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Articles auto: La F1 débarque à Nice ! (Daniel Ricciardo)


Invité §Aud662Kj
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Citroën Traction 7A (1934) et 11B (1953) :

 

Le constructeur français Citroën est réputé pour ses nombreuses innovations apportées au secteur automobile. Premièrement ce fût le premier constructeur européen à utiliser une chaîne de montage. Le premier modèle du constructeur, la Type A était produite à 30 exemplaires par jour, une cadence de production importante pour l'époque. A la Type A succéda la Type C aussi appelée « Petite Citron » du fait de sa couleur jaune. Elle aussi fût produite de manière intensive.

 

Malgré son arrivée tardive dans le monde automobile (avant de produire des automobile l'usine de André Citroën produisait des obus, avec la première guerre mondiale elle fût fortement sollicitée. La reconversion eu lieu en 1919), la marque Citroën surpris de nombreux constructeurs en 1934 avec la lancement de la fameuse Traction Avant (alors appelée Citroën 7) ! Cette automobile hors normes pour l'époque a été conçue par Flaminio Bertoni et André Lefèbvre, pères fondateurs de la DS et de la 2 CV !

 

Le modèle 7A était équipé d'un moteur de 1 303 cm3 développant 32 chevaux. Une puissance suffisante pour une auto qui, malgré les apparences, était très légère grâce à une caisse autoporteuse. La suspension est également un modèle technologique car elle se compose d'un système hydraulique totalement nouveau !

Mais comme le nom l'indique, cette grande berline Citroën se dote d'un système de traction, système aujourd'hui adopté sur la grande majorité des modèles produits.

 

 

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Malheureusement la Traction connu son lot de problèmes entraînants, par exemple, le cassage des cardans et la perte des roues avant ou encore la déformation de la carrosserie autoporteuse. La marque s'empressa donc de revoir sa copie pour sortir la Traction 7B qui disposait d'un moteur de 1 529 cm3 plus puissant de 3 chevaux. Le modèle 7C fût commercialisé 6 mois plus tard avec un moteur de 1 628 cm3 de 36 chevaux.

 

En parallèle de la gamme 7 (pour 7 chevaux fiscaux) la gamme 11 ( pour 11 chevaux fiscaux) était présente. Le modèle présenté dans la très répandue teinte noire est une 11B de 1953. Elle succède aux version 11A et officie en parallèle de la 11BL (seule la taille de la carrosserie diffère).

Le moteur de 1 911 cm3 développant 56 chevaux fût installé dans les berlines produites à partir de 1939 mais pour une faible période, la Seconde Guerre Mondiale ayant stoppé la production. Cette dernière ne reprendra qu'en 1945 avec toujours les 11B et 11BL.

 

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La Traction, déjà célèbre avant le conflit, deviendra un véritable symbole à la fin de celui-ci. Véhicule ayant été utilisé par la Gestapo et par les Résistants, elle sera chargée d'histoire.

La production prendra fin en 1957, deux ans après la présentation de sa remplaçante : la DS !

 

Amilcar Coach Découvrable Type B38 Compound (1938) :

 

La société Amilcar naquis en 1921 grâce à deux personnages : Joseph Lamy et Emile Akar. Le manque de reconnaissance de la marque ainsi que les difficultés financières liées au début de la seconde guerre mondiale conduisirent l'entreprise à la faillite en 1939.

Durant ses 18 ans d'existence, la société s'illustra en compétition avec des véhicules légers et résolument sportifs. Elle remporte la première édition du Bol d'Or Automobile (course qui disparaîtra en 1955). Cette victoire se renouvellera en 1933 !

Suite à cela elle participe, en 1928, à l'Eifelrennen, compétition se déroulant sur la fameux circuit du Nürburgring, et termine sur la troisième marche du podium.

D'autres compétitions furent disputées par la marque telles que les 500 Milles d'Indianapolis ou encore le Grand Prix du Maroc.

 

En parallèle des compétitions, Amilcar produisait bien évidemment des véhicules destinés aux particuliers.

Le modèle Compound est l'un des dernier produit par la société après son rachat par Hotchkiss. C'est le célèbre ingénieur Jean Albert Grégoire qui travailla sur la conception de ce véhicule. C'est également ce même personnage qui créa, en accord avec Hotchkiss, la Hotchkiss-Gregoire et qui créa lui même la Grégoire Sport.

 

L'Amilcar Compound était motorisée par un petit 4 cylindres de 1 185 cm3 développant 34 chevaux. Cela peut sembler peu mais l'auto brille par son poids contenu de 820 kg grâce à une conception de carrosserie en aluminium. Ce n'est pas la seule innovation de ce véhicule, il est également à noter sa suspension indépendante sur les 4 roues et son système de traction avant, au même titre que la Citroën Traction.

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L'entreprise Amilcar dépose le bilan en 1939, mais le fait d'avoir été racheté par Hotchikiss permet une production de l'auto de 1938 jusqu'en 1942.

 

Maserati Biplace Sport Type 2000 (1930) :

 

 

Reconnue dans le domaine du luxe et de la compétition, Maserati est une marque créée par Alfieri Maserati et ses frères en 1914.

Jusqu'en 1926 la marque est dépendante de l'entreprise Diatto pour qui elle travaille. Mais après l'échec de la voiture succedant à la Tipo 20, la marque Diatto ne poursuivit pas son contrat avec Maserati. La marque italienne ne reculant devant rien, la Tipo 26 fût construite en 1926 et remporta la Targa Florio.

Notre modèle du jour est le remplaçant de la Tipo 26. Cette biplace est motorisée par un 8 cylindre en ligne de 2.0 développant 155 chevaux et atteignant les 180 km/h !

 

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Pour la petite anecdote, cette voiture circulait à Berne. Un policier intrigué par le bruit de la voiture arrêta le propriétaire qui en échange d'une promenade ne fût pas verbalisé (anecdote du musée).

 

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Dans le but de se développer, l'entreprise est acquise par la famille Orsi ce qui permis une conception plus poussée des modèles et qui déboucha finalement sur de nombreuses victoires comme en 1939 et 1940 où le modèle Tipo 8CTF remporta les 500 Milles d'Indianapolis !

Après la guerre, la société au trident qui avait été assignée à l'effort de guerre peut reprendre une activité normale. Cependant de nombreuses difficultés financières ne permettent pas à la marque d'exploiter pleinement ses capacités.

 

C'est donc Citroën qui, en 1968, repris la marque italienne. Cette acquisition fût une aubaine pour le constructeur français qui économisa de l'argent pour la conception et la production d'un V6 destiné à équiper la SM. Les autos italiennes furent contraintes de partager de nombreux éléments techniques et esthétiques avec les véhicules français, cela pour réduire les coûts de développement (un peu comme chez VAG aujourd'hui).

 

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La marque française en faillite dans les années 70 se sépara de Maserati qui fût rachetée par De Tomaso.

Cependant, alors que les deux marques parviennent à subsister, en 1983 l'entreprise américaine Chrysler propose à Maserati un partenariat destiné à concevoir des Chrysler haut de gamme. Ce partenariat n'aboutira que sur un échec malgré les investissements de la firme américaine.

 

L'entreprise Fiat s'offrit Maserati en 1987 à la suite de la vente des parts de De Tomaso. La gamme fût étoffée et destinée à combattre la concurrence du marché premium, laissant le champs libre à Ferrari (acquise par Fiat en 1989 à la mort de Enzo Ferrari) de continuer son développement en tant que marque super-sportive. Maserati, ancienne rivale de Ferrari se voit donc contrainte de rester sur le segment des voitures de luxe et non plus des supercars et hypercars.

 

Talbot: entre rachats et complications!

 

Quand Bayard rencontre Talbot :

 

L'entreprise Talbot est une de ces sociétés à l'histoire riche et complexe. D'origine française avec des racines anglaises, il est important de bien comprendre les subtilités des rachats et associations de la société. Car en m'approchant de ce modèle, sans aucun panneau indicatif, surviennent de nombreuses questions. Tout d'abord sur le modèle exposé, mais aussi sur la signification du logo : Talbot London. Pourquoi ce London ?

Le nom Talbot viens du Comte anglais Charles Chetwynd-Talbot qui souhaitais distribuer en Grande-Bretagne les modèles du constructeur français Clément-Bayard. Cette situation contribue à fonder l'entreprise Clément-Talbot. Le fait que le logo prenne le nom de Talbot London devient alors logique quand on sait que l'entreprise se trouvait à Londres.

