Le Topic des engins blindés (Index en page 1)

[yvesb]

Bjr Juluch, bjr les autres.

Donc, je suis "nouveau" (1-2 mois) sur votre topic.

Je suis un peu gentil troller, râleur (depuis que j'ai embarque sur FA Caradisiac, peu après la "migration").

 

       

 

J'ai mis un temps FOU! a dénicher la liste du staff et des modérateurs (maintenant, il y a un onglet en bas de page, mais avant c’était l'omerta?). Est-ce qu'il y a qqu'un dans le char blinde pour me dire QUI est le modérateur de ce topic ????? C'est pas clair, transparent.

Moi, tout ce que je demande, voudrais savoir, c'est   jusqu’où peut-on sur ce topic afficher des véhicules de logistique pas ou peu blindes: estafettes (autos, motos, avec ou sans armes), transporteurs de tanks (ou d'ogives missiles), ponts roulants, etc.... Autrement dit, préciser ce qui est "dit" en page 2 de ce topic (par le fondateur Jensen, je crois).

 

Cordialement,

 

Yves le belge (ex ingénieur, retraite, vivant en Saxe).

 

 

 

 

[flyinngpat]

Projet du char T-84 (URSS. 1949).

 

Pour améliorer les qualités de combat du char T-54, modèle 46, le concepteur de l'usine n° 183 P.P. Vasiliev a proposé un projet de nouvelles suspensions avec une garde au sol réglable. Selon le projet, la hauteur du char, qui a reçu le nom de T-84 ( le premier avec ce nom ), pouvait passer de 1650 à 1200 mm .

 

 

L'utilisation d'une suspension réglable devait fournir au char une zone minimale de dommages possibles, permettant d'utiliser au maximum le terrain pour s'abriter et se camoufler, et, également fournissant une augmentation de la maniabilité sur le champ de bataille. Dans le système de modification du jeu, les composants et assemblages du système hydraulique du camion à benne basculante YaAZ-205 ont été utilisés avec des modifications partielles. En plus du système hydraulique, un système pneumatique redondant pour monter et descendre la coque a été développé pour le char.

 

Comparatif de hauteur avec un char T-34.

 

Cependant, la poursuite des travaux sur la suspension du véhicule à jeu réglable (ainsi que sur la version légère du char T-54) a été arrêtée en raison de la finalisation de la conception et de la reprise de la production en série du char T-54 à fin 1949. Avant la guerre, P.P. Vasiliev a travaillé à Kharkiv chez KhPZ. Sous la direction de Koshkin, avec A.A. Morozov, il a conçu la transmission du char T-34. Participé à la création de chars T-34M, T-44, T-54. Par la suite, le concepteur en chef d'OKB-3 de l'usine Uralmash.

 

Il s'agit d'un schéma de la note explicative au projet de conception du char T-84 (en comparaison avec le T-34), dont l'auteur était le concepteur P.P. Vasiliev. Cette notice explicative est toujours à Nizhny Tagil, conservée au musée des véhicules blindés "Uralvagonzavod"

 

Armement - canon D-10TG de 100 mm, mitrailleuse SG-43 de 7,62 mm, mitrailleuse DShK de 12,7 mm;
Armure frontale - 100 mm;
Moteur - B-54 (520 CV)
Équipage - 3 hommes.

 

 

Modifié 17 août 2022 par flyinngpat

[flyinngpat]

Le 16/08/2022 à 09:46, yvesb a dit :

Bjr Juluch, bjr les autres.

Donc, je suis "nouveau" (1-2 mois) sur votre topic.

Je suis un peu gentil troller, râleur (depuis que j'ai embarque sur FA Caradisiac, peu après la "migration").

 

       

 

J'ai mis un temps FOU! a dénicher la liste du staff et des modérateurs (maintenant, il y a un onglet en bas de page, mais avant c’était l'omerta?). Est-ce qu'il y a qqu'un dans le char blinde pour me dire QUI est le modérateur de ce topic ????? C'est pas clair, transparent.

Moi, tout ce que je demande, voudrais savoir, c'est   jusqu’où peut-on sur ce topic afficher des véhicules de logistique pas ou peu blindes: estafettes (autos, motos, avec ou sans armes), transporteurs de tanks (ou d'ogives missiles), ponts roulants, etc.... Autrement dit, préciser ce qui est "dit" en page 2 de ce topic (par le fondateur Jensen, je crois).

 

Cordialement,

 

Yves le belge (ex ingénieur, retraite, vivant en Saxe).

 

 Bonjour, je pense que tout est dit dans les pages 1 et 2, tout ce que vous avez cité (même les trains blindés), excepté peut être les motos légères qui se trouvent dans un autre topic.

Cordialement.

 

Flyinngpat

 

Le 16/08/2022 à 09:46, yvesb a dit :

 

 

 

[flyinngpat]

Le 28/07/2022 à 15:55, flyinngpat a dit :

 

Modifié 17 août 2022 par flyinngpat

[yvesb]

Merci Flinngpat.

DONC, si je comprends bien, mes images de Kettenrad NSU Kfz HK101, c'est OK? Ca passe?

 

Mais la Vespa Bazooka, pas blindée, c'est "border-line", c'est le "purgatoire....?

Et La Debdewette Dneper MT 650, side -car avec 2 petits canons mais pas blindée, idem: purgatoire !?

Et les camions + remorques transports de chars (eux pas blindes), c'est out! il y a d'autres topics pour ça, yes ?

Et l'image suivante (humour!) , idem,  pas ici mais dans un des autres topics, je presume ?

