Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1)

[Gaillant]

D'accord avec toi aussi @jensen . Ils l'auraient fait s'ils avaient pu se procurer les pièces  (cf le circuit de freinage)

Mais en l'occurrence, ils ont fait avec les moyens du bord et ce patchwork fait aussi le charme de la voiture si on peut dire.

Sinon, qu'ils partent sur une réplique de 356. Il y en a des belles.

Modifié 14 juin 2023 par Gaillant
Modification

[snoopy1974]

À propos d'origine... celle de Alexander Fritz possède après sa restauration un tableau de bord qui ressemble comme deux gouttes d'eau à celui des Cox contemporaines...

 

... et voilà à quoi il ressemblait quand a trouvé la voituŕe, à une époque on avait dû lui greffer un tableau de bord plus moderne, pour ma part les 3 cadrans ronds me font penser à  ma peugeot 304 

 

 

Tout ça pour dire que retrouver l'origine absolue sur une voiture artisanale de 70 ans,  ça ne doit pas être facile !

[CR 805]

Voilà une histoire qui correspond parfaitement au titre du site.

Félicitations.

[Terisonen]

Très belle histoire, avec de l'humain dedans. Les voitures, c'est beaucoup plus que de la technique.

[ched]

Si on ne prend que la voiture, objectivement, elle n'a pas grand intérêt.

 

Mais si on la place dans le contexte géopolitique, et que l'on ajoute la passion qui anime les hommes... alors c'est une très belle histoire !

 

Intéressante jusqu'au bout. Je me suis régalé avec la découverte de cette réplique.

 

[Invité §oul767Da]

Le 15/06/2023 à 22:28, ched a dit :

Si on ne prend que la voiture, objectivement, elle n'a pas grand intérêt.

 

Mais si on la place dans le contexte géopolitique, et que l'on ajoute la passion qui anime les hommes... alors c'est une très belle histoire !

 

Intéressante jusqu'au bout. Je me suis régalé avec la découverte de cette réplique.

 

Moi aussi camarade! l'expression du génie socialiste!

[jensen]

 

Chui revenu !  

 

 

[ATALANTE RACING]

Le 26/06/2023 à 15:13, jensen a dit :

 

Chui revenu !  

 

 

[biker521]

Le 26/06/2023 à 15:13, jensen a dit :

 

Chui revenu !  

 

 

 

tu paies un pot ?  

[daniel762]

Le 17/06/2023 à 20:24, oulianov a dit :

Moi aussi camarade! l'expression du génie socialiste!

 

C'est de l'individualisme petit bourgeois oui !!!

[daniel762]

Le 26/06/2023 à 15:13, jensen a dit :

 

Chui revenu !  

 

 

 

Alors Tonton, raconte...

[jensen]

hé ho hé, on n'est pas aux pièces hein !  

 

 

[jensen]

Le 26/06/2023 à 19:09, daniel762 a dit :

 

Alors Tonton, raconte...

 

J'ai profité de mon séjour dans le Var pour retourner au Citromuseum : Toujours passionnant mais rien de nouveau, les locaux devraient être plus grands l'an prochain.

 

J'aime bien Castellane…  

 

Et j'aimerais encore plus s'il n'y avait pas à tous les coins de rues des panneaux "Grenoble 234" qui me font penser à la fin des vacances !  

 

 

 

 

[biker521]

Le 27/06/2023 à 16:48, jensen a dit :

 

J'ai profité de mon séjour dans le Var pour retourner au Citromuseum : Toujours passionnant mais rien de nouveau, les locaux devraient être plus grands l'an prochain.

 

J'aime bien Castellane…  

 

Et j'aimerais encore plus s'il n'y avait pas à tous les coins de rues des panneaux "Grenoble 234" qui me font penser à la fin des vacances !  

 

 

 

 

 

ben, c'est la route Lamponéon, la RN85, de Grasse à Paris pour les 100 jours de l'Aigle, bref ...  

[jensen]

Le 27/06/2023 à 16:54, biker521 a dit :

 

ben, c'est la route Lamponéon, la RN85, de Grasse à Paris pour les 100 jours de l'Aigle, bref ...  

 

Golfe Juan plutôt nan ?  

 

 

[daniel762]

Le 27/06/2023 à 11:19, jensen a dit :

hé ho hé, on n'est pas aux pièces hein !  

