Le Cimetière des Marques

[Invité §vet233KH]

http://www.hiboox.com/vignettes/0807/ac3ed36b.jpg Je vous envoie une publicité pour une marque disparue: Rochet-Schneider. C'est une annonce de 1929 à Nancy trouvée dans un ancien guide touristique.

[Invité §vet233KH]

 

J'avais promis de vous faire un topo sur Monsieur Violet et ses SIMA. Il serait préférable de vous procurer le dernier "Gazoline" qui en traite plus en détail que j'aurai pu le faire

 

http://www.hiboox.com/vignettes/0807/b4c85cf5.jpg Dans cette liste d'une course de 1927 on peut lire Sima-Violet (une 750)

[Invité §aut501Gd]

UN ESSAI D'EPOQUE, CELUI DE LA WANDERER "6/30 PS" DE 1930

 

 

 

 

 

 

vous est proposé, une fois de plus, par la "Rubrique" sous

 

 

 

 

www.forum-auto.com/sqlforum/section5/sujet364705.htm

 

 

 

 

[Invité §aut501Gd]

http://www.hiboox.com/vignettes/0807/b4c85cf5.jpg Dans cette liste d'une course de 1927 on peut lire Sima-Violet (une 750)

 

 

Je ne sais pas si le SIMA-Violet a gagné cette course. Mais en 1925 il gagne la 1ère course à Montlhéry dans sa catégorie. Puis le GP de France, le GP de Lyon avec les pilotes Doré, Stanton et Treunet et une 4ème place au général au Bol d'Or devant tous les 750 et 1100cm3. Ce cyclecar sera construit entre 1924 et 1928 en environ 56000 exemplaires.

 

 

 

Qu'est ce que j'ai écrit?

 

5000 est beaucoup plus raisonnable

[aravis68]

Je ne sais pas si le SIMA-Violet a gagné cette course. Mais en 1925 il gagne la 1ère course à Montlhéry dans sa catégorie. Puis le GP de France, le GP de Lyon avec les pilotes Doré, Stanton et Treunet et une 4ème place au général au Bol d'Or devant tous les 750 et 1100cm3. Ce cyclecar sera construit entre 1924 et 1928 en environ 56000 exemplaires.

 

 

La Sima-Violet est aussi la seule auto qui a "osée" à se frotter aux Bugatti 1100 à compresseur au Grand Prix d'Alsace en 1926. Amilcar et Salmson avaient déclaré FORFAIT ! :q

Je vous laisse deviner le résultat

[Invité §aut501Gd]

La Sima-Violet est aussi la seule auto qui a "osée" à se frotter aux Bugatti 1100 à compresseur au Grand Prix d'Alsace en 1926. Amilcar et Salmson avaient déclaré FORFAIT ! :q

Je vous laisse deviner le résultat

 

 

 

N'était-ce pas la version 4 cylindres, toujours "2 temps", de 1483cm3 dont il est question dans "gazoline"

 

[aravis68]

N'était-ce pas la version 4 cylindres, toujours "2 temps", de 1483cm3 dont il est question dans "gazoline"

 

 

Non. Il y avait une 750 2 cylindres 2 temps pilotée par Maurice benoist et un 500 pilotée par Stanton, dixit la presse.

Les Bugatti couraient en 1100 et avaient une plus grande distance à parcourir.

Maurice Benoist a faiit une embardée dans un champ au 1er tour (nerveuse, la Sima !). Remise sur la route, il dut abandonner au 4è tour car une pierre a crevé son carter

Stanton a terminé à 80,896 km/h de moyenne. Pas mal pour une 500 cm3.

Dubonnet sur Bugatti 1100 à châssis et carrosserie T35 a terminé 1er de sa catégorie à 115 km/h de moyenne. Il est posible de comparer car le circuiit état le même. Les 2 autres Bugatti étaient des Type 36 monoplaces avec le ême moteur 1100 à compresseur, pilotées respectivement par le Comte Maggi et pierr de Vizcaya.

(d'après les quotidiens alsaciens ayant relaté l'épreuve)

[Invité §aut501Gd]

Encore un essai d'époque, français celui là !...

