Des anciens rallymen à votre écoute

[Invité §j2h206mT]

Jan Hug,

 

Je n'avais jamais fait la connection que ta BMW etait preparee par Luigi. Elle avait donc un excellent pedigre. Sur la photo que tu as joint, on peut voir Pierre Dieudone. Un autre, comme toi, qui savait faire dancer les CSL.

 

Avec une auto a la fois encombrante et tres puissante, etais tu un peu selectif pour les rallyes auxquels tu participais?

 

Bonne journee

Philippe.

 

 

Je n'étais pas pilote professionnel, je choisisais les épreuves en fonction de mes moyens et du temps libre dont je disposais. Nous avions une affaire familliale BMW et Fiat à Nancy, et comme pour mes parents la course passait en second lieu. Très tôt (19 ans), j'ai eu un accident ( 6 tonneaux par l'avant à la course de côte de Remiremont) . J'ai d'une part était écarté de la course pendant un an (gros traumatisme cranien) et les parents ont été refroidis ( on le serait à moins quand je vois comme je flippe pour mon fils maintenant) Ceci étant, c'était quand même bien lorsque j'ai enfin pu faire le championnat de France des Rallyes.

 

[patrice75]

Je n'étais pas pilote professionnel, je choisisais les épreuves en fonction de mes moyens et du temps libre dont je disposais. Nous avions une affaire familliale BMW et Fiat à Nancy, et comme pour mes parents la course passait en second lieu. Très tôt (19 ans), j'ai eu un accident ( 6 tonneaux par l'avant à la course de côte de Remiremont) . J'ai d'une part était écarté de la course pendant un an (gros traumatisme cranien) et les parents ont été refroidis ( on le serait à moins quand je vois comme je flippe pour mon fils maintenant) Ceci étant, c'était quand même bien lorsque j'ai enfin pu faire le championnat de France des Rallyes.

 

 

Bonjour ,

 

Six "soleils", l'attaque devait être à son paroxysme, par contre pour le gros traumanitisme crânien, c'est pas glop du tout ... Je connais aussi que je flippe quand je vois les jeunes de mon entourage faire les zazous (le plus souvent sur route ouverte )... A mon actif, j'ai une sortie de route carabinée, en course de côte (juste avant moi, un concurrent était sorti au même endroit avec une Opel Commodore GSE, finissant sa course sur le toit... Glisse des quatre roues, un talus et j'ai terminé sur les roues en faisant un tonneau de plus que la GSE et pas un bobo !!!... La Samba était un peu froissée ...). Je touche du bois, en espérant que la chance ne tourne pas, car pas plus tard que hier, je suis passé au travers d'un plafond de grange que nous démontions, le seul chevron qui a résisté m'a évité une belle chute ...

 

Une petite question pour nos champions :

 

_ Quelles sont les conditions climatiques que vous préfériez pour courir ?...

 

Bonne journée à tous...

 

Patrice

 

[J.L.C]

Bonjour ,

Une petite question pour nos champions :

_ Quelles sont les conditions climatiques que vous préfériez pour courir ?...

Bonne journée à tous...

Patrice

 

Sans hésitations: la pluie, le brouillard, les tempête de neige, (l'idéal étant le brouillard sur une chaussée bien glissante), bref toute les conditions difficiles qui me permettaient de compenser un peu le manque de puissance de mes Opel et de me rapprocher de la tête du classement scratch avec une groupe 1 ou 2

Ceci pour le résultat brut, maintenant pour le confort à la sortie de l'auto, en assistance ou pour le bronzage le soleil et le climat des épreuves du Sud Est étaient préférables.

 

 

[Invité §j2h206mT]

Je ne sais par pour Jean louis, mais je me doute car je me suis frotté contre lui dans le brouillard , en ce qui me concerne et notamment avec les petites autos, plus les conditions climatiques étaient difficiles, pluies et brouillard, plus c'était un plaisir extraordianaire et cela nous permettait de réaliser des performances impossibles dans des conditions normales face à la concurrence.

on pouvait compter en minutes les additions que l'on pouvait mettre aux autres moins a l'aise dans ces conditions. j'avais appris dans le brouilllard à conduire aux notes, on pouvait aller vite qu'en ligne droite, si j'avais dans mes notes 100 ou 200 m de distance entre deux virages ( relevé en reco) j'accélerais sans chercher à voir, je calculais mentalement le temps dans ma tête tout en passant des rapports supérieur (5 ou 6) c'était important parceque lorsque je décidais de ralentir( le subconscient te l'oblige) je rétrogradais sur un rapport plus haut, ce qui était important en sachant que de toute façon, on allait moins vite que par temps clair

[Invité §j2h206mT]

je me rappelle d'un conseil de Jean Claude Andruet, la nuit sur le routier, il fallait rouler en veilleuse pour habituer ta pupille à la nuit.

C'est vrai qu'au départ d'un spéciale avec cette méthode tu voyais mieux, il faut dire que l'efficacité des phares n'étaient pas les mêmes, réussir à rouler aussi vite de nuit que de jour était à l'époque un sacré challenge.

 

J2h

[ALBI]

La confiture de myrtilles pendant les jours qui précédaient le rallye

était conseillée également !!!

