meiji851 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Pour tout dire, je pense que nous sommes en présence d'un fake, et ça me rassure. Je ne crois franchement pas que cette voiture existe, et encore moins en 11 exemplaires... Désolé http://www.motorauthority.com/ [...] p-for-sale Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Ich235gR 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Merci pour votre accueil C'est vrai que le résultat final est plutôt discutable. C'est comme moderniser une Daytona avec des composants de F12... Ceci dit, ce défi d'ingénieur rend cette voiture peu banale Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Oh punaise mais elle est affreuse avec ces jantes Et puis c'est quoi ce volant, une table de dessinateur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Ich235gR 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Dans le genre un brin dérangé dans sa tête, il y a aussi ce monsieur qui a construit ça : WHO LET THE DODD'S OUT ? Dans les années 60, l'ingénieur anglais Paul Jameson se lance dans la construction d'un chassis pour accueillir le nouveau moteur qu'il vient de s'offrir. Il a craqué pour rien de moins qu'un V12 Rolls Royce Merlin de 27 litres (!!!), plutôt connu pour équiper les avions Spitfire... Il retire les compresseurs et la puissance passe de grosso modo 1200ch à environ 850... Il approche le spécialiste de la boitoto Epson John Dodd, qui l'équipe d'une boite auto Général Motors TH400 à 3 rapports (la même qui équipe la Ferrai 400 Automatic). Dodd étant tellement impressionné par le résultat qu'il rachète le châssis et lui construit une robe en fibre de verre. Il la fait peindre en rouge foncé, lui ajoute une calandre de Rolls, et en voiture Simone, il la baptise "the Beast". Elle ressemble plutôt à une Ford Capri à laquelle on aurait allongé le capot Cette voiture est sponsorisée par British Petroleum (BP) et fait un tabac dans tous les rassemblements à travers l'Europe. Elle fut en son temps couronnée du titre de la plus puissante voiture de route au monde dans le Livre des Records. Malheureusement (?), au retour d'une exposition à Stockholm en présence du roi de Suède, la voiture prend feu ! Dodd fera son possible pour éteindre l'incendie, mais sans succès. C'en est alors fini de "the Beast"... première du nom Il persistera cependant, et la reconstruira, changeant cette fois-ci la forme de la carrosserie pour quelque chose de plus original (?), une sorte de break de chasse jaunâtre... Il reprend les mêmes ingrédients : carrosserie en fibre de verre et calandre de Rolls et c'est reparti ! Sur une autoroute allemande, un automobiliste au volant de sa Porsche s'est fait déposer par John Dodd et sa monture. Il appela alors Rolls Royce pour passer aussitôt commande de ce modèle qu'il ne connaissait pas. Les gens de Crewe n'ayant pas forcément beaucoup d'humour, ils s'empressèrent de prendre des renseignements sur l'homme qui utilisait leur image et ils lui firent un procès, à l'issue duquel Dodd dût retirer tous les ornements Rolls Royce. Il poussera la vice jusqu'à se présenter au tribunal au volant de la bête, l'exposant aux yeux des badauds, et disparaissant dans un épais nuage de fumée. Photo de son arrivée au tribunal Il créera par la suite sa propre calandre portant ses initiales. L'histoire raconte que la "voiture" consommait 1l par km... D'autres rumeurs prétendent que pendant des runs d'accélérations, on pouvait voir le châssis se tordre à l'oeil nu... L'angle sous lequel les autres automobilistes voyaient la bête était plutôt celui-ci : Aujourd'hui, John Dodd coule une retraite paisible à Marbella, et il possède toujours sa bête Une vidéo d'un vieux Top Gear : A bientôt ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Mouss-35 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 c'est vraiment affreux effectivement et complètement con aussi ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Terisonen 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 excellente histoire c'est un barge de voitures ce sultan, il y avait la liste au format word pendant un moment sur le net mais elle ne doit plus être d'actualité sinon je sais qu'ils font ça aux états-unis mais je ne sais plus le nom que ça a de remettre aux standards actuels des anciennes tout en gardant l'aspect d'origine Je sais que ça se fait pour des Porsche 911. Par contre, je suis assez mitigé sur le fait de faire des reconstructions sur des voitures mythiques que sont les Mercèdes Gullwing C'est un peu du sacrilège quand même Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Terisonen 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Sinon, excellente intervention Ichiban Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §oul767Da 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Je sais que ça se fait pour des Porsche 911. Par contre, je suis assez mitigé sur le fait de faire des reconstructions sur des voitures mythiques que sont les Mercèdes Gullwing C'est un peu du sacrilège quand même Carrément! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
