Jaguar au Mans

[grandrobert]

Photos des deux low drag de 64 sur cette page : Les 24 heures du mans en photos de 1923 à aujourd'hui

 

 

 

 

Cette page est un petit bijou !

[Phicanam]

Hello Phicanam !

 

C'est la voiture de 1962 de Sargent / Lumsden, surement une course ou un défilé historique.

Merci.

C'est une photo de la parade d'avant les 24 Heures 93.

Michel, j'avais remarqué que les Jaguar qui ont couru cette année là était légèrement différentes

 

[pesca 33]

Merci.

C'est une photo de la parade d'avant les 24 Heures 93.

Michel, j'avais remarqué que les Jaguar qui ont couru cette année là était légèrement différentes

 

j' ai loupé ma vanne

 

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

Pour terminer l'édition 1964, je reviendrai bientôt sur la voiture de Monsieur Maurice Caillet non qualifié lors des essais préliminaires. Je viens de recevoir des infos de sa part mais attends son accord pour les diffuser. Je la monterai sur une base Ixo models ou AMR dont j'avais mis un kit de côté.

 

La deuxième grande époque de présence de Jaguar au Mans après 20 ans d'absence (rappel : la première a commencé en 1950 et s'est achevé en 1964) commence en 1984 et va s'interrompre en 1998.

 

Avant d'en faire l'étude, il me faut évoquer l'année 1977 où Martin Birrane voit l'inscription de sa Jaguar XJS en groupe 5 refusée (info trouvée sur le web). J'ai fait quelques recherches sur cette éventuelle voiture mais n'en ai pas trouvé de trace ( y compris dans d'autres compétitions) surement un projet avorté !

 

Si vous avez quelquechose sur cette inscription, je suis preneur.

 

A suivre ...

 

 

[J-LR]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1964

 

JAGUAR type E lightweight n°17 : Peter LUMSDEN - Peter SARGENT

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image004.png70..png

 

La Jaguar type E engagée par Peter Sargent au Mans en 1964 porte le numéro 15 aux essais préliminaires. Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3,8 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro S850663 et du moteur RA1348-9S.

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image006.png8..png

 

La Jaguar type E engagée par Peter Sargent au Mans en 1962 porte le numéro 17 en course. Elle a beaucoup évolué depuis les essais d’avril Équipée du moteur XK 6, un 6 cylindres en ligne de 3,8 litres placé à l'avant, la voiture dispose du châssis numéro 950009 et du moteur R1035-9. Longue de 4,452 et large 1,656 mètres, la Jaguar type E atteint une vitesse en course de 270 km/h.

 

La course : 23 et 24 juin 1962

 

Peter Lumsden se retrouve englué dans l’embouteillage provoqué au départ. Aligné aux côtés de l’autre type E, il se met dans son sillage pour en sortir et continue à calquer sa course sur elle. Relayé par Peter Sargent, les deux anglais remontent de quelques places. Après vingt et une heures, ils sont douzièmes du classement général et cinquièmes en GT, tout semble bien se passer. Les problèmes de boîte de vitesse se font connaître avec la tombée de la nuit. Englués dans ces difficultés, plusieurs fois de retour dans leur stand, les deux pilotes britanniques chutent dans le fond du classement avant de renoncer un peu avant minuit.

 

Les miniatures

 

CLASSIC JAGUAR MINIATURESà (GB) CJM005K 1/43 White métal

 

 

SMTS (GB) : RL086 1/43 White métal

(annoncée mais non produite au 1/43, existe au 1/24)

 

VROOM (F) : JAG01M ou VK21 1/43 Résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image065.jpg1..jpg

 

La Vroom a un problème d'échappements qui devraient sortir derrière la roue avant gauche. Ce détail est respecté sur la voiture du CJM. Les dimensions de la CJM sont fidèles alors que la vroom est elle aussi très légèrement trop petite. (Hello Grandrobert, tu t'es attaqué au problème, montre nous ta Jaguar

 

A suivre ...

 

 

Peut-on encore se procurer ce kit facilement ?

Il est vrai que le modèle 'Vroom' est assez petit.

 

 

[calou-jag43]

Hello J-LR !

 

Hélas épuisé, je viens d'en trouver une montée et dédicacée aux enchères sur Vectis (estimé entre 100£ et 120£ mais ça ne m'étonnerai pas que le prix grimpe autour des 200£) : bonne chance, trop cher pour moi.

 

http://www.vectis.co.uk/Page/ViewLot.aspx?LotId=365645

 

A suivre ...

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

Reprenons le fil de notre histoire.

 

1965 – 1971 : Quel dommage !

http://img411.imageshack.us/img411/8166/paddockxj13rk3.th.jpg

 

L’usine développe en secret un moteur V12 prévu pour être installé en position centrale dans un prototype baptisé XJ 13. Le projet est abandonné pour monopoliser tous les efforts à l’occasion de la production de la nouvelle Type E.

