat

 

elle semble excellente, avec même de meilleures performances que la Yaris

[Invité §ebi210kH]

Le truc que je ne pige pas c'est ce besoin de coller 170 bourrins pour faire une voiture écologique...

 

Un mix un peu plus raisonnable du style 90 ch + 70 ch électrique qui aboutirait à un mix dans les 110/120 ch devrait suffire à donner des perfs tout à fait bonnes

en réduisant le poids et la facture.

[Invité §geg572mh]

Meilleure façon de transformer l'océan en carburant

L'UNIVERSITÉ DE WOLLONGONG

WEDNESDAY, 12 JUIN 2013

Partager sur e-mailPartager sur print http://sciencealert.com.au/images/stories/Willyam_Bradberry_ocean_shutterstock.jpg Les chercheurs ont créé un film de matière plastique flexible qui agit comme un catalyseur pour commencer de séparation d'eau avec un apport d'énergie faible. Image: Willyam Bradberry / Shutterstock   UOW scientifiques ont développé une nouvelle façon de transformer l'eau de mer en hydrogène, pour une source d'énergie durable et propre.   En utilisant cette méthode, aussi peu que cinq litres d'eau de mer par jour seraient produire suffisamment d'hydrogène pour alimenter une maison de taille moyenne et une voiture électrique pour une journée. L'équipe de recherche à l'Australian Research Council Centre de UOW d'excellence pour Electromaterials sciences (ACES) ont développé un catalyseur d'assistance qui nécessite moins d'apport d'énergie pour activer l'oxydation de l'eau, qui est la première étape de séparation d'eau pour produire du carburant d'hydrogène. Une limitation importante avec les technologies actuelles, c'est que le processus d'oxydation a besoin d'un apport d'énergie plus élevée, ce qui exclut l'utilisation d'eau de mer en abondance, car elle produit du chlore gazeux toxique. L'équipe de recherche, dirigée par le Dr Jun Chen et le professeur Gerry Swiegers, ont produit un chlorophylle artificielle sur un film plastique conducteur qui agit comme un catalyseur pour commencer de séparation d'eau.   Les résultats ont été récemment publiés dans la revue Chemical Sciences .   L'auteur principal, le Dr Jun Chen, a déclaré le polymère souple signifierait qu'il pourrait être utilisé dans un large éventail d'applications et il est plus facile à fabriquer que les semi-conducteurs métalliques. «Le système que nous avons conçu, y compris les matériaux, nous donne la possibilité de concevoir différents périphériques et applications utilisant de l'eau de mer comme source dissociation de l'eau. "La nature flexible de la matière prévoit également la possibilité de construire des dispositifs de production d'hydrogène portables." Le développement apporte la recherche sur l'énergie de UOW un pas de plus vers la création d'un dispositif comme une feuille artificielle qui peut efficacement produire l'hydrogène. ACES exécutif Directeur de recherche Professeur Gordon Wallace a déclaré: «Dans le monde d'aujourd'hui la découverte de matériaux de haute performance n'est pas assez". "Ce doit être couplée avec la fabrication innovante pour fournir des dispositifs de haute performance pratiques et ce travail est un excellent exemple de cela", at-il dit.

[Invité §Yog224lq]

@Ebire : Un pote a une hybride...disons... segment D. A ce que je comprends, cet "overdrive" n'est jamais sollicité en pratique.

 

Je pense que c'est uniquement une volonté marketing, pour essayer de capter le kéké :

- qui veut se verdir ses fesses d'anges le matin

- et qui veut se la jouer petit démon le soir avec un "gros" chiffre testostéroné, pouvoir faire "un vrai bruit de moteur", et sentir l'essence et l'huile.

[Invité §geg572mh]

[h1]Ford a commencé à produire la Focus électrique à Sarrelouis...[/h1]

Publié le 13/06/2013 via news du CCFA

http://www.ccfa.fr/IMG/arton123243.jpg?1371117649

Ford a lancé la production de la Focus électrique en Allemagne, dans son usine de Sarrelouis. 16 millions d’euros ont été investis pour intégrer la production de la version électrique sur la ligne d’assemblage de la Focus installée sur le site.

