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Cycle d'homologation - théorie, optimisations et réalité


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Invité §Lau620QA

Je n'avais pas lu cet article datant de fin juin : les futurs contrôles techniques des diesels vont se rapprocher grandement des tests ... d'homologation !

 

http://www.lefigaro.fr/conso/2 [...] plique.php

 

 

 

[h1]Voitures diesel: le contrôle technique sera bientôt plus compliqué[/h1]

  • Par Antoine Decléty
  • Mis à jour le 23/06/2016 à 12:05
  • Publié le 22/06/2016 à 16:14

http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_crop/2016/06/22/XVM6485d582-3861-11e6-9328-c1b9484a68dc.jpg

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VIDÉO - Un décret imposant le contrôle des niveaux de CO2 ou de NOx lors des contrôles techniques va être publié à l'horizon 2018-2019 dans le cadre de la loi de transition énergétique.

Le contrôle technique de votre voiture diesel devrait être encore plus laborieux qu'avant. C'est du moins ce que prévoit un décret publié au Journal officiel. Il imposera, à l'horizon 2018-2019, de nouveaux critères de vérifications des véhicules diesel lors des contrôles techniques. Ces nouveaux contrôles permettront d'évaluer le niveau d'émission de polluants atmostphériques et autres particules d'un véhicule.

Nommé « diagnostic 5 gaz », ce nouveau dispositif impliquera la mesure de la présence d'oxydes d'azote (NOx), de monoxyde de carbone, de dioxyde de carbone, d'hydrocarbures imbrûlés et de particules fines dans le véhicule. Pour les contrôles techniques des voitures à essence, les quatre autres gaz faisant déjà des vérifications, seul le NOx fera l'objet de contrôles supplémentaires.

»Lire aussi: Automobile: les mauvais élèves français du diesel dévoilés

« Il s'agit de passer progressivement de l'information à l'obligation »Laurent Michel, lors d'une intervention à l'Assemblée Nationale

Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat au ministère de l'écologie présentait en janvier dernier devant l'Assemblée Nationale ce décret. « L'idée est que le dispositif soit opérationnel à partir du 1er janvier 2018, afin qu'au 1er janvier 2019, nous disposions de valeurs de référence, expliquait-il. Ajoutant qu'il « s'agit de passer progressivement de l'information -votre véhicule dépasse les normes admises - à l'obligation- vous devez procéder aux réparations et contre-visites nécessaires ».[h2]Comment effectuer les contrôles?[/h2]

La question de l'équipement nécessaire pour effectuer ces contrôles se pose donc. Dès le 1er septembre, l'UTAC, l'organisme de tests et d'homologation testera plusieurs dispositifs techniques sur un panel de 10.000 à 20.000 voitures. Le dispositif est encore assez flou, les procédures de tests du monoxyde de carbone, du dioxyde de carbone, d'hydrocarbures imbrûlés et de particules fines ne sont pas encore connues. Quant à la mesure de l'oxyde d'azote, le décret propose deux solutions: un système portatif à un prix intéressant mais moins performant que le système statique, lui, assez onéreux.

Reste encore à définir le seuil de pollution que les voitures ne pourront pas dépasser et qui nécessiteront des réparations. Geoffrey Michala, directeur technique de Dekra interrogé par les Echos, estime que « ce sera assez compliqué de fixer la tolérance. On ne pourra pas reproduire le cycle d'homologation et le réglage des systèmes antipollution diffère vraiment d'un modèle à l'autre ».

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Invité §Lau620QA

[h1]En moyenne, 1,8L d'écart entre les consos homologuées et les consos réelles. La Peugeot 208 diesel est la plus proche de la réalité, la 3008 essence la plus éloignée ( quelle connerie ces SUV d'ailleurs ... )[/h1][h1]

[/h1][h1]http://www.rtl.fr/actu/conso/p [...] 7784030123[/h1][h1]

[/h1][h1]PSA Peugeot Citroën dévoile la consommation réelle de ses véhicules[/h1]

 

 

[h2]REPLAY - Pour la première fois, un constructeur automobile a joué la carte de la transparence en dévoilant la consommation réelle de 30 modèles de véhicule.[/h2]

La page de l'émission : Auto-Radio

http://media.rtl.fr/cache/6IoXo6i4z455Seu1307lgw/795v530-0/online/image/2016/0425/7782973421_la-citroen-c6-sera-relancee-pour-le-marche-chinois.jpgPSA Peugeot Citroën dévoile la consommation réelles de ses véhiculesCrédit Image : JOEL SAGET / AFPCrédit Média : Christophe BourrouxTélécharger

PAR CHRISTOPHE BOURROUX , LA RÉDACTION NUMÉRIQUE DE RTL PUBLIÉ LE 09/07/2016 À 09:23MIS À JOUR LE 09/07/2016 À 11:06

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PSA Peugeot Citroën joue la transparence sur la consommation en carburant de ses véhicules. Fini les essais dans des conditions complètement déconnectées de la réalité, en laboratoire, avec des vitesse de pointe d'escargot. Le constructeur français a décidé de mener lui même ses propres essais, en collaboration avec des ONG comme France Nature Environnement.

 

Pour mesurer cette consommation, les voitures roulent sur une quarantaine de kilomètre, sur autoroutes, nationales, départementales ou en plein centre-ville. PSA prend aussi en compte lenombre de passagers, les bagages et l’utilisation de la climatisation par exemple. Et c'est le grand écart avec les tests en laboratoire, c'est à dire ce qui font office d'homologation en Europe.

 

 

En moyenne, la différence entre la consommation homologuée avec le test actuel est de 1,8 litre aux 100. La palme plus petit écart revient à la Peugeot 208 diesel qui consomme 4,7 litres en réel. Soit un 1,2 litre de différences. La plus grande différence est de 2,7 litres sur une 3008 essence. Alors le constructeur va tester une vingtaine d'autres modèles d'ici à la fin de l'année. Et va ensuite analyser les émissions d'oxyde d'azote dès l'an prochain. Légalement PSA ne peut pas afficher les résultats de ces tests à côté de ses modèles en concession ; seule la norme actuelle est légale et officielle. Néanmoins, le constructeur va divulguer ses infos sur internet.

[h3]Les carburants haut gamme ne sont pas plus économes[/h3]

Auto Plus publie un dossier consacré aux carburants haut-de-gamme comme l’Excelium chez Total, l’Ultimate chez BP ou le V-Power chez Shell. Ce sont des "super" ou des gazoles qui comprennent tout un cocktail d’additifs censés améliorer leur efficacité et évidemment ces carburants sont généralement plus chers de quelques centimes.

