flyinngpat 16 décembre 2013 Signaler Partager 16 décembre 2013 Belle et triste découverte à la fois ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Lackerli 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 Un petit sujet sur les E-Series pourrait être sympa non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
franck9595 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 restes certainement de la guerre russo-suomi, les lacs étaient gelées à l'époque (entre parenthèse, c'est là que les russes auront en face d'eux le meilleur sniper de tout les temps) C'est bien celui qui tirait sans lunette et mangeait de la neige pour éviter de de faire repérer il me semble Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
zygomard 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 C'est bien celui qui tirait sans lunette et mangeait de la neige pour éviter de de faire repérer il me semble oui, je vais essayer de retrouver son portrait car cela vaut le coup d'être lu Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hansi68730 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 oui, je vais essayer de retrouver son portrait car cela vaut le coup d'être lu Oui oui bien lui. Un peu de lecture? Çà vaut le coup... http://www.abstrait-concret.com/2010/02/22/simo-hayha-le-sniper-finlandais-qui-tua-plus-de-700-hommes-en-trois-mois/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
zygomard 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 oui, c'est lui, incroyable ce type et quel courage Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 17 décembre 2013 Auteur Signaler Partager 17 décembre 2013 (modifié) AUTOMITRAILLEUSE "WHITE-LAFFLY" : De la Der des Ders à la débâcle, et parfois même jusqu'à la victoire ! C'est en juillet 1917 qu'est prise la décision de se doter d'une automitrailleuse moderne afin de remplacer les diverses "auto-blindées" d'origine Peugeot ou Charron qui n'étaient souvent que des bricolages d'urgences, inaptes à la circulation en dehors des routes pavées et dépourvues de tourelle. L'armée Française se porte alors acquéreur de châssis motorisés Américains White TBC qui seront équipés d'une caisse blindée Française issue des ateliers Ségur-Lorfeuvre. Les accès, avec une porte de chaque côté, étaient aisés. L'engin est impressionnant pour son époque, doté d'une tourelle à rotation manuelle sur 360° renfermant un canon de 37 mm SA18 approvisionné à 200 obus et une mitrailleuse Hotchkiss de 8 mm tirant à l'opposé de la pièce principale (une en chasse et l'autre en fuite suivant la rotation de la tourelle) avec 6 000 cartouches. Le moteur US 4 cylindres de 3 390 cm3 développe 35 ch et permet à cet engin de 5,7 tonnes de rouler sur route à 40 km/h. La boite de vitesses est mécanique à 4 rapports avant et un arrière avec inverseur de marche. On pose fièrement avec son automitrailleuse dans l'immédiat après-guerre. Pour ne pas grèver des performances assez faibles le blindage en acier laminé ne dépasse pas 8mm, c'est juste suffisant pour arrêter les projectiles de petits calibres et les éclats d'obus. L'équipage est de 4 hommes : Pilote, copilote en position inversée, chef d'engin et tireur (tous deux en tourelle). Ce véhicule mesure 5,40 m de long, 2,30 m de large et 2,60 m de haut. La transmission est assurée uniquement sur le train arrière jumelé, les roues à rayons étant encore à cette époque garnies de bandages pleins Ducasble. Inutile de préciser que ses "performances" en tout-terrain sont quasi-nulles et que le champ d'action de ce véhicule se limite aux bonnes routes, or elles sont rares du côté de Verdun ou des Vosges après trois ans de combats... De toutes façon des problèmes de cadences de production feront qu'aucune de ces automitrailleuses ne sera vraiment déployée sur le front avant l'armistice de novembre 1918, les premiers exemplaires n'arrivant en unité que début octobre. On pense qu'environ 215 White TBC seront construits au total. L'après-guerre les trouve disponibles, et ce avec un stock de pièces détachées plutôt conséquent d'ailleurs... On décide alors de les muter dans les unités de Cavalerie, ces dernières se doivent d'entrer désormais dans le XXème siècle et il n'est plus pensable pour elles de continuer avec des unités équestres, ce d'autant que le conflit qui vient juste de se terminer a montré que la plus noble conquête de l'homme n'a plus sa place sur les champs de bataille bouleversés par les duels d'artillerie. Or l'automitrailleuse White n'est peut-être pas la plus indiquée pour circuler dans de tels bourbiers ! Qu'à cela ne tienne, de toute façon ces engins sont disponibles et les budgets pour de nouveaux matériels plus adaptés inexistants... La Cavalerie devra donc "faire avec" ! Mieux que le cheval, mais bon... Dans les années 20, les unités de Cavalerie Françaises sont encore "mi-cambouis, mi-picotin", c'est dire le retard accumulé durant cette période ! La