 

Celui de la DKW "F 5 Meisterklasse" publié dans la revue "L'Actualité Automobile" en juin 1936

 

 

 

 

 

 

Comme toujours, il vous attend sur

 

 

 

 

www.forum-auto.com/sqlforum/section5/sujet364705.htm

 

 

 

 

 

 

 

[Invité §tot046UH]

Je suis propriétaire d une sima violet qui a courut des grands prix en 1924/1925

[aravis68]

Je suis propriétaire d une sima violet qui a courut des grands prix en 1924/1925

 

 

Bonjour,

je pense qu'il est inutile de dire qu'il faut en prendre grand soin. Y aura-t-il des photos, ou une présentation avec son palmarès ?

Cordialement

Aravis

[Invité §tot046UH]

http://www.hiboox.com/vignettes/0807/b4c85cf5.jpg Dans cette liste d'une course de 1927 on peut lire Sima-Violet (une 750)

 

Voici la voiture est je suis à la recherche d un deuxième carbu

Merci de me donner une adresse ou une marque de carbu adaptables

[Invité §aut501Gd]

Je suis propriétaire d une sima violet qui a courut des grands prix en 1924/1925

 

 

 

 

 

 

La même que celle là que conduisait Marcel Violet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ou celle-ci

 

 

 

 

 

Je n'ai pas de tuyau pour le carbu. Je sais seulement qu'il était de la propre conception de Marcel Violet. Faudra donc prévoir de l'adaptable.

 

 

A quand des photos de la bête ?

 

 

[Invité §aut501Gd]

La "Grande DKW 3=6" 4 à portes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

est désormais disponible sur

 

 

 

 

www.forum-auto.com/sqlforum/section5/sujet364705.htm

 

 

 

[Invité §tot046UH]

 

 

La voici

[Invité §Hou066FL]

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/349265/2.jpg

 

 

La voici

 

 

¿Monet-Goyon??

[Invité §aut501Gd]

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/349265/2.jpg

 

 

La voici

 

 

 

Avec des soupapes ou avec le bicylindre "2 temps" bi-pistons

 

[Invité §aut501Gd]

Au fait, quelqu'un sait-il ce que Pitcats devient

[aravis68]

Non, je me suis posé la même question !

[Invité §aut501Gd]

Je lui ai envoyé un MP hier soir, mais silence radio. En vacances

[aravis68]

Bonjour Automobilix,

Nous sommes plusieurs du forum Bugatti à être en interrogation devant un châssis se trouvant au Musée des Techniques de Pargaue.

Elle a été présentée par House-Spain comme une Zbrojovka Z-14

 

En saurais-tu plus sur la mraque et/ou le modèle ?

Ce serait sympa.

J'espère que Pitcats sera bientôt de retour parmi nous !

[Invité §pit470dY]

[:pitcats:3] à tous,

 

 

 

Merci beaucoup Aravis & Automobilix pour vos MP mais rassurez vous tout va bien

 

Mon silence est juste le résultat de nouvelles fonctions professionnelles au sein de mon entreprise qui vampirisent encore un peu plus le peu de temps libre dont je disposais mais qui s'en plaindrait à l'heure où tant d'autres se battent pour obtenir un emploi

 

Par contre le rythme des exhu risque de se ralentir nettement en passant de l'hebdo au mensuel alors n'hésitez pas à combler cet espace pour que vive encore longtemps Le Cimetière des Marques car ce n'est pas la matière à exhumer qui manque

 

Hopla fini les palabres et passons maintenant à l'exhu

 

 

 

Je ne reviens pas les mains vide car en Mars, l'exhumoir s'immobilise de nouveau du coté de la Meinau à Strasbourg pour raviver la mémoire du plus important constructeur alsacien de l'entre deux guerres :

 

 

Emile Mathis est un personnage incontournable de l'automobile tricolore qui a connu plusieurs étapes dans son aventure automobile qui s'acheva par son décès au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Il aborde l'automobile en 1901 avec la création d'une socièté de maintenance multimarques dans laquelle on retrouvera les productions du Baron De Dietrich avec qui il noue une relation commerciale de qualité.

 

Ses fréquentes visites à l'usine de Niederbronn le mettront en rapport avec un jeune orfêvre italien de l'automobile Ettore Bugatti d'où naitra une véritable amitiée fort précieuse pour la suite des évènements !

 

En effet on retrouve les deux comparses associès en mars 1904 dans la "Mathis & Compagnie" un bureau d'études dont l'objet est la conception par Bugatti et la commercialisation par Mathis de l'Hermes une automobile dont la production est assurée par l'usine de matériel ferrovière SACM d'Illkirch-Graffenstaden.