 

Dès les premières années où Jaguar goûte aux joies de la victoire dans la Sarthe, un fantastique projet grandit dans la tête des collaborateurs de William Lyons. Il s’agit de doubler le nombre de cylindres du merveilleux moteur XK. Le patron de Jaguar laisse libre cours à cette étude secrète. Ainsi, dans le milieu des années 50, naît sur les tables à dessin un V12 à 60 degrés ainsi que le croquis d’un prototype capable d’accueillir le fabuleux engin en position centrale. Dans l’ombre, Bill Heynes, Malcom Sayer et Claude Baily réalisent leur rêve. Le V12 est construit et tourne sur un banc d’essai dès 1964. En même temps le prototype qui doit le recevoir prend forme. Son châssis est monocoque en alliage léger avec caissons latéraux. Baptisé XJ 13, la voiture reçoit une carrosserie en aluminium riveté.

En 1966, l’ensemble V12 châssis est assemblé, le résultat coupe le souffle. La XJ 13 est d’une pureté extrême. Le V12 de cinq litres affiche 550 chevaux et ne demande qu’à s’exprimer. Les premiers tours de roue ont lieu au printemps 1967 au MIRA, circuit d’essai de Jaguar puis à Silverstone. Les temps réalisés permettent tous les espoirs et le comportement de la voiture est très sain. L’objectif de ses concepteurs est de revenir au Mans où se déroule le duel Ferrari-Ford mais un ensemble de raisons fait abandonner le projet.

Tout d’abord, le lancement récent de la nouvelle type E dont les commandes affluent, nécessite tous les efforts de l’usine et faire courir la XJ 13 coûte très cher. Ensuite, les règlements de la FIA limitent les «sport prototypes» à trois litres de cylindrée où réclament la construction d’au moins vingt-cinq exemplaires en catégorie « sport » où il est possible d’aller jusqu’à cinq litres. La XJ13 ne court pas au Mans !

 

Le moteur V12, de son côté, continue d’être développé puis la marque s’oriente vers des modèles à la fois sportifs et luxueux et la noblesse d’un tel moteur colle parfaitement à cette image. En 1971, afin de promouvoir la sortie prochaine de la future type E V12, Jaguar a l’idée de ressortit la XJ 13 pour tourner un spot publicitaire. De retour sur le circuit du MIRA, la voiture équipée d’un moteur de 5,3 litres est hélas accidentée avant d’être reconstruite pour le musée.

 

1972 – 1983 : Le fauve refait ses griffes.

 

http://img441.imageshack.us/img441/629/starter20big20cat20cd01ki2.th.jpg

 

Jaguar revient en compétition officielle dans le championnat d’Europe des voitures de tourisme en 1976 et 77 avec des coupés XJ 12 C. Leurs performances sont excellentes mais leur consommation les entraîne souvent à l’abandon, c’est un échec. Tom Walkinshaw revient en 1982 avec des Coupés XJS V12 et remporte le championnat pilote et constructeur en 1984.

 

En 1968, la firme British Leyland prend naissance et rassemble Jaguar à quasiment toutes les autres marques automobiles britanniques. En 1971, BL donne son accord pour fabriquer un V12 afin de propulser le haut de gamme Jaguar. Avec un tel moteur, la direction pense légitime d’accepter un retour des fauves sur les circuits.

 

En 1974, la type E V12 fait son entrée en piste outre atlantique grâce à Bob Tullius, concepteur de l’écurie Group 44 aux États unis. Par ses bons résultats, l’Américain reçoit l’aide de l’usine et en 1976, il engage la nouvelle Jaguar XJS dans le championnat d’endurance américain. La encore, le succès est au rendez-vous.

 

En même temps, en Europe, les coupés XJ affrontent les BMW 635 CSL dominatrices dans le championnat d’Europe de tourisme. Très rapides mais trop lourds et étranglés par leur consommation, ils ne remportent aucune course et le projet cesse en 1977 alors que les XJS de Tullius accumulent les bons résultats.

 

En 1977, on croit un instant revoir une Jaguar au Mans par l'intermédiaire de l'inscription d'une XJS par Martin Birrane mais il voit son inscription refusée. Il faut encore patienter.

 

http://img214.imageshack.us/img214/4070/amrxjr5miami84bk3.th.jpg

 

Au début des années 80, Bob Tullius reçoit le soutien de « Jaguar cars », l’importateur Nord américain du New Jersey. Gravissant un nouvel échelon vers une épreuve internationale. Il demande à Lee Dykstra de lui concevoir un prototype pour participer au championnat IMSA, la catégorie « sport endurance » aux USA. La voiture est baptisée XJR 5, elle propulsée par un V12 Jaguar de 5,3 litres délivrant plus de 525 chevaux. Tullius fait débuter le fauve en 1982 et dès l’année suivante, la victoire est au rendez-vous. Un dernier pas reste à franchir ! Venir au Mans. L’année 1982 est aussi le retour en compétition officielle de Jaguar en Europe.

