Le 57ème stand.

[panos]

 

53 - LAMBORGHINI MURCIELAGO R-GT

 

 

Marco Apicella Koji Yamanishi Yasutaka Hinoi

 

 

C’est lors des 1000 km de Monza 2005 que l’équipe JLOC fait son apparition au niveau international.

Présent dans le championnat GT au Japon depuis 1994, ce team y fait courir des Murcielago depuis 2003

Isao Loritake explique sa présence par une reconnaissance en vue d’une participation aux 24 h du Mans 2006.

Un rêve qui devient réalité à l’annonce de la liste des invitations.

 

 

Pour les 24 heures, le matériel et une grande partie du personnel viennent du Reiter Engineering, préparateur allemand.

Le principal problème de ce projet est le soutien plus que discret de Lamborghini qui ne dispose d’aucun programme sportif.

 

 

Concernant l’équipage, seul Marco Appicella connait les 24 Heures pour y avoir participer en 95 et 99.

Pour ses coéquipiers, Koji Yamanishi et Yasutaka Hinoi, l’épreuve sarthoise est une totale découverte.

 

 

Au cours de la journée test du 4 juin, c’est à Marco Apicella que revient l’honneur d’effectuer les premiers tours de roues d’une Murcielago dont la carrosserie est en carbone brut.

Manifestement, la machine et ses servants manquent de repères.

S’appliquant à effectuer leurs 30 tours obligatoires, les pilotes vont parfaitement s’acquitter de ce premier objectif. A la fin de la journée, la n° 53 aura bouclé 69 tours dont un sous la barre des 4 minutes en 3'59''108, sans problèmes mécaniques, ce qui est une vrai performance.

Bien sur, loin derrière les Corvette, Aston et Ferrari.

 

 

A la fin des séances d’essais, Apicella à la satisfaction de devancer une Ferrari, ce qui n’aurait pas été pour déplaire à Ferruccio Lamborghini.

Par contre, déception au niveau du chrono puisque le temps du 4 juin n’est pas approché, la Murcielago ne parvenant pas à descendre en dessous des 4’ au tour.

Du coup, pour son premier départ aux 24 Heures du Mans, la belle italo-nippone partira en avant-dernière place d’une catégorie LMGT1 très relevée.

 

 

Le début de course se passe sans problème majeur, mais partant du principe que, lors des épreuves FIA GT, la Lambo s’essouffle souvent avant la fin de la 3ème heure, on doute logiquement de sa capacité à tenir la distance.

Après 7 heures de course, le trio assure pourtant la liaison entre le peloton Corvette-Aston et le trio de Ferrari. Une situation éphémère puisqu’à minuit, la R-GT connait des soucis de réglages moteur qui vont l’immobiliser pendant une vingtaine de minutes.

 

 

A 5 heures du matin, Apicella sort à la Dunlop pour éviter la Ferrari n° 57. Le temps de rentrer, d'enlever les graviers et de tout vérifier et c'est une demie-heure perdue.

Il convient de rajouter encore un arrêt de 20 mn à 9h30 pour changer l’arbre de roue ARD .

Dans une catégorie où les adversaires ne connaissent aucune alerte, ce genre d’arrêt est rédhibitoire.

 

 

Les pilotes de la n° 53 se retrouvent donc, de ce fait, derniers du GT1. Position qu’ils ne quitteront pas puisqu’à 14 h 40, Yamanishi passe au ralenti à Arnage pour s’arrêter définitivement au virage Porsche.

 

 

Heureusement, le trio aura bouclé 283 tours, soit 17 de plus que le minimum requis pour figurer, comme non classés, sur les feuilles officielles.

C’était bien là le premier objectif de cet engagement.

 

 

 

 

Modifié 26 février 2021 par panos

[gennaro1]

Une GT italienne massive et brutale au son délicieusement déchirant. Une vraie merveille. Enfin, moi j'adore même si son plumage est bien plus consistant que son niveau de performances.

Présentation comme d'habitude soignée et précise. Nickel

[Invité §amo123JS]

Jour Philippe ,

 

Et comment que j'adore cette "merveille" comme le souligne notre ami gennaro ,j'ai la même avec "pavillon brillant" ,j' trop ,belle présentation pour cette Ebbro

 

Ed

[panos]

Une GT italienne massive et brutale au son délicieusement déchirant. Une vraie merveille. Enfin, moi j'adore même si son plumage est bien plus consistant que son niveau de performances.