 

 

Vue de l'usine SACM

 

Quelques exemples de productions SACM

 

 

 

Si l'Hermes s'inspire naturellement des dernières De Dietrich elle s'en démarque par d'importantes innovations telles que l'embrayage composé désormais d'un disque unique accolé sur le volant du moteur rendant ainsi plus aisé le passage des vitesses.

Notons qu'à l'instard des Mercedes cette boite de vitesses était de type "baladeur" permettant ainsi au conducteur de passer celles-ci dans l'ordre de son choix.

Seules une dizaine d'Hermes furent vendues dont deux à Adolf Langen Directeur technique de la "Gasmotoren Fabrik Deutz" où bugatti finira par travailler à la suite de sa séparation avec Mathis en 1907.

 

La désinvolture de Bugatti à s'occuper du service après vente des Hermes en circulation semble avoir été à l'origine du mécontentement de la clientèle et pour protéger sa seconde activité de concessionnaire Mathis ne souhaita pas renouveller le contrat qui les liait lors de son expiration en mars 1907.

 

La seconde étape de l'aventure automobile d'Emile débute en 1911 avec l'inauguration de la fameuse usine de la Meinau avenue de Colmar à Strabourg et qui voit tomber des chaines les premières véritables Mathis avec notamment la Baby.

 

 

Usine Mathis à la Meinau

 

Je vous recommande vivement de visiter le site d'où provient ce cliché ... à ne pas manquer !

 

 

1911_ Mathis Baby

 

La croissance de l'entreprise est phénoménale si bien que rapidement la "Socièté des Automobiles Emile Mathis" se mue en socièté anonyme pour accompagner son essor que seule la guerre parviendra à mettre entre parenthèses.

Francophille de coeur, Mathis aura la double joie de redevenir français et de retrouver intacte son usine lors de son retour à Strasbourg si bien que dès 1919 la production reprend avec un cyclecar, des 4 puis des 6 cylindres modernes.

 

Rapidement Citroën est le lièvre derrière lequel Mathis lance ses levriers dont le premier sera sa 10cv SB en réponse à la 10cv au double chevron !

La Mathis était bien mieux doté technologiquement parlant car à sa sortie en 1919 elle disposait elle de 4 vitesses, de 4 ressorts entiers et d'un cadre de châssis complet !

 

L'époque est aux records à battre notamment ceux pour la sobriété des moteurs dans lesquels la marque s'impose souvent d'où son fameux slogan publicitaire :

 

" LE POIDS VOILA L'ENNEMI !"

 

Avec l'adoption des nouveaux standarts d'interchangeabilité des pièces entre modèles et de nouvelles chaines de production de plus de 750 métres venus d'outre-atlantique, le nombre de voitures produites par jour est multiplié par 10 pour atteindre plus de 100 en moins de 4 ans !

 

 

 

1925 marque une nouvelle génération d'automobiles dont les carrosseries adoptent le système "Weymann" , c'est l'époque des caisses "carrées" chez Mathis avec ses GM, MY et EMYSIX dont la haute calandre arbore désormais la célèbre flamme olympique .

 

 

La firme, 4éme constructeur français, poursuit son dévelopement en installant des usines de production en région parisienne et en Allemagne avant de tenter l'aventure américaine en 1930.

Emile Mathis passe à cette date un accord de production avec GENERAL MOTORS pour produire à Détroit dans l'usine de Lansing sa 7cv type PY.

L'accord était grandiose car 200000 unités devaient y être produites soit le double de toutes les Mathis produites pour comparaison !

 

 

1931_ American Mathis PY

 

 

 

Malheureusement la crise économique fit capoter l'affaire mais petite consolation pour Emile, sa 7cv innovante equipée de freins hydrauliques rencontra tout de même un grand succès sur le vieux continent !

 

Dans ses valises, la firme a rapporté de nombreuses nouveautés américaines comme la boite à double prise directe, la roue libre mais surtout le pont à denture hypoïde qui remplacera définitivement les pont arrière à taille Gleason à la libération !

 

Le début des années trente marque un emballement de l'empire Mathis tant au niveau de la multiplicité des modèles qui parfois se cannibalisent entre eux, de la montée en puissance des moteurs (jusqu'à 5.3 litres de cylindrée pour la Super Mathis) et de la diversification de ses activités dans des domaines plus ou moins rentables en cette période trouble (services financiers, immobiliers, produits pétroliers ...).