 

http://img209.imageshack.us/img209/7435/img2769xk5.th.jpg

 

L’Écossais Tom Walkinshaw contacte l’usine pour faire courir des XJS dans le championnat européen des voitures de tourisme. Pendant trois ans, les coupés Anglais améliorent sans cesse leurs performances, terminant le championnat au troisième rang dès 82, puis au second en 83 avant d’offrir le titre pilote pour Walkinshaw et constructeur pour Jaguar en 1984. Par ses victoires et ses titres obtenus, Walkinshaw reçoit l’appui de l’usine pour revenir en « sport prototypes » ainsi qu’au Mans.

 

http://img209.imageshack.us/img209/9964/amrxjr64802gy6.th.jpg

 

1965 – 1983 : Le Mans continue sans Jaguar.

 

Après Ferrari, c’est Porsche qui vient construire son palmarès au Mans. Entre ces deux ogres, bien d’autres marques s’affiche au Mans comme Ford, Matra, Renault et Rondeau. Si Ferrari voit son compteur bloqué à neuf succès, Porsche emporte un dixième titre en 1983 et semble bien décidé à poursuivre son ascension.

 

Si Ferrari puis Ford dominent les années 60, une marque déjà bien connue au Mans réussit enfin à l’emporter. Porsche fait ses début au Mans en 1951 et n’a jamais manqué une seule édition depuis. La marque Allemande gagne sa première victoire en 1970, l’année où le départ subit une petite révolution. Le célèbre départ type « Le Mans », durant lequel les pilotes placés en face de leurs bolides doivent traverser la piste pour y sauter ou s’y engouffrer, devient dangereux, principalement en raison des puissances atteintes. Bien souvent les pilotes accomplissent leurs premiers relais sans s’attacher. La solution apportée est de laisser les voitures en épi, pilotes attachés et sanglés au volant, et de donner le signal de départ. Ce type de départ est amélioré l’année suivante et perdure depuis. Les voitures et leurs pilotes, toujours placés en épi partent pour un tour de circuit avant d’exécuter un départ lancé.

 

1971 est le symbole de la puissance de Porsche qui totalise 33 des 49 voitures au départ. L’une d’entre elles gagne la course et une autre franchit la barre des 350 km/h.

 

Les trois années suivantes sont dominées et remportées par Matra. En 1975, Les Mirage Ford l’emporte. Porsche équipe ses voitures de turbos dès 1974 et enlève quatre nouvelles victoires.

 

En France, Renault adopte à son tour le turbo et l’emporte en 1978 avant de partir en formule 1. Porsche reprend son bien pour terminer la décennie.

 

En 1980, l’ACO décide de modifier le règlement pour réduire la montée en puissance des bolides. Avec les turbos, la cylindrée des voitures a baissé et le meilleur moyen pour réduire la moyenne des participants est d’étrangler leur consommation. Jean Rondeau, constructeur local tire son épingle du jeu et l’emporte à bord de sa propre voiture. Porsche reprend une nouvelle fois sa domination dès l’année suivante.

 

En 1983, la marque allemande domine toujours et passe en tête du nombre de victoires avec un dixième titre Manceau.

 

A suivre ...

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1984

 

JAGUAR XJR 15 n°40 : Tony ADAMOWICZ – John WATSON – Claude BALLOT-LENA

 

 

La Jaguar XJR5 numéro 40 engagée au Mans en 1984 est engagée par Bob Tullius. Équipée d’un 12 cylindres en V de 5,3 litres placé en position centrale arrière, la voiture dispose du châssis numéro 008. Longue de 4,724 et large 1,9 mètres, la Jaguar XJR5 atteint une vitesse en course de 339 km/h.

La Jaguar XJR 5 est une voiture prototype fermé 2 places produite de 1982 à 1985. Elle marque le retour de la marque Jaguar au Mans après vingt ans d’absence. Conçue au sein du group 44 de l’Américain Bob Tullius, elle participe à l’épreuve mancelle en 1984 et 1985.

 

La course : 16 et 17 juin 1984

 

Les Lancia se jètent aux avant-postes dès le départ afin d’imprégner leur rythme aux adversaires. Derrière elles, suivent les Porsche, les Nimrod et les Jaguar. La XJR 5 de Claude Ballot-Léna, John Watson et Tony Adamowicz est huitième. Dans la première heure de course, pendant quelques minutes et au bénéfice d’un ravitaillement plus tardif que ceux des voitures du haut de tableau, elle est pointée en tête de la course, avant de retrouver son rang lors de son arrêt. En début de soirée, la Jaguar poursuivie par une Nimrod monte à la sixième place. En pleine nuit, Ballot-Léna stoppe à Arnage. Son câble d’accélérateur s’est rompu et pour son retour au stand il perd huit tours. Le résultat au classement n’est pas trop grave car l’équipage n’a perdu qu’une seule place. La nuit n’a pas été très bonne mais l’aube est pire. Lors de la quinzième heure, au tertre rouge, Adamowicz roule sur des débris et sort violemment de la piste à cause d’un pneu éclaté. Il réussit à rentrer au stand mais avec un réservoir d’huile vide et une suspension abîmée, il est contraint à l’abandon.