Alain

[Invité §Phi287Aj]

 

Une petite question pour nos champions :

 

_ Quelles sont les conditions climatiques que vous préfériez pour courir ?...

 

Bonne journée à tous...

 

Patrice[/quotemsg]

 

Patrice,

 

J'ai recement eu l'opportunite de poser une question similaire a Pentti Airikala. Ayant lu sur ce forum les exploits de JLC dans Burzet, j'avais demande a Pentti si il aimait conduire dans le brouillard. Voici sa reponse:

 

[]"I was one of first ones to use left foot braking probably.Meaning quicker reaction times.I hated fog but I was good at it.Apart of left foot braking advantage,I was using special yellow spectales like downhill races.I am still amazed that no body is using them in WRC.How stupid these modern WRC drivers are?"

 

 

__________________

leftfootbraking.com

brake to steer

where there is a shark, there is a finn[/]

 

[J'etais probablement l'un des premiers a freiner du pied gauche. Mes reflexes en etaient plus rapide. Je detestais le brouillard mais j'etais assez rapide dans ces conditions. Aussi, en plus du freinage du pied gauche j'avais un autre avantage, j'utilisais des lunettes avec des verres teintes jaunes. Comme les skieurs de descente. D'ailleurs je suis tres surpris que personne ne les utilise de nos jours en WRC.

Ces pilotes modernes sont vraiment stupides."]

 

 

 

 

 

[Invité §mar452pp]

Salut à tous,

 

Je rejoins la bande des anciens ... du moins je vais essayer car ils sont toujours devant les Jean Louis, Jean Hugues ...; celà continue mais on va s'accrocher.

 

A+

 

Marc Masquelet

[rosso racing]

Une petite question vue l'heure de tes posts Rosso ; tu dors quand ?

 

 

Pour répondre à ta question, je trouve que les journées sont trop courtes. Je dors quand je peux. Pour tout faire ce que j'ai envie, il me faudrait 2 vies.

Par contre, chaque jour, je ne peux m'empêcher de venir sur ce topic où l'ambiance est très convivial. Personne ne se prend la tête comme sur certains topics. Le respect est ici de rigueur. Peut-être que nous faisons partie d'une autre génération (avec peu de cheveux) .

Et puis, j'aime bien vos histoires de pilotes.

 

 

 

[berfarigoulette]

Ho! Ho! Marc Masquelet! Excellente recrue pour ce topic et j'espère que tu prendras plaisir à venir faire un tour aussi sur celui-ci

http://forum-auto.caradisiac.com/sqlf [...] 377530.htm

où on parle de Berlinette ex-usine. Bienvenue donc et dans l'attente de tes interventions.

Cordialement. Bernard.

[J.L.C]

je me rappelle d'un conseil de Jean Claude Andruet, la nuit sur le routier, il fallait rouler en veilleuse pour habituer ta pupille à la nuit.C'est vrai qu'au départ d'un spéciale avec cette méthode tu voyais mieux, il faut dire que l'efficacité des phares n'étaient pas les mêmes, réussir à rouler aussi vite de nuit que de jour était à l'époque un sacré challenge.

J2h

 

AH!! c'était donc ça

Je me souviens qu'en reconnaissance du Tour de Corse 1982 avec une Manta 400 j'avais failli me "manger" Jean Claude" et sa Ferrari qui parcourraient la spéciale en sens inverse en vieilleuse.

C'était passé au millimétre

Pourtant quand je lui en ai fait le reproche il m'a dit qu'il s'était mis en veilleuse pour "pas me géner"

25 ans après je comprends qu'il n'a pas voulu me dévoiler son secret pour habituer les pupilles à l'obscurité et être plus performant la nuit

Jan Hug es-tu sûr qu'il ne s'est pas moqué d'un jeune qui débutait en te donnant ce conseil?

[mondeotdci]

Bonsoir J-L,

 

En voyant ta kadett, je repense à celle que pilotait Alain Oreille et qui est venu rouler chez nous en Belgique,au Bianchi si ma mémoire ne me fait pas défaut!Elle était aussi étiquetée "Simon racing",ce qui voudrait dire qu'elle était préparée au même endroit que la tienne?Etaient-ce tes ateliers de préparations?

 

Ah si on pouvait aussi avoir un topic où les anciennes gloires belges viendraient nous parler,ce serait génial!!

Qui connais-tu comme anciens pilotes belges qui pourraient nous rejoindre?

 

Oli

[Invité §mar452pp]

Ho! Ho! Marc Masquelet! Excellente recrue pour ce topic et j'espère que tu prendras plaisir à venir faire un tour aussi sur celui-ci

http://forum-auto.caradisiac.com/sqlf [...] 377530.htm

où on parle de Berlinette ex-usine. Bienvenue donc et dans l'attente de tes interventions.

Cordialement. Bernard.

 

 

 

Mais certainement ... n'étant pas encore retraité et compte tenu des sujets divers et variés de ce forum, tous plus intéressants les uns que les autres, j'ai du pain sur la planche pour vous rattraper ...

[Invité §mar452pp]

AH!! c'était donc ça

Je me souviens qu'en reconnaissance du Tour de Corse 1982 avec une Manta 400 j'avais failli me "manger" Jean Claude" et sa Ferrari qui parcourrais la spéciale en sens inverse en vieilleuse.