 

 

 

Ben heureusement pour toi, parce qu'avec ta cadence de production tu ne gagnerais pas lourd... 

Et toc !    

[jensen]

 

 

 

Poids-lourds Jensen : Une belle aventure oubliée. 

 

 

 

 

Bon d'accord !

 

Là je corse l'aventure…  

 

Déjà que les automobiles Jensen ne sont pas franchement connues en France alors que dire des poids-lourds fabriqués par cette firme et qui n'ont jamais franchis le Channel ?  

 

Les frères Alan et Richard Jensen ont toujours aimés les belles automobiles (pour en être convaincus je vous renvoie au Topic dont le lien est plus haut) et ont commencé à se faire connaître au milieu des années 30 en faisant ce que nous appellerions aujourd'hui du Tuning (ne comptez pas sur moi pour dire "Bolidage" car c'est d'un grotesque sans nom  ).

 

En prime pour vous une photo de "White Lady", première "Vraie" Jensen sortie en 1935 sur une base Ford V8 et tellement modifiée dans sa mécanique et son aspect que toute filiation avec le géant de Dearborn avait pratiquement disparue. 

 

 

Ils s'étaient déjà associés en 1931 avec un carrossier anglais de la plus pure souche afin d'avoir accès à un atelier digne de ce nom : WJSmith & Sons.

Et quand j'écris "pure souche" c'est vraiment du conservatisme 100% insulaire !  

 

En clair cette entreprise, qui carrossait surtout des autobus, utilisait encore les méthodes de construction des diligences du XIXème siècle et n'avait pas du tout l'intention d'en changer !  

 

L'arrivée dans l'affaire des deux frangins a vite fait souffler un vent de panique dans une entreprise qui sommeillait sur ses acquis et qui dut se remettre rapidement en question au fur et à mesure que les deux garnements prenaient de l'envergure… 

 

Très rapidement ils ont l'idée d'introduire dans la production des véhicules industriels des alliages d'aluminium qui permettraient non seulement d'améliorer la charge utile mais aussi et surtout de contourner la législation locale.

 

Car cette dernière est draconienne : Depuis le début du siècle les poids-lourds anglais sont limités à 30 mph (48 km/h) si leur poids à vide est inférieur à 2,5 tonnes et 20 mph (32 km/h !) s'il le dépasse.  

 

Bref pas besoin d'être chef-comptable pour constater qu'un véhicule plus rapide sera plus efficace, et surtout plus rentable, pour l'entreprise qui l'acquiers. 

 

La société Reynolds, spécialisée dans le transport d'objets volumineux mais très légers, est depuis quelques temps une cliente satisfaite des camions de la marque réalisés sur des châssis Bedford.

 

Intéressée par la possibilité d'acheter des véhicules plus rapides afin de livrer quatre clients par jour au lieu de trois elle demande à Jensen de concevoir un véhicule en aluminium, châssis compris !  

 

Et c'est chose faite en 1939 !  

 

Design by Jensen !  

Bien entendu un camion "100% aluminium" aurait eu des problèmes avec le port d'une charge trop lourde mais Reynolds était une société spécialisée dans la fabrication de tubes de structures et de sous-ensembles réalisés dans ce métal pour une aéronautique Britannique dont les constructeurs se comptaient alors en dizaines à cette époque (Hawker, Supermarine, Bristol, Westland, Short, Boulton-Paul, Avro, Gloster, De Havilland, Vickers…) 

 

 

Le moteur était un V8 Ford à essence mais, conquis par l'efficacité et le succès du véhicule sur la route, Reynolds en fera construire deux autres motorisés par un Diesel Perkins. 

 

 

Durant le second conflit mondial Jensen va produire des ambulances, des camions de pompier (en collaboration avec Beresford) voire des caisses métalliques de logistique ou des tourelles de chars. 

 

 

 

 

La paix revenue le besoin en véhicules lourds est tel que Jensen décide de commercialiser une gamme de camions en utilisant toujours l'aluminium, d'ailleurs plus facile à obtenir que l'acier en ces années d'après-guerre.

 

Afin de ne pas faire "d'interférences" avec les automobiles de la firme, plutôt orientées vers le prestige, les deux frères décident de commercialiser leur gamme lourde sous le label JNSN.  

