Stand 65 : Des rillettes dans les Hautes Pyrénées

[christian82]

Oui, ce vert me surprend un peu.....trop vif , trop criard...

La mienne était peinte avec un vert ASTON......(peut être pas le bon...)

 

[christian82]

                                                   

 

                                                

 

28/29 Septembre 1968, 36ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Les événements du mois de Mai ont obligé l’A.C.O à reporter l’épreuve prévue en Juin à Septembre, et pour gagner sur la nuit, le départ a été avancé à 15h00.

Sur le circuit, un ralentisseur a été crée avant les stands, il portera le nom de Henri Ford II.

 

Jean-Perre HANRIOUD est un pilote automobile Français spécialisé dans les rallyes et les circuits.

En 1967, il intègre l’équipe usine Porsche pour les rallyes sur 911 S.

 

Cette année, après trois participations aux 24 Heures, il engage une PORSCHE 910/6 qu’il partage avec André WICKY (4 participations).

 

Portant le n° 45, cette 910 est équipée d’un moteur 6 cylindres à plat de 1991 cm³.

 

 

Le 28 Septembre à 15 h00, M. Giovani AGNELLI (Président de la F.I.A.T) donne le départ aux 54 engagés.

 

Il a plu avant le départ, mais la piste est sèche pour le baissé du drapeau.

 

La n° 45 est obligée de s ‘arrêter au stand dès le premier tour pour une portière mal fermée.

A.Wicky effectue ensuite un tête à queue sur la piste, sans gravité.

 

 

Partie de la 30ème place, les pilotes de la n° 45 remonte régulièrement dans le classement au fil des heures.

 

Mais les ennuis commencent, et les pilotes sont privés de compte-tours, puis des problèmes de culbuteurs apparaissent.

 

A la 9ème heure de course, ils sont pointés 17ème au général.

 

Au cours de la nuit, c’est à nouveau le déluge.

 

Malgré cela, la 910 remonte à la 10ème place à la 18ème heure de course.

Elle va s’y maintenir durant quatre heures.

 

 

A 11h38, l’accident de l’Alpine de Mauro Bianchi, brulé gravement aux mains et au visage, va perturber la course.

 

Les problèmes de distribution recommencent et perturbent sa marche.

 

A la 21ème heure, elle a chuté à la 16ème place, puis descend à la 18ème pour finalement remonter à la 17ème place une heure avant l’arrivée.

 

Mais les problèmes de culbuteurs ne sont pas réglés et finalement une soupape finit par casser, obligeant la n° 45 à abandonner.

 

 

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 – 24 Heures du Mans 1968 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent: Jean-Pierre HANRIOUD - Pilotes: Jean-Pierre HANRIOUD / André WICKY – Abandon 24ème heure (soupape) - Modèle: SPARK

 

Modifié 7 mars 2021 par christian82

[Alain du 38]

Il y a 2 heures, christian82 a dit :

                                                   

 

                                                

 

28/29 Septembre 1968, 36ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Les événements du mois de Mai ont obligé l’A.C.O à reporter l’épreuve prévue en Juin à Septembre, et pour gagner sur la nuit, le départ a été avancé à 15h00.

Sur le circuit, un ralentisseur a été crée avant les stands, il portera le nom de Henri Ford II.

 

Jean-Perre HANRIOUD est un pilote automobile Français spécialisé dans les rallyes et les circuits.

En 1967, il intègre l’équipe usine Porsche pour les rallyes sur 911 S.

 

Cette année, après trois participations aux 24 Heures, il engage une PORSCHE 910/6 qu’il partage avec André WICKY (4 participations).

 

Portant le n° 45, cette 910 est équipée d’un moteur 6 cylindres à plat de 1991 cm³.

 

 

Le 28 Septembre à 15 h00, M. Giovani AGNELLI (Président de la F.I.A.T) donne le départ aux 54 engagés.

 

Il a plu avant le départ, mais la piste est sèche pour le baissé du drapeau.

 

La n° 45 est obligée de s ‘arrêter au stand dès le premier tour pour une portière mal fermée.

A.Wicky effectue ensuite un tête à queue sur la piste, sans gravité.

 

 

Partie de la 30ème place, les pilotes de la n° 45 remonte régulièrement dans le classement au fil des heures.

 

Mais les ennuis commencent, et les pilotes sont privés de compte-tours, puis des problèmes de culbuteurs apparaissent.

 

A la 9ème heure de course, ils sont pointés 17ème au général.

 

Au cours de la nuit, c’est à nouveau le déluge.

 

Malgré cela, la 910 remonte à la 10ème place à la 18ème heure de course.

Elle va s’y maintenir durant quatre heures.

 

 

A 11h38, l’accident de l’Alpine de Mauro Bianchi, brulé gravement aux mains et au visage, va perturber la course.

 

Les problèmes de distribution recommencent et perturbent sa marche.

 

A la 21ème heure, elle a chuté à la 16ème place, puis descend à la 18ème pour finalement remonter à la 17ème place une heure avant l’arrivée.

 

Mais les problèmes de culbuteurs ne sont pas réglés et finalement une soupape finit par casser, obligeant la n° 45 à abandonner.

 

 

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 – 24 Heures du Mans 1968 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent: Jean-Pierre HANRIOUD - Pilotes: Jean-Pierre HANRIOUD / André WICKY – Abandon 24ème heure (soupape) - Modèle: SPARK

 

Abandon à la 24ème heure , c'est ballot pour cette belle Porsche 

[christian82]

Fin d'un T.E.C...

 

                        

 

                                     

 

12/13 Juin 1976, 44ème édition des 24 Heures du Mans,

 

SCHNITZER MOTORSPORT est une écurie de course automobile allemande basée à Freilassing en Bavière, fondée en 1967, par les frères Josef et Herbert Schnitzer.

Elle participe à toutes les courses de tourisme et de grand tourisme mondiales.

 

Schnitzer Motorsport est une des structures qui porte les couleurs de BMW MOTORSPORT dans le sport automobile.

 

Cette année, le team engage aux 24 Heures, une B.M.W 3,0 CSL propulsée par un 6 cylindres en ligne de 3498 cm³.