 

Mais résultat des courses, le laboratoire Auto Plus a fait des mesures qui montrent que l’usage de ces carburants ne permet pas de consommer moins. En revanche, ça peut être utile de faire un plein de temps en temps avec ces carburants qui favorisent le décrassage du moteur.

[h3]Comment réduire sa consommation d'essence ?[/h3]

Alors déjà, dans ce qui ne marche pas non plus, il y a les économiseurs miracles de carburant qu’on vous vend parfois sur internet. "Ça il faut savoir que ça ne fonctionne jamais !", prévient Christophe Bourroux. En revanche, il y a quelques conseils de base utiles qu’il faut rappeler : bien gonfler ses pneus - des pneus sous-gonflés d’un bar peuvent augmenter de 5% la consommation de carburant -et n’hésitez pas même à surgonfler légèrement les pneus, d’environ d’environ 5% par exemple.

 

Autre point important, le chargement de la voiture. Si vous avez une galerie de toit que vous n’utilisez pas, retirez-là, vous réduirez d’environ 10% votre consommation de carburant. Et si vous avez besoin de mettre des affaires sur le toit, préférez un coffre profilé à des bagages sur une galerie. Dans les deux cas vous consommerez un peu plus, mais deux fois plus avec la galerie qu’avec le coffre profilé.

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http://www.24heures.ch/auto-mo [...] y/17553165

 

Mitsubishi suspend les ventes de neuf modèles

Japon Les spécifications figurant sur les catalogues ne correspondent pas à la réalité, notamment la consommation de carburant.

 

Le constructeur d'automobiles japonais Mitsubishi Motors a annoncé mardi la suspension temporaire des ventes au Japon de neuf modèles de véhicules. Les spécifications figurant sur les catalogues ne correspondent pas à la réalité, selon les conclusions d'une enquête du gouvernement.

 

Les chiffres affichés de consommation de carburant de ces modèles sont meilleurs que ceux réellement mesurés, a indiqué le ministère des Transports qui a constaté dans certains cas un décalage de 8,8% (4,2% en moyenne).

 

Mitsubishi Motors va désormais retirer les véhicules concernés du marché afin de corriger les données. « Le processus pourrait durer de deux à trois semaines », a précisé le quotidien économique Nikkei.

 

Le groupe a par ailleurs décidé d'indemniser les acheteurs floués, comme il l'a déjà fait pour les possesseurs de véhicules de petit gabarit dont les performances énergétiques avaient sciemment été embellies.

 

Charge exceptionnelle

 

Pour faire face aux frais occasionnés, il va enregistrer une charge exceptionnelle de 7 milliards de yens (quelque 65 millions de francs), mais il ne modifie pas ses prévisions financières à ce stade.

 

La firme avait, le 20 avril, admis des manipulations de données sur quatre modèles de mini-voitures, dont deux construits pour son partenaire Nissan. Elle a ensuite reconnu avoir utilisé des tests non homologués au Japon depuis 25 ans sur plusieurs autres véhicules, d'où cette enquête du gouvernement.

 

C'est un nouveau coup dur pour Mitsubishi Motors, qui avait déjà dû suspendre la commercialisation des mini-voitures affectées dans la foulée des révélations, ce qui s'était traduit par une chute de ses ventes d'automobiles de petite cylindrée de près de moitié en avril, puis de 75% en mai, et de 98% en juin. Il a repris la production début juillet.

 

Perte attendue

 

Du fait de cette délicate épreuve, le constructeur japonais devrait accuser au cours de l'exercice 2016-2017 sa première perte financière en huit ans. Il a cependant reçu en mai le soutien inattendu de Nissan, qui va injecter d'ici à la fin de l'année des fonds pour prendre 34% de son capital.

 

Le directeur général du partenaire de Renault, Carlos Ghosn, a cependant prévenu que cet accord pourrait être remis en cause en cas de découvertes de nouvelles irrégularités. (ats/nxp)

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http://www.24heures.ch/auto-mo [...] y/17167309

 

Les constructeurs allemands forcés d'entrer dans l’ère électrique

AutomobileAprès le « Dieselgate » et face au succès de l’Américain Tesla, pionnier de la voiture électrique, l'industrie automobile allemande change de cap. BMW revoit toute sa stratégie.

 

Le « Dieselgate » a été un véritable tremblement de terre. « Le scandale des moteurs truqués de Volkswagen a fait prendre conscience aux constructeurs automobiles que l’avenir était à la voiture électrique », constate Ferdinand Dudenhöffer, professeur d'économie à l'université de Duisburg-Essen, et grand expert du secteur. « Quand vous avez 99,9% de vos modèles qui tournent à l'essence et au diesel, vous n'avez pas du tout envie de chambouler vos usines et vos bureaux », ajoute-t-il pour expliquer le retard considérable pris par les Allemands dans ce secteur.

 

Même BMW, considéré comme l’une des entreprises les plus rentables au monde, panique aujourd'hui à l’idée de rater le virage du tout électrique ! Jusqu'à présent, le constructeur bavarois n'est pas vraiment présent sur le marché. Seulement 1% de ses modèles sont vendues avec un moteur entièrement électrique. Il a pourtant investi plus de trois milliards de francs dans sa i3. Mais il n'arrive pas à rattraper son principal rival, Tesla, le pionnier de la voiture électrique. La BMW électrique ne fait pas le poids face aux modèles de son concurrent, moins chers et plus autonomes. Avec son Model S, l'Américain réussi même à concurrencer BMW sur son propre terrain en faisant mieux que la Série 7 aux Etats-Unis et en Suisse !

 

Tesla rencontre en effet un énorme succès dans le haut-de-gamme. Les commandes du Model 3, qui sera en vente au prix de 35'000 dollars en 2018, atteignent déjà 400'000 exemplaires. C’est pratiquement l'équivalent du chiffre d'affaires de BMW aux États-Unis ! « Sans Tesla, les constructeurs automobiles - et pas seulement les Allemands - n'auraient certainement pas investi des milliards pour augmenter l'autonomie des modèles électriques au-delà des 500 kms », constate Ferdinand Dudenhöffer.

 

Selon le quotidien économique allemand Handelsblatt, BMW va complètement changer de stratégie en proposant à l’automne une version électrique de ses modèles Série 3, du crossover compact X4 et de la Mini. Une décision qui est interprétée comme un aveu d’échec alors que le constructeur bavarois avait tout misé sur la fibre de carbone – beaucoup trop chère - pour ses modèles électriques. BMW, qui n’a pas voulu commenter les informations du journal, est également forcée de réagir à l’offensive de ses concurrents directs. Daimler (Mercedes) va annoncer à son tour son virage dans l’électrique au prochain Salon de l’automobile à Paris en proposant une nouvelle gamme de modèles.