seule concession au modernisme se limitera en 1922 à la pose de jantes en acier à voile plein équipées de pneumatiques. Avec la "Coloniale"... Cette situation durera jusqu'à la fin des années 20, période où les pièces détachées d'origine US commencent à manquer. Comme les crédits alloués ne sont toujours guère brillants et les caisses blindées encore en excellent état il est décidé de moderniser les White TBC en profondeur. La firme française Laffly (très connue pour ses véhicules d'incendie) est mandatée pour effectuer les travaux nécessaires concernant cette remise à niveau. Le châssis américain à bout de souffle est déposé et remplacé par un châssis LC2 Laffly et un moteur de même marque à 4 cylindres de 3308cm3 développant cette fois-ci la puissance de 50 ch à 2 400Trs. Les performances font "un bond" en dépassant la vitesse de 65 km/h en pointe... Malgré un poids qui augmente d'une demi-tonne l'autonomie reste intéressante avec un réservoir de 120 litres qui permet de couvrir environ 300 km. L'armement reste le même avec le canon SA18 approvisionné à 164 coups (92 explosifs et 72 perforants) et une mitrailleuse opposée Hotchkiss modèle 1914 garnie de 2 880 projectiles. Reconstruits à 96 exemplaires à partir du début 1932 (faute de budget les autres restent au standard d'origine et sont expédiés en majorité dès 1933 dans notre empire colonial) ces véhicules sont rebaptisés Laffly 50 AM et garnissent les unités de reconnaissances qui les acceptent de manière "provisoire" en attendant des véhicules plus modernes et de préférence à chenilles. Un engin dont la définition aurait pu être "faute de mieux". Il faut noter que les capacités de franchissement des Laffly (improprement appelés par la troupe "White-Laffly" bien que plus rien d'américain n'y subsiste...) sont mauvaises en terrains variés : -Pente de 50% -Obstacle vertical de 0,25 m (une marche de trottoir quoi...) -Coupure humide de 0,60 m -Tranchée ouverte de... 0,40 m ! (moi j'appelle ça un caniveau, pas une tranchée ! ) Quand à la motricité en terrain gras, c'est toujours une catastrophe... Ici la trappe du second conducteur est ouverte, il permet à l'engin de partir aussi vite en arrière qu'en avant, sans faire demi-tour. Fin novembre 1932 Laffly est de nouveau approché et pense pouvoir remettre encore à niveau des engins en les transformant en Automitrailleuses de Découverte. Clairement cela indique que de tels blindés devront se livrer à des missions de reconnaissance en profondeur dans le dispositif ennemi (au minimum 100km !) afin de revenir et de rendre compte à l'Etat-Major. Il est imposé d'avoir sur de tels véhicules une autonomie d'au moins 400 km, une vitesse de pointe de 70 km/h et un armement composé d'un canon de 20 mm et d'une mitrailleuse de 7,5 mm. Pour couronner le tout un poste de radio ER26 doit être présent à bord, un second poste de conduite avec inverseur de marche installé à l'arrière pour l'esquive et un blindage qui doit être d'une épaisseur minimale de 8mm. Inutile de vous dire que la version 50 AM est très loin d'approcher ce standard... "Mirabelle appelle Eglantine !" On en sourit mais les moyens radios des engins français étaient encore balbutiants en 1940... La portée utile des postes ne dépassait que rarement quelques kilomètres ! C'est donc une nouvelle "modernisation" qui va concerner cet engin avec la version 80 AM : -Nouvelle caisse blindée fournie par les Ateliers de Construction de Vincennes (épaisseur du blindage de 20mm dans l'arc avant et 12mm en latéral ainsi que pour la tourelle) d'où l'appellation officieuse de Laffly-Vincennes. -Moteur 4 cylindres de 5 026 cm3 fournissant 80 ch à 2 200Trs permettant une vitesse de pointe de 75 km/h sur route et 40 en tout-terrain. Laffly 80 AM, dérivé le plus moderne de l'antique White TBC de 1918 ! La monte pneumatique (des enveloppes renforcées) en simple à l'arrière permet de reconnaître l'engin par rapport aux autres versions, de plus la tourelle est plus petite et cette fois-ci équipée d'une mitrailleuse lourde Hotchkiss de 13,2 mm approvisionnée à 1 690 coups et d'un fusil-mitrailleur 24/29 de 7,5 mm approvisionné à 2 100 coups. Le poids bondit à 7,5 tonnes, empêchant le véhicule de grimper une pente supérieure à 40%. 