 

Enregistrée sous le n° 43, elle est confiée à Dieter QUESTER (1 participation), Albrecht KREBS (rookie) et Alain PELTIER (rookie).

 

Dès les essais on constate que l’équipage de la n° 43 est en forme, obtenant le 4ème temps du groupe V, et le premier des voitures non suralimentées.

 

           

             (Copyright à qui de droit)

 

Le 12 Juin à 16 h00, M. Bill FRANCE Sr (Directeur du Speedway de Daytona) donne le départ aux 55 engagés.

 

Dès le départ, et durant quatre heures, la n° 43 se tient proche de la Porsche 935 officielle et de la Porsche Kremer qu’elle dépasse à la tombée de la nuit.

 

Partie de la 13ème place, ses pilotes remontent jusqu’à la 8ème place du classement général.

Elle ne rencontre aucun ennui durant sept heures, mais à partir de minuit, elle chute à la 16ème place, puis la 26ème et enfin la 30ème du général.

 

 

Malheureusement, le moteur a chauffé et c’est par un début d’incendie qu’elle est obligée d’abandonner dans la 12ème heure de course.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B.M.W 3,0 CSL – 24 Heures du Mans 1976 – 6 cyl / 3498 cm3 – Concurrent: BMW Motorsport Gmbh - SCHNITZER - Pilotes: Dieter QUESTER / Albrecht KREBS / Alain PELTIER – Abandon 12ème heure (incendie) – Modèle: kit PROVENCE MOULAGE

 

Comme je l'avais mentionné page précédente, au moment de la peinture, j'ai eu un peu de travail sur ce modèle: création du décal "Gosser Beer" du toit, fabrication des plaques de sorties des extracteurs d'ailes arrières pour poser les décals "Shell",  réalisation des bandes blanches de lunette arrière et du bandeau alu sous le pare-soleil Schnitzer absents de la planche décals, rajout du lumignon côté droit au niveau de la prise d'air d'aile arrière, création d'un arceau plus complet que l'original et des ceintures de sécurité absentes du kit, rajout de la barre de renfort du pare-brise. .... 

Modifié 8 mars 2021 par christian82

[christian82]

                        

 

                                                            

 

 

13/14 Juin 1970, 38ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Pour sa cinquième participation aux 24 heures du Mans, Christian POIROT, pilote Vosgien, engage une PORSCHE 910/6, propulsée par un Flat 6 de 1991 cm³.

 

Portant le n° 46, engagée en classe 1601 à 2000 cm3, elle est pilotée par Christian POIROT et Ernst KRAUS (rookie).

 

 

Le 13 Juin à 16h00, M. le Dr Ferry PORSCHE (Général Manager de PORSCHE) donne le départ à 51 voitures.

 

Dès la première heure, l’allumage de la Porsche rencontre des problèmes, et partie de la 36ème place, elle se retrouve en queue de peloton en 47ème position.

 

Reparti, le problème se présentera à nouveau en 11ème heure, alors que la n° 46 est remontée à la 21ème position.

 

 

Trois heures plus tard, le moteur lâchera, provoquant l’abandon de la Porsche blanche à capot bleu.

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 – 24 Heures du Mans 1970 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent: Christian POIROT - Pilotes: Christian POIROT / Ernst KRAUS – Abandon 14ème heure (Moteur) – Modèle: SPARK

 

Nota: Il semblerait qu'il manque les "Dunpy" de chaque côté du capot arrière devant le Esso .....

 

 

Modifié 8 mars 2021 par christian82

[gilles1955]

Il y a 5 heures, christian82 a dit :

Fin d'un T.E.C...

 

                        

 

                                     

 

12/13 Juin 1976, 44ème édition des 24 Heures du Mans,

 

SCHNITZER MOTORSPORT est une écurie de course automobile allemande basée à Freilassing en Bavière, fondée en 1967, par les frères Josef et Herbert Schnitzer.

Elle participe à toutes les courses de tourisme et de grand tourisme mondiales.

 

Schnitzer Motorsport est une des structures qui porte les couleurs de BMW MOTORSPORT dans le sport automobile.

 

Cette année, le team engage aux 24 Heures, une B.M.W 3,0 CSL propulsée par un 6 cylindres en ligne de 3498 cm³.

 

Enregistrée sous le n° 43, elle est confiée à Dieter QUESTER (1 participation), Albrecht KREBS (rookie) et Alain PELTIER (rookie).

 

Dès les essais on constate que l’équipage de la n° 43 est en forme, obtenant le 4ème temps du groupe V, et le premier des voitures non suralimentées.

 

           

             (Copyright à qui de droit)

 

Le 12 Juin à 16 h00, M. Bill FRANCE Sr (Directeur du Speedway de Daytona) donne le départ aux 55 engagés.

 

Dès le départ, et durant quatre heures, la n° 43 se tient proche de la Porsche 935 officielle et de la Porsche Kremer qu’elle dépasse à la tombée de la nuit.

 

Partie de la 13ème place, ses pilotes remontent jusqu’à la 8ème place du classement général.

Elle ne rencontre aucun ennui durant sept heures, mais à partir de minuit, elle chute à la 16ème place, puis la 26ème et enfin la 30ème du général.

 

 

Malheureusement, le moteur a chauffé et c’est par un début d’incendie qu’elle est obligée d’abandonner dans la 12ème heure de course.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B.M.W 3,0 CSL – 24 Heures du Mans 1976 – 6 cyl / 3498 cm3 – Concurrent: BMW Motorsport Gmbh - SCHNITZER - Pilotes: Dieter QUESTER / Albrecht KREBS / Alain PELTIER – Abandon 12ème heure (incendie) – Modèle: kit PROVENCE MOULAGE

 

Comme je l'avais mentionné page précédente, au moment de la peinture, j'ai eu un peu de travail sur ce modèle: création du décal "Gosser Beer" du toit, fabrication des plaques de sorties des extracteurs d'ailes arrières pour poser les décals "Shell",  réalisation des bandes blanches de lunette arrière et du bandeau alu sous le pare-soleil Schnitzer absents de la planche décals, rajout du lumignon côté droit au niveau de la prise d'air d'aile arrière, création d'un arceau plus complet que l'original et des ceintures de sécurité absentes du kit, rajout de la barre de renfort du pare-brise. .... 

et tu avais utilisé quel vert ??