Présentation comme d'habitude soignée et précise. Nickel

 

Jour Philippe ,

 

Et comment que j'adore cette "merveille" comme le souligne notre ami gennaro ,j'ai la même avec "pavillon brillant" ,j' trop ,belle présentation pour cette Ebbro

 

Ed

 

Merci pour votre passage et vos commentaires.

Ce fut la seule année où le JLOC termina presque la course. Il s'en est fallu de 20 mn. Dommage, car les années suivantes, un petit tour et puis s'en va...

J'aimais bien cette GT massive à la déco brute de carbone qu'Ebbro a bien reproduit.

[Perceval Racing]

Absolument superbe cette Lambo ! Merci pour la présentation Philippe toujours aussi impeccable !

[Invité §phi062VV]

J'aime la ligne de cette Murcielago mais vraiment pas sa couleur... :non: Donc les versions JLOC ne seront jamais chez moi !

Dommage qu'aucun fabricant ne se soit penché sur la blanche de 2008 engagée par une écurie russe, mais c'était en réalité une voiture du Reiter Engineering également.

 

Reste une très belle présentation de notre ami Philippe. :)

[Arnage67]

J'adore manque que le son

[LMMC73]

Cette Lamborghini, une vrai GT pas comme les Ford... j'ai la version de 2007 avec son toit chromé. Les apparitions de cette marque en compétition sont rares alors qu'ils ont au catalogue des voitures ultra sportives.

[panos]

Absolument superbe cette Lambo ! Merci pour la présentation Philippe toujours aussi impeccable !

Je trouve aussi, Daniel

J'aime la ligne de cette Murcielago mais vraiment pas sa couleur... :non: Donc les versions JLOC ne seront jamais chez moi !

Dommage qu'aucun fabricant ne se soit penché sur la blanche de 2008 engagée par une écurie russe, mais c'était en réalité une voiture du Reiter Engineering également.

 

Reste une très belle présentation de notre ami Philippe. :)

Moi j'adore ce manque de déco. Les décals jaunes sur le carbone brut sont du plus bel effet je trouve, contrairement à celle de 2008 dont je trouve la robe blanche fade et bien banale. Comme quoi, Philippe, les goûts et les couleurs...

J'adore manque que le son

Pareil Jérome, mais pas facile de vous faire profiter de la mélodie du bon gros V12...

Cette Lamborghini, une vrai GT pas comme les Ford... j'ai la version de 2007 avec son toit chromé. Les apparitions de cette marque en compétition sont rares alors qu'ils ont au catalogue des voitures ultra sportives.

Comme tu dis Thierry, dommage que Lambo ne se lance pas plus que ça dans la compèt.

Il pourraient sortir un peu de leur Super Trofeo et venir se frotter aux autres concurrents des championnats GT

Une GT de plus en GT pro au Mans, ca ferait pas de mal

Mais le groupe VW doit avoir assez de marques présentes dans à peu près tous les championnats pour se lancer aussi avec celle-ci.

 

 

Merci de vous être arrêtés ici.

[Perceval Racing]

Patience on parle de Lamborghini en GTE pour 2019... Affaire à suivre !

[Invité §amo123JS]

Patience on parle de Lamborghini en GTE pour 2019... Affaire à suivre !

 

 

,

Ah oui :love: Lambo ,Mc Laren , que de la belle bête :love: ,sa risque de faire de l'hombre aux LMP1 toutes ces belles machines

 

Ed

[Perceval Racing]

 

,

Ah oui :love: Lambo ,Mc Laren , que de la belle bête :love: ,sa risque de faire de l'hombre aux LMP1 toutes ces belles machines

 

Ed

 

 

Ha oui et aussi Mc Laren bien vu Ed De l'ombre pas sûr car avec le nouveau règlement 2020 certaines marque risque de basculer vers le LMP1 typé GTP

[DJEMBE77]

Jolie miniature

[panos]

 

23 - HOWMET TX

 

 Bob Tullius Hugh Dibley

 

 

Après les épisodes BRM-Rover de 1963 et 1965, la turbine est de retour pour l'édition des 24 Heures du Mans 1968.

Le projet est porté par Howmet, un constructeur américain de turbines aérospatiales. Le cerveau du projet, Ray Heppenstall, envisage d’abord l’utilisation d’un châssis éprouvé – en l’occurrence celui d’une Cooper Monaco – mais réalise rapidement que ce dernier ne supportera pas les contraintes du propulseur. Il confie alors la construction d’un prototype inédit à l’entreprise McKee Engineering.