 

 

 

 

Et cela débute avec la série JLC (Jensen Light Commercial) toujours très utilisatrice d'aluminium afin de leur permettre de rouler à 30 mph sur les routes de l'île.

 

Et ce sera très vite le succès. 

 

 

En sus d'être légers les JLC utilisaient un excellent Diesel Perkins aussi sobre que fiable, un bon choix pour un constructeur qui n'a jamais été un motoriste.  

 

 

"Buy British" (achetez anglais), ben tiens !   

 

 

En sus d'être plus rapides les camions Jensen (pardon… JNSN !  ) se caractérisaient par une maintenance très bien pensée avec, par exemple, un moteur monté sur berceau coulissant afin de faciliter les interventions mécaniques sur des cabines alors non basculantes.

 

Il suffisait de retirer la légère calandre en fibre de verre avec son gros logotype pour faire coulisser la mécanique à l'extérieur.

Cela prenait 30 minutes à des mécaniciens entrainés et un échange complet moteur-boite ne dépassait pas les 2 heures à une époque où la concurrence en réclamait souvent plus de 16 !  

 

 

La gamme comprenait toujours des autobus… 

 

 

… A structure tubulaire en alu bien entendu !  

 

 

A partir de 1947 la marque s'intéresse au "Cheval Mécanique", une sorte de petit camion articulé dont on pense qu'il va définitivement remplacer le cheval et sa carriole dans tout l'empire. 

 

L'idée remonte à 1934 et n'est pas due à Jensen mais à Scammell qui va produire un étonnant petit véhicule à trois roues très maniable disposant d'un système d'attelage-dételage automatique afin d'améliorer le nombre de rotations chez les clients (en clair le chauffeur laisse la remorque sur place et va faire autre chose le temps du déchargement).

 

Le cheval mécanique Scammell était une sorte d'hybride entre le chariot de manutention et le camion !  

 

 

Le Français FAR (branche poids lourds du constructeur Chenard-Walker) en achètera la licence et produira plusieurs centaines de ces petits engins chez nous, très utiles dans nos centres-villes étroits et déjà bien encombrés.

 

 

La production de l'engin, nommé non pas JNSN mais Jen-Tug débute donc dans cet immédiat après-guerre où n'importe quel véhicule était bon à prendre compte-tenu de la situation du pays. 

 

 

 

 

Il est initialement propulsé par un quatre cylindres à essence Ford de 1 172 cm3 développant 30 ch au régime maxi de 2 730 tours et accouplé à une boite mécanique du même constructeur à trois rapports.

 

Jensen avait même prévu un châssis articulé afin de simplifier au maximum les opérations de maintenance.   

 

 

Le concept est le même que le concurrent Scammell avec un système de remorque à attelage automatique, la possibilité de déplacer cette dernière à la main une fois déposée et un rayon de braquage du tracteur conçu pour être le plus réduit possible (6,70 mètres !) afin de limiter les manœuvres dans les gares et autres cours d'usines.

 

Deux remorques pouvaient même être accouplées pour de très courts trajets.

 

 

Très vite le groupe Ford "un peu limite" est remplacé par un moteur Austin de 40 ch associé à une boite Borg & Beck à quatre rapports.

 

 

 

 

Jensen proposera aussi une version électrique "Jen-Helecs".

Un moteur Diesel sera aussi envisagé mais jamais produit en série. 

 

 

Mais le concept n'a pas que des qualités : Souverain en ville à une époque où les "vrais" camions n'ont même pas de direction assistée il leur est difficile de faire de trop longues liaisons interurbaines compte-tenu de performances pour le moins limitées…  

 

De plus Jensen a commis l'erreur de concevoir un attelage spécifique incompatible avec les remorques Scammell (Jen-Tug fabriquait aussi ses propres remorques et en proposait 14 à son catalogue) ce qui fera reculer plus d'un client potentiel…  

 

Globalement le "Cheval mécanique" ne survivra pas à la concurrence féroce d'un nouveau venu à cette époque : Le Container !  

 

Multimodal car capable de voyager indifféremment sur camion, train ou bateau et même d'être empilé avec un coût de location très modique une fois posé chez le client il révolutionnera le monde de la manutention.  

 

Les Jen-Tug seront construits jusqu'en 1958, mais la production des trois dernières années était devenue anecdotique.

