Restauration et mésaventures de ma 304S cabriolet

[scenic_en_colere]

Incroyable! Incredible comme on dit de l'autre coté de la Manche.

 

Je ne parle pas de la vitre ça je sais que ça va se résoudre rapidement et facilement. Mais de l'électricité. ça sent quand même le contact bizarre quelque part. Ta tresse de masse que tu as changé ?

[JMF67]

Hello 

Sur ce coup, les gremlins ont faits très fort, quoi de pire qu'une panne intermittente, inspecteur Nanar à vous d'enquêter, armé de son célèbre smith & wesson à non ça c'est l'inspecteur Harry, armé de son célèbre Metrix Narar va sans aucun doute établir la lumière sur cette affaire.

Ceci dit je me demande si la plupart des connexions ne sont pas polluées par le vert de gris petit-fils de la dame en rouge.

La vie sous le carport n'arrange pas les choses pour Titine.

Bon courage et à bientôt pour le prochain épisode JM 

[Monclar47]

Coucou,

 

On est plutôt chez Maigret !  

[Nar1955]

Salut les amis

 

La suite est en train de s'écrire (et de se vivre puisque j'écris en live). Il ne suffit pas de trouver les coupables, encore faut-il les appréhender... L'enquête avance à grand pas, mais les protagonistes sont toujours à l'affut d'un mauvais coup... Je vais poster une partie de l'affaire demain. Je n'ai pas encore le dénouement final... Le 'bon sang, mais c'est bien sûr de Bourrel' arrivera peut-être dans les prochains jours, si je ne suis pas enquiquiné par des Gremlins de maison. Eh oui! J'en ai plein la baraque et aujourd'hui, ils n'ont rien trouvé de mieux que de me boucher la grosse canalisation d'évacuation, ce qui a fait refouler tous les syphons et inonder mon sous-sol. Etant dans la merde (c'est le cas de le dire), je n'ai pu pas avancée sur les problèmes titinesques aujourd'hui... Grrrrr!

[pti macdoul]

Il y a 8 heures, Nar1955 a dit :

Salut les amis

 

La suite est en train de s'écrire (et de se vivre puisque j'écris en live). Il ne suffit pas de trouver les coupables, encore faut-il les appréhender... L'enquête avance à grand pas, mais les protagonistes sont toujours à l'affut d'un mauvais coup... Je vais poster une partie de l'affaire demain. Je n'ai pas encore le dénouement final... Le 'bon sang, mais c'est bien sûr de Bourrel' arrivera peut-être dans les prochains jours, si je ne suis pas enquiquiné par des Gremlins de maison. Eh oui! J'en ai plein la baraque et aujourd'hui, ils n'ont rien trouvé de mieux que de me boucher la grosse canalisation d'évacuation, ce qui a fait refouler tous les syphons et inonder mon sous-sol. Etant dans la merde (c'est le cas de le dire), je n'ai pu pas avancée sur les problèmes titinesques aujourd'hui... Grrrrr!

 

Bon courage a toi  

Moi je suis plus confronté a un problème de type enfants de 3 et 6 ans

[daniel762]

Il y a 8 heures, Nar1955 a dit :

Salut les amis

 

La suite est en train de s'écrire (et de se vivre puisque j'écris en live). Il ne suffit pas de trouver les coupables, encore faut-il les appréhender... L'enquête avance à grand pas, mais les protagonistes sont toujours à l'affut d'un mauvais coup... Je vais poster une partie de l'affaire demain. Je n'ai pas encore le dénouement final... Le 'bon sang, mais c'est bien sûr de Bourrel' arrivera peut-être dans les prochains jours, si je ne suis pas enquiquiné par des Gremlins de maison. Eh oui! J'en ai plein la baraque et aujourd'hui, ils n'ont rien trouvé de mieux que de me boucher la grosse canalisation d'évacuation, ce qui a fait refouler tous les syphons et inonder mon sous-sol. Etant dans la merde (c'est le cas de le dire), je n'ai pu pas avancée sur les problèmes titinesques aujourd'hui...

 

Ce suspens est insoutenable... 

 

Il y a 8 heures, Nar1955 a dit :

 

Grrrrr!

 

Tu pousses le cri de ralliement des Gremlins, et tu t'étonnes de les attirer ???

Modifié 6 février 2022 par daniel762

[Nar1955]

La vitre et l’électricité, ça continue…

 

Jeudi 3 février 2022 – 16 h 45 : Je décide de revenir sur mes problèmes laissés en plan en début de semaine. Il s’agit de mon problème de vitre côté passager qui a décidé de se balader d’avant en arrière dès qu’on la manœuvre, et de la recherche du Gremlins responsable du problème électrique qui fait disparaître l’alimentation générale de Titine.

Pour la portière, j’avais constaté, après démontage de la garniture, que le patin qui sert à guider la vitre dans la glissière avant, avait décidé de jouer les filles de l’air, laissant la vitre libre de tout mouvement vers l’avant. Après un examen minutieux, j’avais constaté que ledit patin ne faisait plus copain-copain avec la pince métallique permettant sa jonction avec la vitre.

 

 

Compte-tenu de l’heure tardive, j’avais laissé tomber toute intervention sur cette partie de carrosserie.

Maintenant, il me reste deux solutions. Une mauvaise et une moins bonne… Oui, je sais, il faudrait une bonne solution, mais celle-ci consisterait à remplacer la pièce défectueuse. Hélas, il faut que je vous l’avoue, je ne la sens pas ! Une bonne raison à cela : cette pièce est introuvable, à moins de remplacer toute la portière… J’ai donc le choix entre les deux mauvaises solutions.

La première consisterait à retirer la pince de la vitre pour ressouder la patte cassée. Mais là, je sens qu’un Gremlins va venir mettre son souk. Comment ? En faisant péter la vitre lorsque je vais forcer sur cette pince pour l’extraire. Je les connais les bestioles… Même si j’y vais doucement, il y a de grande chance pour qu’ils interviennent.

La deuxième, la plus pourrie de toute, c’est de coller le patin à sa place dans la pince. Pourquoi c’est la plus pourrie, tout simplement parce que côté mécanique, ça ressemble au travail de Monsieur Gougnafier.

Pourtant, si je fais une analyse de risque, c’est quand-même la deuxième solution qui présente le moins de chance de tenter les Gremlins… Allez ! Adoptée ! Et tant pis si ça ne fait pas sérieux. Ce sera sans doute du provisoire, mais en attendant, j’espère que cette solution fonctionnera, c’est-à-dire que ma colle PU sera suffisamment solide pour résister à l’effort produit sur cette pièce…

Je vais donc coller le patin…

 

 

J’enduis donc le support du patin avec ma colle PU.

 

 

Et je le glisse dans l’emplacement qu’il n’aurait jamais dû quitter…

 

 

 

Bon ! Je ne vais pas remonter la portière. Je vais attendre que la colle durcisse avant de faire un essai. Ça passe ou ça casse…

En fermant la portière, mes yeux non émerveillés tombent sur un défaut dont je n’avais pas vu l’ampleur jusqu’à cet instant. Le joint de bas de vitre a pris une forme bizarre, qui le rend complètement obsolète. En bref, il ne sert plus à rien…

 

 

 

 

Machinalement, ayant un tournevis plat à portée de main, je pousse le joint vers la vitre au niveau du décollement… Tiens ? Il reste en place ? Je pousse un peu plus loin et par petit bout, j’arrive à refaire plaquer ce bout de caoutchouc sur toute sa longueur.

 

 

Le résultat me plait assez, mais qu’en sera-t-il si je manœuvre ma vitre ? J’allais tenter la manip quand mon neurone ‘d’alerte connerie’ me stoppe net dans mon élan…

-       « T’as oublié que la colle du mécanisme n’est pas sèche… ? »

Et m… ! J’allais oublier ce détail ! Je repousse donc mon essai à un autre jour. Tant pis ! Je resterai avec ma frustration…

Heureusement, je vais pouvoir me rattraper en partant à la chasse aux Gremlins, spécialistes en gagates électriques…

Mon problème de jus qui est là et plus là me trifouille le schmilblick… Ce soir, je constate que le plafonnier s’éclaire bien quand j’ouvre la portière. Le jus est donc là !

 

 

Je mets les veilleuses…

 

 

Jusque-là, ça va ! Je mets le contact…

 

 

C’est toujours bon ! Je tourne d’un cran le contact et… ! Reuhreuhreuhreuh… ! Bon ! Le démarreur tourne bien, même si le petit 1300 ne veux pas démarrer. J’insiste un peu, et… Reuhreuhreuh clac clic ! Oups ! Tous les voyants viennent de s’éteindre d’un coup, ainsi que le plafonnier !

 

 

Je trifouille la cosse du plus batterie dans le capot et…

 

 

Bin mince ! Les voyants du tableau de bord se rallument ! Je tente un nouveau démarrage, mais les voyants s’éteignent de nouveau… Bon ! Il n’y a pas à évacuer du fondement, le problème vient bien de mon gros câble qui part du plus de la batterie. Comme j’ai refait la cosse qui va sur le robinet, je présume que le faux contact, car faux contact il y a, vient de l’autre extrémité de ce gros fils, c’est-à-dire, sur la liaison avec le démarreur.