 

 

La TX (Turbine eXpérimental) débute ainsi aux 24 Heures de Daytona 1968. Elle termine sa course dans un mur suite au blocage de son accélérateur. A Sebring, elle se qualifie 3ème avant d’abandonner sur casse moteur à la 7e heure de course. Enfin, à Huntsville (Texas), elle devient la première voiture de son genre à gagner une course – elle est encore la seule aujourd’hui !

 

 

C’est dans ce contexte d'optimisme que deux TX se présentent aux 24 Heures du Mans 1968 qui se déroulent en septembre en raison des « événements de mai ».

Pechiney, société française spécialisée dans l’aluminium et le pétrolier Gulf sponsorisent ces 2 protos qui s’affichent au pesage comme les grandes attractions de l’année.

La première, frappée du n°22, est pilotée par Ray Heppenstall et Richard Thompson, tandis que la seconde, confiée à Hugh Dibley et Bob Tullius, porte le n°23.

 

 

Les autos vont se qualifier respectivement à la 20e et la 24e place. Loin des performances escomptées, mais les longues lignes droites du circuit pénalisent fortement les 2 voitures.

La course ne va pas être plus réjouissante car les Howmet sont rapidement confrontées à de nombreux soucis.

 

 

En effet, après 3 tours, Heppenstall constate qu’un problème d’injection limite la turbine à 70% de sa puissance problème qui ne sera pas résolu. Une sortie de route qui se termine par un tonneau, peu avant 22h, à Indianapolis, cèle définitivement l’abandon de la n° 22.

 

 

Quant à la n° 23, suite à la défaillance d'un roulement, elle doit s’arrêter au stand en fin de soirée. La réparation dure 3 longues heures.

La voiture repart mais est finalement disqualifiée pour distance parcourue insuffisante.

 

 

Voila comment se solde la courte aventure de la Howmet TX qui, il faut bien le dire, donna quelques sueurs froides à ses pilotes.

De toute évidence, la turbine n’est pas la solution contre les pistons.

 

 

La saison 1968 terminée, il est prévu pour l'année suivante de développer une nouvelle transmission à rapports multiples. Cependant, Howmet estime que le programme ne fournit pas une promotion adéquate vis-à-vis de la société. Jugé trop coûteux, le programme sportif est abandonné en fin d’année...

 

 

Modifié 26 février 2021 par panos

[Invité §amo123JS]

Salut Philippe,

 

Tres bien photographiée et documentée ta présentation ,pour cette superbe voiture, j'adore ce prototype , que j'ai en kit qui a un peu mal vieilli ,je trouve cette Bizarre splendide .

 

Ed

[panos]

Salut Philippe,

 

Tres bien photographiée et documentée ta présentation ,pour cette superbe voiture, j'adore ce prototype , que j'ai en kit qui a un peu mal vieilli ,je trouve cette Bizarre splendide .

 

Ed

Merci Ed.

La Howmet a eu une carrière courte et pas très marquante dans le domaine de l'endurance, mais elle fait partie, pour moi, de ces modèles incontournables des 24 Heures du Mans, de part son originalité et son côté unique dans l'histoire du Mans (si on met à part les Rover car j'étais trop jeune pour les avoir vu tourner).

Du haut de mes 10 ans, je n'y connaissais rien en matière de voitures ou de marques présentes mais elle m'avait marqué à l'époque, par le sifflement de ses turbines à chaque passage qui la rendait si différentes et reconnaissables entre toutes les autres.

C'est pour ces raisons qu'elle devait finir tôt ou tard chez moi.

[gennaro1]

Je ne l'ai vue qu'au LMC et il est vrai que le sifflement de ses turbines est incroyable.

La miniature est superbe et pas facile à trouver aujourd'hui, elle part à des prix pas possibles

Présentation soignée et précise, comme d'habitude

[Invité §phi062VV]

Très bon choix Philippe :jap: , j'adore cette voiture atypique avec sa turbine ! :love:

Même si les résultats n'ont pas été à la hauteur des espérances de l'écurie, la Howmet aura au moins marqué l'histoire grâce à sa motorisation.

 

Si je comprends bien ce que Hugues a écrit j'ai bien fait de prendre les deux versions lors de leur sortie...

[panos]

Je ne l'ai vue qu'au LMC et il est vrai que le sifflement de ses turbines est incroyable.

La miniature est superbe et pas facile à trouver aujourd'hui, elle part à des prix pas possibles

Présentation soignée et précise, comme d'habitude

J'aurais bien aimé la revoir tourner plus de 45 ans après. J'ai un souvenir réel de cette voiture de par le bruit de ses turbines mais un peu flou quand même, près de 50 ans plus tard.