C'était passé au millimétre

Pourtant quand je lui en ai fait le reproche il m'a dit qu'il s'était mis en veilleuse pour "pas me géner"

25 ans après je comprends qu'il n'a pas voulu me dévoiler son secret pour habituer les pupilles à l'obscurité et être plus performant la nuit

Jan Hug es-tu sûr qu'il ne s'est pas moqué d'un jeune qui débutait en te donnant ce conseil?

 

Jean Louis,

Je pencherai bien pour cette dernière interprétation ... bien dans la tradition de la bande à Cheinisse !!

[Invité §j2h206mT]

Ho! Ho! Marc Masquelet! Excellente recrue pour ce topic et j'espère que tu prendras plaisir à venir faire un tour aussi sur celui-ci

http://forum-auto.caradisiac.com/sqlf [...] 377530.htm

où on parle de Berlinette ex-usine. Bienvenue donc et dans l'attente de tes interventions.

Cordialement. Bernard.

 

bonjour Bernard,

 

Suite à ton message, j'ai visité ton forum sur les Alpines, c'est chaud au niveau des photos

ayant possédé une groupe 4, je te la fais parvenir

J2h

 

 

 

[Invité §j2h206mT]

Jean Louis,

Je pencherai bien pour cette dernière interprétation ... bien dans la tradition de la bande à Cheinisse !!

 

 

Vous avez détruit l'image de mon idole de l'époque

 

J2h

 

[toi]

Une petite question pour nos champions :

 

_ Quelles sont les conditions climatiques que vous préfériez pour courir ?...

 

Bonne journée à tous...

 

Patrice

 

 

Patrice,

 

J'ai recement eu l'opportunite de poser une question similaire a Pentti Airikala. Ayant lu sur ce forum les exploits de JLC dans Burzet, j'avais demande a Pentti si il aimait conduire dans le brouillard. Voici sa reponse:

 

[]"I was one of first ones to use left foot braking probably.Meaning quicker reaction times.I hated fog but I was good at it.Apart of left foot braking advantage,I was using special yellow spectales like downhill races.I am still amazed that no body is using them in WRC.How stupid these modern WRC drivers are?"

 

 

__________________

leftfootbraking.com

brake to steer

where there is a shark, there is a finn[/]

 

[J'etais probablement l'un des premiers a freiner du pied gauche. Mes reflexes en etaient plus rapide. Je detestais le brouillard mais j'etais assez rapide dans ces conditions. Aussi, en plus du freinage du pied gauche j'avais un autre avantage, j'utilisais des lunettes avec des verres teintes jaunes. Comme les skieurs de descente. D'ailleurs je suis tres surpris que personne ne les utilise de nos jours en WRC.

Ces pilotes modernes sont vraiment stupides."]

 

 

Bonjour à Pentti 1000 Lacs 1983 pour le shake down de l'époque

[J.L.C]

Bonsoir J-L,

En voyant ta kadett, je repense à celle que pilotait Alain Oreille et qui est venu rouler chez nous en Belgique,au Bianchi si ma mémoire ne me fait pas défaut!Elle était aussi étiquetée "Simon racing",ce qui voudrait dire qu'elle était préparée au même endroit que la tienne?Etaient-ce tes ateliers de préparations?

Ah si on pouvait aussi avoir un topic où les anciennes gloires belges viendraient nous parler,ce serait génial!!

Qui connais-tu comme anciens pilotes belges qui pourraient nous rejoindre?

Oli

 

 

Tour d'abord sois le bienvenu sur ce topic

C'est exact la Kadett d'Alain était préparée chez Simon de même que les miennes

J'étais assez pote avec le grand Guy Colsouls à qui j'avais loué un mulet et il passait parfois à Avignon nous dire bonjour

Il devrait t'être facile de trouver ses coordonnées (que je n'ai plus) et de l'inviter de notre part à nous rejoindre

Bien à toi

Jean Louis CLARR

[berfarigoulette]

bonjour Bernard,

 

Suite à ton message, j'ai visité ton forum sur les Alpines, c'est chaud au niveau des photos

ayant possédé une groupe 4, je te la fais parvenir

J2h

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/275438/alpine par est republicain.JPG

 

 

Bonsoir et merci J2H pour cette photo de Berlinette. Peux-tu me dire en quelle année et à quel rallye ça se situe?

Pourrais-tu me donner plus de renseignements sur cette Berlinette en MP? Merci encore .

[Invité §mir017pb]

les fous du volant,

 

Ce topic devrait un lieu de passage obligé pour tous ceux qui peuplaient les page d'Echappement dans les belles années.

 

Question à Jan-Hug : A part Remiremont, avez-vous participé à d'autres courses de côtes de la ligue Alsace-Lorraine ?

[patrice75]

Patrice,

 

J'ai recement eu l'opportunite de poser une question similaire a Pentti Airikala. Ayant lu sur ce forum les exploits de JLC dans Burzet, j'avais demande a Pentti si il aimait conduire dans le brouillard. Voici sa reponse:

 

[]"I was one of first ones to use left foot braking probably.Meaning quicker reaction times.I hated fog but I was good at it.Apart of left foot braking advantage,I was using special yellow spectales like downhill races.I am still amazed that no body is using them in WRC.How stupid these modern WRC drivers are?"