[christian82]

il y a 39 minutes, gilles1955 a dit :

et tu avais utilisé quel vert ??

P.MOULAGE a donné sur la notice : Vert pampa 395 Dupont 44070, mais sans marque de fabricant.

Après recherches, c'est une teinte FIAT:  395 FIAT Verde Pampa.

La peinture est une base mate à vernir, cela m'arrangeais.

Modifié 8 mars 2021 par christian82

[christian82]

Fin d'un TEC ce soir....

 

                       

 

                                                 

                    

 

13/14 Juin 1981, 49ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Ardex était un petit constructeur automobile Français crée par Marcel Tamine et basée à NANTERRE 92.

 

En 1934, Ardex a produit sa première cyclecar, puis en 1937 une quatre roues.

Fin 1939, par manque de matières premières, ARDEX développe des petites voitures alimentées initialement par des batteries électriques qui sont interdites par les occupants allemands en 1942, puis par pédales jusqu’à la fin de la guerre.

En 1953, Ardex introduit un microcar 4 places alimenté par un monocylindre 2 temps de 100/125 cm3. La production prend fin en 1955.

 

Le nom Ardex est alors acquis par un ingénieur français, Max Sardou, ingénieur-docteur en aérodynamique (travaux sur AGS, BMW M1C, Lola T600, moto japauto, fusée Ariane, étude et thèse sur l’effet de sol, Lotus 78 et 79…).

 

Il créé l'Ardex S80 (Automobile Recherche Développement Expérimentation), qu’il engage aux 24 heures du Mans 1981.

 

Il s’agit d’un prototype du groupe 6, propulsé par un moteur BMW (M88/BMW M1) de 3500 cm3 (470 ch) , monté en position centrale avant à côté du pilote, couplé à une boite manuelle Hewland 5 rapports.

 

Il est confié à Michel LATESTE (5 participations) et Patrick PERRIER (3 participations).

 

 

Lorsqu’elle se présente aux vérifications, la peinture n’est pas encore sèche !! ... elle a été terminée la veille.

 

Lors des essais la S80 couvre 25 tours en ...08 heures. Divers problèmes viennent perturber le projet (Injection, rupture répétée du levier de vitesse, problèmes de freinage, crevaison…).

Son poids crée un handicap (991 kg contre une moyenne de 780 kg à la concurrence).

 

 

M.LATESTE établit un temps de 4’05’’01 qui lui octroie le 51ème temps / 55 engagés, puis  P.PERRIER décroche un 4’10’’89. … temps insuffisants pour être qualifié, avec la règle de calcul des 110 % de la moyenne des trois meilleurs temps de chaque catégorie.

Dans la catégorie Gr 6, l’Ardex se bat contre les Porsche 936 usine et J.Ickx est descendu en dessous de 3’30’’…...

 

Le projet ARDEX n’a pas été poursuivi, son concepteur se tournant vers d’autres projets (nouvelle soufflerie à tapis roulant….) qui lui ont permis d’obtenir des contrats d’ingénierie automobile en compétition (Ferrari, Tyrell, Minardi, Rondeau, AGS, Peugeot 905…) et des études sur le TGV, des pièces d’avion, des turbines à faible bruit et la fabrication de ressorts hélicoïdaux composites.

 

 

 

 

 

 

 

ARDEX S 80 – 24 Heures du Mans 1981 – 6 cyl / 3498 cm3 – Concurrent: Max SARDOU -  Pilotes: Michel LATESTE / Patrick PERRIER – Non qualifiée (51ème temps) – Modèle: Kit JPS

 

 

Modifié 10 mars 2021 par christian82

[christian82]

J'avance sur le projet suivant....

 

[LMMC73]

il y a 25 minutes, christian82 a dit :

J'avance sur le projet suivant....

 

bonsoir,

autant je ne suis pas fan de l'Ardex, que cette Osca me plaît beaucoup, l'intérieur est super, dommage que l'on ne voit plus grand chose une fois finit de monter. Mais cela fait parti de la satisfaction.

[christian82]

Il y a 5 heures, LMMC73 a dit :

bonsoir,

autant je ne suis pas fan de l'Ardex, que cette Osca me plaît beaucoup, l'intérieur est super, dommage que l'on ne voit plus grand chose une fois finit de monter. Mais cela fait parti de la satisfaction.

 

Oui, je suis d'accord avec toi, mais ce n'est pas une OSCA, mais l' AC  Ace Bristol "Cegga" des 24 heures du Mans 1960.....

 

Il s'agit d'un kit "Princess of Tumult" (réf AC-01)...

 

Modifié 12 mars 2021 par christian82

[LMMC73]

Il y a 10 heures, christian82 a dit :

 

Oui, je suis d'accord avec toi, mais ce n'est pas une OSCA, mais l' AC  Ace Bristol "Cegga" des 24 heures du Mans 1960.....

 

Il s'agit d'un kit "Princess of Tumult" (réf AC-01)...

 

oups, je suis allé trop vitre, pourtant je connais puisque tu as déjà présenté le début de montage.

[benfire]

Il y a 18 heures, christian82 a dit :

J'avance sur le projet suivant....

 

 

Joliment détaillé ce cockpit 😍

[christian82]

Il y a 8 heures, LMMC73 a dit :

oups, je suis allé trop vitre, pourtant je connais puisque tu as déjà présenté le début de montage.

 

....

[christian82]

Fin de ce TEC....

 

                          

 

 

 

25/26 Juin 1960, 28ème édition des 24 Heures du Mans,

 

L’ Equipe Lausannoise est une écurie automobile Suisse basée à Lausanne.

 

Pour sa première participation à la course mancelle, elle engage sous le n° 30, une AC Ace équipée d’un moteur Bristol 6 cylindres de 1971 cm³.

Elle est préparée par Claude et Georges Gachnang (CEGGA) à Lausanne.

 

Engagée en classe 1601 à 2000 cm³, elle est pilotée par André WICKY / Georges GACHNANG / John GRETENER (Pilote remplacant).

Tous trois découvrent le circuit des 24 heures.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 25 juin à 16 h00, le départ des 55 voitures est donné par Mr Paul PANHARD (Président de la Chambre Syndicale des Constructeurs).