Les autos transportées sont des Austin A40 Sport fabriquées en sous-traitance par… Jensen !  

 

 

En France FAR fermera ses portes en 1970 après une ultime version dotée d'une cabine de Saviem SG.

La SNCF mais aussi EDF resteront jusqu'au bout des clients fidèles pour leurs manutentions en milieux étroits.

 

 

Côté poids-lourds les choses ne se portent pas au mieux non plus en ce milieu des années 50 et cela à cause de la suppression par les autorités du pays de la fameuse limitation de vitesse en fonction du poids à vide, et JNSN va le payer très cher…  

 

 

 

 

Déjà les camions de la marque sont très onéreux, rançon de leur production limitée et de l'utilisation de matériaux comme l'aluminium ou le polyester (qui composait la calandre mais aussi le toit des véhicules) et la fin des limitations de vitesses vont sonner le glas de la firme car si la légèreté de ses camions était intéressante pour l'emport d'une charge utile supplémentaire la différence de prix avec des productions comme celles de Bedford, AEC, Commer, ERF ou Foden rendait l'opération peu rentable pour le transporteur, même à relativement long terme.  

 

JNSN fera tout de même son trou avec les sociétés de transport demandeuses d'adaptations spécifiques sur leurs véhicules qui n'intéressaient pas les grands constructeurs, mais il s'agissait d'un marché de niche.

 

 

La firme tente de se diversifier en 1958 en abandonnant la production des camions lourds JLC pour celle de la camionnette allemande à traction avant Tempo Matador produite par la firme Hambourgeoise Vidal und Sohn dont elle achète la licence.

 

 

On notera la transition : JNSN devenant JeNSeN !  

 

 

Utilisant outre-Manche des éléments mécaniques Austin cet utilitaire va être décliné en de nombreuses versions : Fourgon, Camping-Car, nacelle élévatrice, minibus, pick-up et même un très intéressant véhicule doté d'une plateforme élévatrice hydraulique ! 

 

Le concept était génial, permettant à la fois un chargement-déchargement au niveau du sol et une mise à quai aisée.

Hélas il était lourd et… Très cher !   

 

 

La production s'arrête en 1963 moment où la société est sous le contrôle du groupe financier Norcros qui cherche plutôt à orienter l'avenir de la marque vers la production d'autos de prestige et la sous-traitance automobile (elle va bientôt obtenir des contrats pour l'assemblage des Volvo P1800 et Sunbeam Tiger après avoir perdu celui concernant Austin-Healey).

Souvent en violent désaccord avec le groupe les frères Jensen claqueront la porte de l'entreprise en 1966, cette dernière ne leur survivra donc que dix ans.  

 

La production totale des camions JNSN n'a pas dépassée les 600 exemplaires sur une dizaine d'années (dont une vingtaine de bus), les Jen-Tug ayant quand à eux été produits à 700 unités (et 1 400 remorques).

 

On ne peut pas dire que les livreurs de la marque aient été débordés par l'ampleur de la tâche…  

 

 

Avec sa structure en alu le JLC fut très recherché durant les années 60 par tous les casseurs Britanniques pour sa forte valeur ajoutée, ce qui explique que les exemplaires survivants sont de nos jours très rares.

 

 

Quand à la fourgonnette Tempo elle sera un énorme échec commercial avec seulement quelques centaines d'exemplaires vendus en cinq ans (le contrat stipulait une distribution dans tout le Commonwealth mais il n'en fut rien) et de nos jours il n'en subsiste désormais qu'une seule !  

 

En conclusion on dira que les camions Jensen furent d'excellents produits mais trop avancés techniquement et surtout trop chers pour intéresser une majorité de transporteurs tout à fait satisfaits par les productions locales du moment, un sentiment d'isolationnisme qui coûtera très cher au Royaume-Uni lors de l'ouverture du pays aux marchés européens puis mondiaux.  

 

 

Pas de JNSN dans cette vidéo mais des ERF, Guy, Scammell, Leyland, Foden, Atkinson à foison qui vous donneront une idée du "particularisme anglais" des années 50/60/70 !  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jensen.

 

 

Modifié 21 juillet 2023 par jensen

[Terisonen]

Cette loi de vitesse et de masse devait être une protection pour les compagnies ferroviaires, pour ne pas se retrouver en concurrence sur le fret. Pareil que la France, qui a levé tard les limitations du camionnage en France.