 

Mc Laren 10 NHP Locomotive Gigantic 1912

 

 

Allez! Pour me faire pardonner mes gentils trolls, voici 2 images blindées:

  Lequel ? (je suis pas spécialiste)

 

  Il  lui manque ses chenilles, evidemment.

 

Pourquoi il avait été conçu avec ce grand "creux" ? Pour y mettre un canon ?

 

Et pour terminer avec encore humour...:

 

Yves le belge fanfaron (pardon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[flyinngpat]

il y a une heure, yvesb a dit :

Merci Flinngpat.

DONC, si je comprends bien, mes images de Kettenrad NSU Kfz HK101, c'est OK? Ca passe?

 

Mais la Vespa Bazooka, pas blindée, c'est "border-line", c'est le "purgatoire....?

Et La Debdewette Dneper MT 650, side -car avec 2 petits canons mais pas blindée, idem: purgatoire !?

Et les camions + remorques transports de chars (eux pas blindes), c'est out! il y a d'autres topics pour ça, yes ?

Et l'image suivante (humour!) , idem,  pas ici mais dans un des autres topics, je presume ?

 

Mc Laren 10 NHP Locomotive Gigantic 1912

 

 

Allez! Pour me faire pardonner mes gentils trolls, voici 2 images blindées:

  Lequel ? (je suis pas spécialiste)

 

  Il  lui manque ses chenilles, evidemment.

 

Pourquoi il avait été conçu avec ce grand "creux" ? Pour y mettre un canon ?

 

Et pour terminer avec encore humour...:

 

Yves le belge fanfaron (pardon)

 

Non, je parlais juste des motos de liaison, celles qui n'ont aucun armement, tout le reste est bon, même les camions transporteurs de chars, mais avec un minimum d'explications. Le scooter bazooka a aussi sa place, c'est même une curiosité !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[Pierre99]

Il y a 1 heure, yvesb a dit :

Merci Flinngpat.

DONC, si je comprends bien, mes images de Kettenrad NSU Kfz HK101, c'est OK? Ca passe?

 

Mais la Vespa Bazooka, pas blindée, c'est "border-line", c'est le "purgatoire....?

Et La Debdewette Dneper MT 650, side -car avec 2 petits canons mais pas blindée, idem: purgatoire !?

Et les camions + remorques transports de chars (eux pas blindes), c'est out! il y a d'autres topics pour ça, yes ?

Et l'image suivante (humour!) , idem,  pas ici mais dans un des autres topics, je presume ?

 

 

 

 

Allez! Pour me faire pardonner mes gentils trolls, voici 2 images blindées:

  Lequel ? (je suis pas spécialiste)

 

  Il  lui manque ses chenilles, evidemment.

 

Pourquoi il avait été conçu avec ce grand "creux" ? Pour y mettre un canon ?

 

 

 

 

Yves le belge fanfaron (pardon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Geschützwagen Tiger Artillerie automotrice Allemande.😀

[yvesb]

Bjr Pierre.

Humour: j'ai une réputation d'emmerdeur et de tetu-obstine a entretenir.

Merci pour ta reponse;

Geschützwagen Tiger Artillerie automotrice Allemande.😀

Mais a quoi donc servait le "grand creux" ????? Est-ce qu'il y avait la une tourelle avec un canon (manquant, disparu ?).

 

Yves le belge

[flyinngpat]

Obusier de 155 mm sur châssis Sherman M4A3E8, L-33 (Thunder Maker) 'Roem' (Israël).

[flyinngpat]

Transporteur blindé polyvalent suédois SKP Scania Karosseri Pansar.

[flyinngpat]

Panzervarnpjästerrengbil 9031 avec Pansarvarnpjäs 1110, un canon suédois sans recul de 90 mm.

[flyinngpat]

Comparaison entre un char léger M3 Stuart et le char super lourd T-28 (1945).

[flyinngpat]

Mortier automoteur polonais M120G Rak. 

[yvesb]

Flinnpat,

J'espere que tu est cool, que tu as le sens de l'humour.

Ta derniere image:

Panzervarnpjästerrengbil 9031 avec Pansarvarnpjäs 1110, un canon suédois sans recul de 90 mm.

 

Elle ???? est une sorte de version  4 roues de "ma" Vespa bazooka, non ? Pas plus protégée par des blindages, toute proportion gardee, yes`?

Donc, ???? tu as envie d'interpreter comme moi la page 2, qui dit je crois que certains vehicules de soutien (armes?) sont admissibles, même s'ils ne sont pas (ou guère) blindes ?

 

Je répète: ma question se veut un TRES GENTIL TROLL, une boutade, hein !

 

Yves le belge gentil troller.

 

[yvesb]

Encore moi, flinngpat.

J'ai "rate"  au début une de tes réponses, et encore maintenant, pcq tu réponds A L'INTERIEUR DU COPIE-COLLE, ce qui est très rare. La quasi totalité des foromeurs FA , quand ils font un copier-coller et juste après y  répondent,  il écrivent leur réponse commentaire EN DESSOUS DU COPIE-COLLE  (a l'exterieur de celui-ci, ti piges?).

Puis-je oser te demander d'essayer, pour le confort et surtout pour éviter les quiproquos?

 

Yves le belge

Modifié 18 août 2022 par yvesb

[Pierre99]

Il y a 12 heures, yvesb a dit :

Bjr Pierre.

Humour: j'ai une réputation d'emmerdeur et de tetu-obstine a entretenir.

Merci pour ta reponse;

Geschützwagen Tiger Artillerie automotrice Allemande.😀

Mais a quoi donc servait le "grand creux" ????? Est-ce qu'il y avait la une tourelle avec un canon (manquant, disparu ?).