 

 

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Clément-Bayard Torpédo Type 4M (1913) / Clément-Bayard Torpédo Type 4M3 (1912)

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Le Logo Clément-Bayard qui représente la chevalier Bayard qui a défendu la ville de Mézières au XVIème siècle.

 

Création de la STD :

 

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. L'entreprise est rachetée par la filliale A Darracq & Co Ltd qui avait rachetée en 1913 l'entreprise mère Darracq dont elle émanait. Un peu après ce fût autour de Sunbeam d'être absorbée. On assiste donc à la naissance de la STD Motors Ltd (STD pour Sunbeam-Talbot-Darracq). Les véhicules du marché français sont renommés Talbot-Darracq.

 

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Le modèle présenté semble avoir été produit par l'entreprise STD et pourrait-être une véhicule destiné au marché britannique.

En 1933 le groupe arrêta la production des Talbot jusqu'à son rachat par le groupe Rootes en 1935. Le nom Darracq fût supprimé pour laisser le nom de Sunbeam-Talbot pour les modèles britanniques.

 

L'ère Talbot-Lago :

 

L'arrêt des modèles Talbot (en 1933) fût causé par de lourdes difficultés financières. C'est ainsi que Antonio Lago, un ingénieur italien, racheta l'entreprise Talbot qui pris le nom de Talbot-Lago.

C'est après ce rachat que la marque s’illustra le plus en compétition avec des modèles puissants dans plus d'une vingtaine de compétition différentes.

A cause de voitures aux tarifs trop élevés pour le contexte économique d'après-guerre l'entreprise se retrouvera dans une impasse et sera rachetée par Simca en 1958.

 

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Talbot Monoplace GP 26C

 

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Simca et Chrysler : la fin de Talbot:

 

Le projet de Simca était tout simplement de s'approprier de nouveaux locaux (ceux de Talbot-Lago) pour ne pas attendre l'éventuelle construction d'une usine, ce qui aurait pris trop de temps. La marque Talbot disparaît aussitôt le rachat effectué.

En 1963 Chrysler devient actionnaire majoritaire de l'entreprise Simca. La volonté de la marque américaine était de s'implanter en Europe afin de concurrencer les divisions de la Ford Motors Compagny (Ford Angleterre et Ford Allemagne) ainsi que la marque Opel, filiale du groupe General Motors. La prospérité du groupe passe aussi par le rachat en 1967 du groupe... Rootes ! Oui, le groupe qui avait racheté Clément-Talbot pour créer la STD. Suite à cela l'entreprise Simca est renommée Chrysler France en 1970.

 

Arrivée de PSA :

 

Suite a un faible engouement du public pour les modèles de la marque américaine et à des erreurs de stratégie, Chrysler revend Simca au groupe PSA en 1979 et quitte le vieux continent. La dénomination Simca disparaît pour faire renaître le nom de Talbot. Cette opération est simplement stratégique car le nom de Talbot est connus en France et en Angleterre ce qui devait permettre au groupe de bénéficier d'une solide réputation pour son implantation sur le marché britannique.

Tout aurait pu se dérouler correctement, mais le second choc pétrolier de 1979 rendit la tâche complexe. Les difficultés financières du groupe ainsi que les mouvements de grève n'aidaient pas à la relance de la marque.

 

Le groupe eu alors l'idée facile et économique d'utiliser les bases PSA existantes pour les nouvelles Talbot. C'est ainsi que la Peugeot 104 servi de base à la toute nouvelle Talbot Samba. Ah économie quand tu nous tient !

 

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Talbot Samba

 

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Le modèle Talbot Horizon lancé en 1977 sous l'ère Chrysler continua sa carrière jusqu'en 1987 sans recevoir de modifications considérables. Pour continuer à susciter un léger intérêt (en théorie) le groupe PSA s'amusa en ajoutant et en enlevant des pièces stylistiques au fil des ans. Mais la Horizon etait clairement à l'abandon sur la catégorie des berlines moyennes accessibles.

En 1985 est présenté la Arizona destinée à la succession de la Horizon mais elle sera finalement produite sous le nom de Peugeot 309. Les berlines 1510, Solara et Tagora étaient des versions améliorées des modèles Chrysler. Faire du neuf avec du vieux était la seule solution semblerait-il.

 

Le renouvellement de gamme inexistant et le manque d'intérêt total de la part de PSA qui ne cherchait qu'à sauver Peugeot et Citroën signèrent la fin de l'existence de la marque Talbot.

 

 

 

De bons articles recelant pleins d'informations, merci! :)

 

Mes coups de cœur: l'Amilcar, les Traction et la Maserati.

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Salut Daniel! Je ne crois pas t'avoir déjà vu ici donc je te souhaite la bienvenue sur mon topic qui, j'espère, te plaira! :jap:;)

 

Le moteur m'a laissé assez perplexe du point de vue de chiffres, Grégoire devrait avoir raison. D'ailleurs en parlant de lui je ferais un article sur lui et son parcours car il y avait pas mal de ses réalisations au musée de l'auto!

 

 

Salut !

 

Effectivement, je l'avais raté et je l'ai pris en cours. Mais j'ai prévu de lire ce que j'ai raté dans les prochains jours.

 

Puis j'attends ton article sur Grégoire avec grand intérêt, ayant la chance de posséder quelques uns de ses livres.

 

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Salut Eric, comment vas-tu?

 

Prends ton temps ;) Mais oui il y a de la lecture :p Au moins tu as de quoi t'occuper ;)

 

 

Bonsoir Alexandre, bien comme à la fin d'une grosse semaine finalement que je termine ici par un voyage à travers l'histoire que tu nous comtes et aux autos que tu nous présentes. Tout cela se bouscule dans ma petite tête, il faudra que je relise tout tranquillement - je comprends vite mais faut m'expliquer longtemps :o - mais je retiens que toutes étaient des marques de passionnés. Grosse préférence pour la Maserati type 2000 rouge que tu nous a présenté. Cela doit être plaisant de pouvoir faire un bout de route avec elle.

 

Merci pour ce beau voyage :D

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Invité §Aud662Kj

 

Salut !

 

Effectivement, je l'avais raté et je l'ai pris en cours. Mais j'ai prévu de lire ce que j'ai raté dans les prochains jours.

 

Puis j'attends ton article sur Grégoire avec grand intérêt, ayant la chance de posséder quelques uns de ses livres.

 

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J'espère que tu appréciera les articles :)

Il arrivera ce mercredi ;)

 

Bonsoir Alexandre, bien comme à la fin d'une grosse semaine finalement que je termine ici par un voyage à travers l'histoire que tu nous comtes et aux autos que tu nous présentes. Tout cela se bouscule dans ma petite tête, il faudra que je relise tout tranquillement - je comprends vite mais faut m'expliquer longtemps :o - mais je retiens que toutes étaient des marques de passionnés. Grosse préférence pour la Maserati type 2000 rouge que tu nous a présenté. Cela doit être plaisant de pouvoir faire un bout de route avec elle.

 

Merci pour ce beau voyage :D

 

 

Prend ton temps Eric, rien ne presse, mais tu vas avoir de la lecture à rattraper car je vais poster un article sur le grand prix de pau (posté également sur ma page Facebook, voici le lien si ça t'intéresse : https://www.facebook.com/DecouvertesAutomobiles/ ;) La présentation est mieux que celle sur FA

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Invité §Aud662Kj

Grand prix de Pau 77ème édition : l’incontournable !

 

 

Les 11, 12 et 13 Mai étaient depuis bien longtemps cerclés de rouge sur mon calendrier. Pourquoi ? Tout simplement car il s'agissait des dates du Grand Prix de Pau !

Chaque année, le temps d'un week-end, toute la ville s'anime autour de voitures hautement performantes telles que les Formules 3 qui disputent le Championnat Européen de Formule 3, les GT qui se battent pour remporter la première place du Championnat de France de la catégorie ou encore les Clio RS qui courent la Clio Cup ! Sans oublier les Formules 4 et les Formules Renault. Tant que l'on parle de Renault, il est possible d'assister au déroulement de la Twin'Cup dont le spectacle est assuré par de Renault Twingo de première génération !