 

Audi prépare également une version électrique du SUV Q6 et de l’A7. Quant au groupe Volkswagen, à l’origine de ce bouleversement dans le secteur, il est déjà lancé tête baissée dans la bataille. Matthias Müller, le nouveau patron du groupe, a annoncé en juin le lancement de 30 modèles électriques d’ici 2020. Dans dix ans, le groupe veut en vendre plus de 3 millions d’exemplaires, soit 30% de sa production ! « Le futur de l'automobile est électrique ! », claironne aujourd’hui Matthias Müller alors que le directoire de Volkswagen croyait encore dur comme fer à « l'avenir de la technologie diesel » il y a moins d'un an...

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Invité §Lau620QA

Joli reportage sur France 2 ce soir concernant les émissions réelles de la Peugeot 308 et du Renault Captur qui dépasse les 80 mg/km dans des conditions réelles. Tests effectués dans une ONG allemade, à Berlin.

 

 

Peugeot et Renault déclarent qu'ils respecteront quoiqu'il arrive les nouvelles normes prévues en 2017.

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Invité §Lau620QA

Les filtres à particules sur moteur essence au moment où les homologations vont changer, prenant plus en compte la pollution

 

http://www.automobile-sportive [...] e-20161024

 

[h1]Filtre à particules : et maintenant l'essence...[/h1]24/10/2016

 

http://www.automobile-sportive.com/images/news/volkswagen-fap-essence.jpg

 

 

Après les émissions d'oxydes d'azote (NOx) du Diesel, la Commission européenne prépare un nouveau plan d'attaque contre la pollution automobile. Et celui concernera cette fois les particules fines, y compris sur le moteur essence.

 

Le problème est en effet récent, mais avec la généralisation des turbos et des systèmes d'injection directe destinés à réduire la consommation et le co2, les constructeurs ont créé un nouveau problème qui n'existait pas jusqu'à présent, notamment sur les blocs à essence : les particules fines. Au point que certains constructeurs, comme le Groupe PSA, Volkswagen et Mercedes, ont déjà annoncé leur intention d'intégrer des filtres à particules sur leurs futurs modèles essence.

 

A l'instar du Diesel, ce dispositif devrait même devenir rapidement obligatoire sur toutes les motorisations essence. Ce qui inquiète évidemment les constructeurs, notamment dans le cadre des nouvelles homologations en conduite réelle (RDE)...

 

Un projet de texte récemment présenté aux experts des Etats membres de l'UE et dévoilé par le journal LES ECHOS (21/10/16), prévoit donc de relever en 2018 de 50% le seuil maximal d'émission autorisé de ces particules. En effet, les complexes outils embarqués de mesure présentent des marges d'incertitude dans leurs résultats, d'où la volonté d'intégrer une tolérance, significative, dans les seuils maxi autorisés. Rappelons que la Commission a validé le même principe pour les NOx et qu'une clause permettra, le cas échéant, de le diminuer la tolérance admise au vu des progrès des outils de mesure embarqués.

 

Et les associations écologistes pointent une autre forte limite au projet : la liste des particules concernées reste celle définie en 2007, avec dans le viseur alors les moteurs diesel, ce qui exclut les particules les plus fines, et les plus dangereuses, présentes surtout dans les rejets des moteurs à essence...

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Invité §cit386Gi

 

Le problème est en effet récent, mais avec la généralisation des turbos et des systèmes d'injection directe destinés à réduire la consommation et le co2, les constructeurs ont créé un nouveau problème qui n'existait pas jusqu'à présent, notamment sur les blocs à essence : les particules fines.

 

 

ça n'a rien à voir avec le turbo, seulement avec l'injection directe...et consommation et CO² sont intimement liés, c'est pour ça qu'on peut dire que le barème de malus basé sur le CO² est 100% pro diesel...

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Invité §Lau620QA

http://www.lepoint.fr/automobi [...] 50_657.php

 

[h1]Dieselgate : les normes antipollution européennes en question[/h1]

[h2]Provoqué par le scandale Volkswagen, le débat sur les normes européennes d'émissions polluantes est relancé par la publication de résultats confirmant des écarts importants entre homologation et circulation sur route.[/h2]LE POINT AUTO AVEC AFP

Publié le 18/01/2017 à 11:22 | Le Point.fr

http://www.lepoint.fr/images/2017/01/18/6784859lpw-6788882-article-jpg_4028800_660x281.jpg

Les mesures d'émissions polluantes réalisées sur route sont comparées avec celles obtenues sur banc. © DR

 

 

 

 

Au cours du troisième trimestre 2016, le laboratoire scientifique Joint Research Center (JRC) – rattaché à la Commission européenne – a testé trois véhicules diesel (Skoda Yeti TDi, Citroën C4 Cactus BlueHDI 100, Audi A3) et un modèle essence (Ford Fiesta) en laboratoire et sur quatre routes d'Espagne et Italie afin de développer un protocole de tests capables de détecter la présence éventuelle d'un logiciel caché faussant les émissions polluantes des moteurs diesel.

[h3]« Avec une différence de 7 °C, les émissions sont multipliées par 5 »[/h3]

Les résultats publiés montrent que les modèles testés répondent aux normes d'émissions polluantes dans le protocole de tests NEDC actuellement en vigueur pour l'approbation des modèles en Europe ainsi qu'avec les nouveaux tests WLTP plus sévères et plus représentatifs des conditions de roulage au quotidien, attendus cette année. En revanche, « si on change légèrement la température dans laquelle le test se déroule (de la température standard 23 °C à 30 °C), les émissions explosent », selon une analyse d'un proche du dossier à la Commission européenne remise au bureau du député européen écologiste Yannick Jadot. « Avec une différence de 7 °C, les émissions sont multipliées par 5 », observe le bureau du candidat à la présidentielle française sous la bannière Europe Écologie-Les Verts, qui évoque une « suspicion de fraude ».

[h3]Optimiser n'est pas forcément tricher[/h3]

De son côté, l'association française 40 Millions d'automobilistes rappelle que « si les normes européennes définissant les seuils d'émissions de polluants des véhicules sont fixées en laboratoire, les tests sont, quant à eux, réalisés en conditions réelles de conduite, ce qui explique les écarts constatés ». L'organisation constate que, depuis le début de l'affaire Volkswagen en septembre 2015, « les polémiques sur les normes européennes d'émissions de polluants des véhicules ne cessent d'enfler ». « Il serait temps que ce débat revienne à un débat scientifique, et non à un débat essentiellement politique », explique son président, Daniel Quéro. Même remarque à Bruxelles : « Une contradiction entre les émissions de NOx [émissions polluantes d'oxyde d'azote, NDLR] mesurées en laboratoire et dans des conditions réelles de conduite n'est pas nécessairement l'indication d'un comportement illicite », a souligné un porte-parole de la Commission européenne, interrogé par l'AFP.