 

Les miniatures

 

AMR (F) : 455 1/43 White métal

 

 

BIZARRE : BZ13 1/43 Résine

 

 

F.PROJECT : 1/43 Résine

 

 

GEMS LE MANS SERIES (GB) : GCLM1 1/43 White métal

 

 

MARSH MODELS (GB) : MM178 1/43 Résine

 

 

PROVENCE MOULAGE (F) : K 289 1/43 Résine

 

 

STARTER (F) : sans 1/43 Résine

 

 

A suivre ...

[Phicanam]

J'ai l'AMR, mais j'ai fait une version IMSA, donc hs

[alm93]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1984

 

JAGUAR XJR 15 n°40 : Tony ADAMOWICZ – John WATSON – Claude BALLOT-LENA

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image004.png71..png

 

La Jaguar XJR5 numéro 40 engagée au Mans en 1984 est engagée par Bob Tullius. Équipée d’un 12 cylindres en V de 5,3 litres placé en position centrale arrière, la voiture dispose du châssis numéro 008. Longue de 4,724 et large 1,9 mètres, la Jaguar XJR5 atteint une vitesse en course de 339 km/h.

La Jaguar XJR 5 est une voiture prototype fermé 2 places produite de 1982 à 1985. Elle marque le retour de la marque Jaguar au Mans après vingt ans d’absence. Conçue au sein du group 44 de l’Américain Bob Tullius, elle participe à l’épreuve mancelle en 1984 et 1985.

 

La course : 16 et 17 juin 1984

 

Les Lancia se jètent aux avant-postes dès le départ afin d’imprégner leur rythme aux adversaires. Derrière elles, suivent les Porsche, les Nimrod et les Jaguar. La XJR 5 de Claude Ballot-Léna, John Watson et Tony Adamowicz est huitième. Dans la première heure de course, pendant quelques minutes et au bénéfice d’un ravitaillement plus tardif que ceux des voitures du haut de tableau, elle est pointée en tête de la course, avant de retrouver son rang lors de son arrêt. En début de soirée, la Jaguar poursuivie par une Nimrod monte à la sixième place. En pleine nuit, Ballot-Léna stoppe à Arnage. Son câble d’accélérateur s’est rompu et pour son retour au stand il perd huit tours. Le résultat au classement n’est pas trop grave car l’équipage n’a perdu qu’une seule place. La nuit n’a pas été très bonne mais l’aube est pire. Lors de la quinzième heure, au tertre rouge, Adamowicz roule sur des débris et sort violemment de la piste à cause d’un pneu éclaté. Il réussit à rentrer au stand mais avec un réservoir d’huile vide et une suspension abîmée, il est contraint à l’abandon.

 

Les miniatures

 

AMR (F) : 455 1/43 White métal

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image060.jpg

 

BIZARRE : BZ13 1/43 Métal

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image062.jpg

 

F.PROJECT : 1/43 Résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image064.jpg

 

GEMS LE MANS SERIES (GB) : GCLM1 1/43 White métal

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image19.jpg

 

MARSH MODELS (GB) : MM178 1/43 White metal

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/MARSHMODELSMM178XJR540LEMANS1984.jpg

 

PROVENCE MOULAGE (F) : K 289 1/43 Résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image070.jpg2..jpg

 

STARTER (F) : sans 1/43 Résine

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/700065/image068.jpg2..jpg

 

A suivre ...

 

Petite erreur il me semble : les modèles Bizarre et Marsh Models sont en résine.

 

J'ai l'AMR, mais j'ai fait une version IMSA, donc hs

 

J'ai aussi le modèle AMR par contre je ne l'ai pas (encore) monté.

 

 

[calou-jag43]

Hello alm93 !

 

Merci, tu as raison, copier-coller malencontreux que je répare illico.

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

24 HEURES DU MANS 1984

 

Notre ami Phicanam nous avait gratifié de quelques images ici :

 

http://forum-auto.caradisiac.com/automobile-pratique/modelisme-modeles-reduits/sujet1584-420.htm#t1429729

 

... avec une photo du mulet de 1984, (voiture numéro 4)

 

On y voit aussi la voiture numéro 44 avant la course avec les rétroviseurs blancs sur les ailes alors qu'en course, ils étaient noirs sur les montants de l'habitacle.