Je commence par débrancher mon câble côté batterie. Tiens ? Il me semble trop mou par rapport à sa section et à sa composition. Cela confirme que j’ai peut-être un souci à l’autre extrémité, ou qu’il est coupé quelque part, ce qui m’étonnerait fort…

Comme je ne peux tergiverser pendant 107 ans, je récupère ma caisse à clou pour démonter la partie filtre à air. « Pourquoi le filtre » me direz-vous ? Parce que la cosse du démarreur est aussi accessible qu’un colis dans une boite aux lettres sans ouvrir la petite porte. On peut la toucher, mais rien de plus…

 

 

Mais en démontant le filtre, mes yeux tombent sur un autre problème qui n’a rien à voir. Le niveau du liquide de frein est vraiment très bas…

 

 

Ouille ! Il est même si bas qu’il est passé en dessous de la prise de la commande l’embrayage… Je ne peux laisser ça comme ça ! Je récupère un bidon de liquide et je refais le niveau.

 

 

Quelques bulles ressortent de l’orifice où le tuyau allant vers la pédale d’embrayage est branché. Pas glop mais pas glop du tout… ça veut dire que de l’air est rentré dans ce tuyau, et qui dit air dit, risque fort de ne plus pouvoir débrayer. Je presse le petit tuyau noir entre deux doigts et de nouvelles bulles ressortent…

 

 

Je continue, et les bulles n’arrêtent pas de remonter dans mon récipient. Bouhhh ! Vais-je devoir faire une purge de ce circuit merdique ? La baisse de niveau dans mon bocal ne viendrait-elle pas d’une fuite au niveau de l’émetteur d’embrayage ? Encore un problème à rajouter à ma liste à la Prévert des réparations futures… Bon ! Pis de panaque ! Le niveau est bon à présent et j’ai d’autres crocodiles empailler à fouetter (Je refuse toujours de fouetter mes chats… mais je n’ai pas envie non plus de fouetter les sauriens vivants !).

Je continue donc à démonter mon filtre à air pour atteindre la cosse du démarreur. Une fois retiré, je constate que ladite cosse ainsi que sa liaison au gros câble noir ne sont pas d’une fraîcheur exemplaire.

 

 

La cosse semble recouverte de vert de gris, signe d’oxydation du cuivre, et la liaison fait un angle qui ne me dit rien qui vaille… Cette fois c’est sûr ! Je dois aller jusqu’au bout de mon démontage.

Vous dire que le retrait de l’écrou qui serre cette cosse a été facile, ce serait me moquer de vous. J’en chie une raide, car même desserré, impossible de bouger cet écrou du bout des doigts. Je suis obligé de le dévisser huitième de tour par huitième de tour jusqu’au bout. « Pourquoi des huitièmes ? » Tout simplement parce que je n’ai pas la possibilité de faire plus de rotation avec ma clef compte tenu du cheminement de certaines tuyauteries qui m’empêchent tout débattement supplémentaire. Déjà que ma position pour atteindre cet écrou me comprime l’estomac au point de le sérigraphier avec le dessin de ma colonne vertébrale, autant vous dire que le fait que cet écrou ne tourne pas librement me met rapidement les nerfs en pelote…

Une fois l’élément hexagonal retiré, je retire la cosse du gros fil noir et de celui du fil jaune qui va sur la boîte à fusible. Avec ma lampe, j’éclaire le lieu du sinistre et mon regard tombe sur quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir pour que je puisse rester serin…

 

 

Voyez-vous ce que je vois ? La réponse est sûrement « Non » pour des yeux non avertis et évidemment « oui » pour les autres. Allez, je confirme ! La vis sur laquelle viennent se fixer mes deux cosses à pris un angle non mécanique annonçant une rupture prochaine… C’est ce qui explique, sans doute, la difficulté rencontrée pour dévisser l’écrou à la main… Alors ça, ce n’est pas cool du tout ! Que faire ? Remplacer le démarreur ? Retrouver une autre vis à condition que celle-ci soit en cuivre ? Et quand bien même, est ce que je peux retirer cette vis facilement ? Je peux aussi me contenter de ne changer que le lanceur… Encore faut-il en trouver un ! De toute façon, quelle que soit la solution adoptée, je sens que je vais galérer. Je peux aussi faire comme si je n’avais rien vu, mais là, ça ne marche pas chez moi, car après analyse de risque très succincte, si cette vis vient à se rompre, il y a 102 chances sur cent pour que le gros fil du ‘plus’ vienne faire joujou avec la masse. Et là, je ne vous dis pas ! C’est l’incendie assuré…

En attendant, je vais quand-même jeter un oeil sur la cosse qui trône au bout de mon câble et qui me semble légèrement oxydée. Je défais le scotch qui masque le départ du câble pour voir l’état de ce dernier.

 

 

Le câble n’est pas vraiment mauvais, mais pas vraiment bon non plus…Je ne sais pas pourquoi, mais cette liaison ne m’inspire pas. Je tire un peu sur la cosse tout en la tournant, et je constate que mon câble sort petit à petit. En bref, ce foutu fil électrique semble juste emboité dans sa cosse. Je tire un peu plus et soudain, la cosse est libérée…

 

 

Et là… méga compris ! L’intérieur de cette foutue cosse est aussi net qu’une fosse septique de 20 ans qui n’a jamais été curée. J’en suis à me demander comment le coco arrivait à passer dans ce tas de m… ! Comme il me semble impossible de nettoyer l’intérieur de cette cosse, je vais tout simplement la remplacer. Ça tombe bien puisque je viens de retrouver, enfouis au fond de la poche de ma vieille veste, la cosse que les Gremlins avaient planquée et que j’ai cherché partout jusqu’à abandonner. J’avais dû réutiliser l’ancienne cosse pour refaire l’autre câble.

Bon ! Comme le câble est oxydé, je ne vais pas le sertir sans lui faire un nettoyage de printemps. Je tente un essai avec une brosse métallique, et je suis agréablement surpris de voir que le résultat n’est pas si mal que ça…

 

 

Il me reste à fixer le câble sur la cosse. Je glisse cette dernière sur le fil, sers le tout dans l’étau afin de sertir la cosse, même si une bonne pince aurait fait un meilleur boulot (au niveau esthétique)

 

 

Pour finaliser le contact, je fais fondre un peu d’étain à l’intérieur de la cosse. Bon ! Il est vrai que les Gremlins se sont de nouveau manifesté en sabotant mon petit chalumeau. Ils n’ont rien trouvé de mieux que de boucher l’orifice du gaz avec je ne sais quelle mixture. Ce n’est qu’après l’avoir démonté intégralement et lui avoir donné un bon coup de soufflette dans le gicleur que ce petit outil a pu reprendre du service. Cette plaisanterie glimlinesque m’a quand même fait perdre 45 minutes.

Pour finaliser ma réparation, je place quelques tours de ruban adhésif rouge autour de la liaison et ce câble me semble prêt à reprendre du service.

 

 

Mais pour ce soir, c’est trop tard car il est déjà 19 h 30 et c’est l’heure de reprendre des forces. Tant pis ! Je verrai ça demain.

Bon ! On peut dire que les réparations n’avancent pas trop mal, sauf cette histoire de vis cuivrée sur le démarreur. Mon côté optimiste voyant plutôt le verre à moitié plein me fait dire que ce n’est presque que du bonheur. Le complément arrivera quand tout sera remonté…

 

 

 

 

 

 

 

 

Modifié 6 février 2022 par Nar1955

[scenic_en_colere]

Il y a 10 heures, Nar1955 a dit :

Salut les amis

 

La suite est en train de s'écrire (et de se vivre puisque j'écris en live). Il ne suffit pas de trouver les coupables, encore faut-il les appréhender... L'enquête avance à grand pas, mais les protagonistes sont toujours à l'affut d'un mauvais coup... Je vais poster une partie de l'affaire demain. Je n'ai pas encore le dénouement final... Le 'bon sang, mais c'est bien sûr de Bourrel' arrivera peut-être dans les prochains jours, si je ne suis pas enquiquiné par des Gremlins de maison. Eh oui! J'en ai plein la baraque et aujourd'hui, ils n'ont rien trouvé de mieux que de me boucher la grosse canalisation d'évacuation, ce qui a fait refouler tous les syphons et inonder mon sous-sol. Etant dans la merde (c'est le cas de le dire), je n'ai pu pas avancée sur les problèmes titinesques aujourd'hui... Grrrrr!

Courage. Ah j'ai connu l'évacuation qui démarrait de la cuisine bouchée, mais le temps de comprendre car l'eau arrivait à ressortir au pied de la cloison derrière le meuble et inondait les cloisons avoisinantes, et oui à la construction pour les 1er proprio à priori ils n'avaient pas de réducteur et donc le tuyau de 30 plongeait dans celui de 40 avec du silicone autour, un des nombreux vices... Il a fallu qu'un jour je me dise bizarre de voir de l'humidité sur les parpaings et à force d'investisgation j'ai enlever la plinthe en bas de la cuisine et derrière le drame de l'eau et le tout la veille de partir en vacances d'été à Royan en aout 2013. Donc épongeage de tout et resolution au retour. Mais il a fallu péter un peu de dalle pour changer le tuyau et on a fait une sortie avec un bouchon sur l'exterieur pour pouvoir redeboucher facilement car la pente de l'évacuation est presque en pente inversée et comme c'est inaccessible puis pas de sous sol et pas de vide sanitaire  il fallait une solution. Je vais d'ailleurs sans doute ouvrir et passer le Nilfisk dans la canalisation au printemps car ça commence après 9 ans à moins bien s'écouler. Il fallait voir la graisse accumulée qu'on en a sorti en 2013 après 16 ans d'existence de la maison donc 9 ans ça sera bien, le tout avant de nettoyer la terrasse car le bouchon est au niveau de la terrasse.

[JMF67]

Bien le bonjour à tous 

Inspecteur Nanar vous n'êtes pas sans savoir que derrière cette vis tordu se cache le gros contact commandé par le solénoide, la panne est bientôt là sournoise,  ah ces gremlins ils ont toujours un mauvais coup d'avance.