 

G.Gachnang prend le départ, mais doit rentrer au stand pour un problème de filtre à air.

La réparation dure une heure.

 

A.Wicky prend le relais et pilote jusqu’à la nuit.

 

G.Gachnang qui est à nouveau au volant sort de la piste après Arnage au cours de la nuit.

Il est blessé au front dans cette sortie de piste (choc contre le moteur d’essuie-glace additionnel) ;

La voiture est ensablée et il met plus d’une heure à la dégager.

                   

(Copyright à qui de droit)

 

De retour au stand,  A.Wicky prend le relais.

G.Gachnang blessé ne peut continuer et est remplacé par J.Gretener (suppléant) jusqu’à la fin de la course.

 

(Copyright à qui de droit)

 

L’AC passe la ligne d’arrivée, mais ne sera pas classée, suite à une distance parcourue insuffisante.

 

 

 

 

 

 

 

AC Ace Bristol - 24 Heures du Mans 1960 – 6 cyl / 1971 cm3 – Concurrent : Equipe Lausannoise - Pilotes : André WICKY / Georges GACHNANG / John GRETENER – Non classée (Distance parcourue insuffisante) - Miniature: Kit PRINCESS OF TUMULT

 

 

A noter que le kit PRINCESS OF TUMULT, très précis et d’excellente facture comme d’habitude, permet de réaliser la voiture en version pesage ou version course, avec toutes les différences apportées (vitres latérales, rétroviseur supplémentaire, extensions d’ailes (taille et couleur), plaque d’immatriculation, ...)

Merci Jérôme.

 

Modifié 13 mars 2021 par christian82

[christian82]

Suite du dernier arrivage.....

 

                       

 

                                                       

 

 

09/10 Juin 1973, 41ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Raymond TOUROL est un pilote de rallye Français, propriétaire d'une équipe de course et cascadeur (Après la fin de sa carrière de pilote, R.Touroul a travaillé comme cascadeur pour la production cinématographique internationale).

Il est apparu comme chauffeur dans les productions « Taxi », « La mémoire dans la peau » et « Sueurs »).

 

Pilote autofinancé, il court principalement sur Porsche.

 

Cette année, il engage en catégorie Sport, sous le n° 22, sa PORSCHE 910/6 équipée d’un flat 6 de 1991 cm³.

 

Pour sa troisième participation à la course mancelle, il partage le volant avec Jean-Pierre ROUGET (3 participations).

 

Lors des essais , les pilotes rencontrent des difficultés liées à des ennuis d’alimentation et à une fuite d’huile.

J.P Rouget n’arrive pas à se qualifier, mais est repêché par les organisateurs, sauvant ainsi la participation de la n° 22.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 09 juin à 16 h00, le départ des 55 voitures est donné par Mr Sylvain FLOIRAT (Président de la Société MATRA).

 

Partis de la 37ème place, les pilotes effectuent une remontée régulière jusqu’à la 21ème place.

 

A partir de la 7ème heure de course, ils occupent la première place de leur catégorie (Sport 2L).

                                

                                  (Copyright à qui de droit)

 

Mais, à mi-course, la n° 22 tombe en panne d’essence, suite à un problème de filtre à essence.

C’est l’abandon, alors qu’ils étaient 27ème au général et 1^er de leur catégorie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 - 24 Heures du Mans 1973 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent : Raymond TOUROL - Pilotes : Raymond TOUROL / Jean-Pierre ROUGET – Abandon 13ème heure (Panne d’essence) - Miniature: SPARK

Modifié 14 mars 2021 par christian82

[Alain du 38]

il y a 58 minutes, christian82 a dit :

Suite du dernier arrivage.....

 

                       

 

                                                       

 

 

09/10 Juin 1973, 41ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Raymond TOUROL est un pilote de rallye Français, propriétaire d'une équipe de course et cascadeur (Après la fin de sa carrière de pilote, R.Touroul a travaillé comme cascadeur pour la production cinématographique internationale).

Il est apparu comme chauffeur dans les productions « Taxi », « La mémoire dans la peau » et « Sueurs »).

 

Pilote autofinancé, il court principalement sur Porsche.

 

Cette année, il engage en catégorie Sport, sous le n° 22, sa PORSCHE 910/6 équipée d’un flat 6 de 1991 cm³.

 

Pour sa troisième participation à la course mancelle, il partage le volant avec Jean-Pierre ROUGET (3 participations).

 

Lors des essais , les pilotes rencontrent des difficultés liées à des ennuis d’alimentation et à une fuite d’huile.

J.P Rouget n’arrive pas à se qualifier, mais est repêché par les organisateurs, sauvant ainsi la participation de la n° 22.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 09 juin à 16 h00, le départ des 55 voitures est donné par Mr Sylvain FLOIRAT (Président de la Société MATRA).

 

Partis de la 37ème place, les pilotes effectuent une remontée régulière jusqu’à la 21ème place.

 

A partir de la 7ème heure de course, ils occupent la première place de leur catégorie (Sport 2L).

                                

                                  (Copyright à qui de droit)

 

Mais, à mi-course, la n° 22 tombe en panne d’essence, suite à un problème de filtre à essence.

C’est l’abandon, alors qu’ils étaient 27ème au général et 1^er de leur catégorie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 - 24 Heures du Mans 1973 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent : Raymond TOUROL - Pilotes : Raymond TOUROL / Jean-Pierre ROUGET – Abandon 13ème heure (Panne d’essence) - Miniature: SPARK

  Christian ! Magnifique cette Porsche !

 

Tu as de beaux arrivages ! 

 

[christian82]

Suite.... pour remplacer ma Quartzo,  j'ai opté pour la Spark....

 

                       

 

                                                          

 

 

13/14 Juin 1981, 49ème édition des 24 Heures du Mans,

 

ZOL Auto est une entreprise Française de ventes et réparations automobiles, concessionnaire BMW, basée à Boulogne Billancourt 92.

 

Elle engage en catégorie Groupe 4, sous le n° 72, une BMW M1, motorisée par un 6 cylindres de 3453 cm³.