 

Yves le belge

Bonjour Yves.

 

Effectivement c'était pour le canon.

 

[flyinngpat]

Le Char Marmon-Herrington MTLS-1G14 (États-Unis. 1941 - 1942).

 

Parmi les chars peu connus de la période de la Seconde Guerre mondiale, citons le char américain MTLS-1G14, qui n'est familier qu'à un nombre extrêmement limité de personnes. Dans le même temps, ce char a été construit dans une série relativement importante de 125 véhicules de combat, soit plus que le nombre de nombreux chasseurs de chars allemands à petite échelle ou de canons automoteurs de la période de guerre. Ce char américain inhabituel, qui était armé d'un double canon de 37 mm, est intéressant, du moins pour le fait que de nombreux experts reconnaissent ce véhicule de combat comme l'un des chars américains les plus infructueux de la Seconde Guerre mondiale .

 

 

On peut dire que l'histoire du char MTLS-1G14 commence en 1940, lorsque l'armée des Indes orientales royales néerlandaises (KNIL : Koninklijk Nederlans Indisch Leger) a lancé un programme de modernisation en profondeur de sa propre armée. Le KNIL faisait référence aux forces armées néerlandaises, appelées à protéger les richesses pétrolières des Indes orientales néerlandaises (qui font aujourd'hui partie de l'Indonésie). Dans le même temps, le KNIL a été séparé du reste de l'armée néerlandaise, le plus souvent il a acquis diverses armes pour lui-même. La guerre dans le Pacifique devenant inévitable, le KNIL décide d'entreprendre une réorganisation majeure de ses troupes existantes. Il était censé reformater les 4 brigades mécanisées existantes, puis porter leur nombre à 6. Les nouvelles unités de combat nécessitaient une quantité importante d'équipements et d'armes.

Dans le même temps, la Hollande ne pourrait jamais fournir de manière autonome une telle quantité d'équipements, notamment des chars. De plus, la guerre qui s'est déroulée en Europe n'a pas laissé la possibilité de livrer du matériel militaire de l'Ancien Monde. Les États-Unis restaient la seule source d'approvisionnement, cependant, les usines américaines, en particulier les usines de chars, étaient occupées à exécuter des contrats de fourniture d'équipements à l'armée américaine, ainsi que les premiers contrats de fourniture d'armes en prêt-bail. Par conséquent, l'armée des Indes orientales royales néerlandaises a été contrainte de recourir aux services de sociétés non liées contractuellement à l'armée américaine. À ces fins, la société Marmon-Herrington était parfaitement adaptée, prête à fournir la production de toute la gamme de véhicules, ainsi que l'équipement nécessaire aux clients néerlandais.

Dans le même temps, les premiers chars commandés à Marmon-Herrington n'arrivèrent aux Indes orientales qu'au début de la guerre avec le Japon. Déjà en janvier 1942, le Japon lança une invasion des régions riches en pétrole des Indes orientales néerlandaises, battant rapidement les forces alliées dans la région. Initialement, la commande néerlandaise prévoyait la livraison de 200 chars moyens MTLS-1G14 au début de 1943, mais déjà en juin 1942, elle était réduite à 185 véhicules, puis à 125 chars. Au détriment des chars réduits, l'armée néerlandaise aurait dû recevoir le nombre nécessaire de pièces de rechange, qu'elle a oublié lors de la signature du contrat.

 

 

Le dernier des 125 chars commandés par les Hollandais est achevé le 4 mars 1942. Mais ils n'ont pas eu le temps de participer aux hostilités sur le territoire des Indes néerlandaises. À cette époque, les seuls territoires néerlandais encore inoccupés étaient des possessions situées en Amérique du Sud. En mai 1942, en Guyane néerlandaise (aujourd'hui Suriname), commence la formation d'une brigade motorisée mixte, pour laquelle la société Marmon-Herrington commence à expédier du matériel fabriqué par la commande néerlandaise. Certes, à ce moment-là, les Néerlandais n'avaient besoin que de 20 chars MTLS-1G14, ils ont simplement refusé le reste.

Le MTLS-1G14 était un char avec une disposition classique, dont la principale caractéristique était l'armement. L'armement principal du char est une double installation de canons automatiques de 37 mm avec une longueur de canon de 44 calibres. Le char prévoyait l'installation de 5 à 6 mitrailleuses à la fois. Deux mitrailleuses Colt-Browning M1919A4 de 7,62 mm étaient placées à l'avant de la coque, une était coaxiale avec des canons de 37 mm et une était située dans la pommette droite de la tourelle. Une ou deux mitrailleuses pourraient être montées sur le dessus de la tourelle, elles pourraient être utilisées comme canons anti-aériens. Cette arme devait être contrôlée par un équipage de 4 hommes.

La coque et la tourelle du char, qui avaient une forme hexagonale, étaient rivetées, ce qui ne pouvait guère être attribué à des solutions avancées. Dans ce cas, l'épaisseur de l'armure variait de 13 à 38 mm. L'armure de 38-mm avait un front de la coque, ainsi qu'un front, des côtés et la poupe de la tour. En 1943, un tel blindage pour un char moyen était déjà clairement insuffisant. Dans le même temps, les chars devaient être utilisés dans les Indes orientales néerlandaises, où les chars japonais devaient devenir leurs principaux adversaires, qui à l'époque ne différaient pas non plus par leur capacité de fabrication et leurs bonnes caractéristiques de combat. Contre eux, MTLS-1G14 avait l'air assez redoutable.