La dépose du démarreur s'impose, enfin moi m'sieur c'est ce que je ferai, excusez moi m'sieur une dernière petite question, elle était où votre compagne la nuit du délit, parceque les gremlins ils ont bon dos m'sieur. 

Hopla un guty dimanche 

[Nar1955]

Merci Scenic pour compatir à mes emmerdes (sans jeux de mots, car là, j'ai baigné dedans toute la journée d'hier... Beurk...!)

Un gros conseil à tous: ne balancer jamais du papier absorbant dans les WC... ça fait des gros bourrons qui vous bouchent un tuyau de 100 à la longue.

 

Pour JMF: En nettoyant les dégâts causés par l'inondation merdique du sous-sol, j'ai retrouvé le démarreur que j'avais acheté à une brave Dame avec d'autre pièces il y a quelques années (Je l'avais oublié celui-là !). Je pense que je vais devoir suivre mon instinct et tes conseils, à savoir, remplacer le démarreur ou juste le Bendix (Je me méfie des Gremlins qui serait capable de m'échanger un cheval aveugle contre un borgne en me faisant remonter un démarreur avec problème...). Remonter mes cosses sur une vis qui peut casser à tout moment me fait froid dans le dos... Surtout qu'il n'y a aucun fusible pour protéger un court-jus franc sur la batterie et que si le fil chauffe à mort (ce qui sera automatiquement le cas), comme celui-ci passe juste à côté du carbu et au-dessus du cache culbuteur, les chances que tout prenne feu est aussi probable que tomber sur un chiffre de 1 à 6 en lançant un dé non truqué...  

[Diabolo]

Le 06/02/2022 à 08:58, Nar1955 a dit :

La vitre et l’électricité, ça continue…

 

Jeudi 3 février 2022 – 16 h 45 : Je décide de revenir sur mes problèmes laissés en plan en début de semaine. Il s’agit de mon problème de vitre côté passager qui a décidé de se balader d’avant en arrière dès qu’on la manœuvre, et de la recherche du Gremlins responsable du problème électrique qui fait disparaître l’alimentation générale de Titine.

Pour la portière, j’avais constaté, après démontage de la garniture, que le patin qui sert à guider la vitre dans la glissière avant, avait décidé de jouer les filles de l’air, laissant la vitre libre de tout mouvement vers l’avant. Après un examen minutieux, j’avais constaté que ledit patin ne faisait plus copain-copain avec la pince métallique permettant sa jonction avec la vitre.

 

 

Compte-tenu de l’heure tardive, j’avais laissé tomber toute intervention sur cette partie de carrosserie.

Maintenant, il me reste deux solutions. Une mauvaise et une moins bonne… Oui, je sais, il faudrait une bonne solution, mais celle-ci consisterait à remplacer la pièce défectueuse. Hélas, il faut que je vous l’avoue, je ne la sens pas ! Une bonne raison à cela : cette pièce est introuvable, à moins de remplacer toute la portière… J’ai donc le choix entre les deux mauvaises solutions.

La première consisterait à retirer la pince de la vitre pour ressouder la patte cassée. Mais là, je sens qu’un Gremlins va venir mettre son souk. Comment ? En faisant péter la vitre lorsque je vais forcer sur cette pince pour l’extraire. Je les connais les bestioles… Même si j’y vais doucement, il y a de grande chance pour qu’ils interviennent.

La deuxième, la plus pourrie de toute, c’est de coller le patin à sa place dans la pince. Pourquoi c’est la plus pourrie, tout simplement parce que côté mécanique, ça ressemble au travail de Monsieur Gougnafier.

Pourtant, si je fais une analyse de risque, c’est quand-même la deuxième solution qui présente le moins de chance de tenter les Gremlins… Allez ! Adoptée ! Et tant pis si ça ne fait pas sérieux. Ce sera sans doute du provisoire, mais en attendant, j’espère que cette solution fonctionnera, c’est-à-dire que ma colle PU sera suffisamment solide pour résister à l’effort produit sur cette pièce…

Je vais donc coller le patin…

 

 

J’enduis donc le support du patin avec ma colle PU.

 

 

Et je le glisse dans l’emplacement qu’il n’aurait jamais dû quitter…

 

 

 

Bon ! Je ne vais pas remonter la portière. Je vais attendre que la colle durcisse avant de faire un essai. Ça passe ou ça casse…

En fermant la portière, mes yeux non émerveillés tombent sur un défaut dont je n’avais pas vu l’ampleur jusqu’à cet instant. Le joint de bas de vitre a pris une forme bizarre, qui le rend complètement obsolète. En bref, il ne sert plus à rien…

 

 

 

 

Machinalement, ayant un tournevis plat à portée de main, je pousse le joint vers la vitre au niveau du décollement… Tiens ? Il reste en place ? Je pousse un peu plus loin et par petit bout, j’arrive à refaire plaquer ce bout de caoutchouc sur toute sa longueur.

 

 

Le résultat me plait assez, mais qu’en sera-t-il si je manœuvre ma vitre ? J’allais tenter la manip quand mon neurone ‘d’alerte connerie’ me stoppe net dans mon élan…

-       « T’as oublié que la colle du mécanisme n’est pas sèche… ? »

Et m… ! J’allais oublier ce détail ! Je repousse donc mon essai à un autre jour. Tant pis ! Je resterai avec ma frustration…

Heureusement, je vais pouvoir me rattraper en partant à la chasse aux Gremlins, spécialistes en gagates électriques…

Mon problème de jus qui est là et plus là me trifouille le schmilblick… Ce soir, je constate que le plafonnier s’éclaire bien quand j’ouvre la portière. Le jus est donc là !

 

 

Je mets les veilleuses…

 

 

Jusque-là, ça va ! Je mets le contact…

 

 

C’est toujours bon ! Je tourne d’un cran le contact et… ! Reuhreuhreuhreuh… ! Bon ! Le démarreur tourne bien, même si le petit 1300 ne veux pas démarrer. J’insiste un peu, et… Reuhreuhreuh clac clic ! Oups ! Tous les voyants viennent de s’éteindre d’un coup, ainsi que le plafonnier !

 

 

Je trifouille la cosse du plus batterie dans le capot et…

 

 

Bin mince ! Les voyants du tableau de bord se rallument ! Je tente un nouveau démarrage, mais les voyants s’éteignent de nouveau… Bon ! Il n’y a pas à évacuer du fondement, le problème vient bien de mon gros câble qui part du plus de la batterie. Comme j’ai refait la cosse qui va sur le robinet, je présume que le faux contact, car faux contact il y a, vient de l’autre extrémité de ce gros fils, c’est-à-dire, sur la liaison avec le démarreur.

Je commence par débrancher mon câble côté batterie. Tiens ? Il me semble trop mou par rapport à sa section et à sa composition. Cela confirme que j’ai peut-être un souci à l’autre extrémité, ou qu’il est coupé quelque part, ce qui m’étonnerait fort…

Comme je ne peux tergiverser pendant 107 ans, je récupère ma caisse à clou pour démonter la partie filtre à air. « Pourquoi le filtre » me direz-vous ? Parce que la cosse du démarreur est aussi accessible qu’un colis dans une boite aux lettres sans ouvrir la petite porte. On peut la toucher, mais rien de plus…

 

 

Mais en démontant le filtre, mes yeux tombent sur un autre problème qui n’a rien à voir. Le niveau du liquide de frein est vraiment très bas…

 

 

Ouille ! Il est même si bas qu’il est passé en dessous de la prise de la commande l’embrayage… Je ne peux laisser ça comme ça ! Je récupère un bidon de liquide et je refais le niveau.

 

 

Quelques bulles ressortent de l’orifice où le tuyau allant vers la pédale d’embrayage est branché. Pas glop mais pas glop du tout… ça veut dire que de l’air est rentré dans ce tuyau, et qui dit air dit, risque fort de ne plus pouvoir débrayer. Je presse le petit tuyau noir entre deux doigts et de nouvelles bulles ressortent…

 

 

Je continue, et les bulles n’arrêtent pas de remonter dans mon récipient. Bouhhh ! Vais-je devoir faire une purge de ce circuit merdique ? La baisse de niveau dans mon bocal ne viendrait-elle pas d’une fuite au niveau de l’émetteur d’embrayage ? Encore un problème à rajouter à ma liste à la Prévert des réparations futures… Bon ! Pis de panaque ! Le niveau est bon à présent et j’ai d’autres crocodiles empailler à fouetter (Je refuse toujours de fouetter mes chats… mais je n’ai pas envie non plus de fouetter les sauriens vivants !).

Je continue donc à démonter mon filtre à air pour atteindre la cosse du démarreur. Une fois retiré, je constate que ladite cosse ainsi que sa liaison au gros câble noir ne sont pas d’une fraîcheur exemplaire.

 

 

La cosse semble recouverte de vert de gris, signe d’oxydation du cuivre, et la liaison fait un angle qui ne me dit rien qui vaille… Cette fois c’est sûr ! Je dois aller jusqu’au bout de mon démontage.