 

 

 

 

1933_ Camion Mathis

 

 

 

 

La crise fragilise le groupe qui ne peut même plus compter sur son activité "véhicules utilitaires" pour pallier la chute des ventes des voitures de tourisme qui dès 1933 se concentre quasiment exclusivement sur la très moderne 8cv Emyquattre.

 

 

1933_ Mathis EMY4

 

 

 

 

Ce modèle de crise est bien accueilli par la clientèle mais ses ventes ne suffisent pas à equilibrer les comptes de Mathis qui aux aboies se tourne alors vers FORD pour conclure un accord industriel marquant la troisième étape de l'aventure.

 

 

1934_ Mathis-Matford EMY4

 

 

 

 

 

Les termes de cet accord stipulaient que Mathis mettait à disposition de Ford en contrepartie d'avantages financiers sa puissance industrielle en France pour écouler sous la marque MATFORD le nouveau V8 de FORD.

 

 

 

 

C'est ainsi qu'en 1935 voit la naissance de la Matford V8 Alsace, une jolie automobile à carrosserie aérodynamique embouties chez Chausson au dessin proche des dernières Chenard&Walker et qui malgrès l'accord signé eclipsera peu à peu les Mathis transformant ainsi l'usine de la Meinau en chaine de montage Ford !

 

 

Un des premier catalogue MATHIS-MATFORD

 

 

 

1936_ Matford Alsace V8

 

 

 

 

Un procès s'en suivra et donnera raison en 1939 à Emile Mathis mais la guerre ne lui permettra jamais de relancer la production automobile dans son usine malgrès ses projets VL333 et 666 présentés après guerre et qui resteront malheureusement sans suite commerciale grâce à notre ami Pons !.

 

 

1946_ Mathis VL333

 

 

 

1948_ Mathis 666

 

 

Si l'usine de la Meinau est à reconstruire Mathis y montera tout de même quelque tracteurs Moline à partir de 1949 avant que les reste de l'empire soit revendu à Citroën en 1952.

 

 

 

 

 

 

 

Quand au site de Gennevilliers, il continuera quelque temps à produire des moteurs aéronautiques, de l'électroménager et des scooters Bernardet jusqu' à sa fermeture définitive en 1953.

 

 

A bientôt [:pitcats:3]

 

Pitcats

 

 

 

 

[Invité §aut501Gd]

 

 

Ce modèle de crise est bien accueilli par la clientèle mais ses ventes ne suffisent pas à equilibrer les comptes de Mathis qui aux aboies se tourne alors vers FORD pour conclure un accord industriel marquant la troisième étape de l'aventure.

 

 

 

Les termes de cet accord stipulaient que Mathis mettait à disposition de Ford en contrepartie d'avantages financiers sa puissance industrielle en France pour écouler sous la marque MATFORD le nouveau V8 de FORD.

 

 

Un procès s'en suivra et donnera raison en 1939 à Emile Mathis mais la guerre ne lui permettra jamais de relancer la production automobile dans son usine malgrès ses projets VL333 et 666 présentés après guerre et qui resteront malheureusement sans suite commerciale grâce à notre ami Pons !.

 

 

 

 

 

Pitcats

 

 

Content de savoir que tout va bien pour toi. "Ton" Emile n'aurait-il pas été un peu parano , mégalo et surtout naïf . C'est un peu ce qu'on en tire après la lecture de l'article de gazoline de ce mois.

 

2 autres images de la "333", auto pour le moins curieuse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au fait, quel était le type de moteur et la cylindrée de cette "333"

 

 

 

[Invité §tot046UH]

Moteur a deux cylindres a plats.

 

Les pistons montent en même temps donc un allumage par tour : 500 cm3 avec deux carbus

[Invité §pit470dY]

Pitcats

 

 

Content de savoir que tout va bien pour toi. "Ton" Emile n'aurait-il pas été un peu parano , mégalo et surtout naïf . C'est un peu ce qu'on en tire après la lecture de l'article de gazoline de ce mois.