Le train de roulement du char moyen MTLS-1G14 était similaire à celui que les ingénieurs de Marmon-Herrington utilisaient sur leur char léger CTMS-1 TVI - quatre roues caoutchoutées de chaque côté, qui étaient emboîtées par paires dans deux chariots ; deux rouleaux de support ; roue motrice à l'avant avec couronnes dentées amovibles (enclenchement de la lanterne) et volant. Dans le même temps, les ingénieurs américains utilisaient une suspension sur ressorts tampons verticaux.

 

 

En tant que motorisation, on trouvait un moteur à carburateur Hercules HXE refroidi par air à 6 cylindres. Il développait une puissance maximale de 240 CV. à 2300 tr/min. La puissance du moteur était suffisante pour accélérer ce char d'un poids au combat de plus de 16 tonnes à une vitesse de 42 km / h lors de la conduite sur une route.

Après que la Hollande ait refusé d'acheter une partie des véhicules blindés construits pour eux. Le département d'approvisionnement des forces armées américaines a envoyé un char léger CTMS-1TBI et deux chars moyens MTLS-1G14 au terrain d'essai d'Aberdeen pour des tests complets. Des essais de véhicules de combat ont eu lieu ici de février à mai 1943. Dans le rapport qui a survécu à ces tests, ces chars ont été désignés "complètement peu fiables avec des défauts structurels et mécaniques, de faible puissance et équipés d'armes faibles". Pour le service dans l'armée américaine, ils ont été jugés inaptes. En général, à cette époque, MTLS-1G14 pouvait déjà être qualifié d'obsolète. L'archaïsme du char consistait non seulement en une armure rivetée et un train de roulement obsolète avec des rouleaux emboîtés dans des chariots, mais aussi en l'absence de talkie-walkie à bord, l'équipement radio des chars n'était pas prévu par le contrat.

 

Il convient toutefois de noter que dans l'armée américaine, certains chars de la société Marmon-Herrington ont été utilisés. Nous parlons de chars légers CTLS-4TAY et CTLS-4TAC, qui ont été jugés aptes à un usage limité et sont entrés dans l'armée américaine sous les désignations T-14 et T-16, respectivement. Les Américains utilisaient ces chars principalement en Alaska. Un rapport du département d'approvisionnement de l'armée américaine de novembre 1942 indique que chaque char est tombé en panne au cours des 100 premières heures de fonctionnement. Dans le même temps, certains de ces accidents pouvaient être facilement évités à l'aide de personnels entraînés, alors que ces véhicules de combat étaient conduits par des novices. Cette conclusion a également été confirmée par le fait que les Néerlandais et les Australiens, qui ont également reçu ces chars, les ont jugés satisfaisants.

 

Criquet M22 et MTLS-1G14

 

Étant donné que les chars moyens MTLS-1G14 ne répondaient pas aux normes de l'armée américaine, qui disposait déjà de chars moyens plus efficaces en service, et ont également reçu de faibles notes de spécialistes lors des tests sur le terrain d'entraînement d'Aberdeen, il a été décidé de mettre hors service tous les chars disponibles.

Dans le même temps, l'exécution de cette décision en mai 1943 a été suspendue pendant 6 mois. Pendant tout ce temps, les Américains ont essayé de trouver un acheteur étranger pour leur équipement, offrant le MTLS-1G14 à divers alliés. Cependant, toutes ces tentatives ont échoué et, en 1944, les 105 chars restant aux mains des Américains, ont été envoyés à la ferraille.

 

Caractéristiques du MTLS-1G14 :

Longueur de la coque - 4572 mm, largeur - 2642 mm, hauteur - 2565 mm, dégagement - 457 mm. Poids au combat - 16,3 tonnes. Motorisation - moteur à carburateur Hercules HXE 6 cylindres avec une puissance jusqu'à 240 CV. Vitesse maximale - 42 km / h (sur route). Armement - deux canons automatiques de 37 mm AAC Type F, 5 à 6 mitrailleuses Colt-Browning M1919A4 de 7,62 mm. Equipage - 4 hommes.

 

 

 

 

 

 

 

[flyinngpat]

Char léger expérimental "Celere Sahariano" (Italie, 1942).

 

Ce n'est un secret pour personne qu'au stade initial de la Seconde Guerre mondiale, les unités de chars italiennes étaient équipées à 90% de chars légers L3 dont la valeur de combat était extrêmement faible. L'adoption des chars de soutien M11/39 n'a pas amélioré la situation en raison de la disposition exiguë et de la disposition irrationnelle de l'armement. Cependant, c'est avec ces chars que l'Italie entrera en guerre en 1940. Les premières rencontres avec des chars britanniques ont très rapidement montré que les L3 de toutes les modifications ne sont pas recommandés pour une utilisation dans les attaques de chars venant en sens inverse. Les M11/39 ont mieux résisté, mais en termes de somme de leurs qualités de combat, ils n'ont pas surpassé les véhicules ennemis. Il est devenu clair que sans l'adoption rapide de véhicules de combat plus puissants, les forces de chars italiennes disparaîtraient tout simplement. Depuis 1940, les travaux ont été menés dans deux directions. Le premier prévoyait une modernisation radicale du «char de soutien», avec l'installation d'une tourelle à rotation circulaire sur celle-ci, dans laquelle étaient installés un canon de 47 mm et une mitrailleuse coaxiale avec celui-ci. La deuxième direction était plus intéressante, car ce n'était pas un char italien qui était pris comme échantillon, mais un véhicule ennemi.