La nouvelle Focus électrique est le premier modèle tout électrique Ford produit en Europe. Elle sera commercialisée sur le marché européen à compter du mois d’août.

Ford produit une version électrique de la Focus en Amérique du Nord depuis la fin 2011. (AUTOMOBILWOCHE 12/6/13, COMMUNIQUE FORD)

[Invité §geg572mh]

13/06/2013 | Mise à jour : 14:51 via journal de l'auto[h1]Mia Electric: un groupement d'investisseurs internationaux prend le contrôle[/h1]

 

Le constructeur automobile mia electric, à Cerizay (Deux-Sèvres) passe sous le contrôle d'un groupement d'investisseurs internationaux, Focus Asia GmbH, et aura désormais pour présidente une représentante de cette société, Michelle Boos, qui a promis d'emblée "une stratégie ambitieuse" pour accroître les ventes.

Une source proche du dossier avait évoqué cette semaine l'arrivée probable à la tête de mia electric "d'une franco-coréenne qui dirige une société en Allemagne".

L'accord entériné par le conseil de surveillance et l'assemblée générale, sur lequel le comité d'entreprise de mia electric a été consulté lundi, prévoit la cession des actions d'Impulsus clean Technologies GmbH et de MIA ELECTRIC GMBH, les deux sociétés de l'actuel principal associé et gérant allemand Edwin Kohl, soit 88% du capital, au consortium Focus Asia GmbH.

La région Poitou-Charentes conserve sa part de 12%.

L'accord, souligne la direction, "prévoit le maintien de la production et des emplois à Cerizay (210 personnes, NDLR) et renforce les fondations de mia electric".

Les partenaires n'ont pas souhaité indiquer le prix de cession.

Mme Boos a estimé dans le communiqué que l'opération "permettait à l'entreprise de poursuivre les défis du développement de la société sur le marché du véhicule électrique en France et surtout à l'international".

"Nous avons pour ambition d'accroître les ventes grâce à une stratégie ambitieuse et adaptée aux industries nouvelles que nous dévoilerons dans les prochaines semaines", a-t-elle assuré.

La présidente depuis avril, Kirsten Roennau, quitte ses fonctions dès jeudi, jugeant "achevées" ses missions principales: "Donner un nouvel élan à mia electric notamment dans son développement à l'international avec l'arrivée d'un nouvel importateur en Grande Bretagne", et trouver un nouveau partenaire.

Jeroen Haberland, directeur général d'Impulsus clean Technologies GmbH, actionnaire majoritaire de mia electric, a estimé que l'accord signé jeudi "répond à nos exigences prioritaires" puisqu'il "assure à l'entreprise les moyens de son développement" et "prévoit le maintien de l'emploi".

La présidente de la région, Ségolène Royal, s'était dite lundi "très satisfaite" de l'arrivée de ce repreneur.

"Il faut accompagner cette reprise pour qu'elle réussisse, avait-elle dit, tout en déplorant l'absence de "politique nationale de déploiement de la voiture électrique".

En 2012, mia electric était 5e sur le marché du véhicule électrique en France, avec 337 véhicules vendus sur un marché de 5.663 unités.

Pour 2013, le fabricant peut compter sur les commandes de la centrale d'achat public UGAP, qui a annoncé l'achat sur trois ans de 500 véhicules.

© 2013 AFP

[Invité §geg572mh]

14/06/2013 | Mise à jour : 10:52 via journal de l'auto[h1]Les nouveaux investisseurs apportent 36 millions d'euros à Mia Electric[/h1]

 

Le consortium international qui a pris le contrôle du constructeur automobile français Mia Electric lui apporte 36 millions d'euros, a indiqué vendredi sa nouvelle présidente Michelle Boos.

"La société a besoin d'un million d'euros par mois si elle ne vend pas de voiture", a indiqué Mme Boos lors d'une conférence de presse à Paris.

Estimant qu'il fallait compter environ trois ans pour que la société puisse se redresser, "j'ai multiplié cela par trois, ce qui fait 36 millions", a-t-elle poursuivi.

