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Histoire et patrimoine

Photos de Panhard (en état ou en épave)


panhard du 42
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Messages recommandés

Il y a 4 heures, fiatever a dit :

Coupé Barboni 1953 sur base Dyna ....

copyright Cornelis 1 .

 

IMG_6459.PNG

Carrosserie Jean Roger BARBONI ,  il n'y a aucun doute possible...  :bien:

 

Modifié par Gefa42000
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Oui en effet, mais ce qui etonnant, c' est que ces dames ont

gagné à priori trois coupes ... sur cette épreuve ? 

Quelle course , qui ?

La coupe des dames, pour sûr, mais les autres ...

Il me semble que la custode arrière gauche 

est remplacée par un tissu , envolée ou cassée ?

Un joli coupé en tout cas 🚗 .

Modifié par fiatever
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il y a 3 minutes, fiatever a dit :

Oui en effet, mais ce qui etonnant, c' est que ces dames ont

gagné à priori trois coupes ... sur cette épreuve ? 

Quelle course , qui ?

La dame à droite sur la photo, c'est Mme Gilberte Stempert, la première propriétaire du Junior BARBONI ... :bien:

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Vacances 1971 et les joies de la panne !

Départ de Paris 19è vers 1 heure du matin le 3 juillet. Autoroute du Sud en direction du midi au hasard. La seule prévision c’est rejoindre le circuit Paul Ricard pour le Grand Prix de France de F1 pour l’inauguration de la piste. Tout se déroule parfaitement. Arrivée vers 13 h juste pour les essais. Nous trouvons un hôtel pour 2 nuits avec mon épouse et notre chat.

Le lundi nous visitons Bandol et nous roulons jusqu’à Monaco. Après un bref arrêt nous passons la nuit à Menton au Cap Martin.

Une petite alerte sur la 24. Le M10S produit au ralenti un petit claquement très léger.

Déçu par Menton nous repartons pour s’arrêter à Antibes et nous y restons 1 semaine.

Nous voici de nouveau sur la route. C’est au Gros du Roi que nous trouvons un gîte pour 1 semaine.

Mais le petit bruit a évolué et cela m’inquiète. J’ai dans le coffre un pignon de distribution en celoron neuf et mes outils. Je décide de le changer lorsque le soleil descend. Je trouve un endroit dans le marais à l’abri des regards.

A la remise en route, déception, le bruit est toujours là. C’est donc le vilebrequin. Alors nous décidons de partir cette nuit pour remonter vers Paris. La nuit il fait plus frais. Je vidange et met de l’huile neuve.

La circulation est très fluide et je roule le plus doux possible sans m’arrêter sauf une fois pour faire le plein. Les heures défilent et l’angoisse aussi, d’autant que le claquement ressemble à des castagnettes.

Soudain lors d’une montée de la route le moteur serre. Il est 6 heures. En roues libres la 24 s’immobilise sur la bande d’arrêt à côté d’un téléphone. Nous sommes à la hauteur de Semur-en-Auxois. Vers 7 heures le dépanneur arrive et nous dépose dans la ville. Nous trouvons un hôtel pas loin du garage. Nous sommes le samedi. Je téléphone à mon père qui demeure à Epinay-sur-Seine pour qu’il puisse prendre un moteur complet que j’avais entreposé chez ma tante à Drancy et me l’apporter. Le garagiste est d’accord pour que l’on puisse le changer chez lui. Et le dimanche vers 10 h nous procédons à l’échange devant le garagiste un peu perplexe. A 15 h nous reprenons la route vers Paris, après un bon restaurant.

Cela reste néanmoins un excellent souvenir. Lorsque j’ai démonté le moteur, j’avais une bonne poignée de limaille… !

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Il y a 5 heures, jmf17 a dit :

Vacances 1971 et les joies de la panne !