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Invité §Lau620QA

https://www.industrie-techno.c [...] tion.47595

 

Dieselgate : comment les constructeurs peuvent contourner les tests de pollution ?

 

L’affaire des moteurs diesel Volkswagen truqués, révélée en septembre 2015 par l’Agence américaine de protection de l’environnement, continue son périple et ne cesse d’embarquer avec elle de nouveaux constructeurs. C’est à présent Renault qui est mis sous le feu des projecteurs. Logiciel ou autre technique de contournement de test, Florent Grelier, ingénieur véhicules propres pour l’ONG Transport & Environnement revient sur les trois méthodes les plus employées par les constructeurs pour contourner les tests d’homologation.

 

En septembre 2016, l’ONG Transport & Environnement publiait son rapport sur l’affaire de tricherie lors de tests d’homologation des véhicules de différents constructeurs intitulé « Dieselgate : Who ? What ? How ? ». Courant janvier 2017, Fiat, Chrysler puis Renault sont à leur tour visés par les accusations. L’occasion pour Industrie & Technologies de faire un point sur les différentes techniques de contournement des tests, mais également de poser quelques questions à Florent Grelier, ingénieur véhicules propres pour l’ONG Transport & Environnement, sur la fiabilité des données ainsi que les enjeux derrière la tricherie.

 

Trois techniques de contournement

 

Selon le rapport de l’ONG, trois techniques de contournement des tests de pollution sont principalement utilisées par les constructeurs : la fenêtre thermique, le redémarrage à chaud et les systèmes de détection de cycle. « Dans la fenêtre thermique, les systèmes de dépollution sont pleinement efficaces sur une plage de température extérieure donnée. » Le rapport précise que la technique permet d’éteindre ou de diminuer l’efficacité de traitement des gaz d’échappement à des températures typiquement utilisées en laboratoire (entre 23 et 29°C). Les essais étant effectués en grande partie en hiver et début de printemps, les tests ont révélé des émissions élevées et une coupure du système des contrôles des émissions. « Lors du redémarrage à chaud, les émissions de polluants sont plus élevées avec un moteur « chaud » qu’avec un moteur « froid », ce qui est illogique d’un strict point de vue technique. » Le rapport précise que ces émissions élevées peuvent être provoquées par un étalonnage plus efficace des moteurs et des gaz d’échappement. « Et pour les systèmes de détection des cycles, différents paramètres sont scrutés pour détecter que le véhicule est en cours de test. C’est notamment ce qui est reproché à Volkswagen, et ce dont les autorités allemandes ont accusé les concepteurs du Fiat 500X, concernant un minuteur où les systèmes de dépollution sont activés pendant une période donnée. » Les tests d’émission fonctionnent vingt minutes. L’Autorité allemande KBA avait trouvé des preuves que le système de traitement de gaz d’échappement s’éteindrait après 22 minutes, selon le rapport de l’ONG.

 

Fiabiliser les données recueillies

 

Avec toutes ces techniques de contournement, comment être sûrs de la fiabilité des données ? « Les autorités publiques en charge de l'homologation des véhicules sont autant responsables que les constructeurs dans le scandale du Dieselgate. Les constructeurs peuvent choisir les autorités qui feront l'homologation de leurs véhicules et une concurrence malsaine s'est mise en place dans l'optique d'attirer le plus grand nombre possible de constructeurs. Ces autorités ne font pas leur devoir et les règles déjà en place ne sont pas pleinement appliquées pour protéger des intérêts industriels ou économiques. D'un autre côté, l'introduction d'essais sur route en conditions réelles (RDE) à partir de septembre 2017, en complément des essais en laboratoire, est certainement un pas en avant pour réduire de manière effective les émissions polluantes. Néanmoins, il existe aujourd'hui des marges appelées facteurs de conformité, mises en place pour prendre en compte l'erreur de mesure des appareils mobiles utilisés pour ces essais RDE sur route. Il est important que ces facteurs de conformité soient effectivement le reflet réel de l'erreur de mesure de l'appareil et que ces facteurs sont revus régulièrement à la baisser pour prendre en compte l'amélioration des technologies de mesure. »

 

De gros enjeux derrière le contournement des tests

 

« Les conséquences de ces manipulations de tests sont une sur-pollution au dioxyde d'azote (NO2) qui est problématique dans les zones urbaines, comme constaté récemment à Paris ou à Lyon. Cette sur-pollution a clairement un impact négatif sur la santé publique et provoque chaque année la mort prématurée de 71 000 personnes en Europe, d'après l'agence de l'environnement européenne (EEA). Les moteurs Diesel en circulation sont principalement responsables de ce problème de santé publique car contrairement aux usines, les véhicules nous entourent et nous respirons directement leurs émissions. Les technologies actuelles de dépollution pour les moteurs Diesel permettent déjà de respecter les normes antipollution Euro6 sur la route, comme l'a montré la commission d'enquête allemande via quelques exemples ou la commission Royal avec une Peugeot 208. Néanmoins, afin d'obtenir ces résultats, les constructeurs doivent affiner le paramétrage des systèmes de dépollution, ce qui est faisable mais demande plus de temps de développement pour y parvenir. »

 

 

 

En effet Gazton3, ils vont devoir en tenir compte pour le nouveau cycle d'homologation des polluants

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Invité §Lau620QA

http://www.europarl.europa.eu/ [...] s-voitures

 

 

[h1]Scandale Volkswagen : améliorer le système d’homologation des voitures[/h1]AUTRES Article - Libre circulation des marchandises / Consommateurs / Environnement09-02-2017 - 16:55

Daniel Dalton est l'auteur d'un rapport sur la réception et la surveillance du marché des véhicules

Le scandale Volkswagen a permis de mettre en lumière les faiblesses des systèmes d’homologation des nouvelles voitures dans l’Union européenne. Ce jeudi 9 février, les députés de la commission du marché intérieur ont adopté leurs amendements à de nouvelles règles visant à rendre les tests environnementaux et de sécurité des véhicules plus indépendants. Nous avons rencontré Daniel Dalton, député conservateur britannique en charge du dossier au Parlement, pour en savoir plus.