cyrilg 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Pour les Porsche, c'est Singer vehicle design Et j'approuve que pour la mercedes, c'est un sacrilège, les jantes sont vraiment moches Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 L'Alpine A110 GT4 une carrière dans l'ombre de sa grande soeur http://www.rmc-cars.fr/allmyphotos/img_full/41/WSR2006_Photo%20330.jpg Toutes les A110 ne sont pas des berlinettes ... Au salon de l'auto de Paris en octobre 1962 (année-modèle 1963), Jean Rédélé présente la nouvelle gamme Alpine, motorisée par la mécanique de la R8. Aux côtés des modèles « Tour de France » et cabriolet, figure un élégant coupé nommé GT4 (type exact A110L, comme "longue") ;l'ALPINE à quatre vraies places est née ... http://3.bp.blogspot.com/_7x5OJoaOo6o/TGrmF9C_DbI/AAAAAAAACRk/aOQ0HWwBI9E/s1600/2.bmp Maintenant, la gamme Alpine A110 est constituée de 3 véhicules à mécanique commune mais identité distincte avec le cabriolet, la berlinette « tour de France » et le coupé GT4 comportant 4 vraies places avec une banquette à l'arrière alors que le 2+2 n'offrait que 2 « strapontins » à ses passagers. Après avoir modifié une carrosserie de 2+2 pour exposer un prototype au salon de l'auto en 1962 à Paris ; de nouveaux moules seront réalisés et un châssis spécifique est étudié pour la fabrication en série des GT4. Comme à son habitude (pour diminuer les coûts de fabrication) Jean Rédélé puise dans les pièces du constructeur Renault pour cette nouvelle Alpine : Si la mécanique provient de la R8 (moteur, boîte, trains roulants, direction ...), on retrouve aussi des éléments issus de la Floride (poignées intérieures et extérieures de portes, pare-brise, phares, vitres de déflecteurs de portes, pare-soleil, essuie-glaces ...). La carrosserie du GT4 en polyester (bien sûr) est toujours moulée chez Chappe & Gessalin à Brie Comte Robert (dépt Seine et Marne) puis boulonnée sur un châssis poutre (contrairement à celle de la berlinette qui est scellée). L'assemblage, la peinture, la sellerie sont aussi réalisés chez C&G puis le véhicule est envoyé chez Alpine, à Dieppe, pour y recevoir les trains roulants et le groupe moto-propulseur. En référence à cette association, figure un écusson C&G sur l'aile avant droite des GT4 ainsi qu'une plaque « constructeur » du célèbre carrossier spécifiant le numéro de fabrication, située à côté de la plaque constructeur Alpine dans le coffre avant. http://www.shorey.net/auto/French/Renault/Alpine/196x%20Alpine%20GT4-07=mwb=.jpg Le coupé GT4 figurera au catalogue Alpine de 1963 à 1969, sans toutefois rencontrer un vif succès L'identification des GT4 par les numéros de châssis, est un peu compliquée à suivre : 20 modèles de GT4, motorisés par le 956 cm3 sont sortis avec une carte grise type A108L et portent un numéro de châssis compris entre 4000 et 4065 (tous les numéros n'ont pas été attribués. Les autres GT4, de type A110L, portent un numéro entre 5001 et 5436 (tous les numéros sont donnés jusqu'à 5049, puis uniquement les numéros pairs) ces véhicules ont été commercialisés avec des moteurs 1108 cm3 (V70 et V100) sauf 3 véhicules équipés du moteur 1296 cm3. Les 15 GT4 équipés d'origine avec le moteur 1255 cm3 (issu de la R8 Gordini) portent, eux, un numéro entre 10220 et 11366 (sachant que tous les numéros n'ont pas été attribués). Une fabrication complémentaire (118 véhicules) sous licence a aussi été réalisée au Mexique sous la marque DINALPIN, entre 1965 et 1974. Sur le plan esthétique, le coupé GT4 ne subira pas de grandes modifications. En 1965, évolution de la taille des phares (passage du diamètre 160 mm à des phares de 180 mm), déplacement des commandes de chauffage sur la face de la planche de bord et remplacement des déflecteurs de porte de Floride par ceux de Caravelle. En 1967, apparition sur le masque avant du losange Renault, suite aux accords passés entre Jean Rédélé et le généraliste Français. En revanche la motorisation a évoluée au rythme de celle de la Berlinette. (voir tableau ci-dessous) Suivant les millésimes, 5 moteurs ont été proposés : La première mécanique qui équipe le coupé GT4 est celle de la première R8, soit le 956 cm3 (65x72 mm) d'une puissance de 51 ch pour