 

A suivre 24 heures du mans 1985 (pour la numéro 44 de 1984, c'était ici :

http://forum-auto.caradisiac.com/automobile-pratique/modelisme-modeles-reduits/sujet1584-35.htm#t996152

 

...

[ed1962]

La PM, encore un truc sorti de mes mains...

http://www.renaissance-models.com/images/Protos_Etienne/039_PM_Jaguar_XJR5_%20LM84.jpg

Pas encore finie...

 

Tout comme la 85:

http://www.renaissance-models.com/images/Protos_Etienne/037_PM_Jaguar%20XJR5_LM85.jpg

 

Je voulais les ressortir, "modernisées" à ma façon actuelle, mais Marsh m'a un peu coupé l'herbe sous le pied...

 

[calou-jag43]

Hello Etienne !

 

Une réussite aux formes superbes et très fines que j'ai eu plaisir à monter alors que l'AMR m'a donné quelques soucis au niveau de l'ajustement des radiateurs sur la caisse.

 

N'ayant pas eu de Marsh entre les mains, je ne peux émettre d'avis.

 

A suivre ...

[Phicanam]

N'ayant pas eu de Marsh entre les mains, je ne peux émettre d'avis.

Je ne connais pas la Jag de John Simons mais, pour avoir monté quelques unes ( ) de ses Can-Am, je ne me ferais pas de soucis

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

15 ET 16 JUIN 1985 : Deuxième essai pour Bob.

 

 

Vainqueurs : Klaus Ludwig / Paolo Barilla / «John Winter» sur Porsche 956B

; 373 Tours = 5088,507 km ; moyenne : 212,021 km/h

Partants : 49 ; Classés : 24 ; Circuit : 13,626 km

 

Les forces en présence

 

Quand l’ACO publie la liste officielle de cette cinquante-troisième édition, les fans Anglais ont la bonne surprise de compter cinq Jaguar inscrites.

 

Trois Jaguar XJR 6 sont engagées en groupe C1 par l’écossais Tom Walkinshaw qui a reçu l’appui de l’usine pour participer au championnat du monde d’endurance et ainsi de revenir au Mans. Hélas pour les amateurs de la marque et malgré tous les efforts du Tom Walkinshaw Racing, la nouvelle XJR 6 n’est pas prête pour Le Mans. Le rendez-vous est quand même pris pour 1986.

 

L’an passé, les deux XJR 5 inscrites par Bob Tullius ont fait un retour remarqué au Mans, bataillant en bonne place dans le classement et faisant une course pleine de satisfaction malgré leurs abandons tardifs. Elles reviennent en 1985 très peu modifiées.

 

Par contre, du côté de la concurrence, les choses ont bougé. Porsche revient officiellement avec la ferme intention de renouer avec la victoire grâce à trois nouvelles 962C. Neuf autres Porches privées les accompagnent. Lancia revient avec des LC2. Un autre retour semi-officiel se fait remarquer, celui de Mercedes par l’intermédiaire de l’écurie Suisse de Peter Sauber. Comme en 1984, une voiture Anglaise est propulsée par un moteur Aston Martin, l’Emka.

 

Les essais démontrent que les Porsche usine dominent leurs adversaires en performances pures mais les Porsche privées et les Lancia sont proches. Le nouveau règlement étranglant la consommation d’essence va certainement jouer un rôle important.

 

Les temps réalisés par les Jaguar se révèlent similaires à ceux réalisés l’an passé, de ce fait, leur classement aux qualifications est sensiblement identique, entre la quinzième et la vingtième places. Ces essais sont le théâtre d’un accident spectaculaire pour la nouvelle Sauber. En s’envolant au-dessus des barrières, la voiture suisse est détruite et donc privée du départ. Par chance, John Nielsen qui la pilote s’en sort indemne.

 

Les Jaguar

 

JAGUAR XJR 5 NUMÉRO 40 : Brian REDMAN – Jim ADAMS – Hurley HAYWOOD

 

 

JAGUAR XJR 5 NUMÉRO 44 : Bob TULLIUS – Chip ROBINSON – Claude BALLOT-LENA

 

 

A suivre ...

[superbrice]

Hello J-LR !

 

Hélas épuisé, je viens d'en trouver une montée et dédicacée aux enchères sur Vectis (estimé entre 100£ et 120£ mais ça ne m'étonnerai pas que le prix grimpe autour des 200£) : bonne chance, trop cher pour moi.

 

http://www.vectis.co.uk/Page/ViewLot.aspx?LotId=365645

 

A suivre ...

 

 

 

http://stores.shop.ebay.fr/carreravroom__W0QQ_armrsZ1

 

[superbrice]

Ah s'cusez moi, j'avais comprit que c'était la Vroom que vous pensiez épuisée.

 

[grandrobert]

Ah s'cusez moi, j'avais comprit que c'était la Vroom que vous pensiez épuisée.