 

Le système actuel d’homologation des voitures peut faire l’objet de fraudes. Comment éviter de nouveaux scandales du type de celui des émissions de Volkswagen ?

 

Peu importe le système mis en place, il y aura toujours des personnes qui tenteront d’enfreindre les règles. La clé est donc de rendre ce mécanisme aussi solide que possible.

 

Les changements adoptés aujourd’hui se penchent sur la manière dont les tests d’homologation sont conduits : comment ils sont validés, de quelle manière le laboratoire d’essai est autorisé à certifier les autorités nationales qui approuvent ensuite l’homologation d’un véhicule.

 

Il est important de se pencher aussi sur la question des tests d’émissions. Auparavant, ces tests étaient réalisés en laboratoire et non en situation de conduite réelle. Nous avons adopté un nouveau type de test, plus solide, qui entrera en vigueur au cours des prochaines années.

 

Quels sont les changements proposés par cette nouvelle législation sur la réception et la surveillance du marché des véhicules ?

Les autorités nationales feront l’objet de davantage de contrôles. La Commission européenne sera en mesure de vérifier qu’elles effectuent bien leur travail. Un forum d’échange d’informations sera mis en place pour les États membres.

 

Une fois la voiture mise en circulation, les autorités nationales devront également réaliser des contrôles inopinés sur le terrain, ce qui n’est pas le cas pour le moment.

 

Des sanctions sont-elles prévues pour les constructeurs automobiles qui ne respectent pas ces règles ?

Oui, nous proposons dans ce rapport de conférer à la Commission européenne le droit d’infliger des amendes administratives aux constructeurs automobiles qui enfreignent les règles.

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Invité §Lau620QA

Intéressant même si cet article a 1 an !

http://www.ccfa.fr/Le-point-su [...] e-d-157486

 

 

 

Alexandra Frutos | Le 9/02/2016 à 14:00 | Mis à jour le 9/02/2016 à 10:49[h1]Le point sur la procédure d’homologation des véhicules[/h1]

Publié le 9/02/2016

http://www.ccfa.fr/IMG/arton157486.jpg?1455013372

La procédure d’homologation des véhicules, qui vise à vérifier qu’une automobile respecte les règlements en matière de pollution, mais aussi les nombreuses normes de sécurité, revêt une importance essentielle puisque seul ce document permet à un constructeur de lancer sa production en série. Côté français, les choses sont des plus classiques : la quasi-totalité des modèles Peugeot, Citroën ou Renault destinés à l’Europe sont invariablement testés dans l’Hexagone. Mais des exceptions existent. Ainsi le nouveau haut de gamme de Renault, la berline Talisman, a été homologué par les services britanniques du VCA en Corée du Sud, pour des raisons de proximité avec son bureau d’études. Et les prototypes de la gamme Dacia sont testés non pas en Roumanie, mais en France, comme les modèles du Losange. L’Autolib’ de Bolloré, citadine électrique qui sillonne les avenues de Paris, Lyon et Bordeaux, a quant à elle été auscultée par des ingénieurs espagnols avant sa mise sur le marché.

Les tests officiels sont normalisés, basés sur des processus rigoureusement encadrés par les règlements communautaires. A l’image du parcours prédéfini de vingt minutes chrono reproduisant sur rouleaux, dans un labo couvert, avec une essence standard, une boucle de 11 kilomètres avec une moyenne de 34 km/h, dont une phase urbaine puis une échappée sur autoroute à 120 km/h.

Marché unique oblige, il suffit en depuis 1996 de décrocher le certificat de conformité de n’importe quel Etat membre pour que celui-ci soit valide dans toute l’Europe et qu’un véhicule soit mis en vente partout. Les affinités nationales entre les constructeurs et leurs administrations se sont ainsi distendues, et l’on a vu émerger, à côté des bastions de l’industrie auto que sont l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et l’Italie, de véritables challengers de l’agrément, comme l’Espagne, le Luxembourg, les Pays-Bas, et même l’Irlande ou Malte. Le Luxembourg agrée ainsi environ une voiture sur cinq en Allemagne, en envoyant ses représentants dans les forteresses techniques d’Audi, de BMW ou d’Opel par exemple. « Les infrastructures seraient bien trop chères si l’on infligeait aux services techniques de rentabiliser leurs propres installations », explique Claude Liesch, directeur de la SNCH, la société publique d’homologation du Grand-duché, qui travaille avec la plupart des marques mondiales (françaises et italiennes exceptées) et qui agrée une vingtaine de modèles par an. Pourquoi une telle part de marché, pour un pays de seulement 560 000 habitants, dépourvu d’industrie automobile ? « C’était un choix national, déclenché au début par Goodyear, qui a installé ici son centre de R&D européen et a exigé le concours des autorités pour la certification, puis nous avons choisi de nous diversifier, en développant trois centres techniques différents ». Deux de ces centres (TÜV Rheinland et Luxcontrol) sont désormais dans des mains allemandes, le pays voisin. Quant à la proximité linguistique entre le Luxembourg et l’Allemagne, elle permet de gagner du temps : « Pas besoin de traduire le cahier des charges du constructeur en anglais ou en français », ajoute le patron de la SNCH.

Depuis le déclenchement de l’affaire Volkswagen en septembre, la question d’un éventuel traitement préférentiel de certaines autorités, qui permettrait de se jouer trop facilement des règlements, se pose néanmoins. « S’il y a une petite marge de manœuvre avec un constructeur, c’est sans doute sur la négociation en amont sur la manière de mener les essais ; mais, sur les émissions, il y a des niveaux à respecter, point », indique Béatrice Lopez de Rodas, directrice de la marque Utac. « Nous passons plutôt pour des empêcheurs de tourner en rond. Il est fréquent que l’on ait des véhicules refusés, devant repasser un test », ajoute-t-elle. Au Luxembourg voisin, on plaide aussi la rigueur technique : « Le niveau chez nous n’est pas moins difficile qu’ailleurs. On se soumet à des audits externes, et aucun service technique ne vérifie les choses de manière différente : deux fois par an, nous coordonnons nos interprétations », détaille Claude Liesch.

Toute homologation est le résultat d’un travail de longue haleine, mené sur deux mois environ s’il est fait d’un trait, ou beaucoup plus s’il est fragmenté. Avant les essais de choc de rigueur et les essais de décélération sur piste, il faut passer toute une série de « partiels » : freinage, sécurité active, éclairage, mais aussi désembuage de l’habitacle, tout y passe. « En général, on fait cela en plusieurs fois, par briques. L’automobile est le produit le plus réglementé au monde », estime un cadre du CCFA.