Vous dire que le retrait de l’écrou qui serre cette cosse a été facile, ce serait me moquer de vous. J’en chie une raide, car même desserré, impossible de bouger cet écrou du bout des doigts. Je suis obligé de le dévisser huitième de tour par huitième de tour jusqu’au bout. « Pourquoi des huitièmes ? » Tout simplement parce que je n’ai pas la possibilité de faire plus de rotation avec ma clef compte tenu du cheminement de certaines tuyauteries qui m’empêchent tout débattement supplémentaire. Déjà que ma position pour atteindre cet écrou me comprime l’estomac au point de le sérigraphier avec le dessin de ma colonne vertébrale, autant vous dire que le fait que cet écrou ne tourne pas librement me met rapidement les nerfs en pelote…

Une fois l’élément hexagonal retiré, je retire la cosse du gros fil noir et de celui du fil jaune qui va sur la boîte à fusible. Avec ma lampe, j’éclaire le lieu du sinistre et mon regard tombe sur quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir pour que je puisse rester serin…

 

 

Voyez-vous ce que je vois ? La réponse est sûrement « Non » pour des yeux non avertis et évidemment « oui » pour les autres. Allez, je confirme ! La vis sur laquelle viennent se fixer mes deux cosses à pris un angle non mécanique annonçant une rupture prochaine… C’est ce qui explique, sans doute, la difficulté rencontrée pour dévisser l’écrou à la main… Alors ça, ce n’est pas cool du tout ! Que faire ? Remplacer le démarreur ? Retrouver une autre vis à condition que celle-ci soit en cuivre ? Et quand bien même, est ce que je peux retirer cette vis facilement ? Je peux aussi me contenter de ne changer que le lanceur… Encore faut-il en trouver un ! De toute façon, quelle que soit la solution adoptée, je sens que je vais galérer. Je peux aussi faire comme si je n’avais rien vu, mais là, ça ne marche pas chez moi, car après analyse de risque très succincte, si cette vis vient à se rompre, il y a 102 chances sur cent pour que le gros fil du ‘plus’ vienne faire joujou avec la masse. Et là, je ne vous dis pas ! C’est l’incendie assuré…

En attendant, je vais quand-même jeter un oeil sur la cosse qui trône au bout de mon câble et qui me semble légèrement oxydée. Je défais le scotch qui masque le départ du câble pour voir l’état de ce dernier.

 

 

Le câble n’est pas vraiment mauvais, mais pas vraiment bon non plus…Je ne sais pas pourquoi, mais cette liaison ne m’inspire pas. Je tire un peu sur la cosse tout en la tournant, et je constate que mon câble sort petit à petit. En bref, ce foutu fil électrique semble juste emboité dans sa cosse. Je tire un peu plus et soudain, la cosse est libérée…

 

 

Et là… méga compris ! L’intérieur de cette foutue cosse est aussi net qu’une fosse septique de 20 ans qui n’a jamais été curée. J’en suis à me demander comment le coco arrivait à passer dans ce tas de m… ! Comme il me semble impossible de nettoyer l’intérieur de cette cosse, je vais tout simplement la remplacer. Ça tombe bien puisque je viens de retrouver, enfouis au fond de la poche de ma vieille veste, la cosse que les Gremlins avaient planquée et que j’ai cherché partout jusqu’à abandonner. J’avais dû réutiliser l’ancienne cosse pour refaire l’autre câble.

Bon ! Comme le câble est oxydé, je ne vais pas le sertir sans lui faire un nettoyage de printemps. Je tente un essai avec une brosse métallique, et je suis agréablement surpris de voir que le résultat n’est pas si mal que ça…

 

 

Il me reste à fixer le câble sur la cosse. Je glisse cette dernière sur le fil, sers le tout dans l’étau afin de sertir la cosse, même si une bonne pince aurait fait un meilleur boulot (au niveau esthétique)

 

 

Pour finaliser le contact, je fais fondre un peu d’étain à l’intérieur de la cosse. Bon ! Il est vrai que les Gremlins se sont de nouveau manifesté en sabotant mon petit chalumeau. Ils n’ont rien trouvé de mieux que de boucher l’orifice du gaz avec je ne sais quelle mixture. Ce n’est qu’après l’avoir démonté intégralement et lui avoir donné un bon coup de soufflette dans le gicleur que ce petit outil a pu reprendre du service. Cette plaisanterie glimlinesque m’a quand même fait perdre 45 minutes.

Pour finaliser ma réparation, je place quelques tours de ruban adhésif rouge autour de la liaison et ce câble me semble prêt à reprendre du service.

 

 

Mais pour ce soir, c’est trop tard car il est déjà 19 h 30 et c’est l’heure de reprendre des forces. Tant pis ! Je verrai ça demain.

Bon ! On peut dire que les réparations n’avancent pas trop mal, sauf cette histoire de vis cuivrée sur le démarreur. Mon côté optimiste voyant plutôt le verre à moitié plein me fait dire que ce n’est presque que du bonheur. Le complément arrivera quand tout sera remonté…

Toujours croustillants, ces récits. Quand c'est pas les déjections de la dame en rouge, c'est ceux du Monsieur Gris-Vert qui viennent mettre le bazar dans le cabrio' !!!
Avec @Nar1955les rigolos de Wheeler Dealers France peuvent aller se rhabiller.
Mention spéciale à l'élément liquide qui semble s'annoncer pour 2022 : après les tuyaux bouchés; les réservoirs fuyards. Reste à trouver où et comment.
Bon courage !
 

Modifié 7 février 2022 par Diabolo

[Nar1955]

La portière : un retour à la normale

 

Dimanche 6 février 2022 : Il fait moche et froid, mais j’ai comme une énorme envie… de voir si la réparation farfelue de ma vitre côté passager a tenu le coup.

17 h 20 : Je débâche Titine après avoir récupérer mon tube de graisse. La portière ouverte, je tâche de bourrer de graisse la glissière dans laquelle va circuler le patin de frottement.

 

 

 

Je fais ensuite manœuvrer la vitre et je constate que ma pièce collée suit bien la pièce qui pince la vitre.

 

 

Ma colle tient le coup, et ça me rassure. Je fais faire quelques aller et retours à la vitre, et tout se passe bien. Sur ce constat de réussite, je décide de remonter ma portière.

Je commence par emboiter la garniture…

 

 

Comme cette portière semble ne jamais avoir été démontée, tous les clips sont en bon état, et la remise en place du panneau noir est une vraie partie de plaisir (pour une fois). Pour remettre la poignée, aucun souci non plus. J’avais quand-même pris la précaution de ranger le petit clips afin que les gremlins ne me le pique pas.

Je passe ensuite au remontage de l’accoudoir. Là-aussi, j’avais planqué la vis du haut, et je la retrouve rapidement. Bon ! J’en bave un peu pour la faire mordre dans son écrou plastique. Il faut dire que, tenir la vis du bout des doigts de la main droite, l’accoudoir de l’autre, tout en sachant que ce dernier n’a pas le poids d’un moineau qui ne mange pas, il ne me reste plus de main pour manipuler le tournevis. J’arrive cependant à lui faire mordre quelques filets après près de 10 minutes de galère et de jurons internes. Evidemment, l’autre abruti de Zeus sort de son lit et commence à arroser un peu le paysage de quelques gouttes glacées de son élément favoris. Je vais essayer de le prendre de vitesse, car s’il lâche la sauce et étant obligé de travailler la porte ouverte, le carport ne suffira pas pour protéger l’intérieur de Titine. Allez, il ne me reste plus que les deux grosses vis à placer et à serrer.

Seulement voilà, si la première vis est bien restée planquée dans son logement, un gremlins facétieux à retiré l’autre… Ne tenant pas à rester avec la porte ouverte trop longtemps, je commence par serrer la vis restée en place. Cette dernière étant serrée, je commence à chercher la deuxième. Mais j’ai beau fouiller l’intérieur de Titine, sous les tapis de sol, sous les sièges, derrière les sièges, sous les sangles des ceintures de sécurité, rien à faire, ils ne l’ont pas planquées à l’intérieur. Ceci signifie qu’ils l’ont jetée à l’extérieur. Oui mais là, ça craint, car je suis dans le gravier. Je la cherche pendant dix minutes, quand je pense l’avoir trouvée. J’ai bien une vis dans la main, mais ses dimensions ne me disent rien qui vaille. Sans conviction, j’essaie de la mettre en place, mais je me rends compte très vite qu’elle est d’un diamètre trop faible. Je continue à scruter le gravier à la recherche d’une vis plus grosse.

17 h 50 : A force de m’écarquiller les yeux en fouillant le gravier, je finis par dénicher la fugueuse.

 

 

Je n’ai plus qu’à la revisser. Oui mais voilà, celle qui était trop petite et que j’ai mise quand même par bêtise ne veux plus sortir de son logement.

18 h 00 : ça y est ! j’ai pu retirer la vis parasite et je viens de serrer l’autre. L’intérieur de ma portière est en place et a retrouvé sa physionomie d’origine.

 

 

Je jette un œil sur le joint lèche vitre qui avait décidé de prendre ses distances avec la vitre…

 

 

Celui-ci n’a pas bougé malgré les mouvements de monté et de descente de cette glace latérale. Tout est donc parfait dans le meilleur des mondes, enfin pour cette partie de Titine.

Il me reste le problème de la vis en cuivre de l’alimentation du démarreur. Mais grâce à un gros problème de dégât des eaux dans mon sous-sol (si je veux bien voir ce problème merdique comme un avantage), j’ai pu remettre la main sur un démarreur que j’avais acheté auprès d’une brave Dame qui cherchait à se débarrasser de pièce détachée d’une 304 cabriolet accidentée.

Lundi 7 février 2022 : Je viens de tester le lanceur du démarreur retrouver. Apparemment, il fonctionne. Je vais peut-être pouvoir simplement remplacer celui en place, car évidemment, les gremlins ont dû me bouffer les charbons et la dame en rouge a commencé à becter les paliers. De ce fait, le remplacement intégral du démarreur s’avère une opération risquée…

Dès que la météo et mon planning le permettront, je retirerai le démarreur en place, et si c’est possible comme je le crois, j’envisagerai le remplacement d’une partie de ce dernier. J’espère que la réfection du câble d’alimentation plus la résolution de ce problème de borne de démarreur feront taire les Gremlins qui se déchainent depuis quelques temp sur ma brave Titine. Cette fois, je suis aux trois quarts du bonheur total…

 

 

 

[scenic_en_colere]

Un palier de passé et un début d'escalade de l'autre étage. ça va aller. Courage.