 

2 autres images de la "333", auto pour le moins curieuse

Au fait, quel était le type de moteur et la cylindrée de cette "333"

 

 

 

[:pitcats:3] Automobilix,

 

 

Si mes sources sont bonnes il me semble qu'Andreau soit à l'origine du design "goutte d'eau" de la 333 ce qui faisait d'elle un engin avant gardiste en 1946 surtout lorsqu'on la comparait à ses consoeurs conçues une decennie plus tôt !

Si cette auto était née en Grande-Bretagne nation du tricar (Reliant, AC, Bond) je suis presque certain que son destin aurait été tout autre mais la rationalisation planificative de l'ami Pons ne lui laissait aucune chance.

 

 

Tiens il semble que mes infos divergent de celles de Toto73 car s'il s'agit effectivement d'un bicylindre horizontal refroidit par eau, sa cylindrée aurait été supérieure puisque donnée à 700 cm3 ... qui dit mieux

 

@+ Pitcats

[Invité §pit470dY]

Au fait le Smiley moqueur n'était pas destiné à apparaitre ... je crois mon doigt a glissé ....

 

 

A propos de Mathis, c'est vrai qu'il avait une pointe d'angélisme ou de candicité dans son accord avec Ford mais avait il le choix au regard de sa situation financière

Merci pour tes clichés Automobilix

 

Pitcats

[Invité §aut501Gd]

Au fait le Smiley moqueur n'était pas destiné à apparaitre ... je crois mon doigt a glissé ....

 

 

A propos de Mathis, c'est vrai qu'il avait une pointe d'angélisme ou de candicité dans son accord avec Ford mais avait il le choix au regard de sa situation financière

Merci pour tes clichés Automobilix

 

Pitcats

 

 

 

He, oh, Pitcats, tu causes comme Ségolène maintenant Elle, elle aurait dit "candicitude" Candeur, c'est-y pas plus simple?

 

 

Esquiouezmi, j'ai un faible pour notre langue françoise, celà dit sans acrimonie (merde, un mot compliqué....)

 

 

Mais tout ceci est un détail, l'important restant nos chères vieilles autos démodées

 

 

 

 

[aravis68]

 

 

 

[:pitcats:3] Automobilix,

 

 

Si mes sources sont bonnes il me semble qu'Andreau soit à l'origine du design "goutte d'eau" de la 333 ce qui faisait d'elle un engin avant gardiste en 1946 surtout lorsqu'on la comparait à ses consoeurs conçues une decennie plus tôt !

Si cette auto était née en Grande-Bretagne nation du tricar (Reliant, AC, Bond) je suis presque certain que son destin aurait été tout autre mais la rationalisation planificative de l'ami Pons ne lui laissait aucune chance.

 

 

Tiens il semble que mes infos divergent de celles de Toto73 car s'il s'agit effectivement d'un bicylindre horizontal refroidit par eau, sa cylindrée aurait été supérieure puisque donnée à 700 cm3 ... qui dit mieux

 

@+ Pitcats

 

 

Bonjour Pitcats, [:pitcats:3]

Content de te revoir parmi nous et féliciation pour ton boulot, fut-il plus prennt. Comme tu dis, c'est mieux que pas de boulot !

 

Concernant la Mathis,et d'après Autmobilia salon 1946 (autos de 1947), la 333 est mue par un 707 cm3 bicylindre de 75 x 80mm) C'est bien Jean Andreau qui est à l'origine de la carrosserie.

Voilà, à bientôt et au pliasir de te lire

 

Cordialement

 

Aravis

[Invité §vet233KH]

http://www.hiboox.com/vignettes/1407/565eb251.jpg http://img180.imageshack.us/img180/9426/cidbabyxp0.th.jpg

Je vous envoie deux photos faites en 2000? où l'on peut voir l'auto d'un petit constructeur.

Je viens de remarquer un article dans le magazine La vie de l'auto n°1261, page33 avec une photo d'époque de la CID Baby vers 1912,14.

Elles étaient construites à Dijon dans l'ancienne fabrique Cottereau ?,vers la rue Guignard ?, si je ne me trompe ?

 

[aravis68]

Pour en savoir plus sur maints constructeurs, je vous recommande les dossiers de Gérard Hartmann, spécialiste de l'aviation, sur le site http://www.hydroretro.net/etudegh/

Son dossier sur Clément-Bayard est remarquable.

[Invité §tun768Yb]

Je ne viens plus très souvent pour des tas de raisons mais ça fait toujours plaisir de lire ces développements.