 

 

Ne leur conseille pas la Vroom, elle est fausse, empattement trop court et arrière trop étroit

[J-LR]

 

Ne leur conseille pas la Vroom, elle est fausse, empattement trop court et arrière trop étroit

 

 

A défaut d'une CJM, on conservera nos 'Vroom'...

 

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1985

 

JAGUAR XJR 5 n°40 : Brian REDMAN – Jim ADAMS – Hurley HAYWOOD

 

 

La Jaguar XJR5 numéro 40 engagée au Mans en 1985 est engagée par Bob Tullius. Équipée d’un 12 cylindres en V de 5,3 litres placé en position centrale arrière, la voiture dispose du châssis numéro 006. Longue de 4,724 et large 1,9 mètres, la Jaguar XJR5 atteint une vitesse en course de 339 km/h.

La Jaguar XJR 5 est une voiture prototype fermé 2 places produite de 1982 à 1985. Elle marque le retour de la marque Jaguar au Mans après vingt ans d’absence. Conçue au sein du group 44 de l’Américain Bob Tullius, elle participe à l’épreuve mancelle en 1984 et 1985.

 

La course : 15 et 16 juin 1985

 

Comme prévu, le duel Lancia Porsche a lieu dès les premiers tour. A la différence de l’an passé, c’est la marque allemande qui mène la course. Brian Redman, Jim Adams et Hurley Haywood se relaient au volant de la XJR 5 sans pouvoir se mêler au groupe de tête. Etranglés par la consommation, les pilotes suivent leur tableau de marche dans l’espoir de voir la régularité l’emporter sur la folle bataille italo-allemande.

 

Après deux heures de course, la Jaguar numéro 40 est douzième poursuivie par l’Emka. Une heure plus tard, trois Porsche privées sont en tête et la XJR 5 a perdu deux places. La nuit tombe doucement sur Le Mans. Ralentie par un problème de portière, les pilotes perdent encore une place.

 

Brusquement, vers deux heures du matin, le joint de culasse cède et balaie tout espoir pour la belle Anglaise classée alors au quinzième rang. L’abandon est prononcé à la quinzième heure.

 

Les miniatures

 

AMR (F) : 455a 1/43 White métal

 

 

BIZARRE : BZ24 1/43 Résine

 

 

PROVENCE MOULAGE (F) : K367 1/43 Résine

 

 

STARTER (F) : 425 ou Set comprenant deux kits LM84 et LM85 1/43 Résine

 

 

A suivre ...

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1985

 

JAGUAR XJR 5 n°44 : Bob TULLIUS – Chip ROBINSON – Claude BALLOT-LENA

 

 

La Jaguar XJR5 numéro 44 engagée au Mans en 1985 est engagée par Bob Tullius. Équipée d’un 12 cylindres en V de 5,3 litres placé en position centrale arrière, la voiture dispose du châssis numéro 008. Longue de 4,724 et large 1,9 mètres, la Jaguar XJR5 atteint une vitesse en course de 339 km/h.

 

La course / 15 et 16 juin 1985

 

Les Jaguar sont plus lourdes que les Porsche et les Lancia. Bob Tullius et ses deux coéquipiers restent donc à distance des favoris. Après deux heures de course, les deux Jaguar sont douzièmes et quatorzièmes, l'EMKA Aston-Martin s'étant intercalée entre les deux.

 

La nuit passe et au matin, les ennuis se font connaître. Tullius rentre au stand car son moteur cafouille. Le système d'injection électronique en est la cause et quinze minutes sont perdues.

 

Deux heures plus tard, la voiture rentre à nouveau pour le même problème auquel s'additionne une surconsomation d'essence. Ces problêmes électronique ont fait des dégâts. Une soupape a lâché si bien que le cylindre est isolé pour terminer la course. Encore trente-cinq minutes de perdues, la voiture est quinzième.

 

Sur 11 cylindres, le valeureux moteur tient jusqu'à l'arrivée. La Jaguar finit treizième du général et gagne la catégorie GTP.

 

 

Les miniatures

 

AMR (F) : 455a 1/43 White métal

 

BIZARRE : BZ23 1/43 Résine

 

BONZA MODELS : 1/43 White métal

(pas d'image)

 

DANBURY MINT (GB) : 1/43 étain

 

JAGUAR MODEL CLUB (GARY OXLEY GB) : 1/43 base PM résine

 

GARY OXLEY (GB) : édition dédicacée par Tullius base PM 1/43 résine

 

PROVENCE MOULAGE (F) : K367 1/43 Résine

 

STARTER (F) : 425 1/43 Résine

 

A suivre ...

[pesca 33]

quelqu 'un sait ce que représentent les appendices sur le toit de l' AMR ?????

[alm93]

quelqu 'un sait ce que représentent les appendices sur le toit de l' AMR ?????

 

Visiblement ce sont des poignées et seul AMR a pensé a les représenter.