La société n'est pas rentable pour l'instant, a-t-elle reconnu.

Mia Electric est né en 2011 sur les cendres du constructeur français Heuliez, installé dans les Deux-Sèvres, à Cerizay.

Les groupes allemands ConEnergy et Kohl avaient repris, en partenariat avec la région Poitou-Charentes, l'activité véhicule électrique d'Heuliez, mais les objectifs de ventes n'ont jamais été atteints et l'entreprise a frôlé la liquidation judiciaire.

En début de semaine, 88% du capital a été repris par le consortium Focus Asia, tandis que la région Poitou-Charentes conserve sa part de 12%, avec le maintien prévu des 210 emplois à Cerizay.

Mme Boos, qui travaillait jusqu'à présent pour un fournisseur de Mia Electric, compte dans un premier temps faire profiter l'entreprise de son réseau pour vendre des voitures et "faire rentrer de la trésorerie".

Elle a aussi évoqué la possibilité de se lancer dans la vente de voitures en leasing et de pouvoir augmenter l'autonomie de la batterie à près de 680 kilomètres.

Elle a pris comme exemple "ce qu'a fait Tesla", société américaine spécialisée dans les voitures électriques haut-de-gamme, dont la capitalisation boursière dépasse à présent celle de l'italien Fiat et du français PSA Peugeot Citroën.

laf/cb/mml

KOHL'S

TESLA MOTORS

FIAT

PSA Peugeot Citroën

© 2013 AFP

 

 

 

http://www.largus.fr/actualite-automobile/mia-electric-change-encore-de-proprietaire-2865369.html

[h1]Mia electric change encore de propriétaire /[/h1]Arnaud Murati

Vendredi 14 juin 2013

http://www.largus.fr/img/argus_v3/background/ligne_grise_v.gifL'histoire semble se répéter à l'infini pour Mia electric (ex-Heuliez). Désormais, la société Focus Asia GMBH est l'actionnaire majoritaire, ce qui semble ravir la présidente de la région Poitou-Charentes, qui demeure dans le capital de Mia.

 

 

 

Chez Mia, il n'y a pas que l'auto qui est originale.

Quand le petit constructeur de véhicules électriques a quelque chose à déclarer à la presse, c'est Ségolène Royal en personne qui se déplace. Et quand la nouvelle présidente de Mia entre en scène aux côtés de l'ex-candidate à la présidentielle de 2007, le sourire est de mise :

"Mia, c'est un produit magnifique" s'enthousiasme la présidente de la région Poitou-Charentes, "c'est plus qu'une voiture, c'est un objet nouveau." "Lifestyle" précise Michelle Boos, désormais présidente de Mia electric.

 

Un concert de présidentes pour annoncer que désormais, l'actionnaire majoritaire de Mia electric est la société Focus Asia GMBH, une entreprise de droit allemand :

Focus Asia représenterait un consortium d'investisseurs coréens, mais Michelle Boos n'a pas souhaité en dire plus sur le sujet.

Cette société reprend 88% des parts de Mia, tandis que les 12% restants demeurent la propriété de la région Poitou.

 

Mia ne sombrera pas une nouvelle fois, malgré la mévente du véhicule (93 immatriculations depuis le début de l'année.) Car Michelle Boos a des idées :

"Ce qui m'intéresse, c'est de mondialiser cette voiture" annonce t-elle.

Il faut donc comprendre par là que grâce à son carnet d'adresses, la voiture sera prochainement en vente dans le monde entier.

Les deux premiers pays visés seraient "l'Estonie et la Serbie".

 

D'autre part, comme annoncé depuis le salon de Genève 2012, Mia travaille sur une version à pile à combustible. Celle-ci permettrait à la Mia de réaliser 676 kilomètres d'une traite, et devrait être prête pour la fin 2014, toujours selon Mme Boos.

Enfin, la Mia verra son prix baisser dratiquement dans les jours prochains.

A la question "comment comptez-vous faire pour baisser le prix", la nouvelle présidente de Mia a d'ailleurs eu une réponse fort simple : "C'est moi la présidente..."