Départ de Paris 19è vers 1 heure du matin le 3 juillet. Autoroute du Sud en direction du midi au hasard. La seule prévision c’est rejoindre le circuit Paul Ricard pour le Grand Prix de France de F1 pour l’inauguration de la piste. Tout se déroule parfaitement. Arrivée vers 13 h juste pour les essais. Nous trouvons un hôtel pour 2 nuits avec mon épouse et notre chat.

Le lundi nous visitons Bandol et nous roulons jusqu’à Monaco. Après un bref arrêt nous passons la nuit à Menton au Cap Martin.

Une petite alerte sur la 24. Le M10S produit au ralenti un petit claquement très léger.

Déçu par Menton nous repartons pour s’arrêter à Antibes et nous y restons 1 semaine.

Nous voici de nouveau sur la route. C’est au Gros du Roi que nous trouvons un gîte pour 1 semaine.

Mais le petit bruit a évolué et cela m’inquiète. J’ai dans le coffre un pignon de distribution en celoron neuf et mes outils. Je décide de le changer lorsque le soleil descend. Je trouve un endroit dans le marais à l’abri des regards.

A la remise en route, déception, le bruit est toujours là. C’est donc le vilebrequin. Alors nous décidons de partir cette nuit pour remonter vers Paris. La nuit il fait plus frais. Je vidange et met de l’huile neuve.

La circulation est très fluide et je roule le plus doux possible sans m’arrêter sauf une fois pour faire le plein. Les heures défilent et l’angoisse aussi, d’autant que le claquement ressemble à des castagnettes.

Soudain lors d’une montée de la route le moteur serre. Il est 6 heures. En roues libres la 24 s’immobilise sur la bande d’arrêt à côté d’un téléphone. Nous sommes à la hauteur de Semur-en-Auxois. Vers 7 heures le dépanneur arrive et nous dépose dans la ville. Nous trouvons un hôtel pas loin du garage. Nous sommes le samedi. Je téléphone à mon père qui demeure à Epinay-sur-Seine pour qu’il puisse prendre un moteur complet que j’avais entreposé chez ma tante à Drancy et me l’apporter. Le garagiste est d’accord pour que l’on puisse le changer chez lui. Et le dimanche vers 10 h nous procédons à l’échange devant le garagiste un peu perplexe. A 15 h nous reprenons la route vers Paris, après un bon restaurant.

Cela reste néanmoins un excellent souvenir. Lorsque j’ai démonté le moteur, j’avais une bonne poignée de limaille… !

Et les joies de la réparation et des bons souvenirs.

 

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Il y a 23 heures, jmf17 a dit :

Vacances 1971 et les joies de la panne !

Départ de Paris 19è vers 1 heure du matin le 3 juillet. Autoroute du Sud en direction du midi au hasard. La seule prévision c’est rejoindre le circuit Paul Ricard pour le Grand Prix de France de F1 pour l’inauguration de la piste. Tout se déroule parfaitement. Arrivée vers 13 h juste pour les essais. Nous trouvons un hôtel pour 2 nuits avec mon épouse et notre chat.

Le lundi nous visitons Bandol et nous roulons jusqu’à Monaco. Après un bref arrêt nous passons la nuit à Menton au Cap Martin.

Une petite alerte sur la 24. Le M10S produit au ralenti un petit claquement très léger.

Déçu par Menton nous repartons pour s’arrêter à Antibes et nous y restons 1 semaine.

Nous voici de nouveau sur la route. C’est au Gros du Roi que nous trouvons un gîte pour 1 semaine.

Mais le petit bruit a évolué et cela m’inquiète. J’ai dans le coffre un pignon de distribution en neuf et mes outils. Je décide de le changer lorsque le soleil descend. Je trouve un endroit dans le marais à l’abri des regards.

A la remise en route, déception, le bruit est toujours là. C’est donc le vilebrequin. Alors nous décidons de partir cette nuit pour remonter vers Paris. La nuit il fait plus frais. Je vidange et met de l’huile neuve.