[Diabolo]

il y a une heure, Nar1955 a dit :

Cette fois, je suis aux trois quarts du bonheur total… 

J'aurais dit à 1/4 du bocal... de liquide de frein.😁

.

.

Désolé.

[RNFORD]

Slt @Nar1955 toujours un plaisir à te lire bonne continuation 

[Ze Fifi]

Au vu de ma modeste expérience et connaissant l'amour dévorant de Murphy, de la dame rouge, du fils vert de gris et de toute leur tripotée de Gremlins pour ton petit destrier, ne serait il pas envisageable de réviser le démarreur d'occasion avant toute chose et une fois ce démarreur bon pour le service procéder à un "échange standard" pour refaire celui  de titine.

 

Si tu ne le démontes pas tu risque d'échanger un borgne pour un boiteux, et te retrouver dans la panade à court terme. De plus si tu restes sur ton idée de monter les pièces du démarreur d'occase sur ton démarreur Murphy va bien  te réserver une surprise dont il a le secret, comme avoir des démarreurs de marques différentes qui sont pour ta voiture mais dont les pièces sont incompatibles.   

[Nar1955]

Bonjour à tous

 

Encore un grand merci pour vos remarques, encouragements et conseils. Je vous fais part de la suite de mes déboires grimlinesques...

 

[Nar1955]

Vous avez dit nouveau démarreur ?

 

Jeudi 11 février 2022 - 19 h 00 : Je viens d’aller bosser dehors, et comme il commence à faire frisquet, j’ai plié les gaules et viens de ranger mes outils. En passant devant l’établi, un objet attire mon regard : Il s’agit du démarreur d’occasion acheté à la brave dame qui se débarrassait de différentes pièces appartenant au cabriolet 304 accidenté de sa fille. Etant encore en tenue de travail, je sens comme une attirance vers ce démarreur qui me semble frôler l’obsolescence. Comme celui de Titine présente un début de rupture sur la vis où arrive le fil de la batterie, je me dis que celui qui traîne là pourrait peut-être prendre la place de celui qui me joue des tours et que je ne peux laisser avec cette chronique d’une panne avancée…

Je monte donc l’objet au niveau de l’étau et commence à l’observer en détail.

 

 

A vrai dire, il ne me semble pas d’une première jeunesse, mais peut-être qu’un bon nettoyage et quelques coups de peinture et il sera comme neuf. Je décide donc de commencer à le désosser, juste pour voir ce qu’il en est…

Je commence par l’arrière.

 

 

 

Bon ! Je vois bien que la Dame en rouge est passée par là, mais il n’y a rien d’inquiétant. J’ai des arguments pour l’éloigner.

Je profite de l’écrou arrière pour faire tourner le rotor…

 

 

Oups ! La rotation n’est pas vraiment aisée et je sens que ça frotte à l’intérieur. Je constate aussi que des excréments, de la Dame cité plus haut, rejoignent le sol. Je jette un œil au niveau du pignon qui attaque normalement la couronne du volant moteur…

 

 

Alors là, ce que je vois est beaucoup plus inquiétant. Ces débris rougeâtres sont la preuve que cette sale bonne femme s’est installée sans doute entre le rotor et le stator. En clair, que les bobinages doivent baigner dans la rouille… Il faut que j’aille un peu plus loin dans le démontage pour vérifier tout ça. Je démonte donc le lanceur que je souhaitais récupérer pour l’installer sur le démarreur monté sur Titine actuellement.

Je commence par retirer le clips qui retient l’axe sur lequel pivote la fourchette du lanceur.

 

 

 

Bon ! Comme je m’y attendais, il y a bien un Gremlins qui, passant très rapidement (même pas le temps de le voir) me le fait valdinguer sur le béton du sous-sol…

 

 

… mais pas de panique, je le retrouve rapidement ! Je commence à placer toutes mes pièces dans un seau qui traîne à proximité, histoire de ne pas en semer aux quatre vents.

Je continue mon démontage en retirant les deux grandes vis qui servent à relier le flasque arrière à celui de l’avant, puis à l’aide d’un chasse goupille, je retire l’axe cité plus haut…

 

 

Je retire ensuite les deux vis qui fixe le lanceur sur le flasque avant…

 

 

… Ainsi que l’écrou en cuivre qui tient la cosse du fil allant sur le charbon, celle qui relie le contact du lanceur audit charbon.

 

 

En regardant bien, je constate que côté électrique, ce n’est pas plus mal que si c’était pire. La Dame en rouge est venue aussi grignoter l’écrou et la cosse sur lequel arrive le fil de la clef de contact. Mais ça ne m’effraie pas outre mesure. J’arriverai à remettre ça à neuf (ou presque).

Je peux à présent retirer le lanceur.

 

 

Bof ! Il n’est pas terrible, mais il n’est pas dans un état de décrépitude avancée qui me ferait renoncer à mon projet de le récupérer, si le reste de cet amas de rouille, qui devait être un démarreur à une époque que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître, n’est pas récupérable. A ce titre, je dois continuer mon démontage… Je retire la flasque avant.

 

 

Encore des déjections de la sale Dame. Un coup d’antirouille et de petite brosse métallique et ça devrait redevenir correcte.

Il faut maintenant que je retire le rotor avec l’axe et le pignon. Je tire sur cet axe, mais quelque chose coince. J’arrive à faire des mouvements de va et viens (pas forcément ridicule), mais ça ne vient pas…

 

 

Mais quel âne je fais ! Je viens de m’apercevoir que je n’ai pas retiré les charbons ! Et ce sont ces deux morceaux de carbone qui empêchent toute sortie du rotor, vu qu’ils sont accrochés à leurs fils, eux-mêmes raccordés à la carcasse.

Je jette un œil du côté de ces deux frotteurs…

 

 

Oula ! C’est quoi ce bins ? Je vois la Dame en rouge en personne, et ça, ce n’est pas glop du tout. Ce foutu démarreur est encore plus mal en point que je ne le pensais. J’entends déjà vos commentaires :

-        « Il est bon pour la ferraille ! T’as plus qu’à tout mettre à la déchèterie dans la benne pour récupération des métaux ou dans celle des matériaux électriques à recycler… ! ».

-        « Bande de défaitistes va… ! Mon naturel curieux (hé oui, j’ai aussi ce défaut) m’entraîne à pousser plus loin mes investigations, même si pour beaucoup, la cause est déjà perdue.

Je retire donc tant bien que mal le premier charbon…

 

 

Enfin, quand je dis charbon, je devrai dire ce qui en reste, parce qu’à mon avis, il est à la limite de ne plus servir à rien. Si je veux garder ce démarreur, il va falloir envisager d’en remettre des neufs.

Je continue en retirant le deuxième, celui qui est vraiment sous les jupes de la Dame en Rouge (je vous jure qu’il n’y a pas de quoi fantasmer… !). Là, c’est beaucoup plus complexe, car ce foutu charbon est vraiment coincé à l’intérieur de sa cage sur oxydée. Au bout de cinq minutes, j’arrive à l’extraire, mais comme je m’y suis pris comme un bourrin (Impossible de faire autrement !), je ne récupère qu’un charbon effrité terminé par un bout de fil qui ne vaut pas mieux.

 

 

Voilà une deuxième raison pour envisager le remplacement de ces deux morceaux de carbone. Je tente de voir comment, et où, les fils qui en partent sont reliés. L’un est relié à la masse par un sertissage soudé. Ça va être coton pour le sortir et le ressouder. J’analyse le cas du deuxième charbon. Côté raccord électrique, ce n’est pas mieux. Ce fil arrive sur une plaque isolante qui est relié au fil qui sort de la carcasse pour arriver sur l’autre borne du contact du lanceur. Ici aussi, je constate une infamie électrique.

 

 

L’isolant de se petit bout de fil est dans un état déplorable, et cela doit faire pas mal de temps, car le vert de gris, ami fidèle de la dame en rouge, à bien attaqué le cuivre dénudé. Il va falloir aussi envisager ce remplacement, car ça pu le court-jus à court terme.

Une fois les charbons retirés, j’essaie de nouveau de sortir le rotor. Mais nib, que dalle, La bestiole refuse de sortir. Pourtant, cette fois, il n’y a plus rien qui devrait le retenir ? J’insiste encore quelques instants jusqu’au moment où, le produit dijonnais ayant atteint le tréfond de mes fosses nasales, je décide d’appeler Hulk à la rescousse. Tout en tenant la carcasse du démarreur, je frappe l’axe contre le béton de la dalle de mon sous-sol.

Opération réussie !

 

 

Et là, méga compris ! C’est la Dame en rouge qui retenait ensemble, les deux morceaux de ce démarreur. Je vois que la partie métallique du rotor est recouvert d’une croute rougeâtre qui devait rejoindre la couche de la même couleur qui tartine la zone métallique du stator. Pas étonnant que la rotation dudit stator me semblait difficile !

Allez, inutile de me faire constater que ce démarreur à dû servir de pompe d’exore dans un bac de chlore et qu’il n’a pratiquement plus aucune chance de retrouver la fonction pour laquelle il a été construit. Vous avez sûrement raison. Mais je ne m’avoue pas encore vaincu. De toute façon, rien n’est perdu côté remise en service de Titine, puisque je dois pouvoir récupérer uniquement le lanceur… Je vais donc démonter celui qui se trouve sur Titine, et si le lanceur n’est pas adaptable, je vais tenter, tel un chirurgien du dernier espoir, de remettre cette bête en service. J’avoue avoir quelques inquiétudes concernant la qualité de l’isolant des conducteurs, mais si la dame en rouge, ou son pote ‘vert de gris’ n’ont pas daigné se ravitailler sur cette partie, je devrais pouvoir lui redonner vie (Après avoir remplacé les charbons évidemment !).