une compression de 8,7 . Très rapidement, apparaît le modèle "Version 70", dont le moteur 6 CV de 1108 cm3 (70x72 mm), extrapolé de celui de la Caravelle, développe 66 ch SAE à 6500 tr/mn avec une compression de 9,5 (au lieu de 55 ch pour la Caravelle et de 50 ch pour la R8 Major) avec un carburateur vertical de 40 . Pour l'année 1965, le modèle "Version 100" est proposé avec le moteur issu de la R8 Gordini, 1108 cm3 développant 95 ch à 6500 tr/mn avec un taux de compression de 10,4 alimenté par deux carburateurs double corps horizontaux. L'année suivante, le coupé GT4 est aussi disponible en type 1300 avec le moteur de de la R8 Gordini réalésé, 1296 cm3 (75,7x72 mm),avec une puissance de 115 ch à 6800 tr/mn et un taux de compression de 11,8 toujours alimenté par deux carburateurs double corps horizontaux. Pour le millésime 67, une autre motorisation 1300 fait son apparition, le moteur de 1255 cm3 (74,5x72 mm) développe 105 ch avec une compression de 10,5. Au final la GT4 ne sera qu'a 263 exemplaires, elle sont assez rare à trouver, il y en a 2 à vendre en ce moment sur le net une entièrement restauré et une autre à restaurer qui d'ai que j'en ai l'occasion en discuter avec mon oncle pour savoir si il ne veut pas bosser un peu et lui donner une deuxième vie. La voilà http://images.anciennes.net/cache/5/5c8fbfde2655d118a4de9902f0be3ddf.jpg Voilà Mes sources: alpine-gt4.pagesperso-orange.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §oul767Da 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Très beau reportage! C'est effectivement une voiture méconnue. J'en avais vu une à vendre il y a quelque temps. Le prix était bien inférieur à celui d'une berlinette! 15000€ sauf erreur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §gon514uw 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 La Beast est une véritable tuerie avec son moteur de Spit!!! Consommation : 2 mpg, dit le gars de Top Gear, soit 2 miles parcourus pour 1 gallon d'essence, ce qui nous fait (sortez les mouchoirs): 4,546 litres pour 3,218 kms. Consommation au km : 1,413 litres au km, soit 141.3 l/100. Ça fait un peu peur... Du même tonneau, je ne sais pas si on en a parlé, la BMW Brutus avec son châssis de camion et son V12 de 47 litres de cylindrée (1917): Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Très beau reportage! C'est effectivement une voiture méconnue. J'en avais vu une à vendre il y a quelque temps. Le prix était bien inférieur à celui d'une berlinette! 15000€ sauf erreur. Ça doit être la blanche à restaurer, elle est à 15500 € Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §gon514uw 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Ça doit être la blanche à restaurer, elle est à 15500 € Ah ouais tout de même... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Ah ouais tout de même... Ta vu pour une voiture à restaurer c'est pas donné En plus c'est une 1100 L'autre à vendre est une 1100 aussi mais elle est vendu 33000 € Faudrait plutôt essayé de négocier le prix avec l'autre à restaurer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §gon514uw 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Oui Enfin, vu la rareté du modèle on peut comprendre, mais au final ça va revenir au même prix que l'autre en bon état. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Oui Enfin, vu la rareté du modèle on peut comprendre, mais au final ça va revenir au même prix que l'autre en bon état. Oui en plus regarde a quoi ressemble l'autre qui est restauré [:darth_revan:6] http://chantilly-carsprestige. [...] _cars=1277 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §oul767Da 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Oui Enfin, vu la rareté du modèle on peut comprendre, mais au final ça va revenir au même prix que l'autre en bon état. Pas forcément? La carrosserie plastique peut se refaire chez un spécialiste du bateau. Il faut aussi voir comment est l'intérieur? La mécanique issue de la grande série est plus facile à reconditionner. Je pense que le prix doit aussi pouvoir se négocier? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