Par contre aucune idée de leur utilité.

http://www.lemans-history.com//imagens/1985/82-47.jpg

[Phicanam]

On dirait plutôt des charnières...

 

[J-LR]

 

Vu l'orientation de la portière ouverte, plutôt des verrous.

 

[grandrobert]

Vu l'orientation de la portière ouverte, plutôt des verrous.

 

 

Je le crois aussi, ce genre de dispositif dont Peugeot aurait du s'inspirer il y a deux ans

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

Des verrous que le monteur du kit n'a pas assez enfoncé dans les trous qu'il aurait du percer (un peu comme certains rivets ... )

 

A suivre ...

[Phicanam]

Vu l'orientation de la portière ouverte, plutôt des verrous.

Vi, comme charnières, on a vu mieux...

Je ne devais pas avoir les yeux en face des trous, désolé

Pas sûr quand même que cela soit des verrous

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

 

Pour les XJR 5, en zoomant sur l'image de phicanam, et en éclaircissant un peu, on voit très nettement que ce sont tout simplement les poignées de porte ! La poignée de la porte ouverte est tournée !

 

 

24 HEURES DU MANS 1986 : Trois Jaguar en robe longue

 

Le Tom Walkinshaw Racing inscrit trois XJR 6. Les voitures anglaises s’inclinent face aux Porsche usine. Derek Bell, Hans-Joachim Stuck et Al Holbert apportent une onzième victoire à la marque de Stuttgart.

 

 

Vainqueurs : Derek Bell / Hans-Joachim Stuck / Al Holbert sur Porsche 962 C

367 Tours = 4972,731 km ; moyenne : 207,197 km/h

Partants : 50 ; Classés : 19 ; Circuit : 13,528 km

 

Les forces en présence

 

En 1985, TWR reçoit l’appui de Jaguar pour participer au championnat du monde d’endurance. L’ingénieur Tony Southgate est chargé de concevoir la nouvelle XJR6. La voiture n’a aucun lien de parenté avec les bolides de Tullius malgré une appellation similaire.

 

La XJR 6 est une voiture innovante en sport prototypes. La structure monocoque est renforcée par des matériaux modernes très légers et très robustes tels que le Carbone et le Kevlar. Southgate dessine deux versions : une carrosserie « sprint » pour le championnat et une autre dite « LM » profilée pour les Hunaudières.

 

Le moteur dérivé du V12 de série et porté à 6 litres de cylindrée offre aux pilotes une puissance d’environ 630 chevaux.

 

Les essais des vingt-quatre heures se déroulent sous un ciel maussade. Les trois Jaguar inscrites figurent parmi les favorites depuis qu’elles viennent d’acquérir une première victoire à Silverstone. Leurs principales rivales restent les Porsche usine suralimentées ainsi que les Sauber Mercedes qui progressent de course en course depuis le début du championnat.

 

Parmi les outsiders, on trouve un grand nombre de Porsche privées et des constructeurs japonais Mazda, Toyota ou encore Nissan. Lors des essais, les Jaguar sont confrontées à des problèmes de garde au sol et à grande vitesse, les pilotes constatent que la dépression autour du cockpit provoque l’écartement des portes à ouverture papillon.

 

Les Porsche officielles disposent de moteurs spéciaux pour les qualifications et s’accaparent la première ligne. Le règlement limitant la consommation ne favorise pas les Anglaises aussi, l’aspect tactique devient une des principales composantes de la course.

 

Les Jaguar en course

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 51 : Derek WARWICK – Eddy CHEEVER – Jean-Louis SCHLESSER

 

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 52 : Hans HEYER – Hurley HAYWOOD – Brian REDMAN

 

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 53 : Gianfranco BRANCATELLI - Win PERCY - Hurley HAYWOOD

 

 

Les Jaguar aux essais préliminaires en mai 1986

 

Le 9 mai 1986 marque le renouveau des essais préliminaires abandonnés depuis 1975 mais surtout le retour officiel de l’usine après trente ans d’absence. Trois Jaguar y sont présentes.

Dix-sept voitures s’élancent sous un ciel gris pour préparer la course de juin. Deux Jaguar y participent opposées à une March-Nissan, une WM, aux Mazda, Toyota et autres Porsche 956, 962C officielles ou encore à la nouvelle 961. Ces tests permettent d’étalonner les versions LM de la XJR 6 en condition réelle.

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 51 : Eddie Cheever (USA) - Derek Warwick (GB)

 

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 52 : Eddie Cheever (USA) - Jean-Louis Schlesser (F)

 

 

LA JAGUAR XJR 6 LM NUMÉRO 53 : Jean-Louis Schlesser (F) - Derek Warwick (GB)

 

 

 

En attendant les détails, amusez-vous à rechercher les différences entre mes préliminaires et la course !

 

A suivre ...

[calou-jag43]

Hello les amis !