 

 

L'histoire du seul char italien "rapide" est inextricablement liée au char de classe moyenne A13 Mk.I, que les Britanniques eux-mêmes appelaient Cruiser Tank Mk.III. Sa conception, à son tour, était basée sur le train de roulement de type Christie, parfaitement adapté aux véhicules de combat pesant jusqu'à 15 tonnes. Malgré le faible blindage, qui ne dépassait pas 14 mm dans la partie frontale de la coque, les véhicules britanniques avaient une grande mobilité et pouvaient être transférés sur n'importe quelle partie de l'étroit front africain par leurs propres moyens pendant plusieurs heures. Les chars moyens italiens M.11/39 et même M.13/40 ne pouvaient pas s'en vanter. Ainsi, afin de rattraper le temps perdu, au début de 1941, après une familiarisation avec l'A13 Mk.I capturé, une commande a été émise pour commencer le développement d'une machine similaire.

 

 

La première mention de cette machine remonte au 24 mai 1941, lorsque cette proposition fut formalisée dans les documents du Commando Supremo (Haut Commandement italien) et de l'Inspection Supérieure de la Recherche Technique (Roatta Ispettorato Superiore di Studi). Un mois plus tard, le 23 juin, alors que le projet était discuté par les hauts généraux, Ansaldo produisit un modèle grandeur nature du char. L'armement de conception comprenait une tourelle de 47 mm canon 47/40. En août 1941, un projet considérablement mis à jour est apparu, qui a été désigné comme Ansaldo-Fossati Carro Medio Celere. Au lieu du train de roulement standard à plusieurs bogies, il utilisait 4 roues de route par côté, avec une suspension à ressort vertical de type Christie et 2 galets de support. Entre 1-2 et 3-4 rouleaux, pour améliorer la perméabilité, un rouleau auxiliaire a été placé. Les roues motrices sont à l'arrière, les guides sont à l'avant. Apparemment, les concepteurs italiens ont étudié en détail non seulement l'A13 Mk.I, mais également le T-34 soviétique, car les plaques de coque frontale et latérale avaient de grands angles d'inclinaison. Selon le projet, la masse du char était estimée à 13100 kg, l'équipage était composé de 4 hommes. Un moteur à essence SPA de 275 CV a été choisi comme motorisation, ce qui permettrait une vitesse maximale d'environ 55 km / h lors de la conduite sur sol dur ou sur route.

 

 

Le modèle en bois présenté du char Carro Armato Veloce à l'échelle 1:10 a été approuvé par le Commando Supremo et, le 13 août 1941, la construction d'un prototype du char Carro Armato Celere Sahariano a été autorisée.

 

 

Malgré tout le caractère révolutionnaire de la conception de la construction de chars italiens, cette machine a conservé plusieurs anachronismes. La coque du char avait une structure principalement rivetée, ce qui ne contribuait pas à ses bonnes caractéristiques de résistance. L'armement, qui consistait en un canon de 47-mm 47/40 et une mitrailleuse coaxiale avec lui, ne répondait manifestement pas aux exigences actuelles du front. Cependant, il y avait une option avec un canon de 75 mm, mais elle n'a pas été mise en œuvre. Le blindage du Carro Armato Celere Sahariano n'était également guère puissant - les endroits les plus épais (30 mm) étaient les plaques avant de la coque et de la tourelle, le blindage latéral ne dépassait pas 20 mm, le toit et le fond étaient constitués de plaques de blindage de...... 6 mm !

 

 

L'assemblage du prototype a traîné jusqu'au printemps 1942, lorsque les chars britanniques de la série A13 avaient déjà été mis hors service et progressivement remplacés par le plus puissant M4 «Sherman». A cette époque, il est devenu évident que le Celere Sahariano était dépassé avant même sa mise en service et le projet a immédiatement perdu son attrait. Aucune donnée n'a été conservée sur les essais du char italien "à grande vitesse". Cependant, la plupart des sources occidentales indiquent que la masse du prototype était d'environ 14 000 kg et que la vitesse atteignait 71 km / h. Cependant, en juillet 1942, le projet Carro Armato Celere Sahariano fut fermé et le char moyen M15 / 42, qui était un développement du projet M.14, devint le favori. Le seul prototype a été placé en stockage temporaire et en 1944 a été démantelé pour récupérer le métal.

Caractéristiques :

POIDS AU COMBAT : 14000 kg
ÉQUIPAGE : quatre hommes
ARMEMENT : un canon de 47 mm modèle 1940 (Cannone da 47/40 ) et une mitrailleuse coaxiale de 8 mm
Breda modèle 1938 .- Blindage entre 30 mm à 6 mm.  MOTEUR SPA V-12, 12 cylindres, en forme de V, en ligne , carburé, refroidi par liquide, puissance 250 cv.  TRANSMISSION mécanique TRAINS ROULANTS (d'un côté) 4 galets de chenille, 2 galets de support, traction avant et roue de guidage arrière. VITESSE 71 km/h sur route.

 

 

 

 

 

 

 

[flyinngpat]

Léopard 2 A7 en plein action 

[flyinngpat]

KMW-Nexter EuroMBT

[flyinngpat]

Artillerie mobile ! 🤣

[meiji851]

il y a 34 minutes, flyinngpat a dit :

Artillerie mobile ! 🤣

 

Armée Russe, 2022 ©

 

 

[yvesb]

Salut les gars!

Moi, le petit nouveau, j'avais des hésitations sur le "border line" des engins de support logistique peu ou pas blindes (voir mes ??? auparavant).

Mais quand je vois ta dernière image, Flyinngpat, je ??? me dis que j'avais ? peut-etre trop de scrupules ???

Kettenrad NSU, Vespa bazooka, Debdewette Dneper , Mclaren,

apparemment, ca "passe" et même moins !? 🤪😁. Pas de réaction du fondateur (?"tonton"? ) ni du médiateur...