Modifié 28 juin 2023 par Terisonen

[marzal]

C'est à dire ?

A quelle époque ? 

[daniel762]

Je viens de faire la découverte d'ne facette de la marque Jensen dont j'ignorais l'existence,  que ce soient les camions ou le Tempo sous licence. Et si je connaissais les Jen-Tug, je n'avais pas fait le lien...

 

et merci Tonton !

[daniel762]

Le 28/06/2023 à 17:40, marzal a dit :

C'est à dire ?

A quelle époque ? 

 

La coordination rail-route de 1934, qui a réduit les dimensions et le poids total autorisé des poids lourds et restreint les libertés d'exploitation des transporteurs routiers. Avec pour effet de bloquer la sortie d'une nouvelle génération de gros porteurs pourtant prêts à sortir et le développement des semi-remorques, et de faire chuter la production de camions dans une telle ampleur qu'en 1939-40, l'armée française dont les besoins devaient être couverts par la réquisition de véhicules civils n'a pas pu trouver tous les camions dont elle avait besoin...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Coordination_des_transports_en_France

[biker521]

bravo  

 

chapeau bas pour cette histoire qui a dû nécessiter de longues recherches  

[Invité §oul767Da]

Tout à fait! très intéressant comme d'hab!

[jerry-lee]

L'article léché, précis, documenté, avec des appréciations et des commentaires est toujours parfait comme les précédents.

Mais, oui, il y a un mais, qui ne concerne absolument l'auteur ! Non, uniquement l'esthétique des véhicules.

Je sais bien, et on le remarque souvent, que les britanniques n'ont pas les mêmes critères que nous (ils le font exprès ?), mais quand même ces découpes de la calandre en JNSN ne sont pas du meilleur goût (disons de la bonne discrétion). C'est sûr qu'on peut reconnaître la marque de loin ...

 

[Gaillant]

Merci @jensen pour cet article très intéressant. Je découvre ces camions JNSN.

Ça avait l'air d'être du beau matériel techniquement.

[Clampinus]

Chaque article (ou presque !) de tonton @jensen est une découverte. Merci de nous faire profiter de ton érudition automobile.  

[Terisonen]

Connaissez vous les camions à vapeur?

 

https://en.wikipedia.org/wiki/Steam_wagon

 

C'est en anglais.

[jensen]

Le 30/06/2023 à 17:01, Clampinus a dit :

Chaque article (ou presque !) de tonton @jensen est une découverte. Merci de nous faire profiter de ton érudition automobile.  

 

Comment ça "ou presque" ?  

 

La prochaine fois nous passerons de nouveau un tunnel, mais pas sous la Manche.  

 

 

 

 

 

 

[Clampinus]

Le 30/06/2023 à 18:55, jensen a dit :

Comment ça "ou presque" ?  

 

Disons qu'il y a parfois quelques trucs que je connaissais déjà, je ne suis pas tout à fait inculte !  

[jerry-lee]

Des tunnels ?

Il y en a tant (en Europe et à côté ?).

Dans les Alpes, ou en soufflerie …!

 

[jensen]

 

S'il y a des arabisants ici on va dire "50", eux devraient comprendre.  

 

 

 

Modifié 30 juin 2023 par jensen

[SolarWinds]

Ça se dit 50 – ٥٠ khamsun (خمسون) (khamsa pour 5 et la terminaison «un»), mais je n'ai rien trouvé. Je tente avec des écritures alternatives.

 

EDIT: j'ai du aller rechercher dans mes docs, ça date. 😇

 

EDIT 2: j'ai trouvé, il y avait un truc. 😉

Modifié 30 juin 2023 par SolarWinds

[SolarWinds]

Sinon, est-ce qu'on a déjà parlé de la Daimler Corsica?

[meiji851]

Le 30/06/2023 à 21:02, SolarWinds a dit :

Sinon, est-ce qu'on a déjà parlé de la Daimler Corsica?

 

Jamais entendu parlé, j'ai du googlisé et elle est superbe !

[SolarWinds]

Le 30/06/2023 à 21:04, meiji851 a dit :

 

Jamais entendu parlé, j'ai du googlisé et elle est superbe !

Si je trouve le temps, je vous ferai un petit résumé, mais je ne vous promets rien et je manque de doc papier.