Quant aux tarifs, il est vrai qu'on la trouve pas trop souvent, d'où les tarifs. En ce qui me concerne, je l'ai touché, avec négo, à 50 €.

Raisonnable donc.

Merci Hugues pour ton appréciation.

Très bon choix Philippe :jap: , j'adore cette voiture atypique avec sa turbine ! :love:

Même si les résultats n'ont pas été à la hauteur des espérances de l'écurie, la Howmet aura au moins marqué l'histoire grâce à sa motorisation.

 

Si je comprends bien ce que Hugues a écrit j'ai bien fait de prendre les deux versions lors de leur sortie...

Salut Philippe,

C'est aussi mon avis quant à son originalité.

L'endurance actuelle manque cruellement d'autos qui sortent des sentiers battus.

[voner5]

Je l'avais trouvé en kit et un ami me l'a monté........

 

http://nsm08.casimages.com/img/2016/10/11//16101101093821486514550382.jpg

 

 

http://nsm08.casimages.com/img/2016/10/11//16101101100821486514550383.jpg

[panos]

Je l'avais trouvé en kit et un ami me l'a monté........

 

http://nsm08.casimages.com/img [...] 550382.jpg

 

 

http://nsm08.casimages.com/img [...] 550383.jpg

Salut Antho,

un joli montage que ton pote t'as fait.

Merci pour ton passage.

[voner5]

Oui superbe montage......

J'essaie de passer un peu plus souvent........

:ange: :ange:

[pesca 33]

plus jolie qu' une bizarre car elle est plus détaillée et plus fine beau kit et beau montage

[trafic95]

Exact !!!

belle qualité de montage ce qui fait une très belle miniature

 

[voner5]

Et en vrai elle est encore plus jolie........

[panos]

 

 

 

  37 - MAZDA RX7 253i

 

 

Tom Walkinshaw Peter Lovett Tetsu Ikuzawa

 

 

 

1981 - Après l’expérience malheureuse de 1979 avec une RX7 invitée qui ne s’était pas qualifiée, Mazda effectue un retour semi-officiel par l’intermédiaire de Mazdaspeed, l’un de ces plus importants concessionnaires de Tokyo.

Ce sont donc deux 253i longue-queue aérodynamiquement inchangées, reprenant le dessin de la carrosserie du modèle vu seulement aux essais il y a deux ans (l'aileron en moins), qui se présentent au pesage.

 

 

Si elles gardent le même look, elles sont équipées du nouveau moteur rotatif double rotor de type 13B équivalent à un 2.6 litres atmosphérique développant 350 chevaux environ pour des engins de moins d’une tonne.

 

 

Tom Walkinshaw apporte un support tant technique qu’humain puisque l’Ecossais figure en tant que pilote sur la n° 37 au côté de Tetsu Ikusawa et Peter Lovett. La n° 38, quant à elle, est confiée à Yojiro Terada, Win Percy et Hiroshi Fushida.

Si ce n’est pas encore la panacée, les équipages des deux IMSA-GTU possédent de bonnes raisons d’espérer se qualifier. C’est chose faite à la fin des essais du 11 juin.

 

 

Les 2 RX7 se postent respectivement aux 52ème et 49ème places sur la grille.

Le départ est donné à 15 h, mais Walkinshaw reste scotché sur la ligne. Après quelques essais infructueux, il parvient malgré tout à repartir après tout le monde.

Si le début de course se déroule au mieux pour les deux nippones qui se montrent véloces et spectaculaires, le rythme adopté n’est pas précisément celui d’une course d’endurance.

 

 

La n° 38 pilotée par Terada fera preuve au moins pendant 2 heures d’une très honnête régularité.

On la verra même se jouer des deux Ferrari 512 BB les plus lentes.

 

 

A 17 h 38, Walkinshaw doit s’arrêter pour changer l’étrier de frein gauche. La réparation s'éternise et Lovett repart du stand au bout de 70 minutes.

Dans le même temps, la n° 38 est trahie par sa transmission qui n’a pas supporté les efforts demandés. C’est l’abandon pour Terada et ses équipiers.

 

 

A 19 h 15, en repartant d’un ravitaillement, Lovett se retrouve bloqué en sortie de stand suite à la neutralisation de la course après l’accident mettant en cause la Lancia de Gabiani et la WM de Mamers.

Encore 10 mn de perdues.

 

 

La boite et le moteur lâcheront de conserve vers une heure du matin alors que Peter Lovett occupait la 32ème position.