La circulation est très fluide et je roule le plus doux possible sans m’arrêter sauf une fois pour faire le plein. Les heures défilent et l’angoisse aussi, d’autant que le claquement ressemble à des castagnettes.

Soudain lors d’une montée de la route le moteur serre. Il est 6 heures. En roues libres la 24 s’immobilise sur la bande d’arrêt à côté d’un téléphone. Nous sommes à la hauteur de Semur-en-Auxois. Vers 7 heures le dépanneur arrive et nous dépose dans la ville. Nous trouvons un hôtel pas loin du garage. Nous sommes le samedi. Je téléphone à mon père qui demeure à Epinay-sur-Seine pour qu’il puisse prendre un moteur complet que j’avais entreposé chez ma tante à Drancy et me l’apporter. Le garagiste est d’accord pour que l’on puisse le changer chez lui. Et le dimanche vers 10 h nous procédons à l’échange devant le garagiste un peu perplexe. A 15 h nous reprenons la route vers Paris, après un bon restaurant.

Cela reste néanmoins un excellent souvenir. Lorsque j’ai démonté le moteur, j’avais une bonne poignée de limaille… !

Merci de ton témoignage qui me fait comprendre pourquoi Panhard a fait faillite : en vendant des voitures non fiables...  :spamafote:

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Il est évident qu'avec les yeux d'aujourd'hui cela parait anormal. Mais à l'époque... les PL17 étaient  plus fiables que les modèles 24 M10S. Ce qui a plombé Panhard c'était la politique de Berco (Citroën) et le réseau qui ne jouait pas le jeu. Dans les garages peu de mécanos voulaient toucher à la mécanique Panhard. Bien entretenues le 2 cylindres pouvait être fiable.

Il y avait aussi la rumeur de la boîte de vitesses fragile...qui datait des premières 3 CV.

Néanmoins à partir des modèles Z jusqu'à la 24 ces autos étaient remarquables et devant la concurrence en tenue de route et finition. Moi je les aiment toujours.

  • Merci 1
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Si ces valeureux moteurs avaient connu l'huile de synthèse, la question ne se serait jamais posée pour la fiabilité du moteur, mais j'en dirais pas autant de leurs boîtes de vitesse, quoique même pour les boîtes de vitesse avec les dernières huiles et les derniers additifs, 300000 km serait pas impossible.

A l'inverse les embrayages de notre époque sont catastrophiques, c'est du à la perte de l'amiante qui n'a jamais trouvé son équivalence.

Ma DB malgré la course avait gardé son moteur et ses 2 mégas carburateurs, mais perdu la boîte 5, une création très complexe de chez Panhard d'après un copain qui a travaillé au bureau d'études.

Vous avez échappé à ça, ouf!, la boîte 4 a duré  les 4 ans jusqu'à l'accident.

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Concernant les embrayages une remarque. La buttée en graphite était fragile. Mon père qui a travaillé plusieurs années en garage Panhard avait une astuce, qui lorsqu'il changeait un embrayage était de tremper la butée dans le gas oil au moins 24 h. Elle durait plus longtemps.

Sur la boîte de vitesses je reviendrais dessus au niveau des cônes syncros. Là aussi il y avait une astuce.

Modifié par jmf17
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il y a une heure, jmf17 a dit :

Concernant les embrayages une remarque. La buttée en graphite était fragile. Mon père qui a travaillé plusieurs années en garage Panhard avait une astuce, qui lorsqu'il changeait un embrayage était de tremper la butée dans le gas oil au moins 24 h. Elle durait plus longtemps.

Sur la boîte de vitesses je reviendrais dessus au niveau des cônes syncros. Là aussi il y avait une astuce.

Astuces intéressantes !