DeLorean-FTW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Ford GT – Les 10 ans d’une Supercar déjà mythique Intéressons-nous à une sportive qui fête déjà ses dix ans cette année ! La Ford GT a un design qui rappelle fortement son illustre ancêtre, la GT40, star incontournable des 24 heures du Mans dans les années 60. Revenons au début des années 2000. Ford est sur le point de célébrer son centenaire, en 2003. La Ford GT fera partie d’une série de prototype dont le but est de faire revivre des légendes, à l’instar des Mustang et Thunderbird, qui s’inspirent des années 50 et 60. Ces deux prototypes de Mustang au look néo-rétro, présentés en 2003, préfigurent la nouvelle génération de Mustang à l'époque. Faisons encore un petit pas dans le passé. En 1995, au Salon de Detroit, a été présenté la GT90, un concept car au look spectaculaire qui ne connaitra pas d’avenir commercial, contrairement au prototype qui sera dévoilé en 2002… la GT40 Concept. Ford GT90: un style à part entière! On doit la voiture au studio « Living Legend » de Ford, avec à sa tête Camilo Pardo. C’est à eux que l’on doit les GT, Mustang et Thunderbird, d’abord en tant que prototype, puis en tant que voiture de série. Le légendaire Carroll Shelby a également apporté son aide au développement de la voiture, notamment sur les performances du prototype. L'inspiration est évidente! L'intérieur du prototype. Le saviez-vous ? Lorsque le projet était encore tenu secret, il s’appelait Petunia. En termes de style, le prototype était très ressemblant avec son ainée. Mais la voiture était plus grosse, que ce soit en longueur, largeur… et surtout hauteur ! En effet, souvenons-nous que la GT40 doit son surnom à sa très faible hauteur, en pouces (40 pouces, soit 1 mètre !). Du coup, il fut envisagé de surnommer la voiture « GT43 » mais l’idée fut abandonnée. Trois modèles de « pré-série » seront fabriqués en 2003, mais ce n’est qu’en aout 2004, date à laquelle seront livrés les premiers clients, que commence réellement la carrière de la Ford GT. C’est d’ailleurs son nom définitif, pour deux raisons : - Elle ne fait pas 40 pouces de haut. - Mais surtout, Ford n’est pas propriétaire du nom « GT40 » qui appartenait à une firme anglaise, Safir Engineering. Comme les négociations au moment de la commercialisation de la voiture pour la propriété du nom n’ont pas abouties, la voiture s’appellera finalement GT « tout court ». Naturellement, la GT est un produit 100% américain, produit et assemblé dans l’Ohio et le Michigan. Le monstre sacré des 24 heures est de retour! Ford avait prévu de vendre 4500 voitures, ce sera au final 4038 exemplaires qui seront produits. Pour une voiture vendue au prix recommandé de 139.995$ (puis 149.995 en juillet 2005), c’est tout de même pas mal. La demande étant largement supérieure à l’offre en 2004, la voiture pouvait s’échanger parfois largement plus cher que le prix catalogue. La majoration pouvait atteindre 100.000$ ! Six couleurs étaient au catalogue : - Rouge avec bandes blanches (Mark IV Red) - Jaune avec bandes noires (Screaming Yellow) - Blanche avec bandes bleues (Centennial White) - Noir avec bandes grises (Mark II Black) - Gris avec bandes noires (Quick Silver) - Bleu nuit avec bandes blanches (Midnight Blue) Une toute petite portion a été prévue pour l’Europe. En effet, seulement cent exemplaires de la bête traverseront l’Atlantique pour satisfaire des acheteurs européens, sachant que le nombre d’exemplaires par pays peut varier. Parmi ceux qui n’ont pas su résister aux charmes de la voiture, on peut citer l’anglais Jeremy Clarkson, journaliste et animateur de Top Gear, et l’irréductible Johnny Hallyday. Aux Etats-Unis, l’animateur et passionné d’automobiles Jay Leno est l’un des premiers américains à avoir posséder une GT, il s’agit même du châssis numéro 12. Les châssis 1 à 9 sont réservés à Ford pour un usage interne. En option figuraient les indispensable bandes racing, des étriers de frein peints, une sono McIntosh, et des jantes en alliage forgées. Sa carrière prit fin en en septembre 2006. Le dernier « millésime » avait le privilège d’avoir une teinte supplémentaire, à savoir le gris Tungsten, assorti avec des bandes grises « Quick Silver ». C’est pour célébrer les 40 ans de la première victoire de Ford aux 24 heures du Mans, en 1966. La GT de 2006 en gris Tungsten: splendide! Techniquement, la Ford GT est digne d’une voiture de course. Des éléments de carrosserie sont en aluminium, les freins Brembo aux disques ventilés de 355mm, des suspensions à triangles superposés… Mais certains aspects de la voiture sont plus classiques, comme la boite de vitesse manuelle à six vitesses. De plus, la GT se prive de la plupart des aides à la conduite moderne ! Il n’y a guère que l’ABS qui soit « moderne » sur cette voiture. Et pour la propulser, un V8 5.4L en position centrale arrière, tout aluminium, compressé, développe la puissance généreuse de 550 chevaux à 6500 tr/min, avec un couple de 678nm à 3750tr/min. Il est installé le plus bas possible pour améliorer le centre de gravité. Avec une telle puissance, les chiffres sont excellents : le 0 à 160km/h est bouclé en 7,4 secondes, le ¼ de