 

 

__________________

leftfootbraking.com

brake to steer

where there is a shark, there is a finn[/]

 

[J'etais probablement l'un des premiers a freiner du pied gauche. Mes reflexes en etaient plus rapide. Je detestais le brouillard mais j'etais assez rapide dans ces conditions. Aussi, en plus du freinage du pied gauche j'avais un autre avantage, j'utilisais des lunettes avec des verres teintes jaunes. Comme les skieurs de descente. D'ailleurs je suis tres surpris que personne ne les utilise de nos jours en WRC.

Ces pilotes modernes sont vraiment stupides."]

 

 

Bonjour à Pentti 1000 Lacs 1983 pour le shake down de l'époque

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/234692/Airikkala portrait.JPG

 

 

Bonsoir TOi,

 

La technique du freinage du pied gauche vient de scandinavie, mais dans la France profonde nous, du moins j'utilisais et j'utilise encore cette technique (de préférence sur la neige)... C'est un ancien qui m'a appris cette astuce pour faire pivoter sa caisse en rentrant fort dans un virage, l'avantage étant de garder son accélération et ne pas perdre de temps en débrayant ... l'ami en question courait avec une mini 1275 GT et j'avais remarqué qu'il faisait tourner son auto aux "petits oignons" donc la curiosité étant un bon défaut, je lui ai demandé sa recette... Il a rigolé et m'a rétorqué que l'utilisation unique de moins pied gauche sur la pédale la plus à gauche était valable qu'en auto-école (il passait aussi les rapports à la volée, une habitude venant de sa première auto, une DAF variomatic, c'était notre Claude Laurent local...) ... puis nous passâmes à la pratique sur neige (mon dosage n'était pas terrible au début, mais c'est en forgeant que l'on devient forgeron surtout quand on n'a pas la classe d'un J.L.C ou d'un Sébastien Loeb ...)

 

@+++

 

Patrice

[Invité §j2h206mT]

les fous du volant,

 

Ce topic devrait un lieu de passage obligé pour tous ceux qui peuplaient les page d'Echappement dans les belles années.

 

Question à Jan-Hug : A part Remiremont, avez-vous participé à d'autres courses de côtes de la ligue Alsace-Lorraine ?

 

 

Bonjour Miragex,

 

Je vois que nous habitons pas trop loin l'un de l'autre, enfin un nordiste pour me soutenir.

Plus sérieusement, j'ai commencé par des courses de côtes avec une formule france que j'ai détruite la première course au Ballon d'Alsace ainsi qu'une Marcadier le lendemain. Ensuite j'ai fait le championnat de france sur une Bmw avec Aimé Dirand.1972

A la fin de l'année, j'ai été convoqué par Echappement pour des essais au Paul Ricard avec l'Ecurie Filipinetti sur des Fiat 128 coupé préparé par Mike Parkes. Nous étions une vingtaine pour 2 volants!

Au deuxième tour, je suis resté à fond dans le virage des Signes, le pilote officiel que était à côté de moi a eu si peur qu'il m'a arrêté.

2 heures plus tard après que tout le monde ai fait son essai, j'ai été choisis a ma grande surprise.

Pour l'anecdote, l'écurie engageait également des formules 3 et l'un des pilotes était Jean Ragnotti.

On a été vite copain, puisque nous étions les seuls à ne pas sortir de la filière circuit;

J'ai même eu droit en rentrant à l'hôtel tous les deux, à un tête à queue au frein à main rangé en marche arrière entre deux caisses.

Peut être que Jean Louis va dire que c'était encore de l'intox pour un jeune pilote,mais en tout cas chapeau le JEANNOT.

A Magny Cours, ça un peu chauffé sur la piste,et bin c'est encore le Jean que est venu à ma rescousse.

Je suis toujours en contact avec lui,puisqu'il a de la famille sur Nancy, il doit prochainement faire un tour de Kart chez nous.

A ce sujet pour ce détendre nous avons un autre pilote de haut vol qui vient sur nos pistes.

 

Seb LOB, et il vient pas pour rigoler

 

J2h

[Invité §j2h206mT]

Bonsoir et merci J2H pour cette photo de Berlinette. Peux-tu me dire en quelle année et à quel rallye ça se situe?

Pourrais-tu me donner plus de renseignements sur cette Berlinette en MP? Merci encore .

 

 

je vais faire les recherches demain, tout ce que je peux te dure c'est que cette voiture existe toujours dans la région de Nice, son propriétaire m'a écris il ya quelques temps pour me poser des questions.

 

La porsche 911 3l également a été rachété sur la région parisienne, avec le coupé BMW 30 csl qui est dans les vosges et quelque Fiat que notre ami Rooso suit de très près, c'est cool de voir ses voitures aux 4 coins de la France et outre mer apparament.

 

C'est dommage que je ne l'ai pas gardé, mais mon métier de garagiste m'en empêchait ( trop de stock)

a ce jour j'aimerai bien retrouvé une bonne M3

 

J2h

 

[Invité §fra820Oa]

Pour répondre à ta question, je trouve que les journées sont trop courtes. Je dors quand je peux. Pour tout faire ce que j'ai envie, il me faudrait 2 vies.