 

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Le 30/04/2021 à 16:17, Le Cheetah a dit :

1002770948_PL24.JPG.a071f972ee963436f090d111f205b9e2.JPG

Inondation en Bretagne (Finistère)  1437603228_naufrage.gif.0524d0fda5fb96fdcf9a07cc23c7945a.gif

Ce n'est pas dans le Finistère, mais à Rennes, en Ille et Vilaine, comme cela était précisé dans le topic photo où cette image avait été initialement postée. :nanana:

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Comme indiqué précédemment !

 

Piqueter avec un poinçon le filetage d’un cône syncro.

C’est une solution que j’ai adoptée en 1980 sur ma dernière 24 ct. C’était l’époque où l’on ne trouvait pas de pièces neuves.

Cette astuce n’est pas très orthodoxe, mais cela fonctionne très bien.

Avec un peu de patience, il suffit de piqueter le filetage usé avec un petit poinçon partout autour du cône. Pas trop fort, juste un petit cratère à chaque coup.

Celui-ci freine très bien la bague et l’usure n’est pas rapide. J’ai pu m’en apercevoir lorsque j’ai démonté la boîte suite à un changement de celle-ci, mais pour autre chose.

Cela va faire dresser les cheveux des puristes… ! Si vous voulez des astuces regardez les vidéos du Furania sur YouTube.

19070407510511994716299846.jpg

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Il y a 4 heures, fiatever a dit :

Bientot en vente sur inter enchères.com

 

IMG_7748.PNG

Bonsoir,

En espèrent que cette Z1 ne soit pas autant délabrée que celle qui ce vend actuellement sur leboncoin.

Belle à l'extérieur vraiment, vraiment triste en dessous...:fou:  :o

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@atalante.racing  Yes.gif.4097f94ee634ae47a5f2cb4977137d69.gif   

Dans le film « Poisson d'Avril » réalisé par Gilles Grangier en 1954. Bourvil y joue le rôle d’un brave et naïf mécanicien. (Voiture prêtée par Panhard avec une immatriculation apocryphe)

_______________________________

Pour mettre dans sa vitrine :

2137236215_CIJJunior.JPG.c760bbc7ae971d82daa20bdb767e34f4.JPG

 

 

Modifié par Le Cheetah
  • Merci 1
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il y a 23 minutes, Le Cheetah a dit :

@atalante.racing  Yes.gif.4097f94ee634ae47a5f2cb4977137d69.gif   

Dans le film « Poisson d'Avril » réalisé par Gilles Grangier en 1954. Bourvil y joue le rôle d’un brave et naïf mécanicien. (Voiture prêtée par Panhard avec une immatriculation apocryphe)

_______________________________

Pour mettre dans sa vitrine :

2137236215_CIJJunior.JPG.c760bbc7ae971d82daa20bdb767e34f4.JPG

 

 

:jap:

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Un aperçu de l'autoradio de marque Radiomatic - fixé sous la planche de bord du junior -

 cette photo est extraite du film Poisson d'Avril -

 

93427657_Radiomatic(Bourvil).thumb.png.60cb7b4a6a995747c64b6b1433a178f7.png

 

Ci dessous: une photo de l'autoradio de marque AREL  incrusté dans la planche  du Junior Barboni.

Cerise sur le gâteau ,cette radio est fonctionnelle ...

Bientôt la vidéo commentée du junior Barboni sera mise en ligne ... à suivre ...:classic_biggrin:

 

54336426_PosteAREL.thumb.JPG.f5efee3716dcb1ebfda2e3c3102e7f95.JPG

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il y a 12 minutes, jmf17 a dit :

AFG devenue la Dyna !

 

unnamed.jpg

 

Pas exactement "devenue"... Panhard a eu en main un prototype AFG, l'a étudié, Grégoire a prêté son concours à la création de la Dyna... mais la Dyna X était suffisamment différente du prototype AFG pour que la justice (ou un conciliateur, j'ai un doute) tranche dans ce sens suite à un désaccord entre Grégoire et Panhard sur les liens entre la Panhard et l'AFG.

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