Pour couper court à toute polémique en matière d’homologation, un nouveau protocole de test harmonisé WLTP, plus réaliste, doit s’imposer à partir de septembre 2017. D’ici là, Bruxelles a l’intention de reprendre un peu la main sur ce marché qui lui échappe totalement. L’exécutif européen veut pouvoir mener des contrôles aléatoires sur les véhicules en circulation, infliger des amendes aux constructeurs ou services techniques en cas de tricherie manifeste et faciliter les rappels de véhicules dans toute l’Union européenne. (ECHOS 9/2/16)

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Invité §Lau620QA

http://www.automobile-entrepri [...] rence,5706

 

[h1]Le groupe PSA joue la transparence sur la consommation de ses véhicules[/h1]

Publié le 8 mars 2017 par Damien Chalon

 

 

Le groupe PSA propose à ses clients de vérifier la consommation moyenne en usage réel de leur véhicule via Internet. Plus de 1 000 versions des marques Peugeot, Citroën et DS sont consultables.

Les clients de PSA peuvent évaluer la consommation réelle de leur véhicule.

Le groupe PSA s’était engagé en 2016 à publier les résultats des mesures issus du protocole d’essais défini avec Transport & Environment (T&E) et France Nature Environnement (FNE) sous le contrôle de l’organisme de certification Bureau Veritas. Cette promesse a été tenue.

[h3]Les NOx dévoilés cet été[/h3]

Peugeot, Citroën et DS proposent dès à présent à leurs clients de vérifier la consommation moyenne en usage réel de leur véhicule en se connectant sur leurs sites internet respectifs. « Nos clients pourront ainsi accéder à une information plus complète en toute transparence en matière de consommation. Nous étendrons ces mesures aux émissions de NOx dès l’été 2017 » précise Gilles Le Borgne, le directeur de la qualité et de l’ingénierie du groupe PSA.

 

[h3]Estimer sa consommation au plus juste[/h3]

Les données fournies par les trois marques concernent un total de 58 modèles et plus de 1 000 versions. La consommation d’un modèle peut effectivement varier en fonction de la silhouette, du niveau de finition, du moteur, de la boîte de vitesses et de la monte pneumatique. Le configurateur mis à disposition des clients permet également d’estimer sa consommation en fonction de ses habitudes d’usage (nombre de passagers, chargement, type de conduite…).

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Invité §luc268By

Bravo à PSA, l'honnêteté et la probité comme valeurs...

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http://www.europe1.fr/emission [...] es-3639362

 

[h1]Dieselgate : seuls 5% des véhicules Renault dans les normes anti-pollution[/h1]

 

 

C'était il y a un peu plus de deux ans. Dans le cadre du "Dieselgate", Renault avait été épinglé par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), le gendarme de Bercy. La répression des fraudes avait alors accusé Renault d’avoir mis en place des "stratégies frauduleuses" pour passer les tests d’homologation de pollution de ses moteurs diesel. La marque au losange avait alors promis un retour rapide à la normale pour les 1,3 millions de véhicules concernés. Mais deux ans plus tard, nous sommes très loin du compte.

La majorité pollue trop. Seuls 5% des véhicules ont fait l’objet d’une mise à jour de leur logiciel anti-émission polluante afin de revenir dans les normes autorisées, un taux très faible qui s’explique par le fait que le plan annoncé par Renault en avril 2016 reposait sur le volontariat des conducteurs, à eux de rapporter leur voiture défectueuse au garage or très peu l’on fait malgré les courriers ou plaquettes qu’ils ont reçues du constructeur début 2017, résultat, la très grande majorité des modèles concernés ont continué à enfreindre les normes anti-pollution depuis cette époque.

La nécessité d'un rappel obligatoire. Face aux critiques, Renault promet de durcir son dispositif en procédant à des remises à jour automatiques lors de chaque visite des véhicules au garage pour une toute autre réparation, la méthode a déjà été appliquée sur certains modèles comme la Talisman. Du coup 30 % des véhicules auraient été traités mais plusieurs associations comme Greenpeace disent que ça n’est pas suffisant et qu’il faut procéder à un rappel obligatoire, c’est ce qu’on a imposé à Volkswagen en Allemagne après le scandale des moteurs truqués, au dernier pointage 95 % des véhicules ont fait l’objet d’une intervention.

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La KBA, qui fait le nécessaire en Allemagne, exige un rappel de van Daimler...

 

Je me demande si ça ne serait pas le moteur Renault...

 

https://www.nytimes.com/reuter [...] -vito.html

 

[h1]German Regulator Orders Recall of Daimler Diesel Van[/h1]

 

FRANKFURT — Germany's road vehicle authority ordered Daimler on Thursday to recall its Mercedes van model Vito 1.6l Diesel Euro 6, saying engine control features to reduce exhaust emissions were in breach of regulations.

Daimler said it would appeal against the decision and fight it in court, if necessary, though it said it was cooperating fully with the regulator KBA.

Car owners would be informed about a free-of-charge software update as soon as it is available, the carmaker added.

Germany's Transport Ministry in February began looking into alleged use of an illegal defeat device in about 1,000 Mercedes-Benz Vito vehicles.

Daimler said on Thursday the software features in question were not necessary for the Vito model to pass European emission tests.

Since rival Volkswagen admitted in 2015 to cheating U.S. emissions tests, German carmakers including VW, Daimler and BMW have faced a backlash against diesel technology in which they have invested billions of euros.

Prosecutors in Stuttgart, where Daimler is based, have been investigating staff at the carmaker for more than a year on suspicion of false advertising and the possible manipulation of emission-control features.

A spokesman for the prosecutor's office said investigations were widened about two months ago to include the Vito and bring to light the circumstances of suspected manipulations of the van's emissions, confirming a report by German magazine Wirtschaftswoche.

U.S. investigators, in turn, are looking into on-board software that may have helped Mercedes-Benz vehicle to pass diesel emissions tests, German weekly Bild am Sonntag reported in February, citing confidential documents.

[h2]

[/h2]

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Et maintenant 600.000 véhicules à rappeler chez Daimler:

 

 

https://www.nytimes.com/reuter [...] sions.html

 

[h1]Daimler Threatened With Recall of Over 600,000 Diesel Models: Spiegel[/h1]

 

BERLIN — Daimler faces a recall order for more than 600,000 diesel-engine vehicles including C-Class and G-Class models because of suspected emissions manipulation, German magazine Der Spiegel reported on Friday.

Germany's KBA vehicle authority is probing concrete suspicions that the affected cars were fitted with illicit defeat devices designed to manipulate emissions levels, the magazine said, without citing sources.