 

24 Heures du Mans 1986

 

JAGUAR XJR-6 LM n°51 : Derek WARWICK – Eddy CHEEVER – Jean-Louis SCHLESSER

 

La Jaguar XJR-6 LM numéro 51 engagée au Mans en 1986 est engagée par le Tom Walkinshaw Racing. Équipée du moteur V12 de 6 litres placé en position centrale arrière, la voiture dispose du châssis numéro 286. Longue de 4,798 et large 2 mètres, la Jaguar XJR-6 LM atteint une vitesse en course de 356 km/h.

 

Les essais préliminaires : 9 mai 1986

 

 

Les XJR 6 apparaissent pour la première fois dans leurs versions longues baptisées XJR6-LM. L’aileron arrière plus large est abaissé par rapport à la version sprint et l’arrière de la carrosserie se prolonge derrière les roues arrières. Petit détail, elle conservent leurs optiques qui sont différents pour les 24 heures.

 

La course : 31 mai et 1er juin 1986

 

 

Derek Warwick prend le départ sous un ciel toujours maussade. Il réussit à se hisser au deuxième rang à l’issue du premier tour. Après une heure et demi de course, Cheever prend le relais puis le cède plus tard à Jean-louis Schlesser. Ce dernier se fait une belle frayeur vers 22 heures 30 en ratant son freinage à Mulsane mais s’en sort sans rien toucher.

 

La jaguar reprend son tableau de marche et reste quatrième pendant près de sept heures. Entre minuit et deux heures, des petits problèmes de portes papillon et de batterie obligent la Jaguar à repasser plusieurs fois au stand. Toujours durant la nuit, le pace car neutralise la course pendant une heure après l’accident mortel de Jo Gartner.

 

À l’aube, au profit des abandons ayant éliminé les Sauber et quelques Porsche, l’équipage a gagné deux places et se retrouve deuxième derrière une Porsche officielle. Warwick rencontre quelques problèmes de démarrage lors d’un ravitaillement mais le pire survient une fois de plus lors du relais de Schlesser.

 

Dans la seizième heure de course, son pneu arrière droit éclate dans la ligne droite des Hunaudières à pleine vitesse. Miraculeusement, il réussit à contrôler sa voiture mais les dégâts sont importants. Le pneu a arraché la suspension et une grande partie de la carrosserie. Le pilote Français parvient à rentrer au stand mais l’abandon est inévitable après 240 tours.

 

Les miniatures

 

AMR (F) : 494 1/43 White métal

 

 

DAM-TEAM T (F) : 20 1/43 Résine

 

 

PROVENCE MOULAGE (F) : K 161 1/43 Résine

 

 

SPARK (CHI) : 755 1/43 Résine

 

 

Pour les versions préliminaires, je n'ai pas trouvé d'image mais j'ai déjà en stock une AMR et une DAM. Avec mes Spark (numéro 51 et 52 et ma PM (numéro 53) j'aurai donc les quatre miniatures.

 

A suivre ...

[gennaro1]

J'espère que ce n'est que le flash mais quelles différences dans le traitement de la couleur Silk Cut

 

Je reviens un peu sur l'édition 1984. Ma XJR 5 de chez Bizarre, la #44, a une antenne de 12 mètres de haut. L'annuel propose des photos qui montrent la présence d'une antenne sans préciser toutefois si elle a été montées aux essais ou en course. Ou les 2. As-tu des explications complémentaires ?

[calou-jag43]

Hello Gennaro !

 

Pour les XJR5 : en course comme aux essais et même au pesage, c'est la même antenne, beaucoup plus longue qu'en 1985 (à titre de comparaison).

 

Pour les couleurs des XJR6 : c'est vrai que la teinte est très légèrement plus pourprée sur la DAM mais effectivement le flash a accentué la différence. (pour la petite histoire, cette DAM est derrière une vitrine, dans le musée du Mans ! photo prise il y a pas mal d'années)

 

A suivre ...

[gennaro1]

beaucoup plus longue qu'en 1985

 

OK, merci Calou-Jag. Tes miniatures de l'édition 84 ne valident pas vraiment cette antenne plus longue...

Voici ma Bizarre pour te montrer que ça ne rigole pas

 

http://images.steelsm.com/images/1258189485s9y0chf.jpg

 

 

[calou-jag43]

Hello gennaro !

 

Les images que je poste viennent de diverses sources, internet, revues et de mes vitrines. Pour 1984 J'ai monté la numéro 40 avec un kit PM et la numéro 44 avec un kit AMR. Mes antennes sont assez longues et surtout plus fines que celle de Bizarre dont je ne valide pas le pare-brise vert à mon goût fantaisiste ! Ils ont dailleurs rectifié pour les versions 1985. Pourtant, ce sont des reproductions très honorables.

 

Tout est question de goût et du plaisir qu'on en tire...

 

A suivre ...