Donc, je peux continuer a presenter des motos, side-cars et autres estafettes (p.ex. jeeps)  peu ou pas blindées !? 😁🤪. Suffit d'une mitrailleuse, ou un petit canon, quoi ?

 

Yves le belge

 

 

Le 17/08/2022 à 18:28, yvesb a dit :

Merci Flinngpat.

DONC, si je comprends bien, mes images de Kettenrad NSU Kfz HK101, c'est OK? Ca passe?

 

Mais la Vespa Bazooka, pas blindée, c'est "border-line", c'est le "purgatoire....?

Et La Debdewette Dneper MT 650, side -car avec 2 petits canons mais pas blindée, idem: purgatoire !?

Et les camions + remorques transports de chars (eux pas blindes), c'est out! il y a d'autres topics pour ça, yes ?

Et l'image suivante (humour!) , idem,  pas ici mais dans un des autres topics, je presume ?

 

Mc Laren 10 NHP Locomotive Gigantic 1912

 

Yves le belge fanfaron (pardon)

 

 

Yves le belge

[flyinngpat]

Projet de char Delahaye Vaisseau terrestre (France, 1918).

 

En mars 1918, deux ingénieurs de Delahaye, Louis-Gaston Sabate et Amédie-Pierre Varlet, déposent un brevet pour un char fondamentalement nouveau. Les chars, même en 1918, étaient encore des véhicules relativement nouveaux. Par conséquent, il n'est pas surprenant qu'à cette époque diverses propositions d'amélioration soient littéralement apparues les unes après les autres. Mais la conception de Sabate et Varlet était très différente des chars de la première guerre mondiale qui existaient à cette époque .
 

 

 

Leur conception utilisait les propres brevets de piste de Delahaye déposés en janvier 1918. Ils ont utilisé une configuration de chenille relativement conventionnelle avec un pignon d'entraînement de grand diamètre à l'avant et une roue de taille similaire à l'arrière qui était également utilisée pour tendre la chenille. Entre ces deux roues de grand diamètre se trouvaient trois petites roues, qui étaient des rouleaux compresseurs. Une partie moins courante de ce système de chenilles était qu'au-dessus de ces deux grandes roues se trouvait un support pivotant central pour l'ensemble de la chenille, lui permettant de tourner en une seule pièce, et sur celui-ci se trouvait un pignon d'entraînement pour la chaîne, qui à son tour entraînait le pignon avant. .

 

 

Brevet français FR504609 daté de mars 1918, montrant la disposition en chenille triangulaire

 

 

Cette conception était plus que appropriée à des fins militaires. Étant donné que les machines équipées d'un tel moteur auraient un degré plus élevé de capacité tout terrain que celles qui avaient des chenilles conventionnelles du tracteur Holt. Le fait que les chenilles tournaient autour de leur axe central garantissait qu'elles auraient toujours la meilleure adhérence possible au sol. Et cela signifie la capacité de surmonter les obstacles les plus difficiles. Mais la chose la plus intéressante est qu'en juillet 1917, l'ingénieur Sabate, sans la participation de Varlet, a déposé une demande de brevet pour un véhicule permettant de déplacer l'artillerie d'assaut sur le champ de bataille. En fait, c'était l'une des premières conceptions de pont mobile, qui permettait de forcer les obstacles rencontrés sur le champ de bataille et, surtout, les ravins.

Mais ensuite, l'idée est venue aux ingénieurs que la combinaison de l'idée de 1917 avec les brevets de 1918 et la combinaison d'une roue polygonale et d'une chenille pourraient conduire à des résultats encore plus impressionnants. Et il s'est avéré. Leurs efforts sont apparus roue de chenille triangulaire complètement peu orthodoxe. Bien que la conception de cette roue semble très complexe à l'extérieur, elle est en fait relativement simple.

Comme dans les brevets originaux de janvier 1918, la chenille, qui tournait autour des trois roues motrices, était entraînée en rotation par un arbre situé au centre du châssis de ces roues, et par trois engrenages parasites. Un pignon d'entraînement était monté sur l'arbre lui-même, fixé entre un «sandwich» de deux grandes plaques triangulaires, sur lesquelles des roues entraînées par des engrenages parasites étaient fixées aux coins. Sur une surface plane, la voiture se déplaçait sur des chenilles, comme un char ou un tracteur ordinaire. Mais sur un terrain meuble (ou, ayant rencontré un obstacle), ils se sont retournés et ont commencé à tourner comme un seul. Un tel dispositif permettait de se déplacer facilement sur des terrains accidentés et accidentés, ainsi que de franchir des tranchées et des murs verticaux. Par conséquent, la prochaine étape des concepteurs était assez logique: en reliant une unité de propulsion tout-terrain triangulaire et un corps articulé mobile,

Le char, appelé "Armement des chars de guerre", était un châssis articulé à deux sections, dont chaque section avait la même forme et la même taille. De plus, les deux pourraient se confondre de manière assez significative l'un par rapport à l'autre.

 

Brevet français FR504610 mars 1918 pour un char à deux sections avec une tourelle située entre les sections. Les chenilles dessus sont du type habituel

 

Entre ces sections se trouvait une tour avec des armes, qui pouvait pivoter à 360 degrés et se déplacer également dans un plan vertical. Cela lui a permis d'avoir un angle d'élévation de 45 à 60 degrés, avec un angle de descente de 2 degrés vers l'avant et vers l'arrière et ainsi tirer même des avions. Le support d'armement était rigide, ce qui était pratique car il économisait de l'espace à l'intérieur de la tourelle. Un armement supplémentaire était situé à l'intérieur de deux parties de la coque et comprenait deux mitrailleuses. Il faut donc au moins deux hommes pour l'équipage de chaque partie de la coque, dont un pilote et un mitrailleur. S'il y a au moins 2 hommes de plus dans la tour, l'équipage du véhicule devra être composé d'au moins 6 hommes.