mile en 11,2 secondes, la vitesse de pointe étant limitée électroniquement à 330 km/h. La GT était plutôt "old school" comparé à ses rivales de l'époque, les Lamborghini Gallardo, Ferrari F430... Intérieur néo-rétro, dont le style rappelle les GT40... Parlons enfin des GT les plus rares, les GTX1. Ce ne sont pas des voitures à part entières, mais des modifications approuvées par Ford, faites par le groupe Genaddi Design. Pour 48000$, le châssis est modifié (suspensions, rabaissement de la voiture, freins, aérodynamique) et la puissance grimpe à 700 chevaux. Mais surtout, on peut désormais profiter de la GT cheveux aux vents ! Ce qui est tout de même l’élément principal de cette transformation. Une centaine de GT ont été transformées jusqu’en 2008. Elles sont reconnaissables avec leur couleur orange spécifique, accompagnée de bandes grises. Les jantes sont également inédites. Sous cet angle, la GTX1 est presque normale... Une configuration T-Top? Oui, c'est possible! Le son du V8 doit être merveilleux sans le toit! La GT a en outre connu une belle carrière sur les circuits, principalement en GT1, GT3, American Le Mans Series… elle se pare alors d'un gros kit carrosserie et d'un immense spoiler à l'arrière, pour la faire coller à la route! Alors, je la veux de quelle couleur? Hum, j'hésite... Voilà, c'était ma première histoire que je voulais mettre sur ce topic! 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Invité §DBS568zW 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 Jolie l'histoire Delorean Pas forcément? La carrosserie plastique peut se refaire chez un spécialiste du bateau. Il faut aussi voir comment est l'intérieur? La mécanique issue de la grande série est plus facile à reconditionner. Je pense que le prix doit aussi pouvoir se négocier? Polyester Oui le prix doit pouvoir se négocier en regardant l'état de l’intérieur et de la mécanique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §oul767Da 5 mai 2014 Signaler Partager 5 mai 2014 J'aime beaucoup la GT . Une voiture historique avec ses lignes qui sont la réplique presque exacte des GT 40 ayant couru et gagné les 24 h du mans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 10 mai 2014 Auteur Signaler Partager 10 mai 2014 On s'éclate en mon absence dites-donc... C'est très bien tout ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
fangio_151 10 mai 2014 Signaler Partager 10 mai 2014 Pour avoir fait un tour en Ford GT il y a quelques années, je confirme que le bruit est juste fantastique, de quoi humilier le chat sauvage en F360 qui tournait à côté sur le circuit ! On entendait pas la Ferrari ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Ext357ch 13 mai 2014 Signaler Partager 13 mai 2014 Ce weekend j'ai pu faire un petit tour dans une Mustang préparée par Roush, elle avait un V8 de 415ch et je peux vous dire que ça pousse bien ^^ Mais le bruit du moteur c'est pas du bruit mais une mélodie tellement il est beau Alors je n'imagine pas celui de la GT... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
neophyteenhonda 13 mai 2014 Signaler Partager 13 mai 2014 super l'histoire de la Ford GT même si je la connaissais cette voiture est pour moi, l'une des dernières pure supercar avec la carrera GT après c'est de l'électronique que n'importe qui peut conduire un peu vite vous aurez compris j'aime cette voiture Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
fangio_151 13 mai 2014 Signaler Partager 13 mai 2014 Niveau bruit, la GT est caverneuse, on entend finalement assez peu le compresseur, c'est très rauque, ça sonne "à l'Américaine" ! Et bon dieu, le Z4 marche bien, mais là je dois avouer qu'on sent la différence ! Et encore, le propriétaire ne pouvait pas appuyer très fort, il pleuvait... et pourtant... ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 14 mai 2014 Auteur Signaler Partager 14 mai 2014 (modifié) FIAT : SAGA AFRICA MULTIPLA ! J'imagine les plus jeunes d'entre vous encore hantés par la vision "Ornithorynqueste" d'un monospace Fiat Multipla des années 2000 au détour d'un virage, cette sensation effrayante d'un truc-machin au look inclassable qui, pourtant, trouva au moins un client pour l'acquérir et vous foutre une trouille bleue, celle du genre à vous rendre autophobe à vie et qui peut vous inciter à rejoindre définitivement les rangs d'une Chantal Perrichon matinée de Cécile Duflot ! Pourtant la firme transalpine n'en était pas à son coup d'essai en la matière : C'est lors du Salon de Bruxelles 1956 que Fiat présente son Multipla premier du nom. Avanti la Combinazione ! Pas symétrique mais pas loin non plus… Extrapolé de son modèle 600, la marque est