Par contre, chaque jour, je ne peux m'empêcher de venir sur ce topic où l'ambiance est très convivial. Personne ne se prend la tête comme sur certains topics. Le respect est ici de rigueur. Peut-être que nous faisons partie d'une autre génération (avec peu de cheveux) .

Et puis, j'aime bien vos histoires de pilotes.

 

 

'oir !

De QUOI ?

Parles pour TOI , non mais ! . ( Evite de me demander une photo , je n'ai toujours pas de scan ! ) .

 

Ciâo ! Francis .

.

 

[J.L.C]

Bonjour Miragex,

 

Pour l'anecdote, l'écurie engageait également des formules 3 et l'un des pilotes était Jean Ragnotti.

On a été vite copain, puisque nous étions les seuls à ne pas sortir de la filière circuit;

J'ai même eu droit en rentrant à l'hôtel tous les deux, à un tête à queue au frein à main rangé en marche arrière entre deux caisses.

Peut être que Jean Louis va dire que c'était encore de l'intox pour un jeune pilote,mais en tout cas chapeau le JEANNOT.

J2h

 

Non là je suis d'accord avec toi Jan Hug puisque Jeannot m'a fait la même démonstration fin 70 après la remise du Trophée Opel pour se garer, en plein Paris, près du restau où nous allions diner.

Jean Louis

[patrice75]

Non là je suis d'accord avec toi Jan Hug puisque Jeannot m'a fait la même démonstration fin 70 après la remise du Trophée Opel pour se garer, en plein Paris, près du restau où nous allions diner.

Jean Louis

 

 

Dans les années 2000, le "négociant en virages" gare toujours ses autos de cette manière

 

http://c405.free.fr/Jeannot/Jean.wmv

 

@+++

 

Patrice

 

 

[Invité §Eri257mz]

Dans les années 2000, le "négociant en virages" gare toujours ses autos de cette manière

 

http://c405.free.fr/Jeannot/Jean.wmv

 

@+++

 

Patrice

 

 

Bravo Patrice,

Tu m'as devancé... il y a 1 bonne demi heure que je cherche ce clip dans ma bécane.

Belle maitrise le Jeannot

 

Eric M

 

.

 

[Invité §Phi287Aj]

Bonjour a tous,

 

Une petite visite sur ce forum en guise de pause cafe et surtout pour se de-stresser

 

Une question a nos champions comme dirait Patrice 75, si vous en aviez la possibilite, quel aspect des rallyes modernes changeriez vous et pourquoi?

 

Philippe.

[Invité §le 866iD]

Bonjour à tous,

 

Histoire de quitter la route pour la piste et la rocaille, je vais vous relater mon Rallye du Maroc 1973: Equipage Le Tahitien Jean Poirot sur Renault 12 Gordini "Usine":

 

L’engagement au volant d’une Renault 12 Gordini « Usine » ayant terminé 3e au Rallye de Suède avec Jean Luc Thérier est consécutive à la 4e place obtenue en 1972 avec un Renault 16 G 2 et au titre de Champion du Maroc des rallyes.

 

Le projet est engagé avec Jacques de Boulois avec qui j’ai fait le rallye en 1972, en fait ce projet n’a pas pu être porté à son terme et en définitif c’est avec Jean Poirot que je décide de partir, car outre le rallye du Maroc nous montons un projet pour plusieurs rallyes au Maroc et en Espagne avec une Alpine 1600S G 4.

Le budget est réuni avec l’aide de Renault Maroc et de 14 concessionnaires Renault ainsi que quelques sponsors, Elf Afriquia, Ferodo, Cibié, Bouchardon outillages, Sofac crédit et vins Doumi, qui me soutiennent régulièrement.

 

Il faut commencer les reconnaissances, Jean qui est architecte à Alger ne peut pas se libérer pour les reconnaissances et c’est avec plusieurs copains que nous les effectuons, essentiellement avec une Renault 12 break, une petite anecdote sur la piste de Missour Meski qui est réputée pour ses « têtes de chat », des rochers qui affleurent la piste et sont terriblement destructeurs de suspension, au bout d’une centaines de km on perd littéralement l’essieu arrière, constat des dégâts, les deux supports de tirants et le tuyau de frein sont arrachés, un amortisseur cassé et quelques dégâts sous la caisse et la carrosserie, à l’aide du cric et avec du fil de fer et de la corde nous effectuons une réparation de fortune dont on constate rapidement les limites, le véhicule se tortille sur la piste et il n’y a plus de freins, enfin il faut bien rentrer à 10 km/h, fini les reconnaissances… au bout de quelques km nous arrivons sur un départ de piste très visible mais sur un cap éloigné du parcours de la spéciale, après hésitation nous la prenons espérant trouver un douar pour améliorer notre réparation, à une dizaine de kilomètres nous tombons sur un chantier de prospection tenu par des Français de chez Total, en fait c’est un véritable village en plein désert, avec garage, soudure et tout l’outillage pour réparer, le responsable du chantier nous accueille chaleureusement et avant de travailler sur la voiture il nous invite a nous rafraîchir dans des bungalows climatisés, en pleine zone désertique cela nous impressionne. Après les hommes, la voiture, agréable surprise, un des mécaniciens n’avait pas attendu que l’on revienne et les travaux étaient déjà bien engagés, une heure après nous repartions avec une Renault 12 quasiment neuve. Le reste des reconnaissances s’est déroulé sans problème particulier.