Bon ! Comme la météo actuelle est peu propice aux travaux mécaniques, que les travaux urgents à faire à la maison, complétés par les préparatifs de mes missions sur Paris m’occupent 25 heures par jour, je vais repousser mon intervention dans le capot de Titine à une date ultérieure. Mais je peux vous assurer que ça me coûte ! Je suis comme le gamin qui constate, le 24 décembre au soir, qu’il a un cadeau au pied du sapin, et à qui on demande d’attendre le lendemain pour l’ouvrir… Il y a comme une grosse frustration. Mais bon ! Face à l’adversité, je vais attendre. En tout cas, c’est loin de n’être que du bonheur...

[Ze Fifi]

Tu comprends le pourquoi de mon intervention, ce genre de dégâts se retrouvant également dans dans des démarreurs ayant une "bonne tête" et récupérés (acheté, reçu en cadeau,.) de personnes vous promettant qu'il est "comme neuf". Et c'est rageant de se retrouver en rideau quelque mois après pour ne pas avoir entrepris ce contrôle. C'est une obligation de réviser systèmatiquement ces pièces d'occasion. 

 

Après pour en avoir sauvé quelque uns, et vu que les démarreurs neufs ne se vendent pas à la pelle dans toute bonne crémerie qui se respecte, je pense qu'il est urgent de ne pas l'envoyer trop vite à la benne, et de prendre le temps de l'ausculter et de voir quel partie n'est pas "sauvable" Certes au vu de la platine de support des charbons elle n'est pas au top mais à voir si c'est de la rouille de surface et surtout si la partie utile (guide du charbon / ressort) peut être remise en état. Et le fil est clairement HS, à remplacer.

Modifié 12 février 2022 par Ze Fifi

[Nar1955]

Salut Ze Fifi:

Je ne me fais pas de soucis pour le nettoyage des puits des charbons. C'est plutôt les bobinages qui m'inquiètent, car si ceux-ci sont grignotés ou même légèrement endommagés, je serais obligés de mettre ce démarreur au rebus. Il faut dire que ce démarreur a été récupérée, avec d'autre pièces, sur la voiture accidentée de la fille de la Dame qui les vendait. Comme elle n'y connaissait rien en mécanique, les prix étaient relativement attractifs, mais sans garantir que ces pièces étaient comme neuves. Comme la voiture en question fonctionnait avant ce démontage, le risque était faible de tomber sur un accessoire inutilisable. Ce qu'elle n'avait pas précisé, c'est le temps et le lieu de stockage de ces pièces. C'est peut-être là que la dame en rouge a commencé à squatter ce démarreur... A suivre...

[Ze Fifi]

Au vu des photos je ne pense pas que ça aille plus loin que la platine support des chabons, le reste c'est un mélange de rouille et de poussière de charbons qui est partie se coller sur les aimants qui, comme la dame rouge, adorent le ferraille, et en le secouant pour sortir le rotor tu as dispersé ce qui était dans le corps de démarreur. Il y a un bonne séance de nettoyage, du genre qui fait les mains noires, avec un produit dégraissant type nettoyant frein , white spirit, toilage du rotor et du collecteur et nettoyage des interstices pour éliminer les dépôt avec un outil "doux" pour ne pas abimer le collecteur ni le vernis des fils électriques. A voir les roulements.

[Nar1955]

Merci Ze Fifi. C'est un peu ce que j'ai fait sur le démarreur d'origine. A voir dans la suite de cette aventure (pour bientôt).

[Diabolo]

Le 12/02/2022 à 15:24, Ze Fifi a dit :

le reste c'est un mélange de rouille et de poussière de charbons qui est partie se coller sur les aimants qui, comme la dame rouge, adorent le ferraille, et en le secouant pour sortir le rotor tu as dispersé ce qui était dans le corps de démarreur. Il y a un bonne séance de nettoyage, du genre qui fait les mains noires, avec un produit dégraissant type nettoyant frein , white spirit, toilage du rotor et du collecteur et nettoyage des interstices pour éliminer les dépôt avec un outil "doux" pour ne pas abimer le collecteur ni le vernis des fils électriques.

Voilà comment @Nar1955 a réveillé le mauvais esprit du démarreur, fils caché de la dame en rouge et d'un mineur de fond.

Après le chargeur de Batterie, c'est une cuve à Ultrasons qui serait bien utile pour exterminer l'ennemi.
Nous attendons avec impatience la suite. 

[RNFORD]

La suite la suite la suite 😄😄😄😄😄

[JB30]

hâte de connaître la suite ;-)

[scenic_en_colere]

Bande d'impatients 😁

[Diabolo]

 

C'est que les aventures des Gremlins, de la Dame en rouge, de Vert de Gris et de leurs potes qui squattent la Dame en Blanc, ça nous intéresse, Quoâ.

[Nar1955]

Le retour du démarreur

Dimanche 13 février 2022 – 16 h 30 : Je n’y tiens plus ! Il faut que je continue mon intervention sur ce foutu démarreur. Même si j’ai pu constater que celui que j’avais de rechange est proche de l’obsolescence qui pousserait certains à le mettre directement dans les bacs de récupération de la déchèterie, je préfère attendre de voir ce que donne celui qui est encore sur Titine. Mais pour ça, il faut que je le sorte du son emplacement.

D’après mes souvenirs, ce n’est pas une manip aisée, mais il n’est pas utile de sortir de ISAT (Institut Supérieur de l’Automobile et des Transport) ou Polytechnique pour sortir la bête (encore que… !).

Comme le filtre à air est déjà sorti, j’ai accès aux deux vis de fixation de cet accessoire sur le carter d’embrayage. Enfin, quand je dis accès, je devrai dire avec les yeux, parce qu’avec les mains, ce n’est pas glop du tout. Et je ne vous parle pas de l’accès avec une clef… ! Bilan : Une heure pour trouver l’outil adéquate et retirer ces deux pu…n de vis. Je suis obligé de les dévisser huitième de tour par huitième de tour pour les retirer complètement, et je peux vous dire que je maudis l’espèce d’ingénieur à la gomme qui a placé là des vis aussi longues. Bon ! une heure après le début de cette galère et après avoir vider complètement mon potentiel ‘patience’, je peux enfin pousser le démarreur hors de son logement. Ouf… ! Il ne me reste plus qu’à le dégager de derrière le moteur pour le descendre à l’atelier… Oui mais non, car je ne sais pas si vous connaissez ce coin de Titine (mais si ! Je vous l’ai déjà décrit…) mais faire remonter à la surface cet accessoire encombrant et lourdingue relève d’un des 12 travaux d’Astérix. J’ai beau regarder de tous les côtés, et sauf si je suis archi nulle en géométrie, aucun espace libre ne peut accepter le diamètre de la bête. Arcbouté sur l’aile de Titine, je teste toutes les positions, tous les passages, toutes les astuces, mais aucun ne me permet de glisser cet engin hors de sa zone de travail. De nouveau, je sens la spécialité dijonnaise me brûler le rhinopharynx… J’ai le cimetière à poulet qui, écrasé sur l’aile, me rappelle que je devrais reprendre quelques séances d’abdo (j’ai plutôt des abdos minables en ce moment) car c’est lui qui supporte mon poids. Comme en plus, j’ai les bras en compote, j’abdique… Je dois faire appel à mon neurone de l’analyse efficace, car impossible de continuer dans cette voie.

C’est en observant tout ce qui me gêne que j’entrevoie un début de solution. Il faut que je me rende à l’évidence : seul le retrait de la bobine d’allumage me permettra de dégager un passage suffisant. Comme elle ne tient que par deux écrous, même si la Dame en rouge est venue œuvrer dans ce coin, je suis convaincu que c’est ‘LA’ solution.    

18 h 15 : Bien que légèrement grignoté, les deux écrous se desserrent sans trop de difficulté. Ma bobine est enfin libre de tout déplacement pour ne plus se retrouver sur le passage de sortie du démarreur.

 

 

Evidemment, pour dégager suffisamment d’espace, j’ai été forcé de débrancher certains fils, comme celui qui va sur l’allumeur, celui qui va sur le compte-tour (branché avec le précédent) et le fil haute tension qui va sur la tête de l’allumeur. En bref, je ne laisse que le fil qui vient du contact. Ce n’est pas par fainéantise, mais juste pour ne pas me gourrer de fil au remontage.

Cette fois, l’espace est suffisant pour que cet olibrius de démarreur sorte de sa planque…

 

 

18 h 20 : ça y est ! il est dans mes mains (enfin, sur l’aile de Titine)

 

 

En regardant de plus près, je me réjouis de voir que ce démontage n’a pas été inutile. La vis, où se connecte le gros fil venant de la batterie, est vraiment cintrée, et je peux même constater que les filets ne sont pas dans un état qui inspire confiance.

 

 

Il n’est donc pas étonnant que j’aie eu tant de mal à retirer l’écrou qui permet de serrer le gros fil. Je peux donc descendre le tout à l’atelier pour voir en détail, l’état général de cet engin.

Pour commencer, je vois que la Dame en rouge est venue grignoter du côté des connexions.

 

 

Mais il n’y a rien d’inquiétant. De toute façon, c’est la partie que je dois remplacer.

Je continue en retirant la plaque arrière.

 

 

 

Ah ! Tout est propre ici (ou très peu sale si vous voulez… !). Si tout le reste est comme ça, je ne vais pas hésiter à réutiliser ce démarreur avec le solénoïde (ou lanceur) de l’autre.