 

Cette M1 est confiée à François SERVANIN (7 participations), Laurent FERRIER  (6 participations) et Pierre-François ROUSSELOT (5 participations).

 

Suite aux essais, la n° 72 occupe la 47ème place de la grille de départ (2ème Gr 4) – P-F. ROUSSELOT (4’03’’76), L.FERRIER (4’04’’09), F.SERVANIN (4’09’’16).

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 13 Juin à 15h00, Mr Jean-Marie BALESTRE (Président de La Fédération Internationale Automobile) donne le départ aux 55 engagés.

 

Dans les trois premières heures, la n° 72 perd une dizaine de places, puis remonte doucement dans le classement, malgré des problèmes de réglages et purges de l’embrayage qui occupent les mécaniciens.

 

 

Durant la soirée et la nuit, la remontée au classement général se poursuit et dans la quinzième heure (05 à 06h00), elle est en tête de sa catégorie devançant la Porsche n° 70.

 

L.Ferrier rencontrant des problèmes de santé (rhume) ne peut continuer et la fin de course repose sur les épaules de P-F. Rousselot et F.Servanin.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Mais les problèmes moteur continuent sur la BMW M1 et deux heures après, suite à des problèmes d’embrayage, la Porsche n° 70 est en tête.

 

Repartie des stands à 10h15, après avoir changé butée d’embrayage et dumper, la n° 72 rencontre à nouveau des problèmes moteur.

Des problèmes de soupape, d’embrayage et de boite de vitesse mettront un terme à la course de la n° 72.

A 10h18, la n° 72 est obligée d’abandonner.

 

 

 

 

 

 

 

BMW M1 - 24 Heures du Mans 1981 – 6 cyl. / 3498 cm3 – Concurrent: BMW Zol Auto – Pilotes: François SERVANIN / Laurent FERRIER / Pierre-François ROUSSELOT  –Abandon 20ème heure (Moteur) – Miniature: SPARK

 

 

Nota:

- Le joint de pare-brise est assez grossier sur la vraie voiture et quasi inexistant sur le modèle miniature… ..malgré de nombreuses photos disponibles sur pas mal de sites,

J’ai donc repassé du noir sur la bordure….

Photo de la M1 avec le mini joint de pare-brise tel que je l'ai achetée...

 

- D’autre part, les teintes (bleu-vert-jaune-orange-rouge) sont en dégradé/fondu sur la vraie M1, ce qui n’a pas été réalisé ici, dommage (surtout que d’autres fabricants l’avaient fait avant….).;;;;....

Ce serait bien de vérifier les documents photographiques avant de réaliser un modèle…..

 

 

- Le phare droit, est seul relevé sur la miniature (ce qui laisse supposer un dysfonctionnement du système de levage) .......... après de longues recherches, j'ai trouvé une photo de la voiture dans cette configuration (annuel Le Mans 1981, page 77)

Cela s'est passé aux essais, et je pense qu'il aurait été plus judicieux de faire la miniature en version course.

Personnellement, je trouve cela inesthétique, déséquilibrant la ligne avant de la voiture...

Modifié 14 mars 2021 par christian82

[christian82]

 

                                                         

 

 

14/15 Juin 1997, 65ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Nismo (Nissan Motorsport), est la division performance du constructeur automobile  Japonais NISSAN.

 

Pour sa neuvième participation à la course Mancelle, NISSAN engage en catégorie GT1, trois R 390, sous les n° 21, 22 et 23 (n° 21 et 22 présentées page 35).

 

Comme les deux autres modèles, la n° 23 est propulsée par un moteur V8 Biturbo de 3496 cm³.

 

Préparée chez TWR, elle subit de profondes modifications après les pré-qualifications du 03/04 Mai (espace entre l’axe arrière et l’extrémité de la carrosserie, sorties d’échappements devenues latérales, conduits de freins, …)

 

Elle est pilotée par Kazuyoshi HOSHINO (7 participations), Masahiko KAGEYAMA (2 participations) et Erik COMAS (1 participation).

 

Lors des essais, les pilotes de la n° 23 obtiennent seulement la 21ème place sur la grille de départ (11ème GT1) – E.COMAS (3’47’’745), K.HOSHINO (3’56’’009), M.KAGEYAMA (4’01’’762).

 

                           

                               (Copyright à qui de droit)

 

Le 14 juin à 16h00, le départ est donné par Mr Jacques REGIS (Président de la Fédération Française du Sport Automobile).

 

K.HOSHINO prend le départ, mais à 17h34, il effectue un tête à queue à Mulsanne.

Cette figure et son retour au stand pour changer les pneus font perdre quatre places à la n° 23.

 

A19h00, elle est remontée et occupe désormais la huitième place au général et la sixième de sa catégorie.

A 21h08, elle rentre au stand, et un radiateur d’huile supplémentaire est installé.

A 21h51, le capot arrière est remplacé par un capot avec plus de prises d’air.

 

Après un changement de capot avant à 23h38, elle occupe à minuit, la 9ème place du général, intercalée entre la Porsche GT1 n° 29 et la Ferrari 333  n° 3.

 

Mais, un problème de transmission à 00h52 va lui faire perdre quinze places et les illusions de Nissan.

 

 

Au lever du jour, elle est la seule Nissan encore en course, les n° 21 et 22 ayant dû abandonner.

La matinée sera calme, les relais s’enchaînant sans problème.

 

A 12h43, E.Comas, 13ème au général, rentre au stand, le remplacement de la boite de vitesse étant nécessaire.

Il repart à 14h06, et conserve le volant jusqu’au drapeau à damiers qu’il franchit à la 12ème place du général et à la 5ème du GT1

 

 

 

 

 

NISSAN R 390 - 24 Heures du Mans 1997  – V 8 Biturbo / 3496 cm³ – Concurrent :NISSAN MOTORSPORTS - Pilotes :  Kazuyoshi HOSHINO / Masahiko KAGEYAMA / Erik COMAS – Class : 12ème (5ème GT1) - Miniature: SPARK

 

Modifié 15 mars 2021 par christian82

[Alain du 38]

  Christian !

Je lis attentivement les analyses et les photos de tes miniatures , comme je le fais aussi pour d'autres forumeurs sur d'autres topics .