 

Chaque section de la coque devait avoir son propre moteur et sa propre transmission entraînés par deux unités à chenilles. Si l'un des moteurs tombait en panne, le char pouvait toujours se déplacer, mais avec une mobilité limitée. Les avantages du projet étaient évidents. Mais comme la guerre était déjà terminée au moment où les derniers brevets ont été obtenus pour lui, personne ne s'est beaucoup intéressé à lui. 

 

 

En tout cas, c'est précisément à cause de la complexité de ce projet que ce char n'a jamais été réalisé.

 

[yvesb]

Pas de commentaires (critiques, objections...) a mon dernier post ?

J'y vais !

 

   Quelle armee ?

 

 

Matchless_Vickers (Angleterre)

 

  Royal -Enfield (Angleterre, peut-etre Inde ?)

 

Yves le belge

 

 

 

 

 

 

 

 

[juluch]

hello, là par contre ça rien à voir avec des blindes

 

met plutot là:

 

 

[juluch]

Le 30/08/2022 à 11:16, flyinngpat a dit :

Projet de char Delahaye Vaisseau terrestre (France, 1918).

 

En mars 1918, deux ingénieurs de Delahaye, Louis-Gaston Sabate et Amédie-Pierre Varlet, déposent un brevet pour un char fondamentalement nouveau. Les chars, même en 1918, étaient encore des véhicules relativement nouveaux. Par conséquent, il n'est pas surprenant qu'à cette époque diverses propositions d'amélioration soient littéralement apparues les unes après les autres. Mais la conception de Sabate et Varlet était très différente des chars de la première guerre mondiale qui existaient à cette époque .
 

 

 

Leur conception utilisait les propres brevets de piste de Delahaye déposés en janvier 1918. Ils ont utilisé une configuration de chenille relativement conventionnelle avec un pignon d'entraînement de grand diamètre à l'avant et une roue de taille similaire à l'arrière qui était également utilisée pour tendre la chenille. Entre ces deux roues de grand diamètre se trouvaient trois petites roues, qui étaient des rouleaux compresseurs. Une partie moins courante de ce système de chenilles était qu'au-dessus de ces deux grandes roues se trouvait un support pivotant central pour l'ensemble de la chenille, lui permettant de tourner en une seule pièce, et sur celui-ci se trouvait un pignon d'entraînement pour la chaîne, qui à son tour entraînait le pignon avant. .

 

 

Brevet français FR504609 daté de mars 1918, montrant la disposition en chenille triangulaire

 

 

Cette conception était plus que appropriée à des fins militaires. Étant donné que les machines équipées d'un tel moteur auraient un degré plus élevé de capacité tout terrain que celles qui avaient des chenilles conventionnelles du tracteur Holt. Le fait que les chenilles tournaient autour de leur axe central garantissait qu'elles auraient toujours la meilleure adhérence possible au sol. Et cela signifie la capacité de surmonter les obstacles les plus difficiles. Mais la chose la plus intéressante est qu'en juillet 1917, l'ingénieur Sabate, sans la participation de Varlet, a déposé une demande de brevet pour un véhicule permettant de déplacer l'artillerie d'assaut sur le champ de bataille. En fait, c'était l'une des premières conceptions de pont mobile, qui permettait de forcer les obstacles rencontrés sur le champ de bataille et, surtout, les ravins.

Mais ensuite, l'idée est venue aux ingénieurs que la combinaison de l'idée de 1917 avec les brevets de 1918 et la combinaison d'une roue polygonale et d'une chenille pourraient conduire à des résultats encore plus impressionnants. Et il s'est avéré. Leurs efforts sont apparus roue de chenille triangulaire complètement peu orthodoxe. Bien que la conception de cette roue semble très complexe à l'extérieur, elle est en fait relativement simple.

Comme dans les brevets originaux de janvier 1918, la chenille, qui tournait autour des trois roues motrices, était entraînée en rotation par un arbre situé au centre du châssis de ces roues, et par trois engrenages parasites. Un pignon d'entraînement était monté sur l'arbre lui-même, fixé entre un «sandwich» de deux grandes plaques triangulaires, sur lesquelles des roues entraînées par des engrenages parasites étaient fixées aux coins. Sur une surface plane, la voiture se déplaçait sur des chenilles, comme un char ou un tracteur ordinaire. Mais sur un terrain meuble (ou, ayant rencontré un obstacle), ils se sont retournés et ont commencé à tourner comme un seul. Un tel dispositif permettait de se déplacer facilement sur des terrains accidentés et accidentés, ainsi que de franchir des tranchées et des murs verticaux. Par conséquent, la prochaine étape des concepteurs était assez logique: en reliant une unité de propulsion tout-terrain triangulaire et un corps articulé mobile,

Le char, appelé "Armement des chars de guerre", était un châssis articulé à deux sections, dont chaque section avait la même forme et la même taille. De plus, les deux pourraient se confondre de manière assez significative l'un par rapport à l'autre.