Il faudra attendre 1982 pour voir une RX7 à l'arrivée.

 

 

 

 

Modifié 26 février 2021 par panos

[benfire]

Belle présentation avec des photos au top.

 

Superbe miniature par Bizarre, décoration réussie et ligne affutée pour ce modèle devenu difficile à trouver.

 

A+

[gennaro1]

Une RX7 bien juteuse avec sa ligne tellement sexy. La miniature est superbe et comme le souligne Ben, elle devient franchement difficile à trouver. La présentation reste toujours soignée et précise c'est parfait

Bel achat que cette Mazda

[Invité §amo123JS]

Bonjour Philippe ,

 

Une bien belle et rare, (même a prix indécent!!!) que cette MAZDA, bravo pour cette acquisition. Moi j'adore cette GT Nippone ,et ta présentation est nickel com d'hab. Et de plus un personnages a bord assez intéressant pour son "Tom Walkinshaw Racing " ...

 

 

Ed

 

NB: Je ne l'ai pas

[Perceval Racing]

Du retard dans ma lecture...

Bien gâté avec deux excellentes présentations ! Deux très beaux modèles !

Pour La Howmet j'ai la 22 en Starter et je n'ai pas la Mazda...

Par contre quelle marque le kit STP Voner ? March, SMTS ? Je penche pour une Anglaise... Mais quelque qu'il soit c'est un kit splendide !

[panos]

Belle présentation avec des photos au top.

 

Superbe miniature par Bizarre, décoration réussie et ligne affutée pour ce modèle devenu difficile à trouver.

 

A+

 

Une RX7 bien juteuse avec sa ligne tellement sexy. La miniature est superbe et comme le souligne Ben, elle devient franchement difficile à trouver. La présentation reste toujours soignée et précise c'est parfait

Bel achat que cette Mazda

 

Bonjour Philippe ,

 

Une bien belle et rare, (même a prix indécent!!!) que cette MAZDA, bravo pour cette acquisition. Moi j'adore cette GT Nippone ,et ta présentation est nickel com d'hab. Et de plus un personnages a bord assez intéressant pour son "Tom Walkinshaw Racing " ...

 

 

Ed

 

NB: Je ne l'ai pas

 

Du retard dans ma lecture...

Bien gâté avec deux excellentes présentations ! Deux très beaux modèles !

Pour La Howmet j'ai la 22 en Starter et je n'ai pas la Mazda...

Par contre quelle marque le kit STP Voner ? March, SMTS ? Je penche pour une Anglaise... Mais quelque qu'il soit c'est un kit splendide !

 

Merci les amis.

Effectivement, elles ne courent plus trop les rues ces RX7.

Et comme tout ce qui est rare est cher....

Celle-ci, je l'ai négociée avec la Howmet présentée précédemment, à 100 € les deux soit 50 pièce, pour des modèles recherchés.

Il vendait aussi celle des essais de 1979 à 75 €...

En fait, j'aurais préféré la n° 38 de 81 pour sa déco et son célèbre et sympathique pilote japonais aux 30 participations, mais vu la complexité de trouver celle-ci, je n'ai pas trop fait la fine bouche.

Et puis c'est une RX7, donc elle me plait bien quand même.

[pesca 33]

elle est superbe celle ci j' ai la noire à faire ....

[grosnono]

Merci les amis.

Effectivement, elles ne courent plus trop les rues ces RX7.

Et comme tout ce qui est rare est cher....

Celle-ci, je l'ai négociée avec la Howmet présentée précédemment, à 100 € les deux soit 50 pièce, pour des modèles recherchés.

Il vendait aussi celle des essais de 1979 à 75 €...

En fait, j'aurais préféré la n° 38 de 81 pour sa déco et son célèbre et sympathique pilote japonais aux 30 participations, mais vu la complexité de trouver celle-ci, je n'ai pas trop fait la fine bouche.

Et puis c'est une RX7, donc elle me plait bien quand même.

 

 

 

Philippe,

 

 

elle est superbe cette Mazda, j'adore je possède 4 Rx7 ....mais pas celle-ci

 

 

[gennaro1]

100 € les deux soit 50 pièce

 

On peut difficilement faire mieux, joli coup

[panos]

 

 

Philippe,

 

 

elle est superbe cette Mazda, j'adore je possède 4 Rx7 ....mais pas celle-ci

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/p [...] 73.jpg?v=6

Salut Nono,

Ben moi j'ai la 82 de 82 et la 81 37 de 81.

A nous deux, on a la totale, si on excepte celle de 94.