fière de présenter à la Cantonnade "la première voiture particulière à cabine avancée"! En fait l'équipe de l'ingénieur en chef Dante Giacosa, dont je rappelle qu'il sera peu ou prou le concepteur de pratiquement toutes les Fiat de l'après-guerre à la fin des années 70, a bien jugé le marché italien… 3,53 m de long, 1,45 m de large et 1,58 m de haut. Et "là-dedans" on est parvenu à faire entrer… Six adultes ! La péninsule, encore très majoritairement rurale avant-guerre, s'est industrialisée à la vitesse de l'éclair et le besoin se fait désormais sentir au début des années 50 pour la commercialisation d'un petit véhicule économique capable d'emmener non seulement la paternel à l'usine chaque matin mais aussi la Mamma et les Bambinis en promenade le dimanche ! Non, l'Airbag passager ne s'est pas déployé : C'est la roue de secours ! Partant donc d'une base connue, les Italiens vont faire très, mais alors vraiment TRES fort ! Mécaniquement identique à la Fiat 600 avec son 4 cylindres de 633 cm3 installé à l'arrière et développant la puissance kolossale de 21 ch Din (!!!) ce scarabée à roulettes est parfaitement capable de faire entrer 6 adultes dans ses flancs ! Comment ? Grâce à une banquette à l'avant pouvant "contenir" trois personnes et deux rangées de strapontins escamotables à l'arrière ! Bon, pour les faire ressortir de la voiture au bout de 500 km de départementales le constructeur ne garantissait plus rien par contre… Et en plus les strapontins étaient escamotables dans le plancher. Résultat : Une surface de chargement totalement plane, idéale en semaine pour l'artisan ! En fait le Multipla était tout simplement l'ancêtre méconnu de nos monospace démocratisés en 1984 par l'Espace de Matra, la version "normale" étant une cinq places classique (deux sièges avant et une banquette trois places à l'arrière qui garantissait une certaine capacité pour le coffre à bagages placé juste devant le compartiment moteur), la version "6 places" ayant été imaginée en tant que Taxi initialement, activité que le Multipla saura assurer à la perfection durant plus de 10 ans dans les plus grandes citées Italiennes, bien entendu agrémenté d'une volumineuse galerie sur le toit pour les bagages des clients. Plus originaux que les taxis Londoniens leur carrière plus courte ne les fera hélas pas vraiment entrer dans la légende, c'est dommage… La version cinq places pouvait même se transformer en Camping-Car pour la nuit ! Une bonne raison pour agrandir la famille et passer ensuite à la version six places non ? Sacrés Italiens… La conduite ? Malgré un poids à vide de 720 kg (désormais c'est le poids de votre tableau de bord… ) on va dire que c'est plutôt dans le genre "On/Off" ! Bien lancé sur le plat (un jour sans vent) le Multipla était capable de 95 km/h et même d'un bon 105 avec le moteur réalésé à 767 cm3 d'une puissance de 29 ch Din qui équipera l'engin à partir de 1960. Mais en 2014 la moindre côte vous fera vite comprendre que les Man et les Scania sont vraiment très puissants de nos jours… Clairement vous ne verrez guère que leur plaque d'immatriculation dans le rétro, par contre l'insonorisation inexistante fera que vous entendrez très bien leur klaxon ! Les freins n'ont jamais été vraiment un problème et la tenue de route non plus avec les quatre roues indépendantes, mais la position de conduite "en avant des roues directrices" à la manière d'un autobus qui "balaie la route" à chaque virage avait vite fait de tempérer les ardeurs des fous du volant, Italiens ou non ! Le seul gros soucis survenait lors d'épisodes caniculaires où le refroidissement du berlingot assis tout seul dans l'fond devenait problématique… On résoudra le truc à la manière des Abarth 500 contemporaines, en roulant capot ouvert ! Bien caché à l'arrière le moteur avait vite ses vapeurs en été… Quand à la tenue de cap une fois chargé, avec un empattement de deux mètres (celui de la 600...) et une largeur de 1,45 m on n'allait pas lui demander la lune non plus. "Bon, je veux bien monter ma chérie mais la valise je la met où ?" Semble dire cet homme au costume impeccable. Il est assez hallucinant de songer, à notre époque bardée d'Airbags d'ABS et d'ESP, que Fiat trouvera entre 1956 et 1965 plus de 240 000 clients pour acquérir un engin dont la seule protection offerte au conducteur était le millimètre de tôle de la carrosserie et le verre trempé du pare-brise Securit. Combien d'étoiles au crash-test Monsieur Euroncap ? Moins cinq ?? Rhôôôhhh... Trop limité en charge utile (pas plus de 400 kg, oui les Italiennes étaient fluettes à l'époque ! ) le Multipla sera vite rejeté par la clientèle au profit du 850T qui