 

Le consortium d'investisseurs consacrerait environ 36 millions d'euros à Mia, sachant que le seuil de rentabilité de l'activité se situe à 5000 véhicules vendus par an.

A suivre...

[Invité §geg572mh]

 

Déjà vu :

 

 

http://www.lepoint.fr/auto-addict/essais/vw-jetta-hybrid-170-ch-pour-4-1-l-100-km-21-03-2013-1643703_651.php

 

 

 

http://www.moniteurautomobile.be/article/premier-essai-web-volkswagen-jetta-hybrid-17187.cfm

 

Paru ce jour

[h1]Volkswagen Jetta / Une hybride efficace mais sans charme[/h1]Bertrand Bellois via l'argus

Vendredi 14 juin 2013

http://www.largus.fr/actualite-automobile/volkswagen-jetta-une-hybride-efficace-mais-sans-charme-2866376.html

Volkswagen démocratise son offre d'hybridation avec une Jetta discrète en apparence mais pas dénuée d'intérêt : 170ch, boîte DSG7, plus de 3000 € de bonus.

Après l’onéreux 4x4 Touareg, Volkswagen propose une deuxième alternative hybride dans sa gamme à un coût plus accessible cette fois :

-30 450 €, moins 3045 € de bonus (10% du prix neuf).

Le tarif est ainsi proche de celui d’une Jetta1.6 TDI DSG7, mais avec des prestations autrement plus agréables.

 

 

Vigoureuse...

La Volkswagen Jetta accouple un quatre cylindres à essence TSI de 150 ch et un moteur électrique de 27 ch pour une puissance cumulée de 170 ch.

 

La batterie lithium-ion de 36 kg prend place au dos de la banquette. C’est sans incidence pour l’habitacle, mais le coffre perd 136 l de chargement.

 

La transmission est assurée par la boîte DSG à double embrayage et sept rapports, bien plus convaincante sur la route que le système à variation de la Toyota Prius.

La mécanique fait preuve de douceur à basse vitesse et de vigueur à un rythme plus soutenue (8,6 s de 0 à 100km/h).

La Jetta se mène facilement et confortablement, mais l’incidence du surpoids (+ 200 kg par rapport au 1.2 TSI) est là : sensation de lourdeur dans la conduite et amortissement plus ferme.

 

... et peu gourmande

Menée aux allures usuelles, la Jetta Hybrid s’est contentée de 6,2 l/100km sur notre parcours routier.

Et pas beaucoup plus en ville.

 

Dans tous les cas de figure, le silence et la finition agrémentent la conduite, mais la boîte DSG ne fait pas preuve de la même fluidité que sur les autres modèles.

Enfin, en mode électrique forcé, il est possible de parcourir deux kilomètres jusqu’à la vitesse de 70 km/h.

 

 

La Jetta grille la Golf

Avant tout développée pour les États-Unis, la Jetta Hybrid arrive en Europe avant la Golf VII Hybrid prévue en 2014.

Cette dernière sera plus efficace grâce à des batteries plus puissantes et rechargeables pour augmenter l’autonomie en mode 100% électrique.

 

Plus technologique, la Golf VII Hybrid sera aussi plus chère, mais surtout plus sexy que cette Jetta sans grand charme.

 

 

Bilan de l'essai Volkswagen Jetta Hybrid

 

On aime

- Agrément de conduite

- Consommation en ville

- Équipement et silence de marche

 

On regrette

- Coffre encombré par les batteries

- Un peu de lourdeur dans la conduite

- Voiture sans personnalité

[Invité §geg572mh]

[h1]Mia électrique microbus sera en vente au Royaume-Uni cet été pour 26 675 $[/h1]

Par Danny Kingflux RSS

Publié le 14 juin 2013 09:52

 

La Mia électrique minibus-trois places fera ses débuts au Royaume-Uni cet été, et le truc cool, c'est que les sièges n'auront pas besoin d'être allumé pour la conduite à droite.