La BMW M1 que tu as montré révèle d'après toi  plusieurs erreurs .

C'est pas la première fois qu'il y a des défauts chez Spark et je me demande si ce fabricant , à  force de diversifier sa production " pour faire du chiffre "  ne bâcle pas son travail .

[christian82]

Il y a 5 heures, Alain du 38 a dit :

  Christian !

Je lis attentivement les analyses et les photos de tes miniatures , comme je le fais aussi pour d'autres forumeurs sur d'autres topics .

La BMW M1 que tu as montré révèle d'après toi  plusieurs erreurs .

C'est pas la première fois qu'il y a des défauts chez Spark et je me demande si ce fabricant , à  force de diversifier sa production " pour faire du chiffre "  ne bâcle pas son travail .

 

Pour le joint de pare-brise et les couleurs des bandes, Spark aurait pu sortir un modèle plus réaliste, c'est certain, ils en ont les moyens.....

 

Pour le phare levé par contre , ce n'est pas une erreur du fait que la voiture a rencontré ce problème réellement , mais le reproduire sur la miniature, alors que cela n'a duré que pendant les essais... ....  oui cela est une erreur esthétique pour moi.

Ou alors, il aurait dû la reproduire avec les deux phares ouverts pour un équilibre ...

 

 

 

Modifié 16 mars 2021 par christian82

[GtStan]

Le 14/03/2021 à 17:07, christian82 a dit :

Suite du dernier arrivage.....

 

                       

 

                                                       

 

 

09/10 Juin 1973, 41ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Raymond TOUROL est un pilote de rallye Français, propriétaire d'une équipe de course et cascadeur (Après la fin de sa carrière de pilote, R.Touroul a travaillé comme cascadeur pour la production cinématographique internationale).

Il est apparu comme chauffeur dans les productions « Taxi », « La mémoire dans la peau » et « Sueurs »).

 

Pilote autofinancé, il court principalement sur Porsche.

 

Cette année, il engage en catégorie Sport, sous le n° 22, sa PORSCHE 910/6 équipée d’un flat 6 de 1991 cm³.

 

Pour sa troisième participation à la course mancelle, il partage le volant avec Jean-Pierre ROUGET (3 participations).

 

Lors des essais , les pilotes rencontrent des difficultés liées à des ennuis d’alimentation et à une fuite d’huile.

J.P Rouget n’arrive pas à se qualifier, mais est repêché par les organisateurs, sauvant ainsi la participation de la n° 22.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 09 juin à 16 h00, le départ des 55 voitures est donné par Mr Sylvain FLOIRAT (Président de la Société MATRA).

 

Partis de la 37ème place, les pilotes effectuent une remontée régulière jusqu’à la 21ème place.

 

A partir de la 7ème heure de course, ils occupent la première place de leur catégorie (Sport 2L).

                                

                                  (Copyright à qui de droit)

 

Mais, à mi-course, la n° 22 tombe en panne d’essence, suite à un problème de filtre à essence.

C’est l’abandon, alors qu’ils étaient 27ème au général et 1^er de leur catégorie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PORSCHE 910/6 - 24 Heures du Mans 1973 – Flat 6 / 1991 cm3 – Concurrent : Raymond TOUROL - Pilotes : Raymond TOUROL / Jean-Pierre ROUGET – Abandon 13ème heure (Panne d’essence) - Miniature: SPARK

 

C'était Raymond TOUROUL .

 

[GtStan]

Le 14/03/2021 à 23:48, christian82 a dit :

Suite.... pour remplacer ma Quartzo,  j'ai opté pour la Spark....

 

                       

 

                                                          

 

 

13/14 Juin 1981, 49ème édition des 24 Heures du Mans,

 

ZOL Auto est une entreprise Française de ventes et réparations automobiles, concessionnaire BMW, basée à Boulogne Billancourt 92.

 

Elle engage en catégorie Groupe 4, sous le n° 72, une BMW M1, motorisée par un 6 cylindres de 3453 cm³.

 

Cette M1 est confiée à François SERVANIN (7 participations), Laurent FERRIER  (6 participations) et Pierre-François ROUSSELOT (5 participations).

 

Suite aux essais, la n° 72 occupe la 47ème place de la grille de départ (2ème Gr 4) – P-F. ROUSSELOT (4’03’’76), L.FERRIER (4’04’’09), F.SERVANIN (4’09’’16).

 

(Copyright à qui de droit)

 

Le 13 Juin à 15h00, Mr Jean-Marie BALESTRE (Président de La Fédération Internationale Automobile) donne le départ aux 55 engagés.

 

Dans les trois premières heures, la n° 72 perd une dizaine de places, puis remonte doucement dans le classement, malgré des problèmes de réglages et purges de l’embrayage qui occupent les mécaniciens.

 

 

Durant la soirée et la nuit, la remontée au classement général se poursuit et dans la quinzième heure (05 à 06h00), elle est en tête de sa catégorie devançant la Porsche n° 70.

 

L.Ferrier rencontrant des problèmes de santé (rhume) ne peut continuer et la fin de course repose sur les épaules de P-F. Rousselot et F.Servanin.

 

(Copyright à qui de droit)

 

Mais les problèmes moteur continuent sur la BMW M1 et deux heures après, suite à des problèmes d’embrayage, la Porsche n° 70 est en tête.

 

Repartie des stands à 10h15, après avoir changé butée d’embrayage et dumper, la n° 72 rencontre à nouveau des problèmes moteur.

Des problèmes de soupape, d’embrayage et de boite de vitesse mettront un terme à la course de la n° 72.

A 10h18, la n° 72 est obligée d’abandonner.

 

 

 

 

 

 

 

BMW M1 - 24 Heures du Mans 1981 – 6 cyl. / 3498 cm3 – Concurrent: BMW Zol Auto – Pilotes: François SERVANIN / Laurent FERRIER / Pierre-François ROUSSELOT  –Abandon 20ème heure (Moteur) – Miniature: SPARK

 

 

Nota:

- Le joint de pare-brise est assez grossier sur la vraie voiture et quasi inexistant sur le modèle miniature… ..malgré de nombreuses photos disponibles sur pas mal de sites,

J’ai donc repassé du noir sur la bordure….