Le temps d'un week-end les voitures de course modernes rassemblent les palois de tous âges !

 

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La météo est toujours l'inconnue de l'équation. Pour un grand prix réussi le beau temps est nécessaire. Si le vendredi un grand soleil et des températures optimales étaient de mise, le samedi et le dimanche ont été perturbés par des périodes de fortes averses.

 

Mais la passion prime avant la raison, c'est donc sous une petite pluie fine, qui ne tardera pas à s'amplifier, que je sors le samedi dans le but de voir les GT brûler la gomme sur le circuit du Grand Prix situé au cœur de la ville de Pau. Depuis 1933 cette piste au tracé sinueux, avec des virages en épingle et des chicanes, accueille les automobiles de compétition les plus performantes au travers de courses haletantes et dangereuses. Les accrochages ne sont pas rares et, par temps humide, la prudence est de rigueur.

 

La première course à laquelle j'assiste le Samedi est celle des essais qualificatifs des GT. De belles autos roulent sur la piste : Mercedes AMG GT, BMW M4, Audi R8 LMS, Porsche Cayman Clubsport, Ginetta G55 et Aston Martin Vantage faisaient gronder leurs mécaniques. De plus certaines parties du circuit à forte résonance permettaient de profiter pleinement du son des V8, 6 en ligne, flat 6 et V10 !

 

 

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A l’issue de ces essais qualificatifs 15 autos se sont disputées la super pôle durant la nocturne (gratuite) et le plus rapide de la course fût le pilote originaire de la région : Mike Parisy ! Premier, avec cependant des conditions de pilotage difficiles car la pluie s'était accentuée.

Le pilote palois récidiva, avec son coéquipier Christophe Lapierre, durant la première course décisive du Championnat GT.

 

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En suivant ce sont les Clio RS qui prennent la route avec un premier tour durant lequel les pilotes zigzaguent pour créer un effet de spectacle. Mais dès le départ officiel plus question de rigoler, c'est une bataille sans merci qui se livre ! Dépassements, prise serrée de virage, plein gaz en ligne droite les Clio, citadines ordinaires dans la vie courante, ont de quoi impressionner ! Elles bénéficient de la solide réputation de Renault en tant que concepteur de moteurs pour les compétitions.

Arrivé en première position : Nicolas Milan. Habitué des Clio depuis 2007, il a également participé aux 24 heures de Barcelone avec une Peugeot RCZ Cup !

 

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Twingo, F3 et F4 ont successivement pris la piste pour se disputer la première place. Les Formules Renault sont entrées en scène à partir de 18 h 57 précisément pour 30 minutes de course.

 

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L'épreuve tant attendue le dimanche, et qui devait marquer la journée, était la course du Championnat d'Europe de F3 juste après la seconde et dernière course du Championnat de France des GT.

Les pilotes font chauffer leurs montures, la foule est plongée dans une certaine frénésie et c'est le départ ! Les véhicules s'engouffrent dans le virage de la gare et filent à fond sur la ligne droite située au pied du boulevard des Pyrénées avant de passer sous le pont oscar débouchant sur un virage en épingle. La courbe passant devant le Casino et le Palais Beaumont fait écho des rugissements des moteurs qui se font encore plus entendre dans la chicane Foch et dans le Virage du Buisson. Après une légère pente parsemée de chicane les pilotes reprennent une forte accélération pour passer devant la tribune principale et refaire le même parcours pour le plus grand bonheur des spectateurs !

 

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Mais voilà, comme expliqué en début d'article, le temps est toujours l'inconnu. Croyez moi ou non, mais, même la météo ne peu plus rien faire. Lors de la course de GT le ciel était couvert, nous avions même droit à un petit soleil entre les nuages. Mais les choses ont changées, désormais c'est la pluie qui domine. Qui domine tellement que les commissaires de course sortent le drapeau rouge. La Safety Car entre en piste et les F3 rentrent aux stands. Bilan : la pluie, trop forte, rend la piste dangereuse.

 

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C'est, malheureusement, ainsi que s'achève ce 77ème Grand Prix de Pau. Espérons que le temps sera plus clément lors du Grand Prix Historique qui se déroulera les 19 et 20 Mai.

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Invité §Aud662Kj

Adler Coach Type Trumpf Junior (1936) :

 

 

Ce véhicule aux allures de voiture populaire est en fait un prototype réalisé par Jean-Albert Grégoire pour le constructeur automobile allemand Adler.

Cette entreprise s'étant lancée dans la production automobile à partir de 1900 pourrait s'apparenter à la marque Citroën en France grâce à ses multiples innovations.

 

Ce prototype apporte s'habille d'une carrosserie autoporteuse en aluminium et dispose d'une suspension indépendante et surtout d'un système de traction avant, deux ans avant la Citroën Traction. Le modèle de série reprendra toute la conception technique de ce prototype, dont le 995 cm3 de 25 chevaux. Seul le style de la carrosserie sera légèrement modifié.

 

La production du modèle s'arrêta en 1941 à cause de la Seconde Guerre Mondiale. Obligée de participer à l'effort de guerre, la marque produisit des véhicules militaires jusqu'en 1945. Le conflit passé, devant l'interdiction de reprendre sa production automobile l'entreprise retourna dans le secteur des machines à écrire.

 

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Merci Marc pour les images de Pau :D

 

 

Impressionnante cette Adler, surtout aussi par l'usage de l'aluminium qui doit en faire une auto plutôt légère, en tout cas pour l'époque, et jolie avec cette "goutte" bien polie et bien visible :)

 

Je découvre aussi ce Mr GREGOIRE, notre époque n'a définitivement rien inventé, merci Alexandre.

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Invité §Aud662Kj

A noter la carcasse coulée en aluminium, technique chère à J-A Grégoire, qui apparaît en clair sur les photos.

 

 

Salut Daniel! Tu vas bien?

 

Oui c'est ce qui est beau sur ce prototype, la carcasse couleur aluminium. Ca montre vraiment la différence technique, et ça tranche avec le noir. Je viens de publier mon article sur les réalisations (une petite partie en tout cas) de J A Grégoire!

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Invité §Aud662Kj

Merci Marc pour les images de Pau :D

 

 

Impressionnante cette Adler, surtout aussi par l'usage de l'aluminium qui doit en faire une auto plutôt légère, en tout cas pour l'époque, et jolie avec cette "goutte" bien polie et bien visible :)

 

Je découvre aussi ce Mr GREGOIRE, notre époque n'a définitivement rien inventé, merci Alexandre.

 

 

Salut Eric, comment vas-tu?

 

Cette auto m'a tapée dans l'œil à cause de sa partie en alu.

 

J'ai découvert J A Grégoire grâce au musée et je me suis pris de passion pour ses réalisations! Il avait un esprit vraiment novateur. Le pire c'est qu'il hésitait à devenir avocat, ça aurait été dommage de ne pas avoir quelqu'un comme lui dans la grande aventure de l'automobile!

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Salut Daniel! Tu vas bien?

 

Oui c'est ce qui est beau sur ce prototype, la carcasse couleur aluminium. Ca montre vraiment la différence technique, et ça tranche avec le noir. Je viens de publier mon article sur les réalisations (une petite partie en tout cas) de J A Grégoire!

 

 

Très bien, et toi ?

 

J'ai lu ton article avec grand intérêt.

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Salut Eric, comment vas-tu?

 

Cette auto m'a tapée dans l'œil à cause de sa partie en alu.

 

J'ai découvert J A Grégoire grâce au musée et je me suis pris de passion pour ses réalisations! Il avait un esprit vraiment novateur. Le pire c'est qu'il hésitait à devenir avocat, ça aurait été dommage de ne pas avoir quelqu'un comme lui dans la grande aventure de l'automobile!

 

 

Tu devrais essayer de te procurer ses bouquins. Même s'il a tendance à se donner parfois le beau rôle et à ne pas se prendre pour n'importe qui, ils sont intéressants et fourmillent de renseignements historiques non seulement sur ses réalisations mais aussi sur certains aspects méconnus de l'histoire de l'automobile.

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Invité §Aud662Kj

Très bon reportage avec de bons angles de vu.

 

L'Adler est assez originale :)

 

 

Merci Marc, je suis content que ça te plaise :jap:

 

Très bien, et toi ?

 

J'ai lu ton article avec grand intérêt.