28 exemplaires seulement seront fournis à notre armée à partir de 1935 qui, vite déclarés dépassés, iront équiper nos forces présentes en Afrique du Nord. Ils se battront contre les alliées débarqués en novembre 1942 puis sous les couleurs de l'armée d'Afrique en 1943. A priori aucune 80 AM ne reviendra en métropole après-guerre, les derniers engins "survivants" étaient encore dans les effectifs en 1945 avant d'être ferraillés. Comme dit précédemment les 50 AM, qui n'entraient plus dans le moindre schéma de modernisation, seront expédiés en masse dans nos colonies et même jusqu'à notre comptoir Chinois de Shanghaï. Au 10 mai 1940, jour de l'offensive allemande, 32 se trouvent en Algérie, 10 en Indochine, 12 au Liban et au moins une quinzaine encore en métropole... Ces dernières, lancées dans la Bataille de France à corps perdu, ne s'y distingueront pas vraiment ! Et je passe un voile pudique sur les versions initiales White TBC encore présentes à une trentaine d'exemplaires dans les compagnies d'instruction et qui seront jetées en vrac dans la fournaise. Peut-être bien une White TBC (il me semble à la forme des pneumatiques...) immobilisée durant le désastre de la campagne de 1940. Epave calcinée sur la N376, donc entre Juvigny (77) et Pont sur Yonne (89). Les allemands récupéreront très provisoirement quelques engins encore en état de marche pour l'instruction de leurs futurs pilotes de chars. Une poignée de White TBC ont encore été signalés sous les couleurs des forces Françaises de Vichy au Liban et en Syrie fin 1941, les ultimes 50 AM seront réformés au Maroc en 1943, remplacés par des engins américains infiniment plus modernes. Aucune automitrailleuse "White-Laffly" n'a survécu jusqu'à nos jours... Désolé, cette fois-ci pas de vidéo... Modifié 3 avril 2021 par jensen Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 L'art de faire du neuf avec du vieux, avec plus ou moins de réussite. Très bon article sur un engin franchement dépassé en 1940 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 Oui oui bien lui. Un peu de lecture? Çà vaut le coup... http://www.abstrait-concret.com/2010/02/22/simo-hayha-le-sniper-finlandais-qui-tua-plus-de-700-hommes-en-trois-mois/ Trés bien cet article sur quelqu'un dont je n'avais jamais entendu parler, un bémol toutefois, je préfère le terme français "tireur de précision" à celui de snipère, ça fait plus sérieux et un tantinet moins vulgaire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 17 décembre 2013 Signaler Partager 17 décembre 2013 Pour les "White/Laffly" ça parait répondre à la question que j'ai déjà posée au sujet d'un pilote inverseur, à savoir qui des français ou des allemands avaient développer les premiers le concept, apparemment donc les français Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 18 décembre 2013 Auteur Signaler Partager 18 décembre 2013 Non, le Büssing A5P était déjà en service en 1916, pas les White... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Un engin que je verrai bien en collection dans un musée.....dommage qui n'en existe plus. Déjà une ancienneté en 1939....... Il y a des fois je me demande........ Toujours les soldats qui ramassent et qui subissent..... Merci Tonton.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Trés bien cet article sur quelqu'un dont je n'avais jamais entendu parler, un bémol toutefois, je préfère le terme français "tireur de précision" à celui de snipère, ça fait plus sérieux et un tantinet moins vulgaire Pas même fonction. le tireur de précision sera en groupe de combat ou sections avec une arme de moyenne portée 800m Le tireur d'élite ou sniper aura une arme d'un calibre plus conséquent et d'une plus grande portée 1800 à beaucoup plus.. le sniper peut être seul ou en binôme voir trinôme. En NB je dirai que le tireur de précision aussi.....tout dépends des missions. Chez nous un tireur de précision sera en FRF2 par exemple. Le tireur d'élite en Hécate... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 pour moi, cette différence de concept est très récent .... Je fus tireur d'élite, et j'agissais soit au sein de la section, soit en "indépendant" .... en rappellant qu'il y a 20 ans, il n'y avait que le FRF1, ou F2 pour les chanceux On rejoint le concept utilisé lors de la 2° Gm ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Récent pour moi aussi. Mais la différence est bien là. L'Hecate est récent aussi, avant c'était le Mac Milan américain. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Récent pour moi aussi. Mais la différence est bien là. L'Hecate est récent aussi, avant c'était le Mac Milan américain. non réglementaire sauf erreur, à part à la Légion Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 L'Hecate est bien réglementaire il y a environ deux à trois cent dans l'armée de terre. Le Mac Milan (et le Barrett) a été effectivement utilisé par la Légion en Yougoslavie par exemple et les forces spéciales. Depuis, il y a eu une utilisation à "grande échelle" de ce type d'armes..... Tous les régiments d'infanterie les ont en dotation en plus des FRF2.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 je parlais du Mac Millan, non réglementaire pour moi ... l'Hécate, j'ai essayé ... aussi je peux même de parler des problèmes de culasse dessus, à ses débuts zéroïques Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Lackerli 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Ah, un petit truc suisse: Le [h1] Nahkampkanone II, un chasseur de char [/h1] [h1] http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c3/Nahkampfkanone_II_%27Gustav%27_pic07.JPG [/h1] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 je parlais du Mac Millan, non réglementaire pour moi ... l'Hécate, j'ai essayé ... aussi je peux même de parler des problèmes de culasse dessus, à ses débuts zéroïques Le Mac Milan un collègue Légionnaire l'a eu en Yougoslavie à l'époque...... T'as essayé l'Hécate???? .......j'suis jalmince!!!!! Moi je n'ai essayé que le FRF2....... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §pie367dg 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 pour moi, cette différence de concept est très récent .... Je fus tireur d'élite, et j'agissais soit au sein de la section, soit en "indépendant" .... en rappellant qu'il y a 20 ans, il n'y avait que le FRF1, ou F2 pour les chanceux On rejoint le concept utilisé lors de la 2° Gm ... Pour moi ça frise la révélation, parce-que le terme de "sniper" était totalement inconnu et que " tireur d'élite " ça n'existait pas, le seul terme technique correct était " tireur de précision ". J'ai vraiment l'impression de faire le grand-père ici, alors que je viens seulement d'entamer ma sixième décennie. A l'époque ( antédiluvienne ) dont je parle, on avait le MAS 49-56 avec lunette, présenté sur un autre topic, que j'ai eu la chance de pouvoir approcher et les premiers FRF1 seulement vus de loin avec même pas l'ombre de l'espoir de pouvoir les utiliser. Par contre beaucoup plus tard j'ai réussi à effectuer quelques tir avec un FRF2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 18 décembre 2013 Signaler Partager 18 décembre 2013 Te plains pas, pour ma part, je n'ai tiré qu'au MAS 36 et un peu au 49/56, mais j'ai pu toucher un FRF1 qui était considéré comme le top à l'époque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Tout évolue les gars..........et vous êtes pas vieux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
sierra38 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 T'as essayé l'Hécate???? .......j'suis jalmince!!!!! Moi je n'ai essayé que le FRF2....... Mac Millan, Hécate, Pgm Ultima ratio, Psg1, etc .... je faisais assidûment des concours de tirs en situation, la 3°mi-temps consistant .... à essayer tous ce que les participants avaient amené Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hansi68730 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Ah, un petit truc suisse: Le Nahkampkanone II, un chasseur de char [h1] [/h1] C'est le beau Gustav, le seul et unique, visible au musée de Thoune Et voilà son prédécesseur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Lackerli 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Encore un proto suisse, char armée d'un 155mm: http://img4.hostingpics.net/pics/315132groschar.png Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
juluch 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Un automoteur façon AUF1 non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 19 décembre 2013 Auteur Signaler Partager 19 décembre 2013 M109 Paladin plutôt. Dont la confédération possède pas mal d'exemplaires je crois bien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Lackerli 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 On a des m109 Kawest, mais ça c'est un obusier proto 155, les obus étaient d'une pièce, et le canon a été utilisé en tourelle d'artillerie de forteresse: http://www.lignemaginot.com/ligne/suisse/vaud/dailly/s7/a1.jpg Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ton817Zq 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Te plains pas, pour ma part, je n'ai tiré qu'au MAS 36 et un peu au 49/56, mais j'ai pu toucher un FRF1 qui était considéré comme le top à l'époque. Te plains pas, pour ma part, je n'ai tiré qu'au 49/56, mais j'ai pu tirer quelques fois avec un Famas qui était considéré comme le top à l'époque. Pour ma part... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
flyinngpat 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 C'était en quelle année ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ton817Zq 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 C'était en quelle année ? 1982/83 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ton817Zq 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 et toi? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité guest527 19 décembre 2013 Signaler Partager 19 décembre 2013 Mac Millan, Hécate, Pgm Ultima ratio, Psg1, etc .... je faisais assidûment des concours de tirs en situation, la 3°mi-temps consistant .... à essayer tous ce que les participants avaient amené Si t'avais la chance de mettre les pieds à milipol tu serais fou C'est le beau Gustav, le seul et unique, visible au musée de Thoune Excellent, on dirait un t110e3, mais avec un p'tit canon Pour ma part... Oh mais le famas est encore sympa aujourd'hui Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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