Photo de la M1 avec le mini joint de pare-brise tel que je l'ai achetée...

 

- D’autre part, les teintes (bleu-vert-jaune-orange-rouge) sont en dégradé/fondu sur la vraie M1, ce qui n’a pas été réalisé ici, dommage (surtout que d’autres fabricants l’avaient fait avant….).;;;;....

Ce serait bien de vérifier les documents photographiques avant de réaliser un modèle…..

 

 

- Le phare droit, est seul relevé sur la miniature (ce qui laisse supposer un dysfonctionnement du système de levage) .......... après de longues recherches, j'ai trouvé une photo de la voiture dans cette configuration (annuel Le Mans 1981, page 77)

Cela s'est passé aux essais, et je pense qu'il aurait été plus judicieux de faire la miniature en version course.

Personnellement, je trouve cela inesthétique, déséquilibrant la ligne avant de la voiture...

 

Ton commentaire sur cette voiture ,mais ,ton historique de la course comporte plusieurs erreurs :

Si le "concurrent " était ZOL AUTO ,cette voiture ,ainsi que la Gr5 , étaient engagées par ORECA .

D'autre part ,les problèmes de butée d'embrayage étaient du au fait qu'un technicien de chez BMW Motorsport ,est venu aprés les essais ,avec des butées d'embrayage "capable de faire la course sans problèmes" .Malgré la réticence des responsables des voitures ,ces butées furent montées ,et dés le premier relais ,il y a eu des problèmes ,jusqu'à ce que la décision fut prise de remonter les anciens modèles et tout rentra dans l'ordre.

Pour les problèmes "moteur" ,ce fut un problème de ..... rupture d'échappement ,et les pilotes étaient incommodés par les gaz d'échappement dans l'habitacle .

Le dimanche matin , suite à une nouvelle rupture d'échappement , sous le prétexte d'un bruit provenant d'une "possible casse moteur en cours" (soupapes ) , ce fut ..... l'abandon .

 

L'autre voiture ,elle , a fini la course 16e .

 

 

[mgaqw]

 

En tout cas, aux essais du Mercredi soir, le phare était ok au début !

 

 

je suis parti à la nuit tombée, et je n'ai pas pu vérifier 😉

 

Bien amicalement,

Michel

Modifié 16 mars 2021 par mgaqw

[christian82]

Il y a 8 heures, GtStan a dit :

 

C'était Raymond TOUROUL .

 

 

Exact, merci pour la rectification.....

[christian82]

Il y a 8 heures, GtStan a dit :

 

Ton commentaire sur cette voiture ,mais ,ton historique de la course comporte plusieurs erreurs :

Si le "concurrent " était ZOL AUTO ,cette voiture ,ainsi que la Gr5 , étaient engagées par ORECA .

D'autre part ,les problèmes de butée d'embrayage étaient du au fait qu'un technicien de chez BMW Motorsport ,est venu aprés les essais ,avec des butées d'embrayage "capable de faire la course sans problèmes" .Malgré la réticence des responsables des voitures ,ces butées furent montées ,et dés le premier relais ,il y a eu des problèmes ,jusqu'à ce que la décision fut prise de remonter les anciens modèles et tout rentra dans l'ordre.

Pour les problèmes "moteur" ,ce fut un problème de ..... rupture d'échappement ,et les pilotes étaient incommodés par les gaz d'échappement dans l'habitacle .

Le dimanche matin , suite à une nouvelle rupture d'échappement , sous le prétexte d'un bruit provenant d'une "possible casse moteur en cours" (soupapes ) , ce fut ..... l'abandon .

 

L'autre voiture ,elle , a fini la course 16e .

 

 

 

D'après la bible en deux volumes, ainsi que celle en trois volumes, c'est bien sous le nom de ZOL-AUTO (concurrent / concession BMW à Paris) qu'était engagée cette BMW M1 .

C'est précisé dans l'annuel de 1981 (page 73) que ORECA-Endurance avait pris en charge la voiture, et en  en assurait l'entretien mécanique. 

De plus la voiture était la propriété de François SERVANIN (pilote de la voiture).

 

Sur ce même annuel, pas un mot sur des problèmes d'échappement de la n° 72, et la cause d'abandon mentionnée (page 160) est : problème soupapes, embrayage et boite de vitesses.

Page 131,  avec une photo de la boite vitesses au sol, il est mentionné:

"" Rien n'a jamais bien été cette année pour BMW, mais là franchement rien ne va plus.

La M1 groupe 4 de Rousselot-Servanin-Ferrier va abandonner.

Après l'embrayage, ce fut la boite et comme une soupape chante faux, Servanin décidera de mettre volontairement un terme à une aventure qu'il avait imaginée moins triste ""

 

Par contre, la BMW M1 Wurth n° 52 (pas la n° 72) avait effectivement des problèmes d'infiltration régulière d'oxyde de carbone dans l'habitacle qui incommodait les pilotes, suite à  de nombreuses ruptures d'échappement,.....et effectivement elle abandonne aussi, le matin,  à 08h30 sur casse moteur....(annuel LM 1981 page 125)...

(Présentée page 39 de ce topic)

 

Modifié 16 mars 2021 par christian82

[christian82]

Il y a 2 heures, mgaqw a dit :

 

En tout cas, aux essais du Mercredi soir, le phare était ok au début !

 

 

je suis parti à la nuit tombée, et je n'ai pas pu vérifier 😉

 

Bien amicalement,

Michel

 

Sur l'annuel la photo en noir et blanc de la BMW avec un seul feu levé se trouve page 77, mais il ne précise pas l'heure.....

Et les décals "Dunpy" du spoiler sur ta photo (magnifique..) ont laissé la place à des "Lois"...

 

Cela me conforte dans mon avis, dommage d'avoir réalisé sur la miniature ce dysfonctionnement qui n'a pas dû durer longtemps , et qui ne s'est (apparemment) pas représenté en course.....

 

 

[pprv94]

Plein de beaux modeles encore ! J'adore la classique r390

[christian82]

Fin d'un TEC......

 

                             

 

 

18/19 Juin 1983, 51ème édition des 24 Heures du Mans,

 

Hubert STRIEBIG est un pilote automobile Français né à WISSEMBURG (Bas Rhin).