Mais pour ça, il faut continuer le démontage. Je vous passe les opérations successives, mais je constate au fur et à mesure, que cet accessoire n’est vraiment pas en mauvais état.

 

 

 

 

Une fois le solénoïde retirable, je le compare à l’autre…

 

 

Aux dégâts de visserie prêt, ils sont identiques, et ça me donne du baume au cœur. Je vais pouvoir remettre la bestiole en service. Mais avant, je vais tout vérifier et lui faire un bon nettoyage.

Je commence par ouvrir le flasque arrière, celui derrière lequel se planquent les deux charbons.

 

 

 

Nouveau constat rassurant : la dame en rouge n’est pas venue mettre son souk dans le coin. Les supports de charbon sont nickel.

Après avoir fait sauter le charbon du pôle positif, je retire le rotor. Il n’y a pas à déféquer, ce dernier est pratiquement neuf, ou tout du moins, en bien meilleur état que son homologue prélevé sur l’autre démarreur.

 

 

Le rotor du soi-disant rechange est rongé par les mites à fromage. Je sais qu’avec un bon coup de toile de verre fine, j’arriverai à lui redonner un semblant d’aspect neuf, mais à quoi bon me lancer dans une telle opération à l’heure actuelle. Je ferai ça plus tard. Je conserve donc le rotor de celui de Titine. De plus, la vis de l’axe qui maintient le roulement du flasque arrière m’est resté dans les doigts. Comme c’est un pas à l’envers, je ne vois même pas comment remplacer cette dernière. C’est le deuxième effet Kiss cool qui me pousse à réutiliser le démarreur de Titine.

 

 

Bon ! L’état général de ce rotor étant loin d’atteindre l’obsolescence, il ne me reste plus qu’à lui faire un brin de toilette. Cependant, je dois quand même vérifier si le solénoïde de remplacement fonctionne, sans quoi, j’en aurai été quitte pour un démontage inutile. Encore que, un bon coup de décrassage ne fait jamais de mal.

Pour tester ce solénoïde, je me sers de la batterie de la 205 qui est bien au chaud dans mon sous-sol. A l’aide de deux cordons, je relie le moins de la batterie sur la borne du solénoïde qui est normalement reliée au charbon du plus du démarreur, et je branche un autre cordon sur la cosse où arrive normalement le fil venant du contact. C’est avec ce cordon que je vais aller toucher le plus de la batterie.

 

 

 

En faisant toucher ce fil sur la borne plus, l’électro-aimant du solénoïde attire bien le noyau relié à la fourchette avec un bruit de claquement sec.

 

 

 

                                                                   Pas touche ...

 

 

                                                                            Touche

 

« It’s perfect ! » comme dirait les mangeures de petits poids à la menthe (beurk… !) ou « Das ist wunderbar » si on est plus admiratif et adepte de la bière et de la choucroute (je préfère nettement mieux cette gastronomie… !). Je peux donc m’attaquer sans crainte au nettoyage de l’ensemble.

Je commence par donner un coup de papier de verre très fin (du 600) sur le collecteur afin de retirer la couche brunâtre laissée par les charbons…

 

 

… puis à l’aide d’un mini tournevis, je retire les dépôts éventuels de cuivre qui auraient pu se planquer dans les fentes isolantes du collecteur.

 

 

L’intérieur de la carcasse ressemblant plus à une mine de charbon qu’à la galerie des glaces de Versailles…

 

 

… je décide de lui mettre un petit coup de bombe de mon super dégraissant.

 

 

Bon ! Même si ce n’est pas encore Versailles, c’est quand-même plus net et moins salissant.

Je continue par la liaison électrique entre le lanceur et le charbon positif du démarreur.

 

 

Monsieur vert de gris prenant son repas sur la cosse, je le chasse à coup de papier de verre.

 

 

« C’est mieux, non… ? » Bon, il est déjà 19 h 30 et je dois reprendre des forces. Je continuerai dès que possible.

Lundi 14 février – 16 h 20 : Je regarde du côté du pignon d’entraînement.  Ce n’est pas l’aube non plus… ! Il va falloir nettoyer tout ça… dès que j’aurai remis la main sur ma bombe de super dégraissant. Mais Madame m’appelle. Je repousse cette opération à demain.

 

 

Samedi 19 février – 16 h 50 : Bon ! J’ai laissé tomber la mécanique titinesque depuis quelques jours et il est temps de m’y remettre. Pour le pignon, même motif, même punition que pour la carcasse. Ayant remis la main sur cette foutue bombe de dégraissant, j’en donne un bon coup entre ses dents et les résidus poussiéreux graisseux sont boutés hors des parties creuses. Ils ne sont peut-être pas gênants, mais pendant que j’y suis, autant rendre la bestiole présentable.

 

 

Je poursuis par un peu de graisse, propre cette fois, sur le pignon et les parties coulissantes.

 

 

 

Je jette un œil dans le carter du pignon…

 

 

Beurk ! Il va falloir faire appel à Monsieur Propre. Allez ! Encore un bon coup de super dégraissant…

 

 

 

*

 

 

… et il est comme neuf. Je fais la même chose sur le solénoïde…

 

 

Côté contact, je constate que l’affreux Monsieur vert de gris est venu déjeuner dans le coin, et ça se voit !

 

 

Je retire la cosse pour la nettoyer

 

 

 

Avant  

 

 

 

                                                                                                                                 Après

 

 

Maintenant que tout est propre, je peux tout remonter.

 

 

 

 

Inutile de détailler le remontage de cet accessoire, d’une part parce que les gremlins ne sont pas intervenus (pour une fois… !) et d’autre part, parce que c’est l’opération inverse du démontage, la crasse en moins.

19 h 10 : La bête est enfin remontée.

 

 

Il me reste à tester le fonctionnement électrique de l’ensemble, mais ce ne sera pas pour ce soir.

Dimanche 20 février – 19 h 00 : malgré l’heure tardive pour me lancer dans la mécanique, je descends dans mon sous-sol pour un test. La nuit portant conseil, je me suis rendu compte que je n’avais pas tester la course du pignon entraîné par le solénoïde. Même si je n’ai touché aucun réglage sur ce dernier, je ne suis absolument pas sûr que le fait de l’avoir remplacé à l’identique ne va pas entraîner quelques écarts sur son déplacement.

Pour ce test, je me sers de nouveau de la batterie de la 205 qui trône toujours à proximité.

 

 

A première vue, quand mon cordon touche la cosse où se branche normalement le fil venant de la clef de contact, le solénoïde commande bien le mouvement du pignon. Ceci prouve déjà que mes charbons font bien contact, et que la fourchette est bien à sa place. Aucun gremlins ne s’est glissé dans mon démarreur au moment du remontage.

Par contre je constate que le pignon à la flemme d’aller jusqu’au bout de sa course. Un réglage est donc indispensable. En effet, si le pignon ne va pas assez loin, il n’attaquera la couronne que du bout des dents, ce qui risque fort de ne pas plaire à ses dernières, entrainant sans doute leur usure prématurée. Par contre, s’il est réglé pour aller trop loin, il y a de grande chance pour qu’il ne puisse pas se dégager de la couronne quand je vais relâcher le contact, et là, c’est le moteur qui va entraîner le pignon avec le bruit caractéristique du démarreur que l’on maintien en service alors que le moteur tourne. C’est pas glop du tout, car la roue libre n’est absolument pas faite pour ça.

 

 

Cette roue libre est prévue pour que le moteur électrique entraîne le pignon quand on sollicite le démarreur, comme le font les pédales sur un vélo, mais pas que le pignon entraîne ce moteur électrique quand le moteur de la voiture tourne (comme quand on arrête de pédaler sur ledit vélo). Elle n’est pas calculée pour tourner en permanence, et son rôle s’arrête normalement quand on relâche la clef de contact dès que l’on sent que le moteur thermique tourne de lui-même.

Je me saisie de la revue technique pour voir s’il y a des cottes à respecter… Bof ! Comme explication à la con, on ne fait pas mieux. C’est aussi clair que du jus de boudin. Il faut soi-disant mesurer une distance entre une partie de la carcasse et …?

 

 

Comment régler une cote entre une partie fixe, et une partie non mobile ? Ce n’est pas très logique tout ça ! Je mesure quand même cette cote ‘A’…

 

 

Ça à l’air bon, mais ça ne m’apprend rien. Bon ! Je vais essayer de faire jouer le neurone de la réflexion. Il faut dire que celui-ci n’est pas sollicité souvent et le réveiller ne va pas être facile.

S’il y a un réglage a effectuer, c’est bien pour la course du pignon. En tenant compte de ma réflexion nocturne, il faut que ce pignon arrive presque en bûté contre le petit roulement, sans plaquer sur celui-ci. Pour régler cette course, il faut serrer ou desserrer un écrou planqué derrière un petit cache en plastique noir que je fais sauter.

 

 

Une fois le trou débouché, j’introduis une douille de ‘12’ emmanchée sur un cliquet (Il n’y a rien d’érotique la dessous ! C’est seulement mécanique… Canaillous va !)

 

 

En desserrant la vis, et en alimentant le solénoïde, j’arrive à amener le pignon presque en contact avec le petit roulement de butée.

 

 

En retirant le fil d’alimentation, le pignon revient dans une position qui ne me semble pas si mal.

 

 

Bon ! Il ne me reste plus qu’à le remonter sur Titine. Mais là, le neurone de « arrêtes tes conneries » se réveille d’un seul coup.