 

A propos de Mathis, voici ce qu'en relatait J.A. Grégoire. Emile Mathis avait un caractère au moins aussi fort qu'Ettore Bugatti, mais dans un style plus formel qui expliquerait la rapidité de leur association pour produire l'Hermès.

 

Sur un autre plan, Mathis aurait été indélicat en 1914-1918 avec les Allemands en s'appropriant le montant d'une transaction, via la Suisse, de pneus jamais livrés, qui motiva son départ précipité aux USA en 1939. Sa femme ne supportait alors pas le climat humide de New York à leur arrivée et Grégoire leur aurait conseillé de changer d'endroit.

 

Personnellement, je suis encore surpris que Mathis ait gagné son procès contre Ford. A ce jour, je n'ai lu aucun compte tendu sérieux de celui-ci. ce procès s'est il arrêté en appel ou en cassation?

 

De toute évidence, le lancement des 333 et 666 après guerre relevait de l'utopie. Mathis n'était pas en France pendant la guerre (mal vu à la Libération), Alsacien (très ambigü aussi après 1945) et plus introduit dans les milieux politiques.

 

Anecdotiquement, si Marcel Leyat mettait des roues AR directionnelles, c'était, expliquait-il, pour qu'elle agissent comme une queue d'avion. Il ne comprenait pas tout le foin fait autour de la traction avant. Or Fenaille a essayé une traction avant avec roues AR directionnelles en finissant fissa dans le décor! Voir le blog http://www.blenheimgang.com/forum/lofiversion/index.php/t369.html où il y a deux très jolies photos de voitures à trois roues (une Bond Bug et une Reliant) qui en dit long sur les limites "naturelles" des 3 roues.

 

J'ai dès lors de très grands doutes sur la stabilité de la Mathis 333, même si sa ligne est très sexy, aérodynamique, et que les solutions retenues sont audacieuses

[Invité §Hot884lK]

En parlant de Mathis, et de sa 666, en voici deux photos "actuelles", datées du 9 mars 2005, alors qu'elle était exposée Place Gutenberg, à la Chambre du Commerce de Strasbourg.

 

[lotusien]

http://www.hiboox.com/vignettes/1407/565eb251.jpg http://img180.imageshack.us/img180/9426/cidbabyxp0.th.jpg

Je vous envoie deux photos faites en 2000? où l'on peut voir l'auto d'un petit constructeur.

Je viens de remarquer un article dans le magazine La vie de l'auto n°1261, page33 avec une photo d'époque de la CID Baby vers 1912,14.

Elles étaient construites à Dijon dans l'ancienne fabrique Cottereau ?,vers la rue Guignard ?, si je ne me trompe ?

 

Bonjour venturiloj,

Merci pour tes photos de marques rares et tes tentatives d'identification sur l'autre topic fait pour.

Pour info, il y a une CID Baby à vendre chez Decombas en ce moment (liens "décapotables" et tourner les pages) :

 

http://www.rar-christiandecombas.com/Catalogue/apercu_article.asp

 

C.I.D., véhicule très rare, 1911, carte grise, véhicule tournant , marque française , véhicule en état d'origine, sellerie noire bon état, capote noire bon état, monocylindre , 6 cv , embrayage à friction,

C.I.D. constructions indusrielles dijonnaises - successeur de Cottereau racheté par Terrot puis Peugeot

 

 

 

[jjr711]

He, oh, Pitcats, tu causes comme Ségolène maintenant Elle, elle aurait dit "candicitude" Candeur, c'est-y pas plus simple?

 

 

Esquiouezmi, j'ai un faible pour notre langue françoise, celà dit sans acrimonie (merde, un mot compliqué....)

 

 

Mais tout ceci est un détail, l'important restant nos chères vieilles autos démodées

 

 

 

Ohmerdalor! Je croyais être le seul à penser que Segolène s'exprimait bizarrement...

[Invité §vet233KH]

A propos de Mathis cité plus avant:

dans Sujet : Photos anciennes avec des anciennes !!!!!!! j'ai du envoyer une photo de celle d'un membre de ma famille.

[Invité §ded515dQ]

Salut les amis

Super les Mathis

la je ne vous propose pas une exhu, puisqu'elle est bien vivante

c'est la sacoche que je vous avais présentée, elle a repris la route

juste un petit essai...

a+