lui succède au catalogue, sans doute plus "utilitaire" dans sa conception mais infiniment plus logeable au quotidien. Malgré d'incontestables qualités le "Multipla original" disparaîtra vite du paysage (il ne sera vendu pratiquement qu'en Italie, les autres nations ayant toujours vu la Bêbête comme un engin disons assez "exotique") et sera vite oublié de tous, hormis les anciens utilisateurs qui, après quelques verres de Lambrusco, racontaient lors des fêtes de familles avec des trémolos dans la voix et la larme complice au coin de l’œil comment toute la famille partait en vacances à Rimini, les valises en carton bouilli et la cage du canari sur la galerie ! La fierté de la liberté et les trente glorieuses, toute une époque ! Il faut attendre les années 90 et l'avènement de "l'automobile de loisirs" pour que le géant de Turin imagine ressusciter le concept, mais en plus moderne bien entendu ! Prenant "le train en marche" (il y a déjà belle lurette que Renault se félicite de son association avec Matra sans parler de Nissan qui a présenté la trop méconnue Prairie en 1982) on est conscient qu'il faudra faire "original" pour capter l'intérêt d'un grand public qui achète souvent sur un coup de cœur et plus du tout par fidélité envers telle ou telle marque. C'est pourquoi le groupe Fiat est fier de présenter à la Cantonnade "la première voiture particulière à bec de canard intégral" ! (Bon, ça c'est moi qui le dit hein ! ) Coin Coin ! La commercialisation de ce véhicule basé sur la plateforme des Bravo/Brava débute fin 1998 en Italie, il est tout de suite salué par la presse spécialisée (mais aussi généraliste) car il recèle pas mal d'avantages par rapport à la concurrence : -Une longueur limité à 3,99 m pour six "vraies" places ! L'habitabilité était LA grande qualité du nouveau Multipla : Rien a voir avec son ancêtre ! -Une largeur de 1,87 m permettant l'installation de deux rangées de trois sièges chacune, permettant de préserver un espace conséquent à l'arrière pour les bagages : 430 litres, sièges non rabattus ! La modularité était (et est toujours d'ailleurs !) un modèle d'exemplarité. Par contre la finition était dans les habitudes "Fiatesques" : Joli/pas cher quand c'est neuf et à l'usure accélérée au fil du temps. Proposé à l'origine avec un 4 cylindres essence 1 600 cm3 de 103 ch Din ou un Turbo-Diesel 1900 cm3 de 105 ch ses performances en font un véhicule parfaitement à l'aise sur toutes les routes, avec une vitesse de pointe d'environ 170 km/h. Une version avec un moteur fonctionnant au gaz sera aussi proposée. Globalement il s'agit d'un bon véhicule qui tient largement ses promesses, en particulier au niveau d'une tenue de route assez bluffante pour un monospace (au prix d'une suspension ferme au demeurant…) mais était-il nécessaire de défrayer la chronique avec un look disons aussi… Compliqué ? Le tableau de bord, avec son levier de vitesses très bien placé, libérait le plancher devant le troisième siège. Par contre le levier de frein à main, déplacé contre la portière du conducteur, a déchiré plus d'un pantalon ou d'une jupe ! Car si les flancs plats garants d'une bonne habitabilité ainsi que l'arrière "passent encore" la face avant est trop singulière, surtout le fameux "bourrelet" qui ceinture la base du pare-brise et qui fait croire que le Multipla New génération est issu de deux voitures grossièrement recollées ! La face avant de la voiture ne "passera pas" chez de nombreux automobilistes, et ce malgré les qualités indiscutables du concept. Bon, il faut reconnaître que ce design ne copie personne (ni avant, ni pendant, ni après d'ailleurs…) et qu'il a le mérite d'une totale originalité, au même titre que les trois places avant de front ou les six sièges indépendants et réglables. Pourtant, et malgré toutes ces qualités, la sauce ne prend pas… Il faut se rendre à l'évidence, comme le disait le fameux designer Franco-Américain Raymond Loewy "La laideur se vend mal" ! Et malgré une exposition de la voiture au musée d'art moderne de New-York en 1999 le Multipla ne fait pas recette (remarquez la Renault 14 fut bien récompensée du "Grand prix du Design 1976" sans que cela n'en fasse un Best-seller non plus hein ! ) Fiat a peu communiqué dessus mais il était possible en option d'installer un frigo à la place du siège central ! Un petit bémol concernant la sécurité passive de l'engin, assez quelconque… Et ce même si elle n'a plus rien à voir avec celle du tout premier Multipla ! Trois étoiles : C'est bien pour un hôtel, moins pour une voiture… En 2004, après la production de 200 000 exemplaires (dont environ 24 000 vendus en France) le Multipla fait peau