-       « Qu’est-ce que j’oublie ? »

-       « T’essaie pas cet engin avant ? »

-       « Oui… ! T’es pas bête ! On sait jamais ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je branche le gros cordon rouge entre le plus de la batterie et la borne qui va bien sur le solénoïde. A l’aide d’un petit cordon, j’alimente ce dernier par la cosse qui est normalement reliée à la clef de contact : le démarreur se met à tourner, mais bizarrement. En effet, après un régime de rotation relativement normal pendant quelques secondes, celui-ci se met à ralentir avec un dégagement de fumée… Oups ! Je retire mon cordon. De nouveau, je refais contact avec mon petit cordon et de nouveau, le démarreur repart en régime normal, puis ralenti de nouveau. Cela ne me plait pas du tout. Il me semblait bien qu’un Gremlins me jouerai un sale tour. Je mets mes paluches sur la carcasse de la bestiole. Oups ! C’est chaud… ! Bon ! Tout ça me fait dire qu’il y a un rouble dans l’alcool (C’est plus soft qu’une couille dans la colle… Non ?). Et si c’était le rotor qui était mal centré et qui venait faire frotti frotta avec le stator… ? Je vais investiguer de ce côté.

Je commence par desserrer les deux vis qui rassemble le carter avant à la flasque arrière en traversant la carcasse. Je tente de nouveau un essais. Cette fois, étonnamment, le démarreur tourne plein but et la vitesse ne varie pas. Je resserre un peu les vis de façon symétrique et je refais un essais. J’obtiens le même résultat encourageant. Petit à petit, j’arrive au blocage de l’ensemble sans que la rotation du moteur ne soit perturbée. Il s’agissait donc bien d’un mauvais centrage. Cette fois, je peux envisager sérieusement son retour sur Titine. Mais comme il est 19 h 30, je reporte cette opération à demain.

Dimanche 27 février 2022 – 15 h 00 : Bon ! Je sais ! j’ai des journées de plus de 160 heures, mais comme j’ai un emploi du temps de ministre, les lendemains sont longs.

Après avoir débâché mon petit cabriolet, j’ouvre le capot et, comme je n’ai rien bougé depuis le démontage, j’arrive à renquiller le démarreur dans son logement sans trop de problème.

 

 

Avant de replacer les deux vis de fixation, je mets un peu de graisse sur leurs filets, histoire de me simplifier la tâche lors des premiers tours de serrage à la main.

 

 

Pour placer ses deux vis et les faire mordre, je ne dirai pas que c’est ‘finger in the noze’, mais je n’y passe pas des plombes. Je n’en dirai pas autant pour les bloquer.

15 h 36 : les deux vis sont serrée…

 

 

Je passe ensuite au branchement des fils sur le démarreur. Pour ça, je dois placer les deux cosse sur la vis qui était tordue sur l’ancien solénoïde, c’est-à-dire la cosse du fil jaune qui va sur la boîte à fusible, et la cosse du gros fil qui va jusqu’à la batterie.

Bon ! ce n’est pas aussi simple que je le pensais. Les deux cosses, une fois sur la vis, ne me laissent plus assez de place pour placer l’écrou de serrage. Evidemment, comme chaque fois que je suis en difficulté, un gremlins en profite pour me pourrir la vie. Sur ce coup là, il me pique l’écrou des doigts pour le faire tomber je ne sais où…

Après plusieurs minutes de recherche, je vois enfin l’objet convoité, bien planqué dans un coin très sombre et inaccessible, sous le démarreur. Je tente de le récupérer avec mon aimant télescopique, en espérant que cet écrou ne soit pas en cuivre, sinon, l’aimant sera aussi efficace qu’un cataplasme sur un mannequin de bois.

Mais non ! L’écrou semble bien en acier, car il remonte au bout de mon engin télescopique.

 

 

15 h 55 : Ca y est, je viens de réussir à placer les deux cosses et à serrer l’écrou.

 

 

Je replace ensuite la bobine que j’avais retirée pour extraire le démarreur. Je raccorde les deux fils, celui qui va sur l’allumeur, et celui qui va sur le compte-tour.

 

 

Je replace l’écrou de serrage, en évitant qu’il ne rejoigne le plancher des vaches, et je le bloque. Puis je rebranche le fil haute tension qui va de la bobine à l’allumeur. Pour finir je remonte le filtre à air avec ses différentes durites.

16 H 55 : Tout est remonté.

 

 

Il me reste a tenter un démarrage. Je mets le contact : Tous les voyants s’allument. Un cran de plus et le démarreur entraîne bien le petit 1300. Mais ce dernier ne tousse pas, ce qui est normal après un si long repos. Je retente un nouveau démarrage. Mais là, je n’entends qu’un clac, alors que les voyants restent bien allumés. Oups ! Que passa ? Comme un ami de passage vient de me rejoindre, je passe la quatrième et nous faisons faire quelques mouvement de ‘j’te tire, j’te pousse à Titine et ceci, juste pour faire bouger un peu la couronne du démarreur. Nouvelle tentative… Cette fois, ce sont tous les voyants qui s’éteignent. Arggggggggh ! Je triture un peu le gros fil qui va sur la borne plus de la batterie, et retente un quatrième essais. Ah ! Cette fois, le démarreur tourne normalement. Ce n’est qu’après deux ou trois tentatives infructueuse que le petit 1300 fait entendre le doux sont de son échappement antédiluvien. Même s’il cale deux ou trois fois, j’arrive à le relancer sans problème. En jouant sur le starter et l’accélérateur, j’arrive à lui faire atteindre une température correcte qui lui permet de se passer de mes services.

Bon ! Mis à part ce problème récurent de ‘clac’ du démarreur dont je devine la cause, et encore un gros faux contact qui est sans doute dû à un défaut de jeunesse, tout semble aller pour le mieux. J’essaie quand même de passer une vitesse pour voir si le problème du bocal de liquide de frein qui s’était vidé n’a pas entraîner un dysfonctionnement de la commande d’embrayage. Mais non ! Tout à l’air de fonctionner de ce côté-là. Ouf !

Il me reste à tester les différentes commandes électriques car je vous rappelle que tout ça à commencé par la présomption d’un mauvais contact entre la batterie et la boîte à fusible, en transitant par le démarreur. Je commence par les essuie-glaces. Ces derniers démarrent normalement avec leur flegme habituel, ce qui n’est pas anormal vu que le pare-brise est aussi sec que la mère de la tranquillité sur la lune. Tout baigne quand même car ils fonctionnent électriquement parlant. Je passe au veilleuses ! A la mine que fait mon collègue devant Titine, je me rend compte que mon intervention sur la commande des feux n’a entraîné aucun changement au niveau de ces derniers. Je jette un œil à mon tour, et en effet, rien n’est allumé. Je retire le couvercle de la boîte à fusible et avec le doigt, j’imprime quelques mouvements de rotation aux différents fusible. Les veilleuses s’allument, puis s’éteignent de nouveau, puis se rallument. Bon ! une intervention sérieuse sur cette boîte semble indispensable… Oui je sais ! je vous entends me dire: « on t’avais conseillé de remplacer cette dernière par une boîte plus moderne !». Mais vous me connaissez ! Je ferai tout pour conserver cet accessoire parfaitement obsolète mais qui conserve l’originalité de mon petit cabriolet. J’ai encore quelques cordes à mon arc pour le refaire bosser correctement. J’attendrai donc de ne plus pouvoir intervenir dessus pour le remplacer, je vous le promets…

En attendant, je suis heureux de savoir que je vais pouvoir reprendre le volant de mon petit destrier et rien que ça, ce n’est que du bonheur…

[scenic_en_colere]

ça va ronronner!

[daniel762]

Et c'est reparti pour de nouvelles aventures ! 

[Diabolo]

Le 05/03/2022 à 08:12, Nar1955 a dit :

Je jette un œil à mon tour, et en effet, rien n’est allumé. Je retire le couvercle de la boîte à fusible et avec le doigt, j’imprime quelques mouvements de rotation aux différents fusible. Les veilleuses s’allument, puis s’éteignent de nouveau, puis se rallument. Bon ! une intervention sérieuse sur cette boîte semble indispensable… Oui je sais ! je vous entends me dire: « on t’avais conseillé de remplacer cette dernière par une boîte plus moderne !». Mais vous me connaissez ! Je ferai tout pour conserver cet accessoire parfaitement obsolète mais qui conserve l’originalité de mon petit cabriolet. J’ai encore quelques cordes à mon arc pour le refaire bosser correctement. J’attendrai donc de ne plus pouvoir intervenir dessus pour le remplacer, je vous le promets…

Meuh non, personne ici (ou presque😋) n'a voulu greffer une prothèse de porte-fusible moderne à Titine.😆
(Mais quelque chose me dit que nous n'avons pas fini d'en lire sur le sujet)

[JB30]

Top Bravo ! La fin me fait dire que l'on a pas fini de lire tes aventures !!!😃 Les beaux jours arrivent pour profiter de titine ...

[scenic_en_colere]

J'aime bien l'histoire de la lune. "le pare-brise est aussi sec que la mère de la tranquillité sur la lune"

Effectivement une lune sèche n'est guère très agréable

[Nar1955]

Bonjour à tous! Sans déflorer ce qui m'est arrivé ces derniers jours, je peux vous dire que les Gremlins sont toujours là, et bien là… Les aventures ne sont donc pas terminées (Mais où vont elles me conduire ?). Vous avez donc raison Daniel et JB30..

Merci Diabolo pour partager mon point de vue… Je vois que je ne suis pas le seul à vouloir conserver l'authenticité de ces mamies…

J'aime beaucoup ta dernière allusion Scenic. Je vois que je ne suis pas le seul à avoir une autre vision des choses… 

[scenic_en_colere]

Tu tises...  Enfin je veux dire tu fais du teasing.