 

De retour de la dernière reconnaissance, j’espère pouvoir trouver la voiture de compétition, malheureusement les formalités ont retardés la sortie du port et ce n’est que la veille de la mise en parc fermé que nous pourrons procéder au stikage des sponsors et aux aménagements personnels, casques, interphones, trip-master, outillage…Le lendemain matin prise en main de la R12G sur la route de Rabat, premières impressions, le moteur pousse fort (160 cv) et la direction est terriblement dure à cause de l’autobloquant, cela se vérifiera tout au long du rallye, il faut des « biscotos » pour piloter l’engin.

 

Le contrôle technique et la mise en parc fermé se passent sans encombre, le reste de la journée est bien rempli a finaliser les détails sur les notes et notre assistance carburant …

 

 

Parc fermé Casablanca

 

 

 

Parc de départ Rabat

 

 

Carte du Rallye

 

Le début de la compétition:

 

La « concurrence » est du meilleur niveau, en effet ce n’est pas moins de 20 pilotes professionnels au volant de voitures d’usines et une dizaine d’excellents pilotes privés ayant l’expérience du Rallye du Maroc.

 

 

 

 

Neyret, Metha, Mikkola et les autres Darniche, Nicolas, Waldegaard, Thérier, Deschaseaux, Trautman, Consten, Piot, Aaltonen, Guichet, Fall, Laurent, Makinen ...

 

Première étape Rabat - Fez 901 km dont 200 km de spéciales:

 

[b]ESC 1 Khatouat: 95 km de piste assez bonne, moyenne Darniche 86 km/h, le rythme est bon, on double la DS 21 de Kebtane et la Porsche d’Alteinmener, l’arrivée est en vue, encore un bon km et nous tenons un très bon temps… le moteur hoquette, c’est la panne (d’essence), comme cela monte légèrement la R12G s’arrête, on descend et on pousse, bilan 5 a 6 minutes de perdues et une grosse suée. Diagnostic, le bouchon est absent et l’essence s’est répandue tout au long de la spéciale ? Comme je n’avais pas mis trop d’essence avec l’intention de faire « péter » un temps dans la première spéciale que j’avais soigneusement reconnu, ce qui est pris est pris. Bilan 24 éme pour le numéro 24. Après avoir (bien) remis un bouchon prélevé sur le véhicule d’un spectateur, nous repartons un peu déçu… mais le rallye est long.[/b]..

 

 

 

ESC 2 Col du Zégota : 30 km de goudron très rapide, moyenne Darniche 127 km/h, 16 éme temps, alors que la R12G n’est pas spécialement à l’aise sur le goudron surtout avec des pneus terre, Nora Michelin, la plupart des pilotes professionnels utilisant des racings.

 

ESC3 Khetama : 40 km de goudron, montées et descentes, moyenne Darniche 109 km/h, 17 éme temps.

 

ESC4 Souk el Had : 30 km de goudron, assez rapide, moyenne Darniche 115 km/h, 16 éme temps.

 

2e étape FEZ - MARRAKECH 1018 km dont 380 km de spéciales:

 

ESC 5 Missour Meski : 175 km de piste assez cassante, voir chapitre reco, moyenne Darniche 85 km/h, 16 éme temps.

 

 

 

ESC6 Rich Tizi’n Isly : 205 km de piste lente radiers, oueds et virages se succèdent, moyenne Thérier 71 km/h, 16éme temps. Nous sommes 15 éme au scratch, 1er équipage « indépendant », je suis satisfait du classement, la R12G marche bien, je m’habitue à l’autobloquant et Jean est parfait dans les notes. Lorsqu’on arrive à Marrakech, au garage Renault du Guéliz ou se trouve l’équipe Alpine, nous retrouvons notre statut d’indépendant, l’ensemble des mécanos sont occupés sur les Berlinettes et la R12G de Piot, tout y passe, Fusées, arbres de roues, amortisseurs, freins, pneus, filtres… le temps passe, il faut attendre que tout soit terminé pour que 2 mécanos se penchent sur notre R12G, malgré leur bonne volonté et leur dextérité, le chrono tourne et nous prendrons 9 minutes de pénalité en rentrant au parc fermé, nous sommes un peu grognon d’autant que dans l’affolement à redescendre le pont élévateur, Jean se fait coincer le pied, on craindra une fracture tellement la douleur est vive, il finira bandé et sans chaussure.

 

 

 

Assistance volante a la sortie de Missour

 

 

Attente pour l'assistance a Marrakech

 

 

Alpine Thérier à l'assistance

 

 

Darniche assistance

 

 

Darniche et Thérier qui discutent sur les déformations de la berlinette?