neuve. C'est surtout à l'avant que la mutation est la plus visible, en effet la voiture perd son "bec de canard" au profit d'une face infiniment plus consensuelle (au passage la longueur totale du Multipla augmente de 10 cm). Fiat espère par là dynamiser les ventes d'une voiture qui, si on ne peut pas parler de "flop commercial", a des chiffres de production nettement inférieurs à ceux d'un Renault Scénic ou d'un Opel Zafira. Un avant bien plus anonyme fait son apparition en 2004... Question à 100 balles : Et si le Multipla avait été présenté tel quel en 1998, n'aurait-il pas connu une autre carrière ? L'arrière change peu, ce n'était d'ailleurs pas vraiment nécessaire. Le frein à main reste au même endroit, empêchant la conduite accompagnée, cette dernière n'étant possible que si l'accompagnateur a accès à ce dernier depuis la place du passager. La mécanique changera peu, hormis le Turbo-Diesel qui était déjà passé à 110 ch en 2000 puis 115 ch l'année suivante et qui permettra au Multipla série 2 d'atteindre 120 ch Din avec le JTD Multijet 1,9 litre. Pourtant il n'y aura pas de miracles, le Multipla a désormais affaire à une concurrence généralisée et plus "huppée" comme le Mercedes Classe B en 2005 ou encore le Toyota Corolla Verso présenté un an auparavant par exemple… Le vilain petit canard transalpin nous tire sa révérence dans la plus grande discrétion en 2010, remplacé (si l'on peut dire…) par la Fiat 500L, qui à mon avis joue dans un registre différent. Si vous cherchez un véhicule original je pense que l'achat d'un "Multipla 1998-2010" est une excellent affaire à long terme, surtout en série 1 dont le "Design" devrait faire date à l'avenir, un Youngtimer de valeur en devenir à mes yeux. Concernant le tout premier Multipla vous pouvez oublier : Non seulement il est difficile à trouver mais sa côte en bon état dépasse désormais très largement les… 20 000€ !!! Rétromobile 2005 : Superbe 600 Multipla restauré en Italie : 1999, la publicité de lancement avec la participation de Shumi' : Jensen. Modifié 16 novembre 2022 par jensen Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
charlou 89550 14 mai 2014 Signaler Partager 14 mai 2014 Super sujet comme d'habitude. Comme quoi Matra n'a pas révolutionné l’automobile familiale. Par contre, petite précision, le compte tour existait déjà sur la version 1 du multipla moderne Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
jensen 14 mai 2014 Auteur Signaler Partager 14 mai 2014 C'est ce qu'il me semblait mais j'avais comme un doute... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §dav512aL 14 mai 2014 Signaler Partager 14 mai 2014 Le Honda FR-V qui reprenait le même concept que le Multipla n'a pas rencontré non plus le succès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Clampinus 14 mai 2014 Signaler Partager 14 mai 2014 Super cette histoire ! Je connaissais vaguement le premier Multipla pour l'avoir vu dans un magazine, mais pas en détail. Quant au Multipla moderne, il m'a toujours fait rire... Sans doute une de ces caisses qui nécessitent une bonne dose d'auto-dérision pour rouler dedans ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §alf361Zj 14 mai 2014 Signaler Partager 14 mai 2014 Bravo Jensen Je me souviens 2 commentaires lus dans la presse lors de la sortie du Multipla : 1/ ..."C'est le croisement d'un canard, d'un dauphin et d'une boite à chaussures"... 2/ ..."C'est la charentaise de l'automobile: on est bien dedans, mais on a un peu honte de sortir avec dans la rue"... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §DBS568zW 18 mai 2014 Signaler Partager 18 mai 2014 Super Jensen C'est vrai que le deuxième Multipla était plus jolie que le premier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §s2d370qs 18 mai 2014 Signaler Partager 18 mai 2014 Non, il est juste moins moche ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
kevin414kevin91 18 mai 2014 Signaler Partager 18 mai 2014 Je voulais en acheté un pour ma femme ( ont c'est jamais sur un malentendu sa peu marché ) je voulais un des premiers qui pour moi ( je parle de l'enfant d'une dizaine d'année que j'etait quand il en a vu un neuf ) j'ai trouvé que l'avant ressembler à une bouée de piscine (oué j'etait déja tordu à l'époque ) . Bref depuis j'aime le multipla 1 ( enfin celui des années 2000 si j'ai bien compris ) parce que le 2 me fais pensez un a vulgaire utilitaire que je trouve moche ! bien sur nous n'en avons pas eu parce que ma femme trouve sa moche ( comme 95% de la population ) Un jour j'en imposerait un Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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