 

 

Tu devrais essayer de te procurer ses bouquins. Même s'il a tendance à se donner parfois le beau rôle et à ne pas se prendre pour n'importe qui, ils sont intéressants et fourmillent de renseignements historiques non seulement sur ses réalisations mais aussi sur certains aspects méconnus de l'histoire de l'automobile.

 

 

On a tous des défauts :lol:

 

Il faut que je vois si j'en trouve car ça a l'air très intéressant! Pour l'instant j'ai surtout des livres très généraux sur l'histoire de l'automobile. Je m'en sert pas mal pour mes articles. :)

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Invité §Aud662Kj

Bonjour à tous,

 

Je suis navré de ne pas avoir posté d'article vendredi dernier, cependant j'ai eu une journée assez chargée. Et ce week-end impossible de me consacrer à autre chose que je Grand Prix Historique de Pau!

 

Avec 480 véhicules exposés et de nombreuses courses j'ai passé près de 10 heures sur le site. Il m'a fallut également beaucoup de temps pour trier, recadrer et parfois modifier, les 1 909 photos prises durant l'événement.

 

Aujourd'hui, je vous propose donc un article sur ce Grand Prix qui est un événement incontournable!

 

J'espère que vous appréciez ce petit reportage. ;)

 

 

 

Grand Prix Historique de Pau :

 

 

Après le Grand Prix moderne de Pau, c'est l'édition historique du Grand Prix qui a eu lieu sous un ciel dégagé, et un soleil rayonnant, les 19 et 20 Mai. Et c'est tant mieux car après le temps tout simplement médiocre du week-end passé il fallait au moins des températures avoisinant les 25° pour que l'événement soit parfait. Et il le fût !

 

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Durant ces deux jours, les palois ont assisté à des courses, bien évidement, mais également à une grande exposition automobile ! Comme chaque année le Parc Beaumont a été littéralement envahis par plus de 450 voitures de collection venues de toutes l’Europe ! Il y avait de nombreuses autos immatriculées en France mais aussi en Angleterre, en Espagne, en Belgique ou en Allemagne !

 

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Il y en avait pour tout les goûts ! Des traditionnels roadster anglais représentés par les MG, Triumph et autre Austin-Healey, jusqu'aux Muscles Cars américaines telles que les mythiques Ford Mustang et Chevrolet Camaro en passant par diverses autos populaires françaises que sont les 4L et Simca Aronde. Tout un panel de marques était donc réuni.

 

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Toutes les époques étaient présentes avec des véhicules de années 20 telles que cette Citroën Type C de 1924, nommée affectueusement « Petite Citron » en raison de sa couleur jaune de série, ou encore des autos plus récentes comme cette superbe Ferrari F 430 !

 

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Certaines autos moins courantes étaient également présentes, en témoignent ces superbes De Tomaso Mangusta et Alvis TD 21. De quoi ravir les passionnés comme les curieux !

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Les courses, quant à elles, se sont déroulées sur la mythique piste du circuit de Pau ! Au programme comme chaque années la course qui, pour moi, est la plus belle : le Trophée Bugatti ! Cette épreuve met en scène plusieurs Bugatti d'avant-guerre telles que les fameuses Type 35 !

 

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Le circuit accueillait également les Formule Ford, les HTCC et les petites Mini !

 

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Le Lengendary Circuit mettait en scène diverses Morgan, Porsche, Triumph, MG, Lotus, Autin-Healey et Datsun spécialement préparées pour la compétition !

 

 

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Invité §Aud662Kj

Tracta, AFG Grégoire, Hotchkiss-Grégoire, l’œuvre d'un homme : Jean Albert Grégoire

 

 

Dans le monde automobile il y a, entre autres, les constructeurs, les designers, les pilotes, les mécaniciens, mais aussi les ingénieurs. Ils ne faut pas oublier ces derniers car ce sont eux qui contribuent à faire naître nos autos avec les innovations qu'elles apportent.

Jean Albert Grégoire, ingénieur automobile diplômé de l’école polytechnique, est réputé pour l'apport des ses nombreuses innovations à ce monde passionnant et toujours en mutation.

 

Tracta, ou comment est née la traction avant :

 

En 1927 la première Tracta est dévoilée, il s'agit d'un modèle de compétition destiné à participer aux 24 Heures du Mans. Le modèle Gephi, puisque c'est de lui qu'il s'agit, finira septième lors de l'édition de 1927 avec à son bord son concepteur : Jean Albert Grégoire. Cette voiture était révolutionnaire par son système de traction avant qui, bien avant la Citroën Traction, fût mis en pratique grâce au joint Tracta (breveté en 1926).

Ce système est, à l'époque, le plus aboutit en terme de conception et de fiabilité, il est à noter que même la Citroën Traction commercialisée en 1934 connaîtra des problèmes de fiabilité importants, notamment à cause des cardans.

 

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Très vite, des véhicules de tourismes destinés à une clientèle particulière sont produit, à l'image de ce modèle Cabriolet EI équipé d'un 6 cylindres de 2 691 cm3 développant 52 chevaux.

 

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L'expérimentation de l'aluminium :

 

Après avoir travaillé sur ce système de traction avant, l'ingénieur français se tourna vers la conception de carrosseries de manière à rendre les voitures plus légères. L'aluminium fût donc utilisé en masse. Durant la seconde guerre mondiale un prototype conçu en collaboration avec l'Aluminium français permis à Jean Albert Grégoire d'étudier le matériaux sous toutes ses formes et donna naissance à la Pahard Dyna X. Cette dernière disposait d'un poids plume de 650kg et d'une mécanique vaillante composée de deux cylindres de 62 chevaux.

 

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Hotchkiss et Grégoire :

 

Dans les années 50 Grégoire travailla en partenariat avec le constructeur français Hotchkiss. Cette collaboration s'avéra fructueuse puisque le constructeur, dans le but de sortir de sa situation précaire due à la guerre 39-45, présenta au salon de l'automobile de 1951 l'Hotchkiss-Grégoire Berline type JAG (pour Jean Albert Grégoire) inspirée du prototype Grégoire R. L'auto adoptait un châssis tout en aluminium, 4 roues indépendantes et un 4 cylindres à plat 2.0 de 80 chevaux.

 

En parallèle de la berline un Coah était disponible avec une mécanique légèrement plus puissante. Cet exemplaire couleur champagne est l’œuvre du carrossier Chapron.

 

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Grégoire Sport :

 

La Grégoire Sport est l'aboutissement de toutes les innovations employées par l'ingénieur. Châssis en aluminium, 4 roues indépendantes, 4 cylindres à plat (moteur issus de la Hotchkiss-Grégoire berline) associé à un compresseur, direction à crémaillère, carrosserie en Alpax, et système de traction tracta, ce coupé sportif capable de monter à 180 km/h est un véritable petit bijoux de technologie et de modernité pour l'époque. Sa carrosserie modelée par Henri Chapron est d'une élégance incontournable.

 

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Invité §gon514uw

Salut Alexandre

Y avait longtemps que je n'étais pas passé sur ce tpic!

Intéressant, ta présentation des travaux du père Grégoire ;)

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Le trophée Bugatti, comme je rêverais de voir et d'entendre cela: merci pour ce beau partage :D

Un très beau musée roulant que ce GP historique de Pau :jap:

 

Oui, j'apprécie ton reportage et tu n'as pas besoin de t'excuser d'être très occupé au lieu de nous régaler :D

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Invité §Aud662Kj

Salut Alexandre

Y avait longtemps que je n'étais pas passé sur ce tpic!

Intéressant, ta présentation des travaux du père Grégoire ;)

 

 

Salut Guillaume,

 

Oui ça fait un moment qu'on ne t'as pas vu ici, comment vas-tu?

 

La série sur la Cité de l'Automobile de Mulhouse continue sont petit chemin, je n'en suis pas encore à la moitié des automobiles présentes, il en reste pas mal. J'espère que ça te plait, quels modèles préfères-tu?

 

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:jap:

Le trophée Bugatti, comme je rêverais de voir et d'entendre cela: merci pour ce beau partage :D

Un très beau musée roulant que ce GP historique de Pau :jap:

 

Oui, j'apprécie ton reportage et tu n'as pas besoin de t'excuser d'être très occupé au lieu de nous régaler :D

 

 

Salut Eric!