 

 

3e étape Marrakech-Marrakech 915 km dont 379 km de spéciales:

 

Le lendemain on attaque l’ESC 7 col du Tizi’n Test : 87 km de goudron et piste pour moitié, montagne avec le précipice à droite sans muret, l’année dernière je suis sorti de la piste avec la R16, la roue avant droite était dans le vide et quand jacques est sorti du véhicule il n’avait pas pied !!! Grosse chaleur, il a fallu faire un tas de pierres pour pouvoir reculer, c’est dans cette spéciale que Jean François PIOT se tuera au volant d’un Land Rover, moyenne Thérier 86 km/h, 14 éme temps, on regagne une place au scratch.

 

 

 

ESC 8 Irherm Tata Foum Zguid : 200 km de piste très piégeuse avec beaucoup de ravines et oueds masqués, Piot qui était 2 éme au scratch abandonne, sur rupture du « triangle » supérieur, les ressorts avants s’avèrent trop souples et la suspension talonne sur les nombreux sauts, un petit arrêt pour s’enquérir d’un aide possible, rien à faire, l’année dernière nous avions dépanné Anderson qui avait percé son radiateur d’Alpine, cela avait été apprécié en « haut lieu », je repars avec la « photo » du train avant dans la tête en essayant d’imaginer celui de notre R12G ? moyenne Deschaseaux 67 km/h, 9 éme temps et par la même occasion la 9 éme place au général. A la sortie de Tata, une longue ligne droite de plusieurs kilomètres avec des « sommets » qui passent à fond de 5 éme, 160 km/h sauf un …qui se termine par un gauche à 50 km/h maxi dans le radier et là, surréaliste, la Datsun 240Z rouge complètement détruite, avec Metha et Philips assis sur l’énorme rocher qu’ils viennent de percuter après avoir tiré tout droit.

 

 

Les restes de la 240Z a la sortie de Tata

 

 

Trophée de"chasse" ? "

 

ESC 9 Tazenakht : 92 km de bonne piste rapide, moyenne Nicolas 116 km/h, 6 éme temps.

 

 

4e étape Marrakech-Casablanca 1359 km dont 256 km de spéciales

 

ESC 10 Col Tizi’n Tichka : 20 km de goudron de montagne avec route large, moyenne Thérier 116 km/h, 6 éme temps.

 

 

ESC 11 Zagora Rissani : 236 km de pistes avec de nombreux oueds et ravines, moyenne Deschazeaux 86 km/h, compte tenu de l’état du train avant dont les cotés d'auvent commence à se décoller et l’indisponibilité de l’assistance pour souder des renforts, je lève le pied, 10 éme temps, après la spéciale je constate que les fissures s’élargissent et il est convenu avec Alpine que les renforts seront fait à Midelt, en attendant, il faut "avaler" 250 km de goudron avec un bon rythme pour se ménager le temps nécessaire à l’opération. Tout au long du parcours les spectateurs sont canalisés par la police, les gendarmes et les militaires, en traversant Errachidia, jour de souk, la foule est nombreuse et alors qu’un policier nous incite a passer le plus vite possible, un taxi collectif, débouche d’une ruelle entre les spectateurs, malgré un freinage d’urgence, le choc est inévitable, heureusement sans blessé, pendant que le policier et le chauffeur s’expliquent, je fais le bilan, avant enfoncé, radiateur percé et plus de phares. Nous repartons vers Midelt le moral dans les chaussettes, nous sommes dans une région montagneuse et dès les premières montées la température du moteur dépasse les 120°, il faut remettre de l’eau que nous trouverons sur le bord de la route, il faudra renouveler l’opération à plusieurs reprises, à chaque fois que je remets de l’eau froide, un nuage de vapeur et de sinistres tac-tac me donnent l’impression que le moteur va éclater.

 

A notre arrivée à Midelt, deux bonnes nouvelles, le moteur a tenu le coup et l’assistance a un radiateur neuf , une mauvaise, ils n’auront pas le temps de faire des renforts sur la carrosserie.

Il n’y a plus de spéciale à faire, par contre il reste un secteur assez difficile entre Midelt et El Ksiba en passant par le Jaffar, le tout de nuit. Le temps imparti pour faire les 300 km de piste est serré et il va falloir rouler comme en spéciale, plusieurs équipages prendront des pénalités, la piste du cirque de Jaffar est étroite, sinueuse et le ravin à droite impressionnant, de nombreux éboulements constituent des « jumps » qui sont destructeurs pour la R12G. plus nous progressons, plus le capot moteur semble se lever, en fait la chapelle d’amortisseur droite est en train de se désolidariser du coté d’auvent. Alors que la partie la plus difficile se termine, un gros bruit , le capot est projeté en avant et la R12G s’arrête en traînant sur la piste. Constat, le ressort droit a disparu laissant un trou béant. Pas de panique, il faut retrouver le ressort qui est à une quinzaine de mètre. Après plusieurs tentatives nous fixons le tout avec le câble du tire-fort arrimé a l’arceau de sécurité. Pour soulager la suspension Jean s’installe dans le coffre avec les pompes a essence… La conduite est particulièrement délicate dans la quasi obscurité, les phares sont cassés ou déréglés, chaque fois que je tourne à droite le véhicule accentue le mouvement et embarque dangereusement. Il faut se cramponner au volant et j’ai eu de nombreuses frayeurs. Tout occupé à rester sur la piste j’oublie Jean qui est dans le coffre…