L'made-in-France Mia, qui a débuté en 2010 et a commencé service dans un programme d'auto-partage en Poitou-Charentes l'an dernier en France, sera importé au Royaume-Uni par Venture Automotive Holdings Ltd pour les ventes de flottes.

Le petit EV étrange, qui a 16 chevaux et une gamme unique de charge 74-mile de deux batteries Lithium Ion Phosphate (LiFePO4), est promue comme un moyen pour les pilotes d'éviter le péage urbain de Londres, ce qui permettra de plug-ins pour être exemptés de frais à partir du mois prochain. la petite voiture génial a un centre unique siège en face (d'où le lecteur non-problème de droite) ainsi que des portes coulissantes conduire. Les prix vont commencer au Royaume-Uni à £ 16,995 (26,675 $ US).

 

 

 

 

[Invité §geg572mh]

[h1]Les batteries d’Autolib’ se déchargent sans rouler /[/h1]http://www.leblogauto.com/2013/06/les-batteries-dautolib-se-dechargent-sans-rouler.html

 

Virtuellement, il n’existe que deux modes pour apprécier l’Autolib’ à Paris (et ses autres noms dans d’autres villes) : « louée » et donc en fonctionnement ou « garée » et donc branchée à une borne… Mais imaginez un instant que vous gariez – tout un week-end – votre Bluecar sans la raccorder à une prise électrique.

Les essayeurs du magazine Auto Moto l’ont testé : ils ont garé la Bluecar de Bolloré, batterie pleine, loin de toute borne de recharge. 67 heures plus tard, alors la voiture n’a pas bougé, la batterie est vide.

Techniquement, il n’y a ici aucune information nouvelle. Bolloré a choisi une batterie lithium-métal-polymère de 30kWh pour sa Bluecar.

Si cette technologie est plutôt compétitive pour permettre à la voiture de se déplacer, elle doit rester à une température constante, en fonctionnement ou non.

Elle consomme donc sa propre énergie même si le moteur est arrêté.

Ce qui marque, c’est que la batterie perd environ 1,5 % de sa capacité totale toutes les heures dans des conditions pourtant raisonnable (15°C de température extérieure).

C’est sans doute pour cette raison que la location d’Autolib’ est facturée tant que la voiture n’est pas rebranchée.

Mais quand 1 600 voitures d’Autolib’ doivent se recharger sans être utilisées, à 3,60 euros par recharge complète… C’est un coût de 5 760 euros toutes les 67 heures.

Est-ce que ce genre de révélations doit remettre en cause le choix d’Autolib’ pour d’autres villes ?

[Invité §geg572mh]

 

 

Ssangyong Korando C EV-R présenté à ENVEX 2013

Posté le 14 juin 2013 - 19:26 par Nithyanandh K

 

 

Le Ssangyong Korando C EV-R , un range extender version hybride du SUV compact, a été présenté à ENVEX 2013, une exposition internationale annuelle sur la technologie de l'environnement et de l'énergie verte, qui s'est tenue à Incheon, en Corée du Sud.

http://indianautosblog.com/wp-content/uploads/2013/06/Ssangyong-Korando-C-EV-R.jpg

Le Korando EV-R est propulsée par un (134bhp) moteur électrique de 100 kW qui est soutenu par une batterie lithium-polymère 420V 16kWh. Le SUV a une autonomie de 150 km et peut atteindre une vitesse de pointe de 150kph en mode électrique pur.

Une fois que la batterie est à court de jus, un 37KW (50 ch) agit à essence comme un prolongateur d'autonomie (d'où le nom EV-R qui signifie Véhicule Electrique - prolongateur d'autonomie) et recharge la batterie en déplacement.

 

Avec le prolongateur d'autonomie en place, la voiture peut parcourir jusqu'à 500 km sur une seule charge.

Le Korando C EV-R a été développé en association avec le ministère de l'Environnement et l'Institut coréen de recherche sur l'énergie de la Corée du Sud.rapports de Dailycar.co.uk que le VUS hybride est censé entrer en production en 2016.

Le SUV émet moins de CO2 très puisque le moteur thermique sert uniquement à recharger la batterie.