Daimler said on Friday it had not received a formal summons from KBA regarding its C-Class and G-Class models, a precursor to a recall, but declined to comment in detail on the Spiegel report.

The report comes a day after the KBA ordered Daimler to recall the Mercedes Vito van model fitted with 1.6 liter diesel Euro-6 engines because of engine control features to reduce exhaust emissions which KBA said breached regulations.

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En Français:

 

http://www.lefigaro.fr/flash-e [...] diesel.php

 

[h1]Daimler risque un rappel de 600.000 véhicules diesel[/h1]

 

 

Daimler risque un rappel de plus de 600.000 véhicules diesel, dont des modèles Mercedes Classe C et Classe G, en raison de soupçons de manipulation des émissions polluantes, rapporte Der Spiegel vendredi. L'autorité de tutelle du secteur automobile en Allemagne, la KBA, enquête pour déterminer si les véhicules concernés ont été équipés de logiciels illégaux de manipulation des émissions polluantes, ajoute le magazine, sans citer de sources.

Daimler a déclaré vendredi ne pas avoir été officiellement convoqué par la KBA au sujet d'une enquête sur les Classe C et Classe G. Le propriétaire de la marque Mercedes-Benz a refusé de commenter en détail l'article du Spiegel. Le ministère des Transports a dit avoir demandé à la KBA d'enquêter sur le moindre soupçon à ce sujet.

La KBA a ordonné jeudi un rappel des camionnettes Vito équipés de moteurs diesel 1,6 litre Euro-6 en raison de la présence d'un mécanisme de contrôle des émissions polluantes qui enfreint, selon elle, les règlements. Daimler a annoncé son intention de contester les conclusions de la KBA et de porter l'affaire en justice si nécessaire.

L'action Daimler était stable à 10h36 GMT alors que l'indice Dax gagnait plus de 1% et que l'indice du secteur automobile européen prenait 0,53% au même moment.

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Ca risque de commencer à chauffer pour Daimler et on parle en effet du moteur produit par Renault.

 

https://global.handelsblatt.co [...] eat-928165

 

[h1]Diesel recall puts Daimler boss Zetsche in the hot seat[/h1]

Dieselgate threatens to engulf Daimler as thousands of Mercedes vans are recalled. Should the trickle turn into a flood, shareholders can expect collateral damage to the carmaker's profits.

A new broom at Germany’s transport ministry spells trouble for the makers of Mercedes-Benz cars and trucks. Since taking over the ministry in March, Andreas Scheuer, a tough protégé of Chancellor Angela Merkel, has vowed to up the pressure on Germany’s powerful car industry to come clean on Dieselgate and face the consequences.

“I’m no friend of the car company bosses,” sniffed Mr. Scheuer, a member of the conservative CSU, as he started the job and he soon proved it. Mr. Scheuer summoned Dieter Zetsche, Daimler’s boss, to Berlin on Monday to explain the latest recall and whether the luxury car giant planted emissions-cheating software in other vehicles.

Daimler has long dismissed any link to the environmental scandal that has cost rival Volkswagen tens of billions of Euros in fines, refits and recalls. But the KBA, Germany’s motor vehicle authority, begs to differ. Last week the KBA ordered Daimler to recall 6,300 of its Mercedes Vito vans, but that may just be the tip of the iceberg: The agency may add up to 600,000 Mercedes C-class and G-class models cars to its list, newsmagazine Der Spiegel reported.

Daimler says it hasn’t been served any official recalls notices, but will fight them in the courts if and when it does. Two-and-a-half years after US authorities convicted Volkswagen of using emissions-faking devices, Dieselgate is still rolling on and could do major damage to Daimler.

In September 2015, Mr. Zetsche flatly denied Daimler was involved, but since then, cracks have appeared in company’s official line. In March, the CEO admitted that the company shouldn’t have taken advantage of different emission standards in different countries. “Something went wrong there,” he acknowledged.

The Stuttgart-based company has also been quietly setting aside money to cover possible fines or compensation, which could be used for potential diesel emissions cases or any other issue. In its 2017 annual report, Daimler discreetly added €1.4 billion ($1.65 billion) to the kitty for the possible financial impact of warranty claims, recalls, legal risks, and bonus payouts, for instance.

Having seen the battering that Dieselgate gave VW’s stock price, Daimler shareholders are understandably nervous. Prospects of a wide-ranging KBA recall have unsettled shareholders, said Marc Tüngler, manager of German shareholders’ association DSW. “Mr. Zetsche had better hope his denials don’t come back to bite him and Daimler,” he added.

The KBA investigation into various Mercedes-Benz models is only the latest wrinkle in a long-running saga. A year ago, German police raided and searched 11 Daimler offices for evidence of fraud and false advertising related to emissions tinkering. In February, news broke that US investigators were probing Daimler’s internal emails, searching for evidence of manipulation.

In America, 13 separate US state justice departments have launched prosecutions of the company. Daimler says it is cooperating with investigations on both sides of the Atlantic, and reiterated that it has nothing to hide.

Mr. Scheuer’s predecessor, Alexander Dobrindt, was seen as being too close to the car industry. But the new minister has loudly announced the need for transparency and a quick end to remaining Dieselgate problems. Car industry leaders are said to be alarmed at Berlin’s more aggressive stance.

Things are complicated further by the fact that the engines queried by the KBA were manufactured not by Daimler, but by its French partner Renault. Spokespeople for Renault point out that responsibility for engine settings lies with the manufacturer. In other words: Your engine, your problem, Mr. Zetsche.

For more than a year now, Daimler has effectively offered free servicing on all diesel cars in Europe, hoping to “restore confidence to consumers and boost trust in the engine technology.” Already, three million Mercedes vehicles have made the trip to the repair garage to have their emission software tweaked. It is hoped this may reduce levels of nitrous oxide and other pollutants by 25-30 percent.

This may not be enough to restore trust in diesel-powered vehicles. On May 31, Hamburg will become the first German city to ban older diesel vehicles. Among cities which may follow suit is Stuttgart, right in Daimler’s backyard.

In the meantime, Mr. Scheuer is putting pressure on the automakers by setting a deadline of September 1 for manufacturers to clean up their cars.

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https://www.numerama.com/tech/ [...] andes.html

 

 

Déjà visé aux États-Unis, Daimler a été épinglé par les autorités allemandes concernant une triche lors des tests sur ses moteurs.

Le 15 juin prochain, Daimler devra faire face à ses responsabilités. Car la KBA, agence fédérale de l’automobile en Allemagne, a demandé le rappel de plusieurs milliers d’exemplaires du van Vito en raison de l’existence d’un logiciel truquant ses émissions de gaz polluant. Une information que le groupe conteste sachant qu’il ira au-devant de la justice si besoin en est.