 

Le Trophée Bugatti est une très belle épreuve, c'est impressionnant de voir ces auto enchainer, avec brio, les tours de circuits! Pour ce qui est d'entendre là il y a du bon son! Les Bugatti font un de ces vacarme, je crois que ce sont les plus bruyantes des autos qui courent, mais que c'est bon! Ca replonge vraiment dans l'ambiance d'époque, et les pilotes se battent littéralement avec le volant, c'est vraiment sport à conduire parait-il!

 

480 véhicules de collection exposés c'est un superbe Musée en effet! Il y en a pour tous les goûts! C'est pour cela que j'attendais cet événement avec impatience! :p

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Invité §gon514uw

 

Salut Guillaume,

 

Oui ça fait un moment qu'on ne t'as pas vu ici, comment vas-tu?

 

La série sur la Cité de l'Automobile de Mulhouse continue sont petit chemin, je n'en suis pas encore à la moitié des automobiles présentes, il en reste pas mal. J'espère que ça te plait, quels modèles préfères-tu?

 

Ben écoute ça roule, je suis en plein changement de boulot, mais à part ça ça va.

Les séries de musée, je t'avoue que ça m'intéresse un peu moins que quand ce sont des voitures que je peux éventuellement faire rouler ;) mais c'est intéressant, parfois on découvre des choses insoupçonnées ;)

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Invité §Aud662Kj

Ben écoute ça roule, je suis en plein changement de boulot, mais à part ça ça va.

Les séries de musée, je t'avoue que ça m'intéresse un peu moins que quand ce sont des voitures que je peux éventuellement faire rouler ;) mais c'est intéressant, parfois on découvre des choses insoupçonnées ;)

 

 

Encore en changement de boulot??

 

Oui c'est moins pratique, plus théorique. Je ne te cache pas que je ne sais pas sur quelle voiture écrire car il n'y a pas beaucoup de nouveautés dans les concessions (et avec le bac je manque un peu de temps). J'ai un article sur les émissions polluantes qui va arriver très bientôt par contre (histoire de parler aussi que ce qui change au niveau du monde auto ;) )

 

Ce que j'aime avec les articles du musée c'est le nombres de choses que l'on apprend, quelques fois c'est un vrai boulot de recherche car certains modèles disposent de peu d'infos

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Invité §Aud662Kj

Delage Berline Type D6-11 (1933) :

 

Parmi les grandes marques automobiles prestigieuses françaises nous pouvons citer Delahaye, Hispano-Suiza, Facel-Vega ou encore Bugatti. Mais n'oublions pas le constructeur Delage, longtemps réputé pour ses véhicules parmi les plus luxueux de la production automobile.

 

Présentée comme une entreprise habillant des châssis de constructeurs (comme cela était coutume à l'époque), Louis Delage ne tarda pas à voir plus loin et à vouloir concevoir ses propres modèles. C'est dans les années 1920 que le développement de l'entreprise fût le plus important. Les années folles, aussi appelées Golden Twentie's aux Etats-Unis, symbolisaient la démesure, l'envie de concevoir des automobiles toujours plus extravagantes ! En témoigne la Bugatti Royale qui est, à elle seule, le symbole de cette époque.

 

C'est donc un véritable engouement qui prend forme autour de la marque, les ventes sont nombreuses et ce n'est pas anodin. Les carrosseries sont élégantes, les moteurs fiables et puissants, que demander de plus ?

Malheureusement le contexte historique de la fin des années 1920 met la marque dans une situation économique embarrassante. La crise déclenchée aux États-Unis s'est étendue sur le vieux continent et les ventes de Delage, mais aussi des autres constructeurs, s'effondrent.

C'est une situation plus que critique qui se produit et qui signe la disparition, ou du moins la restriction de production, de nombreux constructeurs.

 

Le modèle du jour présenté au Salon de l'Automobile de Paris de 1932, équipé d'un moteur 6 cylindres de 2.0 et de 63 chevaux était censé aider l'entreprise a relancer ses ventes, mais ce fût en vain. En 1935, après une dernière tentative l'entreprise expira son dernier souffle et ferma son usine de Courbevoie.

 

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Mais coup de théâtre ! L’entrepreneur Walter Watney ressuscita l'entreprise sous le nom de « Société Nouvelle des Automobiles Delage », société qui fût rachetée par l'entreprise Delahaye, concurrente de Delage. Les automobiles Delage furent produites sous licence jusqu'en 1954, année de disparition de Delahaye.

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Invité §gon514uw

Encore en changement de boulot??

 

Oui c'est moins pratique, plus théorique. Je ne te cache pas que je ne sais pas sur quelle voiture écrire car il n'y a pas beaucoup de nouveautés dans les concessions (et avec le bac je manque un peu de temps). J'ai un article sur les émissions polluantes qui va arriver très bientôt par contre (histoire de parler aussi que ce qui change au niveau du monde auto ;) )

 

Ce que j'aime avec les articles du musée c'est le nombres de choses que l'on apprend, quelques fois c'est un vrai boulot de recherche car certains modèles disposent de peu d'infos

 

C'est la fin là, je viens de finir mon préavis et mon nouveau contrat commence mardi prochain. Après ça, ça devrait aller mieux.

C'est intéressant les émissions polluantes, peu de gens savent ce qui nous attend.

 

Chouette la Delage, ce sont de très belles voitures ;)

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Invité §Aud662Kj

 

C'est la fin là, je viens de finir mon préavis et mon nouveau contrat commence mardi prochain. Après ça, ça devrait aller mieux.

C'est intéressant les émissions polluantes, peu de gens savent ce qui nous attend.

 

Chouette la Delage, ce sont de très belles voitures ;)

 

 

D'accord, ça ne se passait pas bien où tu étais?

 

En fait je l'ai écris lorsque mon grand père a passé commande de sa nouvelle voiture. Il a pris la nouvelle Ford Ecosport en BVA avec le 1.0 Ecoboost, mais le malus a augmenté depuis le 1er avril 2018 et il n'était pas au courant (et moi non plus). Donc l'article va arriver lundi sans doute (pour bien commencer la semaine). Mais avec les normes WLTP j'ai du revoir ma copie pour compléter un peu le tout donc il n'est pas sortis aujourd'hui comme je l'avais prévus.

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Delage Berline Type D6-11 (1933) :

 

Parmi les grandes marques automobiles prestigieuses françaises nous pouvons citer Delahaye, Hispano-Suiza, Facel-Vega ou encore Bugatti. Mais n'oublions pas le constructeur Delage, longtemps réputé pour ses véhicules parmi les plus luxueux de la production automobile.

 

Présentée comme une entreprise habillant des châssis de constructeurs (comme cela était coutume à l'époque), Louis Delage ne tarda pas à voir plus loin et à vouloir concevoir ses propres modèles. C'est dans les années 1920 que le développement de l'entreprise fût le plus important. Les années folles, aussi appelées Golden Twentie's aux Etats-Unis, symbolisaient la démesure, l'envie de concevoir des automobiles toujours plus extravagantes ! En témoigne la Bugatti Royale qui est, à elle seule, le symbole de cette époque.

 

C'est donc un véritable engouement qui prend forme autour de la marque, les ventes sont nombreuses et ce n'est pas anodin. Les carrosseries sont élégantes, les moteurs fiables et puissants, que demander de plus ?

Malheureusement le contexte historique de la fin des années 1920 met la marque dans une situation économique embarrassante. La crise déclenchée aux États-Unis s'est étendue sur le vieux continent et les ventes de Delage, mais aussi des autres constructeurs, s'effondrent.

C'est une situation plus que critique qui se produit et qui signe la disparition, ou du moins la restriction de production, de nombreux constructeurs.

 

Le modèle du jour présenté au Salon de l'Automobile de Paris de 1932, équipé d'un moteur 6 cylindres de 2.0 et de 63 chevaux était censé aider l'entreprise a relancer ses ventes, mais ce fût en vain. En 1935, après une dernière tentative l'entreprise expira son dernier souffle et ferma son usine de Courbevoie.

 

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Mais coup de théâtre ! L’entrepreneur Walter Watney ressuscita l'entreprise sous le nom de « Société Nouvelle des Automobiles Delage », société qui fût rachetée par l'entreprise Delahaye, concurrente de Delage. Les automobiles Delage furent produites sous licence jusqu'en 1954, année de disparition de Delahaye.

 

 

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Cette Delage ne vous rappelle rien ?

 

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https://jeromecollignon.blog4e [...] troen-1936

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Invité §Aud662Kj

 

 

Belle affiche d'époque, j'aime beaucoup ce genre de vieilles publicités!

 

Au Musée de L'auto il y avait ça:

 

 

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Si elle ressemble beaucoup à la Citroën Traction! Elle est sortie avant la Traction?

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Invité §Aud662Kj

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui ce n'est pas un essai automobile ni même un article sur une voiture ancienne que je publie, mais un article sur le monde automobile et plus particulièrement sur la chasse aux émissions de CO2. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et surtout à compléter avec des infos afin d'enrichir le contenu de la publication (je ne maitrise pas encore très bien le sujet donc ça m'aiderais pour ensuite le publier sur Facebook). Merci par avance, bonne lecture ;)

 

La chasse aux émissions de CO2 : Le casse tête des véhicules neufs

 

 

Depuis peu de temps c'est une véritable chasse au CO2 qui est en cours. Pour limiter la pollution, le gouvernement a décidé d’augmenter les malus automobiles à partir du premier avril, mais ce qui aurait pu être un poisson d'avril n'en est pas un. De quoi faire perdre le sourire aux clients de voitures neuves.

 

Le malus automobile, tout le monde le connaît. C'est cette taxe que l'on paye à l’achat d'un véhicule en fonction de ses émissions de CO2 que notre nouvelle acquisition rejette. Plus ces dernières sont élevées, plus le malus est cher.

 

Le seuil d'émissions de CO2 a ne pas dépasser pour ne pas avoir de malus est de 120 grammes par kilomètres en 2018, soit 7 grammes de moins qu'en 2017.

 

Petite leçon de mathématiques. En 2017 le malus de base à 127 grammes de CO2 était de 50€. Il passe aujourd'hui à 50€ pour 120 grammes de CO2. Les 127 grammes sont taxé à 173€. Une hausse importante, donc, de 246%. ((173-50) :50 )x100

 

Ces nouvelles normes ne sont qu'un début, puisque les constructeurs, pour abaisser ces niveaux d'émission, compte mettre de nombreux équipements en accessoire et non plus de série comme les barre de toit.

 

Un vrai casse tête donc pour les particuliers souhaitant renouveler leur véhicule. Ajoutez à cela les politiques anti-diesel il ne reste donc plus beaucoup de solutions. Parmi elles :

 

- les véhicules essence

 

- les véhicules électriques. Ces derniers sont une alternative crédible mais, même avec le bonus de 6000€ accordé par l'état, ils sont encore très chers. Une Renault Zoe est accessible à partir de 17 700€ (bonus déduit) mais il reste la location des batteries calculée en fonction du kilométrage. Le réseau de bornes de recharge reste encore peu développée et l'autonomie, (annoncée de 400km pour la Zoe par exemple) est en réalité plus faible que celle donnée par les constructeurs.

 

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- les véhicules hybrides rechargeables. C'est là que vient tout le casse tête. En cette année 2018, l'aide de 1000€ accordée par l'Etat a totalement disparut. En plus de cela de nombreux constructeurs ont abandonné leur gamme hybride rechargeables.

 

 

Un autre casse tête pour les clients vient également d’apparaître : les nouvelles normes WLTP. Jusque là les véhicules étaient testé selon le cycle NEDC (pour Nouveau Cycle Européen De Conduite). Mais le scandale du Diesel Gate révélé en 2015 avec la fameuse affaire des moteurs truqués de Volkswagen a remis les choses en perspective. Le grand bilan auquel tout le monde s'attendait fût le suivant : les test ne sont pas significatifs. Après avoir déversé toute leur haine sur le groupe VAG et avoir incriminé d'autres groupes tels que FCA et Renault-Nissan, les institutions ont cherché à trouver de nouvelles solutions. C'est donc récemment qu'a été annoncée la mise en place de nouvelles normes nommées sobrement WLTP.

Elles ont été mises en place selon des tests très poussés. En effet, chaque constructeur a testé chacun de ses modèles, finition par finition, option par option et motorisation par motorisation. De quoi donner quelque chose de très compliqué. Car il faut le savoir les émissions varient non seulement avec la motorisation et la boite de vitesse, mais aussi en fonction des équipements.

 

Prenons deux Peugeot 308, 1,2 Pure Tech 110 chevaux, BVM6, en finition Style (milieux de gamme). Ces deux autos sont identiques du point de vue de l'équipement et des caractéristiques techniques. Seulement notre modèle A possède des jantes de 16 pouces (de série) et notre modèle B, lui, dispose de jantes de 17 pouces (en option). Le malus sera plus élevé sur le modèle B car la taille des jantes influe sur les émissions de CO2. Le choix des jantes 17 pouces augmentera donc légèrement le malus de la voiture.

 

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L'augmentation des malus automobiles ainsi que la mise en place de nouvelles normes forment une chasse aux émissions de CO2 accrue. Ajoutez à cela la disparition des aides de l'Etat pour l'achat d'un véhicule hybride et les tarfis prohibitifs des véhicules électrique, et vous obtenez un casse tête géant !

 

 

 

 

Sources :

- http://droit-finances.commentcamarche.com/faq/20269-malus-automobile-taxe-co2-2018http://auto.bfmtv.com/actualite/calculez-le-bonus-malus-ecologique-2018-de-votre-future-voiture-1266928.html

https://www.turbo.fr/dossiers/consommation-auto/augmentation-du-budget-auto-en-2018-ny-echappera-malheureusement-pas-48476

http://www.renault-zoe.info/forum-zoe/tarif-location-batterie-pour-zoe-t282.html

 

 

 

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Belle affiche d'époque, j'aime beaucoup ce genre de vieilles publicités!

 

Au Musée de L'auto il y avait ça:

 

 

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Si elle ressemble beaucoup à la Citroën Traction! Elle est sortie avant la Traction?

 

 

Belles publicités anciennes !

 

Et ouvre le lien que j'ai mis sous la photo de celle qui ressemble à une Traction, tu auras la réponse à ta question... ;)

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Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui ce n'est pas un essai automobile ni même un article sur une voiture ancienne que je publie, mais un article sur le monde automobile et plus particulièrement sur la chasse aux émissions de CO2. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et surtout à compléter avec des infos afin d'enrichir le contenu de la publication (je ne maitrise pas encore très bien le sujet donc ça m'aiderais pour ensuite le publier sur Facebook). Merci par avance, bonne lecture ;)

 

La chasse aux émissions de CO2 : Le casse tête des véhicules neufs

 

 

Depuis peu de temps c'est une véritable chasse au CO2 qui est en cours. Pour limiter la pollution, le gouvernement a décidé d’augmenter les malus automobiles à partir du premier avril, mais ce qui aurait pu être un poisson d'avril n'en est pas un. De quoi faire perdre le sourire aux clients de voitures neuves.

 

Le malus automobile, tout le monde le connaît. C'est cette taxe que l'on paye à l’achat d'un véhicule en fonction de ses émissions de CO2 que notre nouvelle acquisition rejette. Plus ces dernières sont élevées, plus le malus est cher.

 

Le seuil d'émissions de CO2 a ne pas dépasser pour ne pas avoir de malus est de 120 grammes par kilomètres en 2018, soit 7 grammes de moins qu'en 2017.

 

Petite leçon de mathématiques. En 2017 le malus de base à 127 grammes de CO2 était de 50€. Il passe aujourd'hui à 50€ pour 120 grammes de CO2. Les 127 grammes sont taxé à 173€. Une hausse importante, donc, de 246%. ((173-50) :50 )x100

 

Ces nouvelles normes ne sont qu'un début, puisque les constructeurs, pour abaisser ces niveaux d'émission, compte mettre de nombreux équipements en accessoire et non plus de série comme les barre de toit.

 

Un vrai casse tête donc pour les particuliers souhaitant renouveler leur véhicule. Ajoutez à cela les politiques anti-diesel il ne reste donc plus beaucoup de solutions. Parmi elles :

 

- les véhicules essence

 

- les véhicules électriques. Ces derniers sont une alternative crédible mais, même avec le bonus de 6000€ accordé par l'état, ils sont encore très chers. Une Renault Zoe est accessible à partir de 17 700€ (bonus déduit) mais il reste la location des batteries calculée en fonction du kilométrage. Le réseau de bornes de recharge reste encore peu développée et l'autonomie, (annoncée de 400km pour la Zoe par exemple) est en réalité plus faible que celle donnée par les constructeurs.

 

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- les véhicules hybrides rechargeables. C'est là que vient tout le casse tête. En cette année 2018, l'aide de 1000€ accordée par l'Etat a totalement disparut. En plus de cela de nombreux constructeurs ont abandonné leur gamme hybride rechargeables.

 

 

Un autre casse tête pour les clients vient également d’apparaître : les nouvelles normes WLTP. Jusque là les véhicules étaient testé selon le cycle NEDC (pour Nouveau Cycle Européen De Conduite). Mais le scandale du Diesel Gate révélé en 2015 avec la fameuse affaire des moteurs truqués de Volkswagen a remis les choses en perspective. Le grand bilan auquel tout le monde s'attendait fût le suivant : les test ne sont pas significatifs. Après avoir déversé toute leur haine sur le groupe VAG et avoir incriminé d'autres groupes tels que FCA et Renault-Nissan, les institutions ont cherché à trouver de nouvelles solutions. C'est donc récemment qu'a été annoncée la mise en place de nouvelles normes nommées sobrement WLTP.

Elles ont été mises en place selon des tests très poussés. En effet, chaque constructeur a testé chacun de ses modèles, finition par finition, option par option et motorisation par motorisation. De quoi donner quelque chose de très compliqué. Car il faut le savoir les émissions varient non seulement avec la motorisation et la boite de vitesse, mais aussi en fonction des équipements.

 

Prenons deux Peugeot 308, 1,2 Pure Tech 110 chevaux, BVM6, en finition Style (milieux de gamme). Ces deux autos sont identiques du point de vue de l'équipement et des caractéristiques techniques. Seulement notre modèle A possède des jantes de 16 pouces (de série) et notre modèle B, lui, dispose de jantes de 17 pouces (en option). Le malus sera plus élevé sur le modèle B car la taille des jantes influe sur les émissions de CO2. Le choix des jantes 17 pouces augmentera donc légèrement le malus de la voiture.

 

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L'augmentation des malus automobiles ainsi que la mise en place de nouvelles normes forment une chasse aux émissions de CO2 accrue. Ajoutez à cela la disparition des aides de l'Etat pour l'achat d'un véhicule hybride et les tarfis prohibitifs des véhicules électrique, et vous obtenez un casse tête géant !

 

 

 

 

Sources :

- http://droit-finances.commentcamarche.com/faq/20269-malus-automobile-taxe-co2-2018http://auto.bfmtv.com/actualite/calculez-le-bonus-malus-ecologique-2018-de-votre-future-voiture-1266928.html

https://www.turbo.fr/dossiers/consommation-auto/augmentation-du-budget-auto-en-2018-ny-echappera-malheureusement-pas-48476

http://www.renault-zoe.info/forum-zoe/tarif-location-batterie-pour-zoe-t282.html

 

 

 

 

 

Truc de fou en effet, mais tout est bon pour taxer les automobilistes après les avoir bien culpabilisés pour qu'ils ne protestent pas. Et aussi frayer bon gré mal gré une place à une voiture électrique qui ne sera une alternative crédible que dès lors qu'on pourra, après avoir parcouru 600 à 800 km avec la voiture chargée ras la gueule sans spécialement surveiller sa conduite pour rouler à l'économie, la recharger en 5 minutes avant de pouvoir repartir pour la même distance...

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Bonjour à tous,

 

Je suis navré de ne pas avoir posté d'article vendredi dernier, cependant j'ai eu une journée assez chargée. Et ce week-end impossible de me consacrer à autre chose que je Grand Prix Historique de Pau!

 

Avec 480 véhicules exposés et de nombreuses courses j'ai passé près de 10 heures sur le site. Il m'a fallut également beaucoup de temps pour trier, recadrer et parfois modifier, les 1 909 photos prises durant l'événement.

 

Aujourd'hui, je vous propose donc un article sur ce Grand Prix qui est un événement incontournable!

 

J'espère que vous appréciez ce petit reportage. ;)

 

 

 

Grand Prix Historique de Pau :

 

 

Après le Grand Prix moderne de Pau, c'est l'édition historique du Grand Prix qui a eu lieu sous un ciel dégagé, et un soleil rayonnant, les 19 et 20 Mai. Et c'est tant mieux car après le temps tout simplement médiocre du week-end passé il fallait au moins des températures avoisinant les 25° pour que l'événement soit parfait. Et il le fût !

 

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Durant ces deux jours, les palois ont assisté à des courses, bien évidement, mais également à une grande exposition automobile ! Comme chaque année le Parc Beaumont a été littéralement envahis par plus de 450 voitures de collection venues de toutes l’Europe ! Il y avait de nombreuses autos immatriculées en France mais aussi en Angleterre, en Espagne, en Belgique ou en Allemagne !

 

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Il y en avait pour tout les goûts ! Des traditionnels roadster anglais représentés par les MG, Triumph et autre Austin-Healey, jusqu'aux Muscles Cars américaines telles que les mythiques Ford Mustang et Chevrolet Camaro en passant par diverses autos populaires françaises que sont les 4L et Simca Aronde. Tout un panel de marques était donc réuni.

 

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Toutes les époques étaient présentes avec des véhicules de années 20 telles que cette Citroën Type C de 1924, nommée affectueusement « Petite Citron » en raison de sa couleur jaune de série, ou encore des autos plus récentes comme cette superbe Ferrari F 430 !

 

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Certaines autos moins courantes étaient également présentes, en témoignent ces superbes De Tomaso Mangusta et Alvis TD 21. De quoi ravir les passionnés comme les curieux !

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Les courses, quant à elles, se sont déroulées sur la mythique piste du circuit de Pau ! Au programme comme chaque années la course qui, pour moi, est la plus belle : le Trophée Bugatti ! Cette épreuve met en scène plusieurs Bugatti d'avant-guerre telles que les fameuses Type 35 !

 

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Le circuit accueillait également les Formule Ford, les HTCC et les petites Mini !

 

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Le Lengendary Circuit mettait en scène diverses Morgan, Porsche, Triumph, MG, Lotus, Autin-Healey et Datsun spécialement préparées pour la compétition !

 

 

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Une très belle édition en effet et de beaux plateaux de course! :)

 

Tracta, AFG Grégoire, Hotchkiss-Grégoire, l’œuvre d'un homme : Jean Albert Grégoire

 

 

Dans le monde automobile il y a, entre autres, les constructeurs, les designers, les pilotes, les mécaniciens, mais aussi les ingénieurs. Ils ne faut pas oublier ces derniers car ce sont eux qui contribuent à faire naître nos autos avec les innovations qu'elles apportent.

Jean Albert Grégoire, ingénieur automobile diplômé de l’école polytechnique, est réputé pour l'apport des ses nombreuses innovations à ce monde passionnant et toujours en mutation.

 

Tracta, ou comment est née la traction avant :

 

En 1927 la première Tracta est dévoilée, il s'agit d'un modèle de compétition destiné à participer aux 24 Heures du Mans. Le modèle Gephi, puisque c'est de lui qu'il s'agit, finira septième lors de l'édition de 1927 avec à son bord son concepteur : Jean Albert Grégoire. Cette voiture était révolutionnaire par son système de traction avant qui, bien avant la Citroën Traction, fût mis en pratique grâce au joint Tracta (breveté en 1926).

Ce système est, à l'époque, le plus aboutit en terme de conception et de fiabilité, il est à noter que même la Citroën Traction commercialisée en 1934 connaîtra des problèmes de fiabilité importants, notamment à cause des cardans.

 

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Très vite, des véhicules de tourismes destinés à une clientèle particulière sont produit, à l'image de ce modèle Cabriolet EI équipé d'un 6 cylindres de 2 691 cm3 développant 52 chevaux.

 

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L'expérimentation de l'aluminium :

 

Après avoir travaillé sur ce système de traction avant, l'ingénieur français se tourna vers la conception de carrosseries de manière à rendre les voitures plus légères. L'aluminium fût donc utilisé en masse. Durant la seconde guerre mondiale un prototype conçu en collaboration avec l'Aluminium français permis à Jean Albert Grégoire d'étudier le matériaux sous toutes ses formes et donna naissance à la Pahard Dyna X. Cette dernière disposait d'un poids plume de 650kg et d'une mécanique vaillante composée de deux cylindres de 62 chevaux.

 

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Hotchkiss et Grégoire :

 

Dans les années 50 Grégoire travailla en partenariat avec le constructeur français Hotchkiss. Cette collaboration s'avéra fructueuse puisque le constructeur, dans le but de sortir de sa situation précaire due à la guerre 39-45, présenta au salon de l'automobile de 1951 l'Hotchkiss-Grégoire Berline type JAG (pour Jean Albert Grégoire) inspirée du prototype Grégoire R. L'auto adoptait un châssis tout en aluminium, 4 roues indépendantes et un 4 cylindres à plat 2.0 de 80 chevaux.

 

En parallèle de la berline un Coah était disponible avec une mécanique légèrement plus puissante. Cet exemplaire couleur champagne est l’œuvre du carrossier Chapron.

 

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Grégoire Sport :

 

La Grégoire Sport est l'aboutissement de toutes les innovations employées par l'ingénieur. Châssis en aluminium, 4 roues indépendantes, 4 cylindres à plat (moteur issus de la Hotchkiss-Grégoire berline) associé à un compresseur, direction à crémaillère, carrosserie en Alpax, et système de traction tracta, ce coupé sportif capable de monter à 180 km/h est un véritable petit bijoux de technologie et de modernité pour l'époque. Sa carrosserie modelée par Henri Chapron est d'une élégance incontournable.

 

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Delage Berline Type D6-11 (1933) :

 

Parmi les grandes marques automobiles prestigieuses françaises nous pouvons citer Delahaye, Hispano-Suiza, Facel-Vega ou encore Bugatti. Mais n'oublions pas le constructeur Delage, longtemps réputé pour ses véhicules parmi les plus luxueux de la production automobile.

 

Présentée comme une entreprise habillant des châssis de constructeurs (comme cela était coutume à l'époque), Louis Delage ne tarda pas à voir plus loin et à vouloir concevoir ses propres modèles. C'est dans les années 1920 que le développement de l'entreprise fût le plus important. Les années folles, aussi appelées Golden Twentie's aux Etats-Unis, symbolisaient la démesure, l'envie de concevoir des automobiles toujours plus extravagantes ! En témoigne la Bugatti Royale qui est, à elle seule, le symbole de cette époque.

 

C'est donc un véritable engouement qui prend forme autour de la marque, les ventes sont nombreuses et ce n'est pas anodin. Les carrosseries sont élégantes, les moteurs fiables et puissants, que demander de plus ?

Malheureusement le contexte historique de la fin des années 1920 met la marque dans une situation économique embarrassante. La crise déclenchée aux États-Unis s'est étendue sur le vieux continent et les ventes de Delage, mais aussi des autres constructeurs, s'effondrent.

C'est une situation plus que critique qui se produit et qui signe la disparition, ou du moins la restriction de production, de nombreux constructeurs.

 

Le modèle du jour présenté au Salon de l'Automobile de Paris de 1932, équipé d'un moteur 6 cylindres de 2.0 et de 63 chevaux était censé aider l'entreprise a relancer ses ventes, mais ce fût en vain. En 1935, après une dernière tentative l'entreprise expira son dernier souffle et ferma son usine de Courbevoie.

 

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Mais coup de théâtre ! L’entrepreneur Walter Watney ressuscita l'entreprise sous le nom de « Société Nouvelle des Automobiles Delage », société qui fût rachetée par l'entreprise Delahaye, concurrente de Delage. Les automobiles Delage furent produites sous licence jusqu'en 1954, année de disparition de Delahaye.

 

 

 

Cette Delage est magnifique, que de belles années. Merci pour ces articles ;)

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Invité §Aud662Kj

 

Belles publicités anciennes !

 

Et ouvre le lien que j'ai mis sous la photo de celle qui ressemble à une Traction, tu auras la réponse à ta question... ;)

 

 

Très intéressant ce site!

 

Truc de fou en effet, mais tout est bon pour taxer les automobilistes après les avoir bien culpabilisés pour qu'ils ne protestent pas. Et aussi frayer bon gré mal gré une place à une voiture électrique qui ne sera une alternative crédible que dès lors qu'on pourra, après avoir parcouru 600 à 800 km avec la voiture chargée ras la gueule sans spécialement surveiller sa conduite pour rouler à l'économie, la recharger en 5 minutes avant de pouvoir repartir pour la même distance...

 

 

Les taxes sont de plus en plus élevées et contribuent grandement à la politique anti voiture que l'Etat met en place.

 

La voiture électrique n'est pas une solution pour les raisons que tu cites mais également car elle n'est pas propre. L'électricité est fournie pas les centrales nucléaire en grande partie et le processus de production des batteries au lithium est très polluant. Les batteries contiennent des métaux rares dont l'exploitation est polluante.

Et ce ne sont que quelques arguments.

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Invité §Aud662Kj

 

Une très belle édition en effet et de beaux plateaux de course! :)

 

 

En effet, et sous un beau soleil!

 

 

 

 

Cette Delage est magnifique, que de belles années. Merci pour ces articles ;)

 

 

Les années des belles autos! Cependant ces années étaient difficiles car il fallait se relever de la crise. Mais la consommation a vite repris, donc la production avec!

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Invité §Aud662Kj

Bugatti Type 46 :

 

 

Originale la 46. Je dis originale car la carrosserie dessinée par Jean Bugatti, le fils d'Ettore Bugatti, tranche véritablement avec le style des autos du début des années 1930. Le ton est donné : sportivité de rigueur ! La superbe peinture bleue et noire met parfaitement en valeur ses lignes fines et souples. Motorisée par un 8 cylindres de 5 350 cm3 la Type 46 se dote d'une puissance extrêmement confortable de 140 chevaux. Ce chiffre qui, aujourd'hui peut sembler anecdotique était une véritable performance !

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En fin de carrière la Type 46 connu une évolution côté motorisation. A l'image des Mercedes-Benz de l'époque cette nouvelle version était équipée d'un compresseur qui augmentait la puissance de 20 chevaux. Peu de versions furent produites, celle ci-dessous fait partie des 18 exemplaires vendus.

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Comme toujours le constructeur de Molsheim n'imposait aucune carrosserie à ses clients. Beaucoup choisissaient d'habiller les châssis chez de grands carrossiers renommés à l'image de l'entreprise Million-Guiet qui carrossa cette Type 46 avec une caisse entièrement en aluminium qui se dévoile dans une très belle couleur crème.

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Le musée disposait également de ce bel exemplaire totalisant plus de... 300 000 kilomètres ! La carrosserie typée limousine, plus classique que la version de base, est d'une prestance incroyable !

 

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Très intéressant ce site!

 

 

 

Les taxes sont de plus en plus élevées et contribuent grandement à la politique anti voiture que l'Etat met en place.

 

La voiture électrique n'est pas une solution pour les raisons que tu cites mais également car elle n'est pas propre. L'électricité est fournie pas les centrales nucléaire en grande partie et le processus de production des batteries au lithium est très polluant. Les batteries contiennent des métaux rares dont l'exploitation est polluante.

Et ce ne sont que quelques arguments.

 

 

Les centrales nucléaires, sauf à jouer au con comme à Tchernobyl - qui était d'un type déjà moins sûr par conception, mais qui n'existe pas chez nous - ou à faire passer la production et la finance avant la sécurité comme à Fukushima - elle aussi d'un type périmé, et si les travaux nécessaires et connus avaient été faits avant, les personnels formés, les procédures rodées, le matériel de secours mis en état, les plans et procédures tenus à jours... n'aurait pas connu la catastrophe - produisent de l'électricité depuis quarante ans sans avoir tué personne et sont parfaitement sûres si on respecte les procédures de maintenance et d'exploitation... On ne peut en dire autant des industries chimiques ou pétrolières par exemple.

 

Et elles ne produisent pas non plus de rejets incontrôlés de gaz polluants, et quand aux "déchets radioactifs de haute activité" qui font si peur c'est un très faible volume, on sait les traiter pour qu'ils ne contaminent pas l'environnement et il suffit de quelques mètres de terre, d'eau ou de béton pour arrêter toutes les radiations. Peut-on en dire autant des gaz et des polluants solides ou liquides relâchés par d'autres industries auxquelles on est loin de faire les mêmes procès ?

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