 

Nous arrivons au contrôle horaire, avec seulement 6 minutes de pénalité. Alors que je sors de la R12G complètement usé et hagard, je me dirige vers Jean qui est dans le coffre depuis une centaine de kilomètres, le capot s’est refermé... depuis combien de temps ? j’ouvre et j’ai du mal a distinguer la silhouette de Jean tellement il y a de la poussière , il est prostré a moitié groggy, nous le sortons avec l’aide des commissaires et il faudra plusieurs minutes pour qu’il retrouve ses esprits et nous raconte son « calvaire », quelques kilomètres après être repartis, le capot s’est refermé, il a cru y rester, entre la poussière et les odeurs d’essence. Il a bien crié et tapé dans la cloison mais tout cela a été couvert par tous les bruits du véhicule.

 

A cet instant nous sommes toujours 8 ou 9 éme au scratch. Il reste une trentaine de kilomètres de goudron difficiles, montées, descentes et épingles a gogo, la nuit est avancée, la fatigue nous mine, j’évite a plusieurs reprises la sortie de route.

A l’approche d’El-Ksiba le câble casse et la R12G s’arrête en traînant sur la route. Après plusieurs essais pour la remettre sur les roues, le physique et le moral sont atteints, on jette l’éponge, pour nous le Rallye se termine là, dommage il restait seulement 220 km de bonne route pour rentrer a Casablanca.

 

 

La conséquence de notre abandon

 

 

Bis répétita, vue de droite

 

Le lendemain, la pression étant retombée et l’esprit un peu plus clair, nous bricolons une réparation de fortune qui nous ramènera à Casablanca.

 

Le rallye a été gagné par Darniche et Mahé et Alpine a fait un pas décisif vers le titre de Champion du Monde des Rallyes.

 

L’expérience au volant d’un véhicule d’usine est fabuleuse… mais il faut savoir rester a sa place d’indépendant, à ce propos j’aurais d’ailleurs quelques anecdotes sur le rallye 1974 avec la berlinette "usine", mais ceci est une autre histoire…

 

Après la cérémonie de la remise des prix, Monsieur De Lamarzelle, Directeur de Renault Maroc, nous conviera a un méchoui avec toute l’équipe Alpine.

De sacrés souvenirs. Salut à tous.

 

Le Tahitien & Jean Poirot N°24

[12du88]

[:sp69:4] [:christophe431:3]

[J.L.C]

Sois le bienvenu Le Tahitien

Quel reportage !!!

Digne d'un journaliste professionnel

En plus le décor de tes exploits nous change de celui des épreuves que nous faisions ici

Bravo

Jean Louis CLARR

[Invité §lau415VC]

BRAVO!!!! MAGNIFIQUE!!!!

[Invité §Phi287Aj]

Excellent, Le Tahitien.

Un recit vecu, de qualite et illustre avec des photos inedites ou que j'avais vu disseminees sur d'autres sujet. Parfait. On en redemande!

 

Philippe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[J.L.C]

Bonjour a tous,

 

Une petite visite sur ce forum en guise de pause cafe et surtout pour se de-stresser

 

Une question a nos champions comme dirait Patrice 75, si vous en aviez la possibilite, quel aspect des rallyes modernes changeriez vous et pourquoi?

 

Philippe.

 

D'abord abaisser les coûts et rendre les autos plus spectaculaires même si c'est au détriment du chrono

Donc revenir à l'esprit d'il y a quelques années en privilégiant le spectacle pour les fans et en remettant le public en contact direct avec tous les aspects du rallye (reconnaissances, assistances, épreuves spéciales, contrôles horaires etc)

Ne plus faire du rallye des sprints de quelques dizaines de kilomètres mais favoriser les épreuves longues où la notion d'endurance prendrait tout sons sens et où les qualités d'improvisation redeviendraient à l'honneur

Vous l'avez compris si j'en avais la possibilité j'orienterais les rallyes vers les versions que j'ai connu il y a maintenant une trentaine d'années

 

[Invité §mir017pb]

Bonjour Miragex,

 

Je vois que nous habitons pas trop loin l'un de l'autre, enfin un nordiste pour me soutenir.

Plus sérieusement, j'ai commencé par des courses de côtes avec une formule france que j'ai détruite la première course au Ballon d'Alsace ainsi qu'une Marcadier le lendemain. Ensuite j'ai fait le championnat de france sur une Bmw avec Aimé Dirand.1972

J2h

 

 

les limeurs de bitûme,

 

Un grand merci à Jan-Hug pour sa longue réponse malgré son emploi du temps chargé....

 

J'ai encore plein d'autres questions dans mon escarcelle, ça risque de durer un boût de temps mais le topic est là pour ça.

 

J'ai été un lecteur assidu d'Echappement dans les années 80 à la grande époque des Pagani, Barbaza et autre Lamorlette. C'était la période Ritmo pour j2h... Par la suite, j'ai découvert Compte-tours et j2h qui luttait contre Delage en BMW M3...

 

Aujourd'hui je rêve de retrouver les mêmes journalistes commentant les exploits de JLC et j2h....en VHC.

 

Question à Jan-Hug : la course, c'est fini où ça démange toujours ?