Selon un article de Reuters publié le 28 mai 2018, Andreas Scheuer, ministre des Transports, a donné une dizaine de jours à Daimler pour trouver une solution. Dieter Zetsche, CEO, n’est pas apparu inquiet après la première réunion avec les autorités, « C’était une bonne discussion. Nous nous verrons à nouveau dans quatorze jours ».[h2]DAIMLER TIENT SON DIESELGATE[/h2]

De toute évidence, le spectre du dieselgate, qui a surtout touché Volkswagen, continue de hanter les constructeurs. Daimler, également visé aux États-Unis, en fait désormais les frais. Et selon la presse allemande, notamment Bild, ce seraient plusieurs dizaines de milliers de ses véhicules qui seraient concernés : le Vito, donc, mais aussi le modèle Classe C. Leur point commun serait l’emploi d’un bloc diesel de 1.6 litre fourni par Renault. Le fournisseur français n’a d’ailleurs voulu faire aucun commentaire dans cette affaire. Logique : s’il y a bien faute, elle est de la responsabilité de Daimler en vertu des lois européennes.

En quête de l’électrification de ses gammes, Daimler pourrait sérieusement pâtir de ce nouveau scandale lié à la motorisation diesel. Au-delà de l’aspect financier, c’est la perte d’image qui serait le plus à blâmer si les accusations sont confirmées.

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https://www.challenges.fr/auto [...] ros_591256

 

Dieselgate: le gouvernement allemand menace d'infliger une amende de 3,75 milliards d'euros

 

Soupçonné d'avoir truqué ses émissions polluantes, Daimler pourrait bientôt être condamné à payer une amende record par le gouvernement allemand. Le ministre allemand des Transports a menacé de réclamer 3,75 milliards d'euros au constructeur.

 

Le ministre allemand des Transports, Andreas Scheuer, a menacé d'infliger une amende de 3,75 milliards d'euros à Daimler en raison des émissions polluantes de ses moteurs diesel, rapporte vendredi le magazine Der Spiegel. Andreas Scheuer a reçu lundi à huis clos le président du directoire de Daimler, Dieter Zetsche, pour lui demander combien de camionnettes et de voitures de la marque Mercedes-Benzdevaient être corrigées après la découverte d'un logiciel illégal sur l'un de ses modèles.

 

Sans citer ses sources, le Spiegel rapporte qu'Andreas Scheuer a lui-même évoqué un total de 750.000 véhicules et prévenu que le ministère pourrait infliger une amende pouvant atteindre 5.000 euros par unité.

 

La KBA, autorité de tutelle du secteur automobile en Allemagne, a ordonné en mai à Daimler de rappeler les camionnettes Vito équipées d'un moteur diesel 1,6 litre en raison d'une infraction à la réglementation sur les émissions polluantes. Daimler a annoncé son intention de faire appel de la décision de la KBA de qualifier son logiciel d'illégal et s'est dit prêt à aller en justice si nécessaire, tout en assurant les autorités de sa coopération.

 

D'après le Spiegel, il existe une masse considérable d'éléments montrant que les moteurs diesel des berlines Mercedes Classe-C sont aussi concernés par ce problème. Le journal ajoute que des représentants de Daimler ont été convoqués au ministère en vue de la prochaine réunion entre Andreas Scheuer et Dieter Zetsche ce mois-ci. Interrogé sur cet article, un porte-parole du ministère des Transports a dit que les deux parties étaient convenues à la suite de la réunion de lundi de régler les problèmes d'une grande complexité technique dans ce dossier. Un porte-parole de Daimler a dit que Daimler s'était engagé à ne rien divulguer de ces entretiens. La KBA a refusé de s'exprimer.

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Invité §luc268By

Certains véhicules du constructeur allemand ne respectent pas les nouvelles normes imposées par l'Europe en termes d'émissions de gaz polluants. Les ventes de véhicules neufs sont stoppées en Europe selon le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.

 

https://bfmbusiness.bfmtv.com/ [...] ution/edit

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https://www.challenges.fr/auto [...] ros_591256

 

Dieselgate: le gouvernement allemand menace d'infliger une amende de 3,75 milliards d'euros

 

Soupçonné d'avoir truqué ses émissions polluantes, Daimler pourrait bientôt être condamné à payer une amende record par le gouvernement allemand. Le ministre allemand des Transports a menacé de réclamer 3,75 milliards d'euros au constructeur.

 

Le ministre allemand des Transports, Andreas Scheuer, a menacé d'infliger une amende de 3,75 milliards d'euros à Daimler en raison des émissions polluantes de ses moteurs diesel, rapporte vendredi le magazine Der Spiegel. Andreas Scheuer a reçu lundi à huis clos le président du directoire de Daimler, Dieter Zetsche, pour lui demander combien de camionnettes et de voitures de la marque Mercedes-Benzdevaient être corrigées après la découverte d'un logiciel illégal sur l'un de ses modèles.

 

Sans citer ses sources, le Spiegel rapporte qu'Andreas Scheuer a lui-même évoqué un total de 750.000 véhicules et prévenu que le ministère pourrait infliger une amende pouvant atteindre 5.000 euros par unité.

 

La KBA, autorité de tutelle du secteur automobile en Allemagne, a ordonné en mai à Daimler de rappeler les camionnettes Vito équipées d'un moteur diesel 1,6 litre en raison d'une infraction à la réglementation sur les émissions polluantes. Daimler a annoncé son intention de faire appel de la décision de la KBA de qualifier son logiciel d'illégal et s'est dit prêt à aller en justice si nécessaire, tout en assurant les autorités de sa coopération.

 

D'après le Spiegel, il existe une masse considérable d'éléments montrant que les moteurs diesel des berlines Mercedes Classe-C sont aussi concernés par ce problème. Le journal ajoute que des représentants de Daimler ont été convoqués au ministère en vue de la prochaine réunion entre Andreas Scheuer et Dieter Zetsche ce mois-ci. Interrogé sur cet article, un porte-parole du ministère des Transports a dit que les deux parties étaient convenues à la suite de la réunion de lundi de régler les problèmes d'une grande complexité technique dans ce dossier. Un porte-parole de Daimler a dit que Daimler s'était engagé à ne rien divulguer de ces entretiens. La KBA a refusé de s'exprimer.

 

 

Les allemands ont l'air de prendre très au sérieux la problématique du diesel. Ils réagissent. Imposent des rappels. Veulent interdire le diesel dans les grandes villes. Une excellente chose qui devrait inspirer les pays voisins, qui pour le moment ne font pas grand chose.

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