 

Pour sa huitième participation aux 24 Heures, il engage une STHEMO CJ 01.

STHEMO est le nom donné par les initiales de ses concepteurs (Striebig, Heuclin, Mossïnger -ingénieur Allemand) à ce prototype inspiré de l’ancienne TOJ de Striebig.

 

Engagée en classe C Junior sous le n° 64, elle est équipée d’un moteur quatre cylindres BMW de 2190 cm³ (préparé chez Weigel), pour un poids total de 705 kg.

 

Elle est pilotée par Hubert STRIEBIG (7 participations), Jacques HEUCLIN (2 participations) et Noël DEL BELLO (1 participation).

 

N’ayant pas bénéficié d’essais privés puisque terminée en début de séance (l’équipe a reçu le moteur de course à 12h00 avant la première séance d’essais de 16h00), les premiers tours de roues sont difficiles.

 

Les pilotes décrochent la 44ème place sur la grille de départ (5ème Gr C Junior) – H. STRIEBIG (4’08’’05), N. DEL BELLO (4’25’’14), J.HEUCLIN (4’25’’82).

 

 

Le 18 juin à 16h00, le départ est donné par Mr Bernard MALSAIT (Commissaire de la République, Préfet de la Sarthe).

 

H.Striebig prend le départ mais revient au stand cinq minutes plus tard pour un problème de transmission.

 

A 16h45, il écourte son relais et laisse le volant à B.Heuclin.

A 17h12, il passe au ralenti au poste 62, et s’arrête à Mulsanne, suite à un allumage capricieux.

A 17h37, il repart pour rentrer au stand où le remplacement des bougies, de la batterie, du capteur, et du boitier d’allumage sont effectués.

 

(Copyright à qui de droit)

 

A 18h11, H.Striebig repart sans que la solution ait été trouvée.

Il est signalé au ralenti sur plusieurs postes de contrôle et revient au stand à 18h32 pour un changement du fil de bobine.

 

Reparti à 18h42, il s’arrête dans la courbe Dunlop.

A 19h30, il repart du poste 3bis, pour rentrer six minutes plus tard au stand.

Le capteur d’allumage est remplacé, et à partir de 20h04 la n° 64 commence à enchaîner les tours.

 

A 00H04, un nouveau remplacement des bougies de la batterie et du démarreur sera nécessaire.

 

A 01h20, N.DEL BELLO prend le volant, mais rentre au stand à 01h35 pour un nouveau remplacement de la batterie.

 

A 02h28, H.Striebig reprend le volant, mais à 02h56 rentre pour un enième remplacement de la batterie et le changementd’un arbre de roue arrière.

 

 

A 06h04, B.Heuclin repart et la STHEMO est signalé arrêté à Mulsanne quatre minutes plus tard.

 

Le moteur de la n° 64 a explosé, et l’abandon est officialisé à 07h20.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

STHEMO CJ 01 - 24 Heures du Mans 1983  – 4 cyl / 2190 cm³ – Concurrent : Hubert STRIEBIG - Pilotes : Hubert STRIEBIG / Jacques HEUCLIN / Noël DEL BELLO – Abandon 15ème heure (Moteur) - Miniature: Kit GCAM

 

 

[GtStan]

Il y a 13 heures, christian82 a dit :

D'après la bible en deux volumes, ainsi que celle en trois volumes,

Je ne sais pas où les auteurs prenaient leurs info , mais comme souvent , dans la course automobile (mais pas que ) , il y a les faits ,et ...... ce qu'on veut qu'il soit rapporté (la com) .

La boite de vitesses au sol : Lorsqu'on change une butée d'embrayage , avec une boite ZF , je ne vois pas comment faire ..... sans la retirer . De plus pendant la course ,c'est ...... chaud .

François Servanin était le propriétaire de l'auto , mais ,ce n'était pas lui qui était au volant à ce moment là et il avait pris la décision d'arrêter d'après les info qu'on lui avait données .

Bef , cela n'a plus aucune importance , c'est du passé (p.... 40 ans, déjà !)...... sans grande importance ,ce n'est qu'un détail dans "l'Histoire" des 24h .

 

 

[mgaqw]

Il y a 18 heures, christian82 a dit :

 

Et les décals "Dunpy" du spoiler sur ta photo (magnifique..) ont laissé la place à des "Lois"...

 

 

Heu.......Christian, regarde bien, ce n'est pas des "Dunpy" mais bien des macarons "Lois" comme sur la 934 de 1979 😉

 

Bien amicalement,

Michel

Modifié 17 mars 2021 par mgaqw

[christian82]

Il y a 5 heures, GtStan a dit :

Je ne sais pas où les auteurs prenaient leurs info , mais comme souvent , dans la course automobile (mais pas que ) , il y a les faits ,et ...... ce qu'on veut qu'il soit rapporté (la com) .

La boite de vitesses au sol : Lorsqu'on change une butée d'embrayage , avec une boite ZF , je ne vois pas comment faire ..... sans la retirer . De plus pendant la course ,c'est ...... chaud .

François Servanin était le propriétaire de l'auto , mais ,ce n'était pas lui qui était au volant à ce moment là et il avait pris la décision d'arrêter d'après les info qu'on lui avait données .

Bef , cela n'a plus aucune importance , c'est du passé (p.... 40 ans, déjà !)...... sans grande importance ,ce n'est qu'un détail dans "l'Histoire" des 24h .

 

 

 

[christian82]

il y a 31 minutes, mgaqw a dit :

 

Heu.......Christian, regarde bien, ce n'est pas des "Dunpy" mais bien des macarons "Lois" comme sur la 934 de 1979 😉

 

Bien amicalement,

Michel

 

Effectivement, je vais prendre RDV chez mon ophtalmo ..........

[benfire]

Originale la STHEMO et nettement mieux montée que celle exposée sur le site de son fabriquant.

La pose des décalques avec les lignes blanches a pas dû être de tout repos. 🧐

[mgaqw]

il y a une heure, benfire a dit :

Originale la STHEMO et nettement mieux montée que celle exposée sur le site de son fabriquant.

 

 

Aurais-tu un lien pour GCAM ?

 

Bien amicalement,

Michel