Il est à noter que Mahindra étudie le marché indien pour lancer la régulière Korando C. Considérant que NEMMP 2020 du gouvernement indien soutiendraient véhicules électriques et hybrides, ce qui porte la version EV-R du Korando ici est une possibilité qui ne peut être écartée.

[source:

[Invité §geg572mh]

[h1]La Mitsubishi i-MiEV visite le garage au CANADA[/h1]

PAR GUY DESJARDINS14 JUIN 2013

PHOTO: GUY DESJARDINSMalgré sa mécanique électrique, cela n'empêche pas la i-MiEV de visiter le garage pour cette inspection.

 

«»[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

[*n]

Elle ne fait partie du paysage québécois que depuis 2012, mais on en entend parler depuis pas mal plus longtemps.

En effet, dès 2009, la i-MiEV parcourait les différents salons de l’auto pour nous présenter ce concept de petite voiture tout électrique. Avec la collaboration d’Hydro-Québec, la voiture s’est rapidement forgé une bonne réputation au Québec.

La i-MiEV ne consomme pas une goutte de carburant, n’émet absolument aucune émission de CO2 et ne possède ni démarreur, ni catalyseur et ni réservoir à essence. Cela ne l’empêche pas de se comporter exactement comme n’importe quelle autre compacte sur le marché. Du fait de l'absence d'explosion, la motorisation d'une voiture électrique est entièrement silencieuse.

La voiture électrique n’ayant pas de boite de vitesse, cette dernière étant remplacée par un réducteur disposant d'un seul rapport de démultiplication.

Et avec l'électricité, la vitesse n'est pas obtenue en passant les rapports mais en augmentant la consommation électrique, l'embrayage n'est donc pas nécessaire.

Du point de vue des performances mécaniques, le modèle électrique est également beaucoup plus convaincant.

Le principe est simple : une source d'énergie (la batterie) électrique est connectée à un moteur électrique par l’intermédiaire d’un contrôleur permettant de gérer l’alimentation en courant du moteur. En résumé, sur un véhicule totalement électrique, le moteur à essence est remplacé par un moteur électrique. Ce moteur est alimenté par un contrôleur qui puise son énergie des batteries rechargeables. Schématiquement, un moteur à essence – avec son réservoir de carburant –, son système d’échappement, ses tuyaux de liquide de refroidissement et son collecteur d’admission tendent à ressembler à un réseau de plomberie alors qu’une voiture électrique est plutôt un ensemble de câblage.

La position du moteur électrique et de la transmission, au-dessus de l’essieu arrière du véhicule, améliore la traction (la i-MiEV étant une propulsion) et donne une belle impression de puissance lorsque l’on accélère. La i-MiEV est chaussée de pneus très étroits. Ce compromis permet de fendre l’air plus facilement à grande vitesse, ce qui améliore l’autonomie du véhicule. En revanche, un flanc aussi peu caoutchouté, jumelé au faible débattement des suspensions, ne permet pas d’absorber complètement les énormes imperfections de la chaussée. Mitsubishi a muni son véhicule électrique d’une transmission à vitesse unique dotée de trois modes en marche avant. La position « D », pour la conduite standard, le mode ECO pour économiser la puissance et la position « B », afin de retourner un maximum d’énergie aux batteries.

Entre une motorisation à essence et un véhicule totalement électrique, il y a de nombreuses différences.

L’inspection récente faite au garage Nicolas Demers de Saint-Étienne-de-Lauzon nous a permis de le constater.

Outre les dimensions du véhicule et de ses pièces, la petite voiture de Mitsubishi propose de nombreux éléments que l’on retrouve sur les véhicules traditionnels. Les seules surprises sont l’essieu arrière de type De Dio, la largeur différente des roues avant et arrière et la position arrière des éléments électriques.

[Invité §fra665Er]

La nouvelle patronne de Mia semble avoir pas mal d'ambition. Elle veut surtout promouvoir le piles à combustible de Magnum, société qu'elle dirige aussi. A l'heure actuelle, ça me semble être du gagnant gagnant... A suivre !