 

Brevet français FR504610 mars 1918 pour un char à deux sections avec une tourelle située entre les sections. Les chenilles dessus sont du type habituel

 

Entre ces sections se trouvait une tour avec des armes, qui pouvait pivoter à 360 degrés et se déplacer également dans un plan vertical. Cela lui a permis d'avoir un angle d'élévation de 45 à 60 degrés, avec un angle de descente de 2 degrés vers l'avant et vers l'arrière et ainsi tirer même des avions. Le support d'armement était rigide, ce qui était pratique car il économisait de l'espace à l'intérieur de la tourelle. Un armement supplémentaire était situé à l'intérieur de deux parties de la coque et comprenait deux mitrailleuses. Il faut donc au moins deux hommes pour l'équipage de chaque partie de la coque, dont un pilote et un mitrailleur. S'il y a au moins 2 hommes de plus dans la tour, l'équipage du véhicule devra être composé d'au moins 6 hommes.

 

Chaque section de la coque devait avoir son propre moteur et sa propre transmission entraînés par deux unités à chenilles. Si l'un des moteurs tombait en panne, le char pouvait toujours se déplacer, mais avec une mobilité limitée. Les avantages du projet étaient évidents. Mais comme la guerre était déjà terminée au moment où les derniers brevets ont été obtenus pour lui, personne ne s'est beaucoup intéressé à lui. 

 

 

En tout cas, c'est précisément à cause de la complexité de ce projet que ce char n'a jamais été réalisé.

 

 

 

Fallait quant meme le concevoir ce truc!!!  😆

[flyinngpat]

Le 01/09/2022 à 17:22, juluch a dit :

 

 

Fallait quant meme le concevoir ce truc!!!  😆

Tu m'étonnes, mais bon, c'était les débuts et le concept n'était peut être pas aussi mauvais que cela !

[flyinngpat]

Automitrailleuse américaine T18E2 Boarhound (1942). Construite pour l'armée britannique, elle fut commandée en 2500 exemplaires mais en raison des coûts élevés de production, seule une trentaine d'exemplaires sera réçue.

 

Tableau récapitulatif des dimensions¹

  T18E2 Longueur (m) 6,25 Largeur (m) 3,07 Hauteur (m) 2,62 Garde au sol 0,34 Masse à vide (kg) 22226 Masse en ordre de combat (kg) 24040

 

 

Tableau récapitulatif des caractéristiques motrices¹ 

	T18E2
Motorisation	2 GMC 329 6 cylindres en ligne
Puissance	250 hp à 3000 t/m
Puissance massique (hp/t)	9,4
Type de carburant	essence 74 octane
Contenance des réservoirs de carburant	341 (interne) 189 (externe) 530 (total)
Vitesse maximale (km/h)	80
Autonomie (km)	483
Franchissement hauteur (m)	0,53
Franchissement largeur (m)	0,46
Franchissement profondeur (m)	1,02
Franchissement pente	60%

 

 

Tableau récapitulatif du blindage¹ 

	T18E2
Caisse avant haut	50,8 mm à 15°
Caisse avant milieu	31,8 à 18-75°
Caisse avant bas	25,4-50,8 mm à 0-18°
Caisse côtés	31,8 mm à 0°
Caisse arrière	25,4 mm à 0°
Caisse toit	12,7-19,1 mm à 90°
Plancher	9,5 mm à 90°
Tourelle avant	38,1 mm à 23°
Mantelet	50,8 mm à 0-45°
Tourelle côtés	31,8 mm à 23°
Tourelle arrière	31,8 mm à 10°
Tourelle toit	19,1 mm à 90°

 

 

Tableau récapitulatif de l’armement et de l’équipement¹ 

	T18E2
Armement principal	1 canon Mark III de 57 mm avec monture T63 en tourelle
Traverse armement principal	360° (hydraulique/manuel)
Élévation armement principal	+60° à -10°
Cadence de tir armement principal	30 coups/minute
Conduite de tir	périscope M4 et télescope M57
Munitions armement principal	64 obus
Armement secondaire 1	1 mitrailleuse M1919A4 coaxiale
Armement secondaire 2	1 mitrailleuse M1919A4 en proue
Munitions armement secondaire	5000 cartouches de 7,62 mm
Autre armement	1 lance-bombes fumigènes M3 (14 bombes), 1 mitraillette Thompson M1928A1 (480 cartouches)
Radio	Number 19

[flyinngpat]

 M60A2 'Starship' 

[yvesb]

Chars allemands  pour l'artillerie ...Quid?

 

Bjr, je suis le petit nouveau, qui n'y connait rien en chars...

 

Le 17 aout dernier, je montrais les "restes" d'un char:

 

 

Pierre99 me repondait: Geschütszwagen Tiger artillerie allemande automotrice.

 

Maintenant, en furetant sur le topic, je trouve en page 82, ton post du 13 juillet 2012, Jensen:

"Sturmgeschuttz III un char pour l'artillerie!"

L'article est comme tjs tres detaille et bien fait, merci.

Une de tes images:

 

Evidemment, tu dis et montres qu'il y a eu plusieurs versions, modèles.

 

Ma question, Jensen (ou autres):

Est-ce que "ma photo" appartient a cette "serie"????

 

Yves le belge.

 

 

 

[yvesb]

Armoured Harley-Davidson WW2 Danemark.(1932-1935)

 

 

 

Yves le belge

[yvesb]

Armoured Harley-Davidson WW2 Danemark.(1932-1935)

 

 

 

Yves le belge

[yvesb]

Je signale ? que il y a un problème (bug?) possible sur FA: les posts sont dupliques ?

 

J'ai trouve qques images du tank soviétique "Objekt (projet) 279" (circa 1959) décrit le 12 mars 2011 (page 45) par Jensen (conçu pour survire a une explosion nucléaire) :

 

 

 

 

 

 

 

 

Yves le belge

 

 

 

 

 

 

[tommyb]

Le 28/08/2022 à 16:19, meiji851 a dit :

 

Armée Russe, 2022